Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEmrys ▬ I can't believe what i did for us - Page 2
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Emrys ▬ I can't believe what i did for us

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Alors que ça avait preessssquuueeee bien commencer ; ça y est, on était prêt à recommencer à se prendre la tête. C'était exactement ce que je ne voulais pas , ce que je redoutais, je ne voulais pas retomber dans un éternel combat , une éternelle lutte entre nous. Je ne supportais pas qu'il ne supporte pas (c'est clair ça ?) que j'ose imaginer qu'il ne veuille pas faire partie de la vie de notre fils , que j'ose imaginer ce qui pouvait bien se passer dans sa tête à ce moment précis , sous prétexte que je ne le connaissais plus. Il pouvait me reprocher beaucoup de choses, oui beaucoup de choses mais pas ça ! Pas ça ! Fallait le dire qu'on avait atterri dans le pays des bisounours, dans un pays où on n'avait plus le droit d'imaginer le pire , plus le droit d'être pessimiste sur la nature de l'homme. La prochaine fois , je serais plus cash, plus directe , je ne prendrais aucune pincette, je ne chercherais même pas à être compréhensive ou empathique. Il avait beau prétendre qu'il avait toujours eu confiance en moi mais malheureusement pas moi ! «C'est bien ça le problème, je te connais plus.» répliquais-je à mon tour spontanément un peu sèchement, me sentant un peu piquée au vif moi aussi. Il existe un pays nommé passiva agressiva et j'en suis la reine. C'est vrai, j'assume. Et pourtant, je prenais sur moi faisant des efforts, la présence de Liham dans mes bras changeait tout à ma perception des choses, à mes réactions. Si il fallait qu'on se prenne la tête, oui mais certainement pas devant lui. « Et pourquoi j'aurais pas le droit de le penser ? Tu peux pas me le reprocher.» me défendais-je moins sèchement, me sentant obligée de me justifier une nouvelle fois. Après tout , pourquoi ce ne serait qu'à moi de se mettre à sa place ? Ça pouvait aller dans les deux sens non ? N'importe quelle femme qui annonce une telle nouvelle à n'importe quel homme dans ces conditions serait tout à fait légitime à penser une telle chose. Dans un soupir après avoir laissé passer un silence et le froid, je repris plus calmement : «C'est vraiment ce que tu veux ? » Je parlais évidemment de faire partie de sa vie, j'insistais bien sur le terme vraiment.
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Je n'aimais pas qu'on se prenne le choux pourtant ça recommençait comme dans le passé mais elle l'avait cherché aussi. Je n'aime pas qu'on me juge surtout depuis tous ce qui m'ait arrivé et que j'ai changé. Tu ne me connais plus parce que quand on a commencé à devenir ami tu es parti aussi ma chère ... dis-je d'un sourire narquois qui accompagné toute mon ironie, mon rire jaune. Je n'aimais pas qu'on me mette sans cesse fautif dans toute situation. Je m'occupais pourtant de regarder l'enfant qui était si mignon, si beau, je me sentais tellement fier de me dire qu'il était de moi mais je changeais complètement en voyant l'heure, en pensant à Charlie et au fait que j'étais sorti depuis un moment qu'il allait s'inquiéter mais ce n'était rien à coté de cette nouvelle. Je ne voulais plus répondre ensuite parce que ça me vexait carrément mais néanmoins; je compris que je devais savoir aussi me taire, la laisser penser au vue de ce que j'avais fait avant mais là, je l'ai surprise. Du coup, elle a changé directement comme si elle s'attendait pas du tout à ce que je me montre vraiment adulte. Je souriais et lui répondait ; ouais... je le voudrais! je suis adulte aussi étonnement que cela puisse paraitre, je me sis jamais senti aussi prete à avoir un enfant et je l'aime déjà... je le sens ... dis-je restant pourtant sec au vue de ses réactions que je ne pouvais oublier.
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Quand il osa me sortir que c'était de ma faute si je ne le connaissais plus parce que j'étais partie, je lui lançais un de ces regards noirs l'air de dire c'est pas un facile ça comme attaque ; take off le sourire narquois et tout l'ensemble tout de suite ... Si j'étais partie, c'est parce que j'avais mes raisons. Et si on commençait à remonter la chaine de qui est responsable de quoi , ça pourrait encore durer un temps cet échange. Je n'appréciais pas cette nouvelle attaque et pourtant, je ne répliquais pas. Calme le jeu, prends sur toi me répétais-je dans ma tête. Puisque nous étions adultes, comme nous le prétendions tous les deux. J'avais beau en apparence ne pas être la fille la plus accueillante possible ou justement être la fille la plus froide possible ; au fond de moi toutes ces paroles me touchaient, j'y étais plus sensible que je ne le laissais paraître. Alors oui, quand il me faisait des reproches, cela me touchait en mal mais quand il disait qu'il voulait faire partie de sa vie, qu'il l'aimait déjà , qu'il le sentait ; bien sûr que je n'y étais pas indifférente ou insensible ... Je posa longuement mon regard de mère sur l'enfant blond, ce regard doux et bienveillant dont la vision de ce petit être parvenait à me faire sourire tendrement et me donnait force et courage. « Tu veux le prendre dans tes bras ? » demandais-je alors que je passais une main dans les cheveux blonds de notre fils mais n'adressant même pas un regard dans la direction d'Emrys. C'était contrastant de voir à quel point que je pouvais être aussi douce et si froide en même temps. Mais, vu comment il me parlait , je n'allais pas lui accorder mon plus beau sourire non plus.
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Je n'étais pas très sympathique non plus mais je refusais de me prendre toute la froideur dans la figure tout cela parce qu'elle voulait a tout prix avoir raison. J'avais beau le comprendre, j'avais beau essayer de la comprendre, c'était pas possible de tout prendre en pleine figure. Je regardais l'enfant qu'elle tenait entre ses bras, notre enfant a vrai dire et j'étais tellement nostalgique. J'imaginais presque comment tout se serait passé si on n'était encore ensemble ; une petite famille quoique je pense que ce n'était pas ça mon bonheur mais m'occuper de cet enfant, oui. Elle me regardait d'abord énervée surement à cause de mes mots mais dans notre fort silence, tout évolua. Je passais ma main sur mon menton, le tapotant. Je n'osais pas demander pour le prendre, approcher mon enfant ; c'était surement trop tôt pourtant elle brisa quelques temps plus tard, le silence afin de me proposer de le prendre et j'écarquillais les yeux, bien grand, surpris de sa proposition. Lilia ne me regarda pourtant pas ce que je trouvais blessant ; lui faisais-je peur ? Je me contentais donc d’acquiescer positivement puis j’ajoutais, au vue de son regard tourné vers le sol, quelques mots : Bien sur que je veux ! D'une voix tout excitée. J'attrapais donc le bambin d'une façon très bonne ce qui ne pouvait qu'étonné mais me rappelait uniquement mon role, enfant, lorsque je m'occupais de mes plus jeunes frères et sœurs. J'avais de l'expérience. J'admirais l'enfant et dans un soupire, je repris ; Il est si beau ... il a tes yeux mais le meme air malicieux que moi !
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Non, non , non , si je ne le regardais pas, ce n'était pas de la peur. Simplement ma réaction de défense quand je me sentais blessée. Et encore, il avait de la chance que je ne me murais pas dans le silence. Non car au lieu de ça aussi bonne que j'étais , je lui proposais de prendre son fils dans ses bras. Ouais, c'était surprenant, je sais ! Mais c'était ça, la maturité , savoir faire la part des choses non ? Sans opposer de résistance, je le laissais donc prendre notre petit garçon dans ses bras. Je ne doutais pas qu'il savait s'y prendre avec un enfant ; je n'avais pas oublié que nous avions ce point commun d'être l'ainé d'une fratrie. Les mains posées sur les hanches, j'observais avec attention mais en silence la scène qui se déroulait face à moi , telle une lionne qui veille sur ses petits. Oui, ça faisait très petite famille ! Je ne pus m'empêcher d'imaginer l'instant d'une seconde ce que cela aurait donné si nous étions toujours ensemble. Les choses auraient-elles été différentes ? Les choses auraient-elles été plus simples ? D'ailleurs, serions toujours ensemble ? Les réponses s'imposaient d'elles-même la seconde d'après dans ma tête : bien sûr que non, nous n'étions pas faits pour être ensemble , on ne lutte pas contre le destin. Notre destin serait d'être une famille moderne, des parents séparés mais unis pour faire le bien de leur enfant. Ses paroles me firent sortir de mes pensées « et si ... » , je levais alors le regard dans leur direction et parvenais même à esquisser un timide sourire en l'entendant décrire notre enfant; acquiesçant légèrement à ses paroles. Oui, il était malicieux et beau , surtout dans sa petite tenue baby dior du jour (c'est un Caldeira, on se refait pas) : « Il l'est ! Il a de très bons gênes. » Et je ne vantais pas seulement l'héritage génétique reçu du côté de ma famille. «  Il est un peu timide au début quand il ne connait pas les personnes mais c'est un ange, même si il a déjà son petit caractère , très joueur, câlin et malin, très malin » Oui, cette description élogieuse n'était pas du tout objective mais comme toutes les mères, comment ne pas être attendrie devant sa progéniture ?!
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Je me sentais totalement perdu. Je ne savais pas quoi ressentir envers ce petit bout en fait. C'était super compliqué ! Je me sentais heureux d'avoir une descendance, de la rencontrer mais j'en voulais à Lilia de m'avoir rien dit avant me mettant à présent dans une situation mauvaise : je devais le dire à Charlie, je devais rattraper les un ans de perdu ! Je souriais face à ces réflexions sur les gênes mais aussi, les discussions autour de son caractère : ce petit me plaisait déjà. Je me doute ... vu ma famille aussi, il pouvait qu’être réussi vu ses parents ! Dis-je en essayant de jouer le vantard pour la faire rire comme avant mais je doutais que cela marche. Je ne fis ensuite qu’acquiescer et je me permis suite à ces petites piques d'évoquer un point qui me chiffonnait néanmoins. J'avais beau connaitre mes tords, je n'appréciais pas certains points et je ne comptais pas la fermer. Pourtant, je me trouvais las et je n'arrivais pas à entrer en guerre pour savoir les raisons de son silence pendant un an. Je préférais ne rien dire, après tout, c'était fait et je lui avais bien fait du mal alors ne remuons pas la merde ainsi. Je m'approchais de l'enfant pour toucher sa tête et j'eus un large sourire. J'espère que tu me laisseras le voir, faire parti de sa vie.. dis-je en me connectant à son regard qui me faisait perdre la tete.
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Oui, bien sûr que l'entendre vanter les qualités de notre enfant et dire qu'il ne pouvait qu'être réussi vu ses parents , cela me faisait sourire , voire même plaisir ... mais intérieurement seulement. Car en apparence, je restais de marbre cherchant à masquer mes pensées et mes réactions spontanées , les vraies, les sincères. Nous n'étions plus comme avant. Mais, comme souvent, le bleu de mon regard finissait par me trahir et laisser dévoiler mes pensées, mes sentiments, mes émotions. Mais, je ne pouvais pas, c'était plus fort que moi. Comment pouvais-je ne pas être d'accord avec ses propos , cet enfant étant ma fierté , ma plus belle réussite ? Surtout moi qui avait vu grandir notre fils jour après jour et qui l'avait élevé. Chaque jour depuis sa naissance, ce genre de pensées m'avait effleurée l'esprit , me demandant de qui de nous deux il tenait tel ou tel trait de sa personnalité , de son caractère , de son physique ... Je levais la tête dans sa direction lorsque Emrys évoqua le souhait de laisser voir notre enfant et de faire partie de sa vie. Au fond de moi, ce n'était pas comme si je ne voulais pas exaucer ses souhaits ; c'était sans doute même ce que je souhaitais moi aussi pour le bien de notre enfant. Surtout après avoir observé cette scène entre un père et son fils. Mais, je voulais aussi laisser du temps et ne pas réagir sous l'émotion , sans savoir si je pouvais à nouveau lui faire confiance. J'eus un petit sourire timide, suivi d'un léger hochement de tête en guise de réponse, libre à chacun de l'interpréter comme il le souhaite. « On verra. Je suis désolée , on doit rentrer » prononçais-je désolée , un peu timidement, me sentant affreuse d'interrompre ce moment ,d'être une fois de plus la méchante, je culpabilisais déjà.
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