FETE DE LA MUSIQUE A LA -- La chanson de nos retrouvailles -- AXEL

Je souris en voyant combien il est content de venir avec moi, je n’en doutais pas une seconde mais en être certain à présent me fait le plus grand bien, voilà qu’il me demande quand s’est qu’on part. Je prends mon temps pour réfléchir, en faite non je le sais pertinemment mais j’ai envie de l’enquiquiner, donc je prends bien mon temps, faisant mine de réfléchir puis je lui dis avec un immense sourire.
« La tournée commence à New York le 4 Juillet pour la fête nationale alors nous partons le 3 pour avoir le temps d’arrivé pénard pour tout installé »

J’aime quand il essaye de se la jouer coquinou, car ce n’est pas du tout crédible avec la couleur de ses joues, autant dire que je me régale, je ris doucement en caressant ses joues rouges avec délectation jusqu’à qu’il me dise que je suis chaud, je lève un sourcil avec amusement, avant de rire avec lui et en l’espace d’une seconde je le bascule allongé sur le sofa, tiré par les cuisses pour le faire glisser et moi entre ses genoux, étendu à moitié sur lui alors que ses jambes sont contre mes hanches, je souris malin et je vais lui sussurrer chaudement à l’oreille avec un léger coup de temps.
« Comme cela ma petite brebis innocente ! »

J’aime le torturer c’est mon petit délice quotidien et Axel le sait très bien, j’aime torturer mes proies avec délectation, j’aime rendre fou cet homme autant qu’il me rend fou par sa simple présence auprès de moi. Cet été, sera surement l’un des meilleurs de ma vie pour l’instant car je ferais une tournée, avec l’homme de ma vie a mes cotés, et je pourrais nous afficher à souhait, s’ils veulent du scoop, ils en auront à profusion cet été.
Rapidement il se retrouve bloqué sous moi, mon corps contre le sien. Je ris en le sentant s’agripper à moi et je ne peux me retenir de grogner quand il ose torturer mon cou de ses baisers et coups de langue, oui je grogne comme un fauve en rut, sans commentaire je sais. Je ris doucement et en l’espace d’une seconde son maillot se retrouve au sol, je lâche un petit « oups » innocent avant de rire et de venir carrément prendre ses lèvres langoureusement, me plaquant presque à lui.