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Skyler ► Crazy bitch !

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J’avais passé la nuit dernière à envoyer des sms à Skyler. Des messages où je disais que je voulais l’étrangler et que j’étais bien sérieux dans mes propos. Mais après ça, je l’avais mise de côté pour dormir dans les bras de Phoebe. Enfin ouais, on n’avait pas tellement parlé. Mais je ne voulais pas en faire un dessin. Au réveil, elle avait déjà pris ses affaires et s’en était allée sans dire un mot. Je ne me souvenais pas de tout. Je me souvenais de l’eau froide et de cette nuit chaude dans la tente, mais rien de plus. Alors heureusement qu’elle avait pris ses jambes à son cou après ça, car la conversation aurait été très étrange. Un grand blanc se serait installé entre nous. J’avais donc pris un certain temps pour émerger, me remettre de tout ça. J’avais d’ailleurs passé ce laps de temps sous la douche, histoire de me réveiller et de me décrasser par la même occasion. J’avais des flashs des sms et même de la photo que j’avais envoyée à Skyler. Mais également des flashs de la soirée que j’avais passée avec Phoebe. Comment on en était arrivé à se croiser et à se parler hier soir. Un bordel sans nom. Mais je ne voulais rien oublier. Vraiment rien, hormis Skyler et Nayla qui m’avait fait énormément de mal. Ces petites garces sont inchangeables. Je voudrais d’ailleurs ne plus jamais entendre parler d’elle. Je savais que pour Nayla, ce serait le cas, qu’elle était partie à tout jamais, mais Skyler. Cette fille, je la croisais partout, comme si elle me suivait. Je savais donc que j’étais loin d’en avoir fini avec elle. Et c’était comme si dans le fond, je ne voulais pas que ça s’arrête. J’aimais nos confrontations car à chaque fois que je lui tenais tête, que je me retrouvais face à elle, elle me révélait des choses dont j’ignorais l’existence jusqu’à aujourd’hui. Je passais l’après-midi sur mon matelas, dans ma tente, jusqu’à la tombée de la nuit. Je me levais pour aller prendre quelques boissons dans mon mini-bar. J’enchainais un verre, puis deux, puis trois et ainsi de suite. Jusqu’à me retrouver dans le même état que la veille, la drogue en moins ouais. Je sortais de ce qui serait mon habitat durant les 2 prochains mois et je marchais. Je ne savais pas du tout où j’allais. Et je croisais cette personne. Cette fille tatouée de partout, blonde avec les racines brunes apparentes. J’accélérais le pas en reconnaissant Skyler et je la bousculais violemment une fois près d’elle. « P’tain de déchet, reste pas en plein milieu du chemin là ! ». Ouais, je la provoquais un peu. Comment dire, ça me faisait du bien de le faire.
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Comment expliquer ma situation actuelle. Compliqué. Ouais déjà mais après.. Tordu, aussi oui surement. C’est pas normal comme situation quoi. Je suis embrouillé avec mon ex, enceinte de mon autre ex avec qui je continue de coucher comme ci de rien était, j’ai u gosse dabs mon bide dont je veux même pas voir la couleur.. Sérieusement. Je suis la seule à réussir à me foutre dans des draps pareil. Ho et puis j’oubliais. Mon fiancé est mort et enfaîte.. Je m’en fiche. C’est affreux je crois. Affreux d’être arrivée à un point ou je me fiche de tout ce qui m’entoure. Je veux juste vivre ma vie, avancer comme je veux, comme une gamine de seize ans qu’on a poussé à vivre trop vite. J’ai le cul posé sur le rebord du chalet, mon verre d’eau à la main, remplis de glaçons qui me piquent la main tout en me faisant du bien avec cette chaleur infernale. Je fixe le vide. Non je peux pad dire que je fixe l’horizon, comme dans les films. Dire que je matte les cerfs qui courent au loin sur les reliefs de l’Arizona. Non vraiment. J’men fou de tout ça. J’regarde le vide. La ou mes yeux se posent sans chercher à comprendre et à voir ce qu’il y a derrière. J’ai fait quelques pas en arrière pour atteindre le frigo pour trouver ma bouteille de vodka. D’la Vodka, rien à foutre. Konrad ne veut pas que j’en boive, mais sérieusement. Rien à foutre. C’est pas ma mère, mon frère, c’est personne à part mon ex.. Quoiqe.. Nan, je sais pas. L’absence de vodka, naaan. Y’en a plus. Saleté de colocataire de chalet. J’aurais du le prendre seul, bordel. J’ai claqué la porte de frigo pour sortir, furax en dehors du chalet pour rejoindre le chemin pour atteindre pour avancer vers l’épicerie un peu plus haut. Une bouteille d’eau à moitié remplis dans la main. J’en prends une gorgée en me retournant sur mon passage avant de me faire bousculer violemment par l’avant. Je redresse ma tête pour devant un métisse aux yeux de tombeurs. La bouche encore pleine d’eau, ma bouteille qui est entrain de se vider au sol. Je me redresse vers William pour lui recracher le contenu de ma bouche à la gueule. Fais gaffe connard. Les déchets ca tâchent. Je lui donne un nouveau coup d’épaule suivit d’un regard sinistre, noir, sombre, tout ce que tu veux qui puisse décrire de la méchanceté à l’état pur. Je fais quelques pas en avant pour continuer mon chemin.
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Elle venait de me cracher le contenu de sa bouche à la figure. Comment dire ? Depuis qu’elle m’avait rejeté malgré tout ce que je lui avais dit, tout ce que j’avais fait pour lui prouver que j’étais différent, ça c’était la goutte de trop. « Ouais ça pour me tâcher, tu m’as bien tâché. T’es même pas une ordure, t’es une… ». Je m’approchais d’elle pour passer une main à l’arrière de sa nuque. Ma bouche puait l’alcool et la sienne… Je n’en savais rien parce que je ne sentais que l’odeur de la mienne. Je parlais à quelques millimètre de son visage pour qu’il n’y ait qu’elle qui m’entende. « T’es qu’une traînée, t’en as toujours été une ! Une traînée qui dit oui à tout, à tous les hommes aussi ! Et je te jure que s’il y avait pas autant de témoins là, j’aurai déjà bien serré ton cou jusqu’à ce que tu vires au bleu, jusqu’à ce que tu manques d’oxygène ! ». Il fallait vraiment que j’arrête de boire. Mais non, je n’y arrivais pas. Nayla était partie, Skyler se jouait clairement de moi. Elle se foutait de moi, ouvertement, alors non. Jusqu’ici, la seule qui ne m’avait pas fait de mal, c’était ma bouteille d’alcool, alors merde, que tous les coincés du cul qui se permettaient de me juger aillent se voir. Je reculais, titubant, manquant de tomber au sol. Je fixais son ventre, son ventre arrondis. Je ne pus m’empêcher de rire en imaginant à quoi il ressemblerait. Un mélange de Skyler et Konrad. Le mélange entre une traînée au féminin et une traînée au masculin. Un alien tatoué de partout avec une mentalité à dormir debout. J’en pleurais de rire. Putain mais pauvre gosse quoi ! « Konrad… Toi… Parents ! C’est la meilleure de l’année tu trouves pas ? ». En réalité, je méprisais Konrad de me prendre Skyler, de salir la femme que j’aimais. Je le méprisais car il ne la méritait pas et que cette petite idiote continuait pourtant de lui courir après, de lui sauter et de se faire sauter par ce mec. Je ne comprenais pas son délire. Je ne comprenais le délire d’aucun des deux pour être honnête. Et ça m’énervait. J’arrêtais de rire sur le coup. Je ne voyais que la tête de cet ancien Mather. Je les imaginais tous les deux dans le même lit et j’en devenais fou. Littéralement fou.
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Lui cracher ç la gueule, qu’elle satisfaction. Surtout en repensant à ce dernier soir où il m’avait traité de pute et que sais-je dans la rue, derrière le bar. Après que je lui ai dit les autres vérités que je pouvais ressentir par rapport à lui. Il m’a rejeté. Vraiment, violement même si c’était que verbalement.  J’étais mal, je lui en voulais. Dans un premier temps, tout ce que je voulais c’était me tuer, je m’en voulais, je pensais qu’il avait raisons puis je me suis ramenée à la raison. Je voulais le tuer, lui, toute sa vie. Me venger de tout ce qu’il m’a fait, à commencé par m’avoir fait tomber amoureuse de lui. C’est peut être le pire dans tous les malheurs qu’il m’a causé. Ouais ça pour me tâcher, tu m’as bien tâché. T’es même pas une ordure, t’es une… Il m’a attrapé derrière la nuque pour me rapprocher de lui. Je ne bouge pas , je ne dis rien à part maintenant mon visage dure et neutre. T’es qu’une traînée, t’en as toujours été une ! Une traînée qui dit oui à tout, à tous les hommes aussi ! Et je te jure que s’il y avait pas autant de témoins là, j’aurai déjà bien serré ton cou jusqu’à ce que tu vires au bleu, jusqu’à ce que tu manques d’oxygène ! Mes yeux bleurs/verts fixent les siens tout aussi clairs que les miens. Ma voix se fait dure, agressive et même sûre. J’ai confiance en moi. J’ai vraiment pas peur de lui. Peut être parce que comme il dit, on est en public, la tout de suite ?  Mais vas y qu’est ce que t’attends pauvre lâche. T’as jamais été capable de finir le travail que t’entamais. Tue la trainée que je suis, pauvre merde ! Je l’ai repoussé d’un geste assez vif et violent en le poussant, mes mains sur son torse. Je me recule de quelques centimètres pour respirer l’air frais, loin de son haleine pire que merdique. Konrad… Toi… Parents ! C’est la meilleure de l’année tu trouves pas ? La meilleure ouais. Même moi j’ne reviens à peine et franchement je m’enfou. Tu comptes me toucher avec ça ? Ouaaaw. J’sais vraiment pas pourquoi j’avais peur de toi. Ce gosse je le garderais pas. Je sais pas comment je vais faire, mais.. C’est hors de question que moi, j’ai un gosse. Pousses toi d’mon chemin Hudson. Laisse moi retrouver mon quatrième plan cul d’la journée !
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Elle provoquait, comme si elle voulait vraiment finir six pieds sous terre. Je n’étais pas dans mon état normal. J’allai probablement me souvenir d’aucun détail de cette soirée alors, il valait mieux pour elle qu’elle ne me pousse pas à bout car je pourrai ne plus répondre de moi. Je faisais craquer mon cou en penchant ma tête à gauche, puis à droite. Ça faisait du bien d’entendre les craquements. Comme si mon esprit sortait de mon corps ou comme si je m’apprêtais à changer totalement de personnalité, que j’allai devenir une tout autre personne. Pourquoi pas le William du passé. Celui qui se fichait totalement de ce qu’il pourrait lui faire, de ce qu’elle pourrait ressentir après l’avoir brutalement violentée. Je respirais un grand coup après chaque phrase qu’elle disait. « Te tuer serait trop facile pauvre conne ! Te voir souffrir, c’est tellement plus jouissif ! ». C’était d’ailleurs pour cette raison que je ne voulais qu’une chose, l’étrangler. La voir perdre connaissance, perdre tout oxygène, qu’elle ne devienne qu’un corps quasiment inanimé en quête de souffle. « Je tente pas de te toucher pauvre idiote ! J’constate c’est tout ! ». Je roulais des yeux. Mais cette phrase m’avait mis hors de moi. Pousses toi d’mon chemin Hudson. Laisse-moi retrouver mon quatrième plan cul d’la journée ! Elle me bousculait en passant, comme je l’avais fait en la voyant là, devant moi. Je l’attrapais violemment par les cheveux, comme si je voulais lui en arracher une belle petite poignée. « Me dis pas ce genre de chose, me pousse pas ! ARRÊTE OK ?! ». Je la secouais comme un pantin. Ça y est, elle m’avait mis hors de moi. Je ne sais pas pourquoi mais moi, quand je la traitais de trainée, ça passait mieux que quand je l’entendais le faire elle-même. C’était à moi de l’appeler ainsi, pas à elle. Puis, rien que le fait de l’imaginer s’envoyer en l’air avec d’autre, fièrement, comme si elle accomplissait une grande chose, putain, j’y arrivais pas… Je ne pouvais pas me contrôler !
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Le provoquer, le rendre fou, dingue. C’est tellement bon. Il ne sait faire que ça m’insulter, me rabaisser, se mettre au dessus de moi, tout le temps. Il m’insulte de pute de trainée, mais pourquoi ? Dans quel ut ! Explique moi le délire, ton concept pare que j’y comprends rien. Il m’a rejeté après que je sois venue le voir, dans un moment dur de ma vie et il m’a insulté. J’ne pourrais pas lui pardonner ça. Il a sa fierté et j’ai la mienne. Il a bu. Surement beaucoup, ca ce sent, même si moi j’en ai aussi un coup par le casque la tout de suite. J’ai pas bu seulement de l’eau depuis tout à l’heure, faut bien le dire. Ca doit être pour ça que j’arrive à me dresser contre lui, à ne pas avoir peur de lui dans cet état là. Cet été que je connais que trop bien. Son regard sans vie, son attitude de mec dérangé.. Ouais, j’le connais par cœur. Te tuer serait trop facile pauvre conne ! Te voir souffrir, c’est tellement plus jouissif ! Mais oui c’est vrai. J’me rappelle le plaisir que tu prenais avant. Je lui souris. Un sourire pour le rendre dingue. Un sourire pour me monter contre lui. Je tente pas de te toucher pauvre idiote ! J’constate c’est tout ! Ah ouais ? Du coup tu veux quoi ? Une médaille pour voir mon bide et constater sa présence ? Non. La j’ai pas saisie. Tu constates quoi là, en me posant une question en plus. Dérange ce mec. Dérangé. Je le pousse de mon chemin avec une certaine force le laissant sur une phrase qui ne lui plait pas vraiment en vue de mo bond en arrière tirer par les cheveux dont par chance je ne crains pas la douleur. Me dis pas ce genre de chose, me pousse pas ! ARRÊTE OK ?! Yeaaah yeaaah ! Secouez moi Oranginaa ! Il me secoue dans tous les sens en pensant surement que ca e fera réagir. J’ai souris, le sourire machiavélique en passant rapidement mon doigt le long de sa joue juste de face de moi. Je t’en-merde. J’articule bien mes lèvres en le fixant dans ses yeux noirs de colère. Ma main part d’un révère pour venir s’e coller violemment contre sa jour pour une grosse gifle qui a bien claqué si je puis dire. A ce moment je sais pas vraiment si j’ai signé ma mort. Je pourrais juste crier et tut le monde va venir m’aider de toute façons. Position de force.
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Je souriais, fier qu’elle se souvienne de cette époque où je lui en coller des belles afin de la remettre à sa place. Il faut dire qu’elle ne savait jamais où étaient ses limites et je me faisais un malin plaisir de gentiment les lui rappeler. Je la retournais vers moi à l’aide ses cheveux que je tenais dans ma main. Comme dans le film Ratatouille, je la contrôlais grâce à ses cheveux, sauf que là, c’était beaucoup plus violent. « Je suis content que tu te souviennes de la bonne époque où tu savais fermer ta grande bouche… Et tes cuisses par la même occasion ! ». Elle pensait certainement que la voir sourire m’atteindrait. Mais non, elle se trompait lourdement. Justement, plus elle se montrait forte et plus je prendrais un malin plaisir à la rabaisser, à la foutre plus bas que terre. « T’es vraiment trop stupide, ou tu le fais exprès de rien comprendre ! Je constate que merde, les parents de ce pauvre gosse seront Konrad et toi ! Tu piges vraiment rien c’est fou ! ». Un de ses défauts. Le plus grand même. Il fallait toujours tout lui expliquer pour qu’elle comprenne enfin où les gens voulaient en venir. Comme si son cerveau n’était pas équipé de cet outil. Vous savez, la compréhension ? Mais passons. Je ne préférais pas m’attarder sur ce dont Skyler manquait cruellement car je risquais d’y passer la journée. Je la lâchais alors car, il était temps. Je lui avais dit ce que j’avais à dire mais elle se sentit soudainement pousser des ailes. Elle me gifla en m’insultant. Je riais quelques secondes tout en faisant craquer mes doigts. J’étais sur le point de redevenir ce William que je détestais. A mon retour à Cambridge, ma psy allait devoir faire un sacré boulot. « Plus jamais tu me touches de cette façon ! ». Rien à foutre des témoins. Légitime défense, du moment que je ne lui donne pas plus de deux coups, étant donné qu’elle m’en a donné un, je suis dans mon droit, je lui envoie donc mon plus beau crochet du droit dans la gueule. Et merde, ça faisait un bien fou. Je reculais ensuite. Je lui avais pourtant bien dit que la faire souffrir lentement était plus jouissif que lui faire mal d’un coup. Elle aurait dû m’écouter.
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Je suis content que tu te souviennes de la bonne époque où tu savais fermer ta grande bouche… Et tes cuisses par la même occasion ! Ouais. Cette époque où tout ce que je voulais voir c’était mes sentiments aveuglants que j’pouvais avoir. Ce sentiment qu’un jour, il pourrait changer. Qu’un jour il serait le mec que j’avais rencontré le premier jour, la première heure, la première minute où je l’ai vu. Je m’en rappelle tellement en mal de cette époque comme il le dit. Et pourtant c’était pas la pire. C’est plutôt celle de maintenant. Celle où on se croise d’un regard mesquin sans se parler, cette époque où finalement il n’est plus rien qu’un misérable passé à la base. Passé qui revient bien gentiment au futur apparemment. On va dire que celui qui m’les gardait fermées m’a aussi poussé à les ouvrir ! Quand je l’ai quitté, quand j’ai fuit la vérité je n’avais qu’une seule envie : me venger du monde. De tout, de rien, de profiter. C’est bien la raison pour laquelle j’me suis mise à être assez volage. C’est bien lui qui m’a fait fuir non ? C’est bien de sa faute. T’es vraiment trop stupide, ou tu le fais exprès de rien comprendre ! Je constate que merde, les parents de ce pauvre gosse seront Konrad et toi ! Tu piges vraiment rien c’est fou ! Faut dire que pour piger quelque chose la tout de suite c’est hard. J’me fais secouer, agressée, insulté. Vas comprendre une phrase entière là ! Plus jamais tu me touches de cette façon ! God daaaamn it.  Il a osé. Une nouvelle fois ! Son poing sur mon visage. Je fais un mouvement de recul, la tête baissé en avant en essayant de rester stable, parce que merde. C’est un mec, j’suis une nana. Que je veuille l’admettre ou non on n’a pas la même force. Mais ca j’aurais peut être dû m’en rappeler. Un de mes mains tiens mon nez qui est pas au plus haut de sa forme la toute de suite et l’autre main à réussit à s’agripper à un arbre. Je pense même entendre des gens, le peu de gens qui sont autours de nous, s’approcher de la scène. Cet à dire que ouais, c’pas dans le genre commun ce genre de chose. Même interdit pas la loi finalement. Et même mieux. Interdit pas le sens moral d’une personne. Mais ça de toute façons. Il n’en a pas. Une fille vient vers moi pour me demander si ça va, carrément choqué. D’un geste de bras je la repousse. Ouais. Ca va la. Ca ce voit non ? Merde elle est con ou quoi ? J’ai relevé la tête vers William, du sang qui commence à s’écouler de mon nez. Tu t’rappelles qu’on avait dit pas le visage ? J’ai ricané en essuyant mon nez d’un revers de mains. Finalement tu vois. La seule personne qui m’a rendu comme t’oses m’insulter, c’est bien que toi. J’ai la tête qui tourne, vraiment, j’me sens mal. Mal de me retrouver en face de lui comme ça. Mal à la tête, au ventre. J’ai mal partout. J’lui ai craché dessous, sans que mo crachat ne le touche vraiment. Le geste y est. J’lui ai craché dessus. Bah vas y recommence, pourquoi tu te recules ? T’es trop fier de toi pour t’arrêter maintenant. Mais me loupe pas hein. Faut bien que je souffre un minimum quand même non ? Je sais pas trop ce que je fais. Si je le cherche Si je veux juste le faire chier. Lui montrer que non, c‘est plus comme avant. Pourtant j’ai peur. Je sais de quoi il est capable et pourtant je sais pas jusqu’ou il peut aller. Il est bourré. Il est.. Comme avant.
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J’hallucinais. Elle se permettait de me rendre coupable du fait qu’elle ne sache pas fermer ses cuisses face à un homme. Comme si c’était moi qui l’avait rendue ainsi. Non, il ne fallait pas qu’elle pousse trop loin aussi. Je n’étais en rien responsable de ce qu’elle faisait de son vagin, de son intimité. Elle pouvait me reprocher ce qu’elle voulait, absolument tout ce qu’elle voulait, mais ça, je l’interdisais formellement de le faire. « Arrête de te voiler la face ! Si t’aimes offrir ton corps au premier mec qui te complimente, j’y suis pour rien ! T’es malheureusement née ainsi ! ». Il fallait lui mettre les idées en place et je ne voyais pas comment je pouvais le faire autrement. Quoique si, je l’avais fait autrement. En lui foutant mon poing en pleine figure. Je ne le voulais pas, mais je l’avais fait. Je pense que tout le reste avait pris le dessus sur la raison. Comme l’alcool, la colère, ce qu’elle disait. Je ne sais pas mais, c’était comme si elle cherchait à me pousser à bout. Comme si elle c’était dit allez, c’est décidé, je le pousse à bout. Je pourra faire ressortir ses mauvais côtés ! Alors que j’avais tout fait, mais vraiment tout pour changer, pour lui prouver que c’était le cas également. Comme si elle me préférait avant, sans réellement vouloir me l’avouer évidemment. J’ai reculé, assez choqué par ce que je venais de faire. Surtout que c’était la première fois que j’osais le faire en public. L’imaginer c’est une chose, mais le faire, s’en est une autre. « Je t’ai connue comme tu es alors arrête de toujours remettre la faute sur les autres ! Assume ce que tu fais ! ». Je me passais la main sur le visage. J’avais envie de cogner une nouvelle fois, mais pas sur elle, sur quelque chose de plus dur, pour avoir mal, pour me défouler. Pour penser à autre chose qu’à elle et ce que je venais de faire. Elle a entre-temps tenté de me cracher dessus mais en vain. De la salive pleine de sang. Dégueulasse ! Comme tout ce qui se passait entre nous de toute façon. J’aurai du tracer ma route. Vivre ma vie de mon côté. Revenir oui, m’excuser aussi, mais m’arrêter à là. J’aurai du la dégager de ma vie après lui avoir fait mes excuses. J’ai été beaucoup trop gourmand depuis que je l’ai retrouvé et ça m’a beaucoup coûté étant donné que ma Cabot s’en est allée. « Non j’suis pas fier de moi justement. T’as rien compris à tout ce que j’ai bien pu te dire depuis mon retour c’est… C’est fou ! J’ai jamais voulu te faire souffrir ! En tout cas, pas volontairement, alors que toi si ! J’me… Arrêtes de m’parler ! ». Je ne voulais plus entendre sa voix. J’allai me calmer sur la marche de l’un des chalets qui se trouvaient autour de nous. J’avais besoin de me calmer. De reprendre mes esprits avant de merder définitivement.
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Arrête de te voiler la face ! Si t’aimes offrir ton corps au premier mec qui te complimente, j’y suis pour rien ! T’es malheureusement née ainsi ! Non je maintiens bien fermement le fait que c’est bien à cause de lui que j’me comporte comme ça maintenant. Enfin.. Forcément c’est pas purement et simplement de sa faute, mais il en fait parti des acteurs qui m’ont poussés jusque la. Dans un autre sens sans lui je n’aurais pas cette carapace bien solide que j’ai réussie à m’faire. Ce caractère de feu qui me protège de certaine chose de la vie. Ou qui les empirent ? J’en sais rien. Avoir un caractère sur la défensive c’est forcément mitigé entre le positif et le négatif. J’ai pas le temps de lui répondre, encore une fois, qu’il me donne la note aigu de la conversation. Ouaaaaaaaw. Je suis touchée littéralement. Blessée, choquée. Je réagis comme ci de rien était, pourtant tout va trop mal, la tout de suite. J’ai mal, j’ai envie de m’effondrer au sol, de pleurer, de m’laisser mourir, si carrément laisse moi. Moi j’ai fait ça ? Seule comme une grande je l’ai cherché. A bout. Je l’ai poussé pour qu’il me fasse ce genre de chose alors qu’il me disait avec tant de sincérité qu’il avait changé quelques temps avant. Je m’en veux.. mais… Je peux pas lui faire comprendre c’est plus fort que moi d’être débile. Je t’ai connue comme tu es alors arrête de toujours remettre la faute sur les autres ! Assume ce que tu fais ! Naaan. J’étais pas comme ça avant. Il est là le souci. J’étais tout sauf garce comme je peux l’être. Je ne parlais pas. Je disais rien. Je me laissais presque faire et je suis tombée amoureuse de ce type qui m’a changé, à vie, peut être. Non j’suis pas fier de moi justement. T’as rien compris à tout ce que j’ai bien pu te dire depuis mon retour c’est… C’est fou ! J’ai jamais voulu te faire souffrir ! En tout cas, pas volontairement, alors que toi si ! J’me… Arrêtes de m’parler ! Baaaam, yah. Bouffe ça quoi. J’lai pèse ses mots. Maintenant j’comprends leur sens, peut être leur valeur. J’ai été trop con dans toute l’histoire. Faut que j’me fasse prendre une droite pour le comprendre. J’ai envie de lui sauter au cou. Non pas pour l’étrangler, mais pour le prendre dans mes bras, je sais pas. Une dernière fois ? Peut être qu’on se reparlera plus jamais jamais après ça et.. J’dois surement l’envisager. Je suis une fille compliquée, oui, c’est sur. Contradictoire, ouuui, aussi. Il est parti un peu plus loin dans l’autre sens encore à porté de vue si vraiment je me penche pour le voir derrière l’arbre devant moi. Je sais pas quoi faire. C’est un peu étrange la.. J’dois partir comme ci de rien était ou… Aaie ! Je pose une main sur mon ventre. Mon ventre de grosse. Dur. Duur comme du béton. Mon visage se crispe quelques instants de douleur. Whaaaaaaadafuck. Ca persiste à amplitude irrégulière, sans vraiment se stopper quelques secondes seulement. Mes ongles se plantent presque dans l’arbre qui me maintient debout depuis tout à l’heure. La scène vraiment bizarre la. Des gouttes de sang tout droit sorties de mon nez qui tombent en goute sur mon bide qui me fait mal. Vraaaaaaiment trop mal. WILIAAAAAAAAAAAM ! Naaaaan. J’peux pas faire autrement la.. C’est pas un crie en colère c’est juste un cri d’appel à l’aide, carrément. Rien que ça. J’ai posé mon cul sur le sol, en essayant de trouver une position adéquate, sans succès ouais. J’ai l’impression que ma vie va s’achever en deux minutes là ! JE VAIS MOURIR ! Deux minutes avant je me faisait violenter sans rien dire et la, une contraction et ma vie se fini. MAIS CA FAIT MAL !
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