≈ le laboratoire de Dexter. (martin)

martyr

Non, non, commence pas à te prendre le chou pour ce qu'il raconte, bien sur qu'il y a une tension sexuelle entre vous. Elle déborde de partout. Si votre vie était un dessin animée, y aurait des espèce d'halo rose et violette qui tourne entre vous deux âmes et des cœurs dans ses yeux, à chaque fois que tu passes le seuil de la porte – par effraction – ou de la fenêtre, ou de la fenêtre de sa douche, ou de la fenêtre de sa cuisine, ou de ses toilettes, mais ne parlons pas de cette fois-là. Il le nie, c'est plus facile de nié que de dire la vérité, les papas te l'ont dit : il ne faut pas essayer de pousser une personne à dire ce qu'elle pense vraiment. Il faut lui laisser du temps, et elle finiras par venir vers vous. Tu attend toujours le jour, ou il viendras faire un pas vers toi, mais c'est comme les otaries, ça reviens toujours. « J'vais pas te faire des cours de physique, mais je décrirait plus notre relation comme les aimants qui ne peuvent pas se coller l'une à l'autre à moins d'avoir une source commune. Et notre source commune est la science. » et le sex, le sex y met pour beaucoup. Les sexto du soir – un peu à sens unique – mais très hot, et les emoji banane, aubergine, citrouille, toutes une histoire de sex. Tu ne rebondit pas sur son je ne sais quelième soupire, je les comptes plus, t'as qu'à les compter si ça te fait plaisir, mais j'ai pas assez de doigts pour savoir à combien de soupire il est, rho. Au final, tu laisse tombe et t'assoie sur le rebord de son lit, dépiter de la vie, si il ne te parle pas de science, alors t'en a rien à foutre de sa poire, il a beau être sexy, ça reste un mec, un basique, un adam qui aurait tout fait pour piégé Eve, alors qu'elle ne voulais que son bonheur, rectification : leurs bonheurs. Alors tu t’apprête à encore gueuler, te plaindre un peu, faire des allusions sur le sex et peut être manger un truc qui traîne dans son frigo, mais il finit par cédé. OUI ! OUI IL A CEDE ! OUI ! Tu savait que personne ne résiste à ta bouille d'ange, fêler du cerveau ou pas. Il s’assoie à côté de toi, et ton cœur bat super fort à l'idée d'en savoir plus sur ses projets. Rendre tout ça invisible, rendre la cocaïne invisible, c'était une idée de génie, un pure génie et tu n'arriveras jamais à comprendre d'où est-ce qu'il sors toutes ses idées. Tu secoues la tête en repensant au calcule que tu avait vu il y a quelques minutes de cela, essaie de remettre tout dans l'ordre, entre les cris et les dédicace de pokémon. Ça t'inspire, ça t'émoustille ça t'excite, et tu affiches un sourire béat, tel une collégienne face à un poster de Justin Bieber. « Tu as dis nous Pecek, je retiens ça. Et je retiens que t'es un super génie de la chimie. Si on arrive à un tel résultat on peu envisager un réseau dépassant Harvard, on prendrais carrément une planque sur Cambridge, et on infiltrerais les réseaux chinois pour les mettre en faillite total. On va devenir les rois de la coke. » Ton cœur palpite à cent à l'heure, dans ta tête t'as déjà fait tes valises directions honolulu pour te la couler douce, tu te tourne vers Martin, un sourire aux lèvres. « T'es sûre de pas vouloir regarder mon soutien gorge rose de plus près ? » Ouai, parce que ça t'excite les mecs de pouvoir. Et tu soulèves déjà un peu ton haut, ne dévoilant qu'un bout de nombril, en lui faisant un clin d’œil aguicheur.
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Il ne fallait pas que Zéphyr embraye sur de la physique. Elle perdrait à tous les coups face à Martin qui avait des arguments à la pelle en la matière. Il conservait un air archi sérieux alors qu’il répondit ; « Qu’il y ait une source commune ou non, les aimants ne se toucheront jamais car, le morceau de fer se mettra irrévocablement entre les deux aimants. Ce qui veut dire qu’au mieux, on fera un threesome. » Avec deux nanas of course, sinon Martin se retire immédiatement de sa participation en tant qu’aimant, svp. Du coup, il fit preuve d’un peu de générosité et parla sciences à Zéphyr, espérant la calmer un peu. C’est comme un bébé. Au bébé tu lui racontes Cendrillon, à Zéphyr tu lui parles de gravitation et d’énergie nucléaire. Narmol. Puis elle s’excita à cause d’un petit lapsus de la part du Tchèque qui n’avait rien à voir avec le fond de sa pensée. « Je suis meilleur en sciences qu’en linguistique. Retiens ça. » Wesh wesh, le ’nous’ qui s’était glissé dans sa phrase n’était que la cause d’un trouble profond orthophonique. Rien de plus ma petite Zéphyr. Mais bon, vous savez, elle était du genre à faire d’un fromage toute une montagne. Alors qu’un fromage est un fromage et une montagne est une montagne, même le Reblochon. C’est pas parce qu’il vient de la montagne qu’il en est une. CQFD tu suis l’idée okok dossier clos. Enfin bon, il la laissa dans ses fantasmes de roi de la coke, se retenant de lui rappeler qu’ils ne vendaient pas encore de la cocaïne et que ce n’était pas non plus dans les projets de Martin. Puis Zéphyr se remit à discuter de son soutien-gorge avant de relever son haut et lui montrer son bidon. Martin arqua un sourcil mais ne la calcula pas une seconde, se contentant d’un « Sûr. » et enchaînant de nouveau sur ses projets en soulevant la première page de son paperboard – ouaip super équipée la caravane de Martin ; « J’ai calculé le taux de croissance du nombre de clients que je qualifierais de ’fidèles’, c’est-à-dire ceux qui commandent plus d’une fois au moins. Bref, ce taux de croissance est supérieur à 100% comme tu peux le constater. Ce qui est bien car ça fait du flouze. J’ai pour projet de l’investir dans une école au Guatemala, mais je peux pas tout donner d’un coup sans éveiller les soupçons. Donc là, j’ai deux solutions qui s’offrent à moi ; ouvrir une start-up pour blanchir l’argent ou trouver un moyen de rendre tous les virements vers l’école totalement anonymes en les sécurisant. J’ai bossé sur les deux solutions, je suis en pleine réflexion encore. » Et là, il traçait des flèches, des croix, des ronds, des carrés, des !!!! partout sur sa feuille, avant de se tourner vers son assistance super assidue, c’est-à-dire Zéphyr ; « T’en penses quoi ? »

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« Je ferais pas de threesome avec toi. Sauf si elles sont toutes les deux laides, et qu'elles nous regarde. » ce qui n'est pas vraiment un threesome en somme, mais juste un publique. Ça se fait dans les vielles série ou le publique riait sur le plateau, alors peut êtres que des pornos tourner en live ça se fait toujours. Quoi qu'il en soit, tu n'écoutes pas le début de sa phrase, vous êtes des aimants, tu le sait, tu en es sure et quand t'es sûre de quelques choses faut pas t'embêter. Sur le coup tu dit rien et tu prend sur toi, mais un de ses jours alors qu'il seras tranquille entrain de regarder un truc à la télé, tu débarqueras de nul part en hurlant : ON EST DES AIMANTS. Avant de reprendre ta route. Quoi qu'il en soit, tes cris et des crises de folie on finit par arriver au sujet que tu préfères : LES SCIENCES. Et les stats. Dans le feu de l'action, ton cœur palpite, tes pupilles devient de plus en plus grosse et tu secoue la tête comme lorsque tes copines t'ont appris à faire des scoubidoo, que tu n'a jamais réussi à faire d'ailleurs, trop d'élastique, trop de couleur, trop de geste répétitif, c'est nul. Ça t'excite un max, et tu lui propose – encore une fois, à défaut de proposer, il va finir par dire oui, un jour, non ? - de voit ton super soutien gorge, il décline tu roules des yeux et te concentre de nouveau sur ce qu'il dit, en secouant la tête, folle de joie. « J'arrive pas à croire que tu veilles pas tous dépenser dans une nouvelle voiture, ou du champagnes. Ça m'excite vraiment, t'es sûre que tu veux même pas tâter mon sein, il est pas si petit que ça quand tu là en main. » tu prend tes seins dans tes mains, ouai c'est vrais ils sont vraiment petit, mais pas autant que ceux d'Olive, genre Olive elle en a presque pas ou pourtant tout les gars la trouve aussi canon que toi. Faudrait que Palmyr t'en passe un peu de sein, parce que t'es vraiment dans la dèche, et que tu n'envisage pas de te faire implanter de la graisse de porc dans les nichons – et que le rembourrage aux chaussettes ou au papier toilette sont devenue fragrante. - Tu t'égares un peu et revient au sujet initiale. « Tu peut crée un faux compte, ou tu déverserais l'argent à l'école sans avoir à révélé ton identité. T'as qu'à te faire appeler Robin Wood, tiens ! Mais pour que ça dure, il va falloir que tu élargisses ta plaquette de produit, tu sais quand j'étais en maison de correction, les filles auraient donner leurs vies pour du LSD. C'est super dangereux, mais si tu le coupe en deux et que tu rajoutes un je ne sais quoi pour que l'effet soit moins brutes, tu peut avoir quelques choses de correcte et qui ne les entraîneras pas dans une paranoïa complète. » juste un effet second, les filles faisait ça quand elles réussissait à en faire rentrée, en le partageant en trois ou quatre, elles arrivaient à faire passer leurs paranoïa en mal de crâne. C'est pas tout ça, mais ça t'émoustille de partout toute cette affaire, tu décides de retire ton tee-shirt et le balancer de l'autre côté de la pièce, affichant un grande sourire. « T'en penses quoi ? Et pas seulement de mon idée, mais de mes seins. »
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Un jour, quand Zéphyr ne sera plus aussi sous pression qu’un réacteur nucléaire, Martin se chargerait de lui faire son éducation sexuelle et lui expliquer le principe du threesome. Un jour, en espérant que ce dernier arrive quoi, parce que quand vous connaissez le phénomène Zéphyr … Peut-on seulement parler d’un phénomène ? On décrit le phénomène comme un fait naturel constaté, susceptible d’être l’objet d’étude scientifique et pouvant devenir un sujet d’expérience. Mais plus Martin connaissait Zéphyr, plus il se disait qu’elle échappait à toutes les lois de la nature. Aristote, Archimède, Newton, Hawking, Peček … Elle leur échappait tous. « OK, on en reparlera plus tard. » conclut-il, désemparé face à une Zéphyr qui n’en faisait qu’à sa tête. Et après avoir expliqué ses projets et présenté les différentes solutions pour répondre à son problème actuel, ce fut au tour de la jeune femme de parler, et cette dernière commença à se tâter les seins. MAIS C’EST PAS VRAI. Une vraie nympho celle-là. « Il fallait accepter qu’on pointe un rendez-vous pour baiser quand je te le proposais. Maintenant la demande a expiré. Et c’est le rendez-vous qu’on pointe, pas autre chose. » Il commençait à connaître Zéphyr, elle aurait été capable de balancer un truc salace en réponse et Martin aurait eu envie de vomir. Or, il tenait à la propreté de ces lieux wesh. Et donc, en réponse à sa question ; « Laisse-moi réfléchir … » Actor studio attentiooooon … « Non. » Et bam, un nouveau vent dans ta gueule Zéphyr. En plus, ce qu’elle dit par la suite fut beaucoup plus intéressant, si intéressant que Martin nota tout sur son paperboard au fur et à mesure que les mots s’échappaient de la bouche de Van Der Truc, ça fusait, ça bouillonnait, y avait de l’idée ! Et puis elle lui demanda ce qu’il en pensait, ce à quoi il répondit, enjoué, avant de se retourner ; « Tu es un génie ! » Puis il se retourna, elle évoqua de nouveau le fantôme de la dame blanche – aka sa poitrine, tout le monde en parle mais personne l’a vu, que des rumeurs. Apparemment elle avait perdu son t-shirt dans la bataille, cool, mais elle portait bien le soutien-gorge rose qu’elle tenait tant à lui montrer. D’ailleurs, la réaction de Martin ne tarda pas ; « Je suis déçu. » ça vous rappelle pas quelque chose ? Il paraissait sceptique, si bien qu’il commenta ; « Le Big Mac de la pub est super beau. T’as l’impression que le steak a été taillé pour le pain, même forme, même taille. Et les tomates sont fraîches, rouges, et le hamburger se tient fièrement devant toi. Tu t’attends à commander l’Empire Steak Building et quand tu ouvres ta boîte, t’es face à la tour de Pise. » Non, sa poitrine penchait pas sur le côté, mais elle ne ressemblait pas à ce qu’il avait vu sur la photo. Anyway, assez perdu de temps. Martin augmenta la vitesse du ventilo – apparemment Zéphyr avait chaud – avant de se retourner de nouveau et plancher sur son travail. « L’augmentation du nombre de clients m’amène aussi à anticiper la rupture de stock de méthylamine. C’est difficile de se fournir en ça. Après, je pense trouver un moyen de fabriquer de la méthylamine de synthèse, ce n’est jamais que de l’acide chlorhydrique et de l’hexamine. » Là, il était censé se retourner pour demander l’avis de Zéphyr. Mais il avait peur. Il craignait de l’état dans lequel il risquait de la retrouver après tous ces mots super scientifiques.

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« J'vais pas te le répété, je programme pas mes plans cul. Faut que ça se fasse naturellement, genre on fait tomber le tableau, ou tu me saute dessus, ou on arrache nos vêtements dans la fouler et on baiser sur la table de la cuisine, ou dans l'espace salle de bain, pendant que l'eau tombe en cascade sur nos visages. » T'es la futur james cameron du porno toi, c'est sûre. Par contre, t'as un peu de mal avec ton acteur principale, parce qu'il à la tête trop dur. Il veut pas accepter ce que tu lui donne, et il va sûrement lâcher ton cast pour rejoindre celui de Ryan Murphy dans le prochain Amercan Horror Story, comme ça il pourras tué tout le monde et être méchant avec tout le monde, comme bon lui semble. Parce que c'est le mal Martin, t'as beau te dire à chaque fois qu'il est méchant, tu finit toujours par revenir, parce que son intelligence te blefferas toujours, et à défaut d’avoir des orgasmes l'un contre l'autre, dans un grand lit, moins les fringues, tu avait ce qu'on appel des orgasmes intellectuelle, quand vous êtes tout les deux sur la même longueur d'onde et que vos deux esprit se rencontre dans un KABOUM, c'est ce que tu aimes le plus. D'ailleurs ; là tout de suite vous en avait un, une échange d'idée qui fusent dans vos têtes et qui devient un projet, si tu pouvais, t'aurai fait genre de gémir, mais il va encore te regarder avec ses yeux de Merlan Fries, tu t’abstiens, mais lui propose tout de même de voir Bonnie and Clyde, dans l’excitation, personne ne tourne le dos à Bonnie and Clyde, c'est ce que tu as de plus précieux, et malgré leurs petits tailles, les gens t'ont toujours trouver ravissante, garçon et fille confondue. Sourire, yeux de biche, face de bébé et.. ET.... RATEAUX. Ah comme tu as l'habitude de se bon vieux râteau, tu fronces les sourcils vexer, et te laisse tomber en arrière sur le lit. « Tu es sûre qu'on parle de Bonnie and Clyde aka mes seins, ou plutôt du Martin-piqueur ? » Ta tentative de riposte finit balayer par le ventilateur qu'il augmente, tu roules des yeux. Bon, t'y arriveras jamais, mais tu comptes pas baisser les bras si facilement, un jour il seras tellement dingue de toi qu'il va t'écrire une chanson, je suis dingue de toi Zéph-Zéph-Zéph, je suis fou de toi Zéph-Zéph-Zéphyr, je te veux près de moi Zéph-Zéph-Zéphyyyyyr. Rien que pour moi Zéph-Zéph-Zéphyyyyr. BIENTOT DANS LES BACS. « Tu devrais prendre 10% de la recette pour prendre racheter des ingrédients de base, crée toi même de la méthylamine pourrais entraîner des complications. Si te goure dans le dosage, l'effet pourrais changer et t'as envie que des gens meurent d'agonie à cause de nous, non ? » Ce serais dommage de devoir retourner en taule pour avoir aider le genre humain à avoir un peu de bonheur. « Après pour la forme, faudrait mettre du colorant alimentaire, pour que ça se rapproche de spasfon rose, tu sais pour les douleurs de règles. Ça passe mieux après de la sécurité. » Normalement, enfin, tu t'en souvient plus trop, c'est pas comme si t'avais passer 7 ans en taule non plus, t'as juste renverse du sang de porc sur les fringues de Lady Gaga, et comme elle est riche cette pouffe à réussi à te mettre en taule. Tu te redresse et enfile de nouveau ton tee-shirt dans un soupire. « Maintenant qu'on a trouver notre solution, et qu'on a eu plein d'orgasme intellectuelle. Est-ce qu'on peut faire autre chose ? » tu n'abandonne pas non, t'es une chieuse par excellence, et quand t'as pas ce que tu veux le monde arrête de tourner et tourne à l'envers jusqu'à ce que Zéphyr Van Der Woodson est ce qu'elle veux. Tu pourrais le forcer et genre déchirer son haut ou encore faire des trucs super sexy, mais tu préfères qu'il le fasse de lui même et même si ça prend du temps, ça va le faire. Tu te redresse, pour te mettre à sa hauteur et lui adresse un doux sourire, récupère le feutre dans ses mains et tire son visage pour le faire concentrer sur toi. « Martin, j't'offre mon corps, prend le, aller. » bon, c'est pas vraiment ce qu'il fallait dire, tu réagis comme une petite fille à qui on a dit non pour un deuxième dessert, mais tu veux un deuxième dessert, le premier était cool, mais le deuxième est encore meilleurs, et t'en veux, t'en veux, t'en veux.
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Bonnie & Clyde ? Martin arqua un sourcil et mata inconsciemment ses seins pour checker ce qu’ils avaient de Bonnie and Clyde. Puis, enfin, après un vif haussement d’épaule, conclut ; « Tu les appelles comme ça parce que tes seins ont pris la fuite au moment de la puberté ? » Ce qui faisait qu’ils étaient inexistants hahahaa. C’est relou, j’ai deux perso mecs et ils sortent tous les deux qu’avec des filles sans seins. J’en ai marre. J’ai plein de blagues sur les gros seins. Bref, après toutes ses belles paroles, Zéphyr évoqua son idée pour régler le problème de Martin en fourniture de méthylamine. Pour le moment, il n’était pas en rade, mais ça deviendrait vite un problème tantôt. Néanmoins, il ne put s’empêcher de stopper trente secondes Zéphyr dans son délire ; « Tu m’as déjà vu rater une de mes préparations ? » Pure rhétorique. Attendeeeezzzz, Martin avait beau entré seulement en quatrième année de chimie, il savait exactement ce qui faisait. Un génie ce gars. « Faire quoi ? » demanda-t-il incrédule alors qu’il notait ’spasfon’ en bas de la feuille à côté d’un tiret, genre comme s’il écrivait sa liste de course. C’est vrai qu’après cette énumération de termes techniques, scientifiques et – dans le cas de Zéphyr – orgasmiques, Martin craignait de se retourner. Et s’il retrouvait Zéphyr en mode ’pornstar sur canapé’, avec un grand panneau de signalisation indiquant le tunnel à emprunter, et rugissant comme une tigresse un sensuel ’féconde-moi Ô génie tout puissant’ ? ça pouvait arriver, vous ne la connaissez pas comme Martin la connaissait. Ce fut donc elle qui lui arracha le feutre des mains et l’incita à se retourner pour la regarder. Déjà, elle avait remis son t-shirt, ce qui voulait dire que l’hypothèse de l’examen mammaire forcé était à rejeter. Mais au lieu de ça, elle lui offrait son corps. Ben tiens, pour quelqu’un qui ne planifie pas ses plan-culs … « Zéphyr … » marmonna-t-il avec un semblant d’agacement dans la voix, à la 'qu'est-ce que tu fous putain', alors qu’il pencha légèrement sa tête sur le côté. Oh, puis fais chier. Il plaqua ses lèvres contre les siennes, lui arracha un baiser avant de la pousser de ses deux mains contre ses épaules pour qu’elle s’écroule sur le lit. Il rivait son regard sur elle, l’air dur, sévère, mais ténébreux et empli de désir. Comme un fauve autour de sa proie, il la rejoignit sur le couchage, s’éprit d’elle en parquant son corps contre le sien, diffusant ardeur et candeur dans ce corps effervescent qui le réclamait depuis toute à l’heure. Plaquant une première main de la jeune femme sur le couchage, puis la seconde, il perdit ses lèvres dans son cou, caressant, effleurant sans jamais l’embrasser. Il se dirigeait dangereusement dans son décolleté, là où il stoppa tout. Hagard, il releva la tête et relâcha toute pression sur les mains de Zéph dont il commençait à démanteler le cartilage. Il pouffa de rire avant de se redresser complètement et s’asseoir à l’autre bout du lit, attrapant à la volée son paquet de clopes ; « Je fais en sorte de maintenir la tension sexuelle entre nous. » se justifia-t-il simplement. Il ne comptait pas se taper Zéphyr. C’était le genre de nana avec qui on couchait, qui s’attachait rapidement et avant même que tu comprennes pourquoi, elle te glisse ses poils pubiens dans une lettre d’amour anonyme abandonnée dans ton sac. Non non, Zéphyr Van Der Woodson est une bombe à retardement. Martin en est l'étincelle.

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OKAY OKAY OKAY TOUT LE MONDE SE CALME !!! Surtout toi Ange, j'te trouve grave excité, on dirait cette gamine de 8 ans qui faisait chier tout le monde à l'avant première des Minions. Surtout que tu fangirl à fond donc : CALM DOWN. Bref, caméra, lumière, son, gros plan sur le visage de Zéphyr qui le séduit avec un sourire charmeur et cette petite voix de fille de joie qu'elle utilise quand elle veut quelques chose : SILENCE SUR LE PLATEAU ET : « Oh mon dieu. » hein ? C'est tout ce que t'as un dire sérieusement ? Après tout ce que t'as fait pour avoir ce baiser, c'est tout ce que tu trouves à dire. En même temps t'as pas vraiment vraiment le temps de réagir, ni même de réaliser ce qui t'arrive. Quand tu te rend compte que tu vient PAR LA GRACE DES YEUX, d'embrasser Martin Pacek, t'es sur le dos, incapable de te relever tel une petite tortue qu'on aurait retourner. Il te met la tête l'envers. Littéralement. Sur le lit, tu t'es cogner le pied, et ça remonte dans ta tête, comme quand tu te cogne le petit doigt de pied contre un meuble, et que t'as l'impression que ton cerveau va sortir de tes oreilles. En plus de ça, la chaleur de son corps contre le tiens, et cet ardeur ; te chamboule complètement. Tu est Anastasia Steele et c'est ton Christian Grey, avec un peu moins de sexattitude et de pectoro, mais tu es comme Ana : responsable de ton propre désire malsain. Donc, tu te laisse faire, son regard sévère, ses manières sauvages, si il t'attacher au rebord du lit, tu te laisserais carrément faire. MAIS POURQUOI IL M'EMBRASSE PLUS ???? oh, calme toi, ça va se faire, ça va se faire, faut juste que tu profites. Ton corps entier est en chaleur, des frissons se dresse un peu partout ou ça peut se dresser et plus il se rapproche de tes et.. ET.... ET...Il s'arrête. « Oh mon dieu. » tu te redresse d'un coup, les yeux écarquiller. TU M'AVAIT DIT D'ATTENDRE IL S'EST RIEN PASSER !!! eh, tu te calmes, c'est pas moi qui contrôle son zizi. BREF, tu le regarde avec de gros yeux alors qu'il se la joue mystérieux, avec une cigarette au bec. Augustus Waters sors de ce corps, immédiatement. Tu te redresse, un peu chambouler. « J'ai rêver tout ça. Je viens juste de me réveiller d'un rêve ou un cauchemar ou peut être un rêvechemar, un genre de rêve cool qui se transforme en cauchemar. Et guess what. T'es dedans. » Reprend ton calme, je suis pas sûre que ce soit vraiment un rêve ou juste ton subconscient qui te joue des tours, en tout cas, tu en frissonnes encore, tu devrais le détester d'avoir arrêter si brutalement, mais pourtant t'es satisfaite. C'est pas cool de direct arriver tout en haut de l'Himalaya dès le premier aller. De 1) personne ne vous croiras, de 2) vous n'aurez rien à raconter à personne, si dès la première fois vous y arrivez, non. Vaut mieux de planter, encore et encore, et au final on va peut êtres finir par pousser. Tu soupire, avec un sourire cette fois-ci et te redresse. « J'aime toujours autant ta compagnie Pecek, mais j'ai des tortues à nourrir, et un palmier à arroser. Je sais que je vais te manquer, pas la peine de le dire. Dès ce soir, je t'envoie des photos de Bonnie ans Clyde. D'ailleurs, si tu veux que ça pousse, je ne voit qu'une solution naturelle : faut que je tombe enceinte. » Tu affiches un jolie sourire et fiche le camp. Par la porte cette fois-ci que tu arrives très facilement à ouvrir, adios Martinos, je reviendrais hanté tes nuits, ne t'en fait pas.
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Oh mon dieeeeeuuuu…… Disait-elle. Oui, c’est en général ce que les demoiselles disent après une nuit d’amour avec Martin. Il existe cependant quelques variantes, style ’Martin tout-puissant, es-tu bien réel ? Un être aussi parfait ne peut être que l’œuvre d’un titan’ ou ’que vois-je, le soleil ? Oh non, c’est juste toi, Martin, qui me sourit’. ça arrivait fréquemment et le jeune homme avait appris à les accepter avec modestie. Du coup, niveau taille des chevilles, ça ne dépassait jamais la taille du Martin-Piqueur, et j’peux vous dire qu’il n’avait rien à envier à King Kong. Bon j’vais quand même arrêter de jeter des fleurs à Pecek, surtout qu’il est allergique au pollen et CA c’est un truc que Zéphyr ne sait pas. En même temps, osef, c’est pas comme si elle allait lui offrir des fleurs un jour heingggg. Et lui, si jamais il le faisait, il se la jouerait Ashton Kutcher dans No String Attached, es decir il lui offrirait un bouquet de carottes bien fraîches. AHAHAHAAH, j’avais écrit un bouquet de crotte, heureusement que je me relis MDRRR quoique j’en ai aussi des crottes bien fraîches dans mon jardin, c’est la joie d’avoir des poneys qui s’enfuient de leur enclos et qui viennent brouter l’herbe de ton jardin. Super le réveil de ce matin j’te dis pas vrouuu. Bon revenons à nos tourtereaux – ou pas d’ailleurs. Martin porta un clope à son bec juste après avoir allumé Zéphyr comme il le fallait. Il l’avait enflammé, mais il était prêt à parier qu’elle avait de quoi éteindre le feu quelque part dans son anatomie. OK c’est immonde mais j’suis pas la première à parler de porno dans ce rp svp. Et là, Zéphyr beugait complètement, allant même jusqu’à crier au rêve. « Un rêve ? Mmh. » Il était prêt à lui faire une nouvelle démonstration pour vérifier si elle ne dormait pas, une démonstration qui impliquerait sa langue et les lèvres de la Van Der Moche, mais trop tard, elle s’était déjà enfuie pour arroser son palmier. Martin éclata de rire et la laissa filer, se laissant enfin tomber sur le lit. Et beh. Il fallait donc sacrifier son corps pour faire dégager Zéphyr de sa caravane ? Tssssk, c’était presque trop facile. En tout cas, Martin, de son côté, jouissait de son calme retrouvé.

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