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CUPIDON SE FOUT DE NOTRE GUEULE ₪ SOLVEIG

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sa flèche, je sais où elle va finir
Pourquoi Solveig doutait-elle que ce soit la première fois que Cody se réveillerait avec le numéro d’une fille tatoué à l’encre sur son bras ? Franchement, il n’avait rien du grand séducteur. Déjà, physiquement. Bon. Certaines filles lui trouvaient un charme certain, mais elles se comptaient sur les doigts de la main d’un type qui n’aurait que trois doigts. Peut-être qu’elle se trouvait sur l’un de ses doigts, voisine de Diamantika. Et la dernière voisine ? Un grand mystère. Sûrement la future femme de sa vie. Il avait hâte de pouvoir la mettre sur son doigt. Bon, dit comme ça, ma métaphore est super dégueulasse donc je m’excuse auprès des âmes sensibles, mais sachez qu’il est tard et que vous devriez tous êtes déjà couchés. Anyway. « Je te jure. Un numéro c’est une première. Par contre, je me suis déjà réveillé avec des appareils génitaux masculins sur le front. Des dessins hein, pas de vrais … » Berk berk. Il tira une tronche pas possible, dégoûté par ses propres paroles. Bienvenue dans le monde de Cody Bleeker, le gars capable de s’auto-parler, de s’auto-critiquer, de s’auto-frapper et de s’auto-dégoûter. De s’auto-satisfaire aussi, mais ça tous les hommes le font. Sisi. Faut que j’arrête de dire des choses dégueu, c’est vraiment le festival des vieilles charrues là quoi, ça va plus. Alors que Solveig se commanda un nouveau cocktail, elle lui attrapa la main. Et là, Cody fit un grand sourire, content que ce soit elle qui fasse le premier pas. Parce que mine de rien, il dut se rendre à l’évidence d’une chose … « Je crois que j’ai oublié ce que c’était d’être avec une femme. Enfin en couple avec elle. Quoiqu’avec une femme tout court, ça fait quelques mois maintenant. Y a des toiles d’araignée là-dedans. Enfin quand je dis là-dedans, je parle de mon cœur hein, pas ailleurs. Ce serait immonde et crois-moi j’aurais vite fait de les enlever. Non, se tenir la main c’est bien. Tu as de la chance, je ne te demanderais pas de m’embrasser ce soir. Je pense que j’ai tellement bu que je pue de la bouche. Donc on va se contenter de ça. » fit-il en enserrant davantage sa main. Puis, phase d’auto-critique activée ; « Je parle trop, c’est ça ? »
Martin Solveig
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Cupidon se fout de notre gueule
Cette soirée partait quand même très très très loin. M'enfin, il faut dire que le Summer Camp rime un peu avec amusement et autres (rien qui rime en camp vous le voyez bien) et on peut dire qu'en parlant de changement d'idées, celui ci était très bon Le changement d'idée évidemment. « J'essaye de t'imaginer avec un attribut masculin sur le front, le dessin, et je vais arrêter parce que tu vas encore croire que je me moque de toi. » Elle lui souriait alors, non sans avoir envie de rire. Mais il ne faut pas, elle avait peur qu'il soit un peu trop susceptible. Non mais franchement cela devait faire un drôle d'effet de se réveiller avec un sexe d'homme en dessin sur le front, ça n'était jamais arrivé à Solveig et elle ne voulait pas que cela lui arrive. En même temps, elle gardait le contrôle dans n'importe quelle situation, donc ça ne devrait pas lui arriver dans les semaines à venir, quoique. On est au Summer Camp ici pas chez Papy Mamie dédé à manger de la tarte aux fraises. Ca lui faisait étrange à la Rousse de prendre la main de quelqu'un d'autre que son ex mari. Même avec Blake, ils ne se tenaient pas la main quand ils passaient des moments ensemble. Ca lui faisait étrange, elle manquait de la retirer quand elle se rappelait que l'alliance à son doigt n'existait plus, qu'elle ne trompait plus personne. « Tu sais, ça fait deux mois que je suis divorcée et je n'ai pas tenu la main de quelqu'un depuis plus longtemps que ça, mon ex était toujours en vadrouille, toujours à droite à gauche depuis le Spring Break, donc je suis au même niveau que toi. » La petite pression sur sa main lui tira davantage son sourire qu'elle n'effaçait pas de son visage. Il ne voulait pas qu'elle l'embrasse. Mais elle avait envie de le surprendre, après tout la surprise est le maître mot dans un couple non? « Oui, tais toi. » Un air malicieux venait de prendre place dans son visage alors qu'elle déposait tendrement ses lèvres sur celle du jeune brun qui lui faisait face. La surprise toujours la surprise. Et non il ne puait pas de la bouche. Cette pensée lui tira un léger rire alors qu'elle se reculait, gardant toujours sa main dans celle de celui qu'elle ne connaissait pas il y a encore cinq minutes. « Non, ça va, tu ne pues pas de la bouche » Quel compliment Blackbird, bravo.
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sa flèche, je sais où elle va finir
Aaaah Solveig. Les minutes avec Cody s’écoulaient lentement et déjà elle se désinhibait, imaginant le brunet avec des choses suspectes dessinées sur le front. Ce dernier pouffa de rire, avant d’enchaîner, tout en jouant avec un dessous de verre qui monopolisait toute son attention ; « Imagine je me réveille un lendemain de cuite avec le tatouage de Mike Tyson sur le front. Sauf qu’au lieu que ce soit des motifs tribaux, ce soit des … Mmh, sympathique le réveil. » Déjà qu’il ne se trouvait pas terrible physiquement, là il devrait envisage à rencontrer la femme de sa vie dans une maison d’aveugle. Anywayyy, Solveig savait tellement mettre à l’aise les gens que Cody en vint même à confier qu’il y avait longtemps qu’une femme ne lui avait pas tenu la main. A vrai dire, comme vous devez vous en douter, il n’était pas le genre de type à prôner le romantisme, les petites attentions, les promenades main dans la main et compagnie. Pour lui, sa petite amie, c’était surtout la meilleure amie qu’il avait le droit d’embrasser. Elle était comme son meilleur pote, avec quelques bénéfices. Il savait que beaucoup de femmes ne comprenaient pas sa vision du couple, mais il n’arrivait pas à concevoir autre chose que ça. Pour qu’une relation soit agréable, il fallait qu’il reste naturel. « Divorcée ? » Il fronça les sourcils. Elle paraissait bien jeune pour avoir vécu une relation représentant un tel engagement. Ceci dit, Cody était marié. Enfin, longue histoire. Sa ’femme’ n’était sa femme que pour obtenir une carte de séjour ici – en bon Canadien qu’il était – et elle était partie vivre au Pérou en laissant les papiers du divorce, papiers que Bleeker avait bien sûr eu la flemme de poster. Narmol. Pour la suite, il aurait bien aimé continuer de parler, sauf que Solveig lui quémanda de se taire et donc en bon faux petit copain qu’il était, il se soumit à ses exigences. Puis faut dire que quand elle prit possession de ses lèvres, il n’eut pas d’autres choix que de rester coït. Et merde, ce fut bref, ce fut simple, mais ce fut bon. Sa bouche épousa la sienne comme déposant à la commissure de ses lèvres un voile fin, une douce caresse. Il ferma les yeux, immobile, paralysé, ou plutôt électrisé. Puis, cassant toute forme de romantisme, elle lui annonça qu’il ne puait pas de la gueule. Toujours un peu sous le choc de la surprise – choc agréable, néanmois – il ne bougeait pas. Puis réalisa que la poupée de cire n’avait rien à foutre en dehors du musée Grevin, donc s’empressa de répondre ; « OK, cool, tant mieux. C’est bien que tu aies vérifié. C’est une information précieuse. Toi non plus, ça va là-dedans si ça t’intéresse. » Elle l’avait perturbé. Garce. Enfin gentille garce. Le genre de garce qu’on aimait bien avoir dans sa vie – ou du moins dans sa soirée.
Martin Solveig
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Cupidon se fout de notre gueule
Elle est ou la Solveig qui était trop timide avec les garçons quelques années plus tôt ? Elle est complétement enterrée aujourd'hui. Elle serait encore présente, elle ne serait pas du genre à proposer son aide à quelqu'un qu'elle ne connait pas et encore moins à sortir toute seule. Mais elle avait rencontré quelqu'un de vraiment amusant ce soir et elle se doutait qu'il n'était pas psychopathe ou malade mental au risque de lui sauter dessus, et lui coller un couteau sur la gorge vu comment il avait eu peur quand elle lui avait fait croire qu'elle se baladait avec des personnes dépecées tout les jours. Et bon, il n'a pas l'air d'être un pervers prédateur. Elle ne pouvait pas s'empêcher de l'imaginer avec un sexe dessiné sur la tête. Mais tant qu'on se souvient pas comment on en ai arrivé la, c'est marrant. La gueule de bois un peu moins néanmoins. Heureusement avec ce qu'elle avait bu, elle pourrait se souvenir de ce qu'elle avait dit au jeune homme, de leur pacte et de son prénom. Elle pourra se souvenir aussi du fait qu'elle lui a parlé de son ancienne relation et de cette petite question qui lui serra le coeur. Elle vidait alors le fond de son cocktail, jouant avec sa paille. « Oui divorcée, je me suis mariée à mes dix-huit ans, mon mari avait douze ans de plus que moi. Et j'ai eu l'impression d'étouffer dans mon couple, de m'être mariée trop jeune, alors j'ai rencontré quelqu'un d'autre, on a fait ce qu'on avait à faire et mon mari l'a appris lors du Spring Break dernier... Mais cette personne est en couple désormais, donc ça ne sert plus à rien. Je n'ai plus de compte à rendre à personne » Son coeur est serré et elle se change les idées, en déposant ses lèvres sur celles du jeune homme après lui avoir demandé de se taire. Elle n'était plus la jeune fille prude d'avant. Elle n'avait plus peur de la réaction des gens. Puis sa petite rélexion semblait déplacée et elle grimaçait en se rendant compte de sa connerie. Depuis quand, on dit à quelqu'un qu'on vient d'embrasser qu'il ne pue pas de la gueule ? Tu lui dis pas non plus quand il pue de la gueule en mode kebab oignon sauce blanche « Bon ça va alors, j'avais peur d'avoir une haleine d'alcoolique dégueulasse. » Elle riait avant de commander une nouvelle boisson, non alcoolisée cette fois. « Désolée de t'avoir embrasser. Enfin j'veux dire, j'aurais peut-être dû te demander avant... Quoique, je sais pas. Excuse moi. &Cependant, elle gardait la main du jeune homme dans la sienne, la serrant doucement. V'la qu'elle s'excuse maintenant, elle creuse pour trouver jusqu'où sa connerie va, et faut croire qu'il faut qu'elle creuse encore.
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sa flèche, je sais où elle va finir
Solveig fit l’historique de son mariage – ou de son divorce – apparemment parvenu il y a peu de temps. C’est vrai que ça surprenait Cody d’imaginer qu’une fille au visage si juvénile ait pu avoir une première vie à seulement vingt et quelques années. Bon, Cody ne jugeait pas ; lui, il était papa d’une fille qui approchait de ses cinq ans. Et oui, on ne le dirait pas comme ça quand il portait le costume du pilier de bar, de l’ivrogne qui se confiait sur ses déboires amoureux à la première rousse aux yeux rieurs qui lui adressait la parole, mais siiiiii, d’une de ses pas nombreuses copulations avec la gente féminine était une gamine. Enfin un bébé quoi. Mais bien que complètement saoul, il épargna cette partie de sa vie à Solveig, craignant qu’elle ne vienne le juger. Même si elle était plutôt mal placée. « On est quand même super heureux quand on n’a de compte à rendre à personne. » avoua Bleeker en faisant clinquer son verre contre celui de Solveig. Du moins, à court-terme, Cody trouvait ça cool ce sentiment de liberté. A long-terme, c’était usant. Grisant. Puis vint l’épisode du baiser, qui surprit le jeune homme en même temps que ça lui plut. Non mais c’est vrai, vous savez combien de filles se sont dites un jour ’allez yoloooo je vais embrasser Cody Bleeker même si c’est un handicapé de l’amour et qu’il risque de penser que je le veux ?’ ben pas beaucoup, à part ses ex mais elles étaient toutes un peu maso. Il a toujours pensé qu’on devait être maso pour s’attacher à lui. « Je suis content que le voyage t’ait plus alors, tu vas pouvoir le recommander à tes amies. » s’esclaffa-t-il, pas franchement sérieux sur ce coup. Quoiqu'on devrait faire un club Med des plan-cul avec des forfaits 'découvertes'. Et puis elle s’excusa. S’excuser de quoi ? Cody lâcha machinalement sa main et posa les siennes sur chacun de ses poignets, la contraignant à le regarder droit dans les yeux. « Non, nooon, dis pas ça, faut pas me demander, faut de la surprise de la vie, faut avoir du cul ! Et t’en as ! Enfin mentalement du cul, pas physiquement, je suis sûr que ton cul il est très bien en vrai. Là, on voit rien à cause de l’obscurité mais il doit être très bien. » Lui aussi, il s’enfonçait. « Et regarde, maintenant on est quitte. » Et sans lui laisser le temps de concevoir ce qui allait se passer, il approcha rapidement son visage du sien pour tenter de l’embrasser. Je dis bien ’tenter’ parce qu’effectivement, son front s’écrasa contre le sien et une vive douleur émana de son crâne. « Ouuuch, je crois que nos ex essayent de nous faire passer un message. » Ou juste que Cody était trop bourré pour évaluer les distances et embrasser une fille correctement. Possible aussi.
Martin Solveig
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Cupidon se fout de notre gueule
La jeune fille pouvait sentir son coeur faire des drôles de trucs quand elle parlait de son divorce, après tout elle n'en parlait pas parce que moins on en parle, moins on y pense. Alors que la, c'est tout le contraire. Elle en parle, alors elle ressasse, mais elle n'épilogue pas sur cette histoire, ça ne sert à rien. Le passé est passé comme dirait notre amie la blonde qui chante à te foutre la chanson dans la tête pendant des journées durant. Lui, semblait heureux, apaisé ou elle ne savait pas comment le décrire quand elle l'avait vu s'asseoir près d'elle, bon au premiers abords il était très bourré mais après, quand elle a cassé sa coquille, elle se rendit compte qu'il était un garçon vraiment adorable et que son ex avait eu tort de le quitter pour des lamas, les lamas ça crache. Après avoir trinqué avec le jeune brun, Solveig rétorqua « Oui j'avoue, on est bien mieux. Team handicapé sentimentaux ! » Elle rit alors avant l'épisode wtf, elle l'embrasse, elle s'excuse. Comme une adolescente de treize ans pré-pubère qui se demande si elle a bien fait d'embrasser ce garçon alors que ça se voit qu'il se fout de sa gueule, elle s'excuse comme une débile. « Oh ba non... je les recommanderais pas... je serais jalouse de les voir tourner près de toi... » Petite blague pour lui faire comprendre à quel point elle pouvait être pénible et qu'il ferait mieux de partir, partir très loin et ne jamais revenir. Mais son sourire trahissait son sérieux. Elle ne pouvait pas être sérieuse dans un moment pareil. « On m'a souvent dit que j'avais de belles fesses, bon je te ferais pas vérifier ici, mais si un jour tu me rappelles peut-être que tu me verras en plein jour, et j'éviterais de t'embrasser pour arrêter de t'embarasser parce que bon, t'as l'air un peu perturbé coco. » Oui, vraiment perturbé quand elle l'entend lui dire qu'ils sont quittes avant de sentir un coup contre sa tête. Elle pose alors une main sur sa tête avant de fermer les yeux. Heureusement qu'il ne voulait pas y mettre tout son coeur, elle serait tombé dans les pommes. Elle se frotte le front énergiquement pour faire passer son mal de tête puis elle grimace « J'aimerais bien qu'il ne me fasse pas passer de messages, j'en ai rien à faire. Enfin si, mais non. Laisse moi voir si t'as une bosse » De ses mains expertes, elle passait ses doigts froids et fins sur son front, aucune bosse à l'horizon. Mais elle voulait le taquiner « MON DIEU, TU AS UNE SECONDE TETE QUI POUSSE. » Et la, elle se mit à imaginer Bleeker avec une tête en plus, alors un c'est déjà compliqué, mais deux, tous aux abris. « Tu veux qu'on sorte ? » Elle avait chaud, l'alcool n'arrangeant rien, elle serait bien sortie cinq minutes, voir retourner dans son chalet, mais la compagnie du jeune homme était bien trop plaisante.
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sa flèche, je sais où elle va finir
La team handicapés sentimentaux accueillait deux nouveaux membres, youhouuuu. C’est avec grand plaisir que Cody y adhérait, il a toujours su qu’il aurait une place de choix là-dedans, peut-être même qu’il devrait candidater pour devenir président, vues toutes les merdes qu’il accumulait même sans le vouloir. En tout cas, il remerciait secrètement Solveig d’être présente avec lui ce soir. Elle était drôle et apportait une certaine bienveillance à sa soirée. Au moins, il était certain de ne pas finir raide mort dans un caniveau – ou en plein milieu du Grand Canyon en steak pour coyote. Elle veillerait sur lui, puis elle était trop mignonne avec lui. Comme quand elle blaguait en disant qu’elle serait jalouse que ses copines lui tournent autour. Oooooh. « Arrête, tu pourrais tomber amoureuse. » ça ne serait pas la première à craquer pour le charme légendaire de Cody Bleeker, enfin peut-être que si, presque. Bref on s’en fout, ils étaient trop ivres pour tomber amoureux en fait. Il fallait un certain degré de sobriété, degré que Cody n’avait définitivement pas, à en juger par les discours tenus au sujet des fesses de Solveig. « Ah oui non, ne m’embrasse pas en plein jour. Parce que la vue de tes fesses + tes lèvres sur les miennes, moi je vais défaillir. Faut qu’on s’arrête là. » s’amusa-t-il, riant de bon cœur. Toutefois, pensant retirer un minimum de la ’gêne’ encourue suite au baiser improvisé de la rousse – bien que Cody ne soit pas gêné, il avait plutôt bien kiffé – ce dernier tenta de l’embrasser à son tour par surprise. La surprise fut telle qu’ils manquèrent de peu de finir à l’hosto pour traumatisme crânien. Boulet commence par un B et Bleeker aussi. Coïncidence ? Je ne croooouas pas. « AAAAAAAH ! C’est mon jumeau maléfique ! » s’écria Cody avant de poser ses mains à l’endroit où la douleur était vive, comme pour essayer d’enfoncer la tête de Cody 2. Vainement. « Ouais, je crois qu’un peu d’air frais nous fera du bien. » Les vapeurs de l’alcool et le boum-boum des enceintes du DJ, additionnés à la collision entre leurs têtes, donnaient à Cody une profonde envie de prendre l’air. Il descendit de son siège – non sans peine – puis passa son bras autour des épaules de Solveig. C’était plus parce qu’il avait besoin d’une ‘béquille’ qui marchait droit, puisque lui, il ne marchait définitivement pas droit. Une fois à l’extérieur, il avoua ; « Je pense que je vais avoir besoin de toi pour trouver le camping. Et pour trouver ma tente. Et pour trouver mon lit. Mon dieu, c’est quoi le numéro de ma tente déjà ? » Il ferma les yeux, tentant de rassembler et d’activer le peu de matière grise qui lui restait.  
Martin Solveig
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Cupidon se fout de notre gueule
Si Solveig devait être dans e club des handicapés sentimentaux, elle aurait la carte gold, et visiblement son interlocuteur aussi. Elle se demandait intérieurement si elle n'avait pas été la ce qu'il aurait fait, parce qu'en discutant avec lui, elle s'était rendu compte qu'il s'était arrêté de boire. Ou au moins, il n'enchaînait pas les verres du tac au tac. Elle pourrait tomber amoureuse... Cette phrase la fit sourire puis elle enchaina « Tu sais, j'suis plus prête à tomber amoureuse, j'veux dire, j'attend que ça arrive comme ça, j'provoque rien. J'ai fais assez de dégâts comme ça. » Même si elle déteste les vaccins, elle était vaccinée pour le reste de sa vie, quoique. Peut-être qu'elle retrouvera quelqu'un un jour et que ce quelqu'un sera bien mieux pour elle. Quand on observait Solveig de loin, on pouvait voir qu'elle était saoule parce qu'elle riait tout le temps. Et surtout, elle parlait de ses fesses, le sujet le plus tabou du monde, enfin de son monde. Pas celui où elle croit que tout est beau, tout est joli, l'autre qui est rempli de connards finis tout ça tout ça. « Il faudra qu'on rencontre ton ex en soirée quand il fait nui alors, je veux pas que tu me fasses une crise cardiaque, ça la foutrait mal je crois. Comme un ornithorynque dans le désert du Sahara. » Tout ce qu'elle ressentait au plus profond d'elle, s'envolait au fur et à mesure que la soirée se passait. Elle n'avait plus peur de parler à quelqu'un d'inconnu, elle n'avait plus peur de rien. A part de la gueule de bois et de l'élephant qui joue a Just Dance dans son crâne mais c'est autre chose. Ou alors d'avoir une bosse en plein milieu du front avec la tentative avortée de baiser. Elle tentait de l'apaiser, de le rassurer alors qu'il manquait de péter un cable avec la douleur, et il acceptait finalement d'aller dehors. Bon, il faudra un petit moment pour y aller vu comment il avait du mal à marcher, Solveig n'était pas encore complétement torchée mais elle n'avançait tout de même pas droit. Solveig déposa deux billets pour payer les consommations qu'il venait de consommer et se dirigeait dehors tentant de zigzaguer entre les personnes saouls avec un Cody bourré contre son épaule, elle y parvenait non sans mal, mais elle était tout de même fière d'elle. Il semblait affolé, de ne pas savoir le numéro de sa tente et la rousse ne savait pas quoi faire. Elle réfléchissait avant de claquer des doigts en mode Einstein « Au pire, tu viens dormir dans ma caravane, j'ai de la place, et promis je te dépècerais pas, je dormirais même sur le canapé. Puis, de toutes façons c'est pas négociable, je suis ton ange gardien de la soirée, Joséphine en plus grande. » Elle regarde alors à droite puis à gauche et prend le bras de son ami avant de partir direction les caravanes. Elle n'est pas prête d'oublier cette soirée, elle n'avait même pas prévenu Maxwell, mais peu importe, elle ne ramenait jamais personne dans sa caravane, il faut bien une première fois à tout.
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sa flèche, je sais où elle va finir
Alors comme ça, les ornithorynques faisaient des crises cardiaques dans le désert. Fascinant. Cody Bleeker avait toujours été fasciné par ces animaux, genre un bec de canard sur un corps de marmotte. Au début, il pensait que c’était un animal sorti tout droit des studios Pixar. Après tout, Sid dans Toy Story s’est découvert une vocation de chirurgien pour jouets, le genre à monter le corps d’une mouche en plastique sur les gambettes de Barbie. Donc ouais, l’ornithorynque le fascinait. Si bien qu’il en oublia totalement ce que racontait Solveig, se concentrant sur le mammifère ; « Si j’adopte un orni…tho…ornitho…ahahahahahahaha si je l’adopte, faut pas que j’aille avec lui en Tunisie. Merde, y avait une offre sympa, Club Med, tout compris, zumba tous les soirs, soirée tongues etc etc … Mais si j’amène un ornithorynque, je vais devoir aussi investir dans un frigo portatif. Du coup l’offre ne sera plus du tout intéressante car j’aurais des frais supplémentaires. Mmmh … » Et là, tu sens quand même l’étudiant en économie qui parle quoi, il pensait à tout, à son club Med, son ornithorynque de compagnie, son frigo, ahalalalalaaaaa … Trop de pensées d’un coup, si bien qu’ils arrivèrent à l’extérieur plus vite que prévu. Cody paniqua d’avoir oublié où il vivait, heureusement que Solveig trouva vite une solution. « Cool alors ! J’accepte si j’ai une chance de rester entier. Par contre, si l’envie de dépecer quelqu’un te prend quand même, attaque-toi à mes ongles de pieds. Je les ai pas coupés depuis un moment. » C’était le moment glamour du jour bonjouuuuur. Donc c’est non sans difficulté qu’ils parvinrent jusqu’au camping des caravanes. En se tenant à toutes les poignées possibles de la caravane, Cody se hissa à l’intérieur et tomba raide sur le lit le plus proche, sans se demander s’il appartenait à Solveig ou pas. Il retira ses chaussures à l’aide de ses pieds, l’une puis l’autre, et tourna sur le dos. Oh mon dieuuu, sa tête tournait, il n’arriverait jamais à dormir maintenant dans ces conditions. « J’espère que tu ne m’as pas ramené ici pour qu’on couche ensemble. Non pas que j’ai pas envie, au contraire, mais là je pense pas que j’aurais assez de souplesse pour faire les positions acrobatiques que je faisais autrefois. Je te jure, j’avais le cirque Pinder sous ma couette. Ce soir, ça serait plus la version hot du jour du Seigneur. » Confessions intimes. Il pouffa de rire tout seul, passant ses deux mains sur son visage.    
Martin Solveig
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Cupidon se fout de notre gueule
Solveig ne se doutait pas qu'un ornithorynque ferait autant rire Bleeker, en même temps, il est saoul. Alors forcément un ornithorynque ça fait rire. Enfin sa réaction était la plus marrante. Comment est-ce que quelqu'un peut se mettre à rire à ce point en divaguant sur le club med et un ornithorynque ? Non mais franchement, Solveig n'avait jamais vu ça et c'était quand même assez marrant. « Tu crois vraiment qu'un ornithorynque passerait dans l'avion déjà ? » Elle ne pensait pas, sérieusement pas que quelqu'un même des plus normal puisse passer à l'aéroport avec une de ces petites bêtes. Mais bon, s'il voulait penser que c'était possible qu'il le fasse elle ne l'en empêcherait pas. Tout comme elle ne l'empêcherait pas de dormir sur le canapé s'il le voulait. Mais elle ne pensait pas qu'il le ferait vu qu'il est saoul, il pourrait même dormir par terre vu le taux d'alcool qu'il a dans le sang.Dépecer ses ongles de pieds... Non, s'il vous plait non. Solveig ne supporte déjà pas les pieds d'un inconnu avec les ongles longs. NO WAY. Impossible. « L'état de tes pieds ne m'intéressent pas vraiment... Déjà que j'aime pas les pieds alors... » Elle se met alors à grimacer et le regarde galérer à marcher entre chaque caravane avant qu'elle n'ouvre la porte de celle qui lui a été désigné. Elle lui ouvre alors la porte et elle n'a même pas le temps de lui dire de rentrer qu'elle le voit monter dans sa caravane. Elle ne le guide même pas qu'il trouve son lit. En même temps, les deux autres portes étaient fermées alors forcément c'est que c'était forcément la sienne. Enfin, ça aurait pu être la caravane de quelqu'un d'autre mais peu importe, c'était elle qui avait ouvert la porte. Elle s'installait à côté de lui et le regardait allongé en mode étoile de mer dans le lit. Heureusement que le canapé était confortable. « Hum, non, je ne veux pas qu'on couche ensemble. Enfin j'veux pas dire que tu m'attires pas hein ! Mais je dis pas que tu m'attires non plus, mais je n'ai pas prévu que nous couchions ensemble ce soir, j'abuserais de toi et je ne suis pas du genre à coucher le premier soir. Surtout dans ces conditions, enfin j'veux dire... » Elle passait ses mains sur sa tête et fermait les yeux. « Maintenant c'est moi qui parle trop, je devrais peut-être te laisser dormir... » Elle soupirait, gênée. Voilà, Solveig Blackbird reprenait le flambeau en mode nana qui parle tout le temps. Elle grimaçait alors, gênée. Elle se sentait pathétique mais peut-être qu'il ne s'en rendrait pas compte parce qu'il était saoul, ce serait le principal.
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