Voilà plus d'un mois qu'Axel est parti a LA pour finir le déméagement de leur ancienne maison. Je l'ai donc laissé partir mais je reste en contact avec lui en l'appelant tous les soirs, en faisant souvent des vidéos sur skype avec lui, autant dire que le manque de lui se fait vraiment ressentir de plus en plus, c'est affreux comme il me manque et même la vie sans lui est pire qu'une torture, c'est pire que lorsque je lai fui pendant une semaine, car à présent je l'aime comme un fou. D'ailleurs, je lui ai organisé une belle surprise à ma façon. En collabitation avec ses papas, j'organise un big concert a LA pour la fête de la musique, jour qui est enfin arrivé. Je sais que mon amour est dans le public sans savoir qui il viet voir. J'ai changé en un mois, j'ai quitté mon air adolescent pour devenir un gay viril dans l'apparence avec un peu de barbe et de moustache. Le show commence, je fais un mélange de mes deux derniers albums avant la sortie de mon nouvel album pour la rentrée de septembre. Je m'éclate sur scène, je danse, je bouge, je me donne à corps perdu dans ma musique jusqu'à a un moment où je fais un discours sincère. « Parfois dans la vie, on rencontre des gens qui change la face du monde, enfin, de notre monde, et quand nous avons cette rencontre, tout en nous prend une tournure différente. Cette chanson, elle est pour la personne qui a changer ma vie, qui m'a fait grandir. Et cette personne, je l'aime par dessus tout. Et cette chanson est pour toi ! »
Je m'assois comme il faut sur mon tabouret et je commence à chanter avec émotion et amour. Comme une déclaration à l'homme de ma vie, non c'est une déclaration tout court.
Long. Très long. Mais qu'est-ce que c'est long le temps sans ton bel amoureux, en fait, Axel. T'as sincèrement l'impression que les secondes deviennent des minutes, voir des heures, tellement. C'est tout bonnement horrible. Et encore, heureusement que les messages texto et les conversations webcam existent, parce que sinon, c'est des coups un péter un câble, hein. Ce soir, tes pères veulent t'emmener à un concert. T'as pas vraiment envie d'y aller, tu préférerais mieux passer ta soirée a discuter sur Skype avec ton Goran, mais t'as beau fixer intensément son pseudo, il a pas l'air de vouloir se connecter. Tu te demandes ce qu'il pourrait bien faire, où, avec qui, ce genre de chose. Ouais, t'es un peu jaloux en fait, toi, Axel, carrément, même. Tu râles quand tu entends tes pères insister pour aller à ce concert, tu finis par abandonner l'idée de parler avec ton amour sur l'ordinateur et tu te déconnectes, un peu abattu. Tu suis tes pères, pas franchement motivé, mais tant pis, ça te changera peut-être les idées. Malgré tout, tu emmènes quand même ton téléphone, au cas où Goran te parlerais par sms ce soir. D'habitude, c'est tout les soirs que vous vous parlez, voir toute la journée, et là, rien. Tu t’inquiètes un peu, quand même. Quand tu rentres dans la salle de concert, tu soupires et tu lui envoies un petit message sur son portable, un petit sms. Tu croises les doigts pour avoir une réponse. Le bruits de la musique qui commence te ferait presque sursauter. Tu lèves les yeux vers la scène, ça t'éblouit un peu. Tu mets quelques secondes à capter, en fait. Tu clignes des yeux. Les premières secondes, tu penses que tu hallucines un peu, qu'avec toutes ces lumières tu vois pas bien, mais si, si, en fait. C'est bien lui, c'est bien Goran sur scène, mon dieu!!! Tu sautilles en criant, tes pères, eux, ils sont mort de rire en te voyant faire. Ils étaient dans le coup! Il le savaient, t'en es sur! Tu te mets à éclater de rire aussi et tu regardes ton amour chanter. Non, tu l'admires, tu le contemples, plutôt. Qu'est-ce qu'il est beau, qu'est ce qu'il est talentueux. Il est parfait, de partout, hein Axel.
Ce concert est parfait, tu te régales, vraiment. Rien que de savoir que c'est Goran sur scène, le concert peut être que parfait, de toute façon. Tu l'écoutes quand il se met à parler dans le micro, tu rougis un peu, parce que t'as bien l'impression qu'il parle de toi, ça te fait sourire timidement, et puis, tu te tritures les mains nerveusement. Ça fait bizarre, c'est nouveau, ça, pour toi,, hein Axel. Il dit que la chanson est pour toi. Tu l'écoutes et puis, tu te mets a pleurer, parce que c'est beau. Les paroles sont belles, sa voix est belle, tout est parfait. Tu essuies ta joue, et ton père t’ébouriffe affectueusement les cheveux en riant. Tu pleures, mais tu souris, l'air béat. C'est magnifique, tout simplement. T'as envie des bras de Goran, t'as envie de lui, de sa bouche, t'as envie de te serrer contre lui. Tu espères qu'il va venir te voir, qu'il va pas repartir direct, surtout. Tu veux lui dire à quel point il te manque, à quel point cette soirée était parfaite, à quel point c'était magnifique, à quel point tu veux finir la soirée avec lui, mais surtout, à quel point tu l'aimes comme un dingue.
Je me donne à fond sur cette musique que j'ai écrite, composée et que je lui chante ce soir en avant première, malgré le monde qu'il y a, c'est pour lui que je chante, et uniquement lui. J'étais retourné de toutes mes trippes en chatant, tout mon amour pour lui ressort dans cette chanson. Le concert continue jusqu'au salut, j'embrasse depuis la scène mes fans en leur disant combien je les aime et que je leur donne rendez vous cette été sur les routes de ma tournée. Puis je descends de scène pour aller dans ma loge boire un peu d'eau et me rafraichir avant de ressortir pour signer des autographes comme je fais toujours, je prends des photos, je fais des bisous des câlins et de petites discussions. Mais celui qui m'intéresse c'est Axel. Une fois tous mes fans passés, je retourne vers ma loge et c'est là que je le vois. Un immense sourire vient sur mes lèvres et je fonce le soulever dans mes bras et je l'embrasse comme jamais encore, le soulevant comme une plume. « Oh mon amour, je suis tellement heureux, tu m'as tellement manqué, oh que tu es beau mon amour ce soir »
Je ne peux me retenir de l'attirer a l'intérieur de la loge privée pour être tranquille encore plus, je ne le lâche pas, je garde contre moi et je l'embrasse de nouveau, de tout mon amour, je suis de nouveau comblé totalement.
T'as les yeux qui brillent, Axel, quand tu le regardes chanter. Ils brillent de larmes et ils brillent aussi d'amour et d'admiration. Tu le trouves vraiment parfait, en fait. Tu peux pas t'empecher de le regarder sur scène, tu sais pas si il t'as vu dans le public ou pas, il y a trop de monde, donc tu penses pas qu'il t'ai remarqué parmi toute cette foule de gens. Quand le concert se termine, tu regardes partout, tes pères te traîne jusqu'à une petite porte, un homme baraqué vient te chercher. Probablement un vigile, un garde du corps ou ce genre de chose. Tu le suis et il t’emmène dans une petite pièce. Tu devines facilement que c'est la loge de Goran. Quelle classe! Tu te retrouves tout seul, maintenant, par contre, Goran n'est pas là pour le moment. Tu t’assoies doucement sur une chaise et tu regardes autour de toi. Ça sent bon, ça sent le parfum et la laque, comme dans votre chambre, chez les Lowell. Cette odeur t'avait vraiment manqué, c'est l'odeur de Goran, finalement. C'est long, encore, cette attente, t'as l'impression d’attendre une éternité, tu regardes ton portable pour voir l'heure. Non, ça fait pourtant que quelques minutes que tu es là, c'est tout. Toi, t'as l'impression d'être là depuis des heures, hein Axel.
La porte s'ouvre enfin, puis tu le vois, il est là, juste en face de toi. Qu'il est beau. Tu sens tes pieds se soulever du sol, c'est Goran qui te porte. Tu te mets à rire en passant tes bras autour de sa nuque, tu le serres fort contre toi, c'est tellement bon de le revoir en vrai après tout ce temps. Vos lèvres se retrouvent enfin, aussi. T'as l'impression d’être un drogué en manque de cocaïne, ta cocaïne, c'est ses baisers. Donc quand vous vous embrasser enfin, tu te sens plus léger, tu te sens presque soulagé, même, t'as enfin ta dose de drogue, finalement, Axel. Ça te fait rougir, quand il te dis que tu es beau, quand il te dit que tu lui as manqué. "Toi t'es magnifique, c'est bon de te revoir, mon ange", que tu lui dis tout timide en cachant ta tête dans son cou. Tu sautilles et tu accroches tes jambes autour de sa taille. Comme un bébé, comme un petit koala plutôt, en fait. Tu le laisses t'emmener, tu l'embrasses, encore et encore. Tu t'en lasses jamais, de ses baisers, ils sont délicieux, vraiment. Tu colles ton front contre le sien en soupirant d'aise, de soulagement. Tu lui murmures contre ses lèvres, "merci pour la chanson, elle est vraiment sublime, ça m'a fait pleurer tu sais." La fin de ta phrase, tu lui as dit timidement, les joues roses. Tu rajoutes, "mais t'es un coquin, tu m'en as jamais parlé". Tu fais mine d'être choqué et de bouder, mais ça dure peut-être un petit dixième de seconde, parce que finalement, tu peux pas résister de l'embrasser à nouveau et de rire tellement tu es heureux de le retrouver. "Je t'aime, tu sais", que tu lui dis en lui caressant doucement la nuque et en lui déposant des petits baisers dans le cou.
Qu'il est bon de retrouver l'amour de ma vie, de pouvoir le serrer de nouveau dans mes bras, de pouvoir l'embrasser de nouveau jusqu'à bout de souffle, de sentir son odeur au plus profond de sa peau, de pouvoir sentir son corps contre le mien, ses lèvres mêlées aux miennes, c'est vraiment un pur bonheur de me retrouver là, Axel dans mes bras, que je suis heureux, que je suis comblé de retrouver le contact de sa peau. Je suis heureux tout bonnement, oui heureux. Il me dit ce que je suis magnifique et que la chanson lui a plus, qu'il a pleurer, je ris tendrement en l'embrassant tendrement avant de lui murmurer en caressant tout bonnement son dos. « J'ai pleuré moi aussi car cette chanson me touche, car elle parle de toi et je voulais te faire la surprise, et ce soir était le meilleur soir pour la présenter au monde et à toi. J'avoue que tes papas m'ont beaucoup aidé à me dégotter un concert ici. »
Et voilà qu'il se met en mode kola contre moi je ris en reculant jusqu'au petit sofa et je me laisse tomber dedans en m'asseyant, le gardant sur mes genoux, c'est un peu une position qu'on aime à la folie tous les deux, moi assis et lui assis sur mes genoux, avachi à plat ventre sur son torse, je pose mes mains sur le bas de son dos, passant mes mains dessous pour caresser sa peau. « Je t'aime moi aussi, oh oui je t'aime tellement, c'est officiel, je ne peux pas me passer de toi »
T'as les yeux qui brillent, Axel, ils sont pleins de paillettes quand tu vois l'homme de ta vie, enfin, après tout ce temps passé loin de lui. Ça t'as semblé durer une éternité en fait, à tes yeux, t'as l'impression que ça fait au moins dix ans que tu l'avais pas vu. Il a changé, il est beau avec sa légère barbe. Il a toujours été beau de toute façon, mais là, encore plus, en fait. Tu le regardes, tu peux pas t’empêcher d'avoir les yeux légèrement humide, humide d’émotions, humide de bonheur et de joie de le revoir enfin, en chair et en os, de le revoir autrement qu' travers un téléphone portable ou un ordinateur. Il a chanté pour toi, tu lui avoues que tu as pleuré en l'entendant, parce que ça t'a touché, parce que c'est magnifique, parce que jamais personne n'a chanté pour toi. Il te dis que en plus, tes papa était dans le coup pour le concert, tu vas les faire payer de ne t’avoir rien dit. Mais pour le moment, tes trop occupé à pensé à ça. Pour l'instant, tu as passé tes bras autour de la nuque de Goran, t'as enfouis ton visage au creux de son cou. Tu le serres contre toi fort, fort, tellement fort. Il t'as tellement manqué, en fait. Vous finissez par vous échoué sur le sofa, malgré les légers sanglots d’émotions qui restent coincé dans ta gorge, tu arrive as laisser échapper un petit rire en te lovant encore plus contre son torse. Tu lui dis que tu l'aime, il t'aime aussi qu'il te dit. Tu le sais qu'il t'aime, mais tu aimes tellement l'entendre dire. "T'es pire qu'une drogue, je suis accro à toi, vraiment, amour." En disant cela, t'as relevé légèrement la tête pour le regarder et t'as plongé ton regard timide dans le siens, tes joues rosissent tout doucement. Tes yeux se fixent finalement sur ses lèvres, ça te fait légèrement frissonner et rougir un peu plus, de sentir ses mains contre ta peaux. Ça t'as terriblement manqué, comme sensation. Tes lèvres plongent finalement sur les siennes, et tes mains s’agrippent a sa chemise, comme pour lui faire comprendre que tu veux plus jamais être séparé de lui, plus jamais. Une petite larme de soulagement coule le long de ta joue, tu n’arrêtes pas le baiser pour autant, c'est tellement bon. Tu murmures contre ses lèvres, "plus jamais on va loin l'un de l'autre..."
Qu'il est bon de le retrouver, qu'il est bon de le serrer de nouveau dans mes bras, sentir de nouveau son odeur, la chaleur de sa peau, les chatouilles de son souffle dans mon cou. Oui c'est officiel, je l'aime, je suis accro, je suis drogué, je suis dépendant à sa présence tout près de moi. On chut sur le canapé, j'explose de rire en le serrant fort contre moi et je ferme les yeux. Je sens son visage dans mon cou, je frisonne, je caresse le bras de son dos alors qu'il se redresse pour m'embrasser en me disant que je suis sa drogue et que plus jamais il ne veux qu'on soit l'un de l'autre trop loin. Il est sur qu'un mois sans lui a été une torture, il n'imagine pas a quel point. Je tournais un peu en rond, accroché au moindre sms qu'il pouvait m'envoyer. Je remonte le long de la colonne, c'est un truc que j'aime faire, suivre chaque courbe de sa colonne, passant lentement mes doigts entre ses verterbes en remontant, j'aime ses petits creux fait par sa colonne sur sa peau. Je l'embrasse de nouveau avant de reculer juste assez mon visage pour voir ses magnifiques yeux et je lui souffle. « Cet été...tu pars avec moi sur les routes, il est hors de question que je parte sans toi, ma tournée sera avec toi à mes cotés... »
Quand tu lui fais des bisous dans le cou, tu sens l'odeur de son parfum qui te titille les narines, ça sent bon. Ça sent délicieusement bon même, on en mangerait, hein Axel? Tu adores ça, toi. Quand tu sens ses mains glisser le long ton dos et ses doigts parcourir chaque centimètre de ta peau, ça te fait machinalement te coller un petit peu plus contre lui en laissant échapper un léger soupire d'aise. Qu'est-ce que tu te sens bien contre lui, qu'est-ce que tu es bien dans ses bras c'est fou ça. Et puis ses baisers, tu t'en lasserais jamais. Tu pourrais en manger, encore, et encore, et encore, a tout jamais, même. Il te dis que tu vas partir sur les routes avec lui. Ça te fait rosir, c'est une invitation, non c'est même une obligation, en fait. De toute façon, obligation ou pas, tu aurais quand même accepté. Peut-être même que si il ne t'avais pas demandé, et bien tu lui aurais imposé ta présence, tu te serais fait discret, toi, tout caché dans sa valise. "Oui, je veux y aller avec toi, je veux plus jamais être loin de toi, c'est trop dur sinon, amour..." que tu lui dis avec des petits chuchotements.
Tu le regardes, tu regardes son visage, tu le détaille, tu peux plus détacher tes yeux de lui. Son front, ses yeux, son nez, ses joues, sa bouche, son menton, ses oreilles. Tout. Tout en lui est magnifique de toute façon. Tu poses doucement tes mains sur ses joues et tu peux pas t’empêcher de poser tes lèvres sur les siennes en te penchant sur lui. Après, tes mains descendent, le long de son cou, de son torse, de son ventre, puis elles finissent par remonter et rester sagement posées sur son torse.
Quand je lui parle de partir avec moi lors de ma tournée cet été, après tout, cela fait longtemps qu’elle est prévue, avant même que je fasse la connaissance d’Axel, oh mon axel, j’ai enfin quelqu’un pour m’accompagner en tournée, jusqu’à présent je n’avais que ma troupe de danseur et de musicien, mais certains soirs je me laissais tenté par un fan qui me plaisait bien, ben quoi ? faut profiter un peu de la vie, mais maintenant j’ai Axel et il me suffit amplement, il est aussi chaud du bulbe que moi. Alors c’est le bonheur assuré. « Alors cet été, toi et moi, ainsi que ma troupe, dans le bus de tournée, dans les loges, dans les hôtels, toujours auprès de moi, tu auras tous les droits, on va être bien cet été, partout dans le monde…Hum…Tokyo…Paris…Amsterdam….Et tant d’autres »
Je ne peux me retenir de sourire en parlant, me mordillant la lèvre, tout cela me rend impatient, je souris et je l’embrasse langoureusement alors que je sens ses mains sur mon torse, mes mains retrouvent leur place, l’une dans ses cheveux l’autre dans son dos, et je l’attire contre moi, j’en grogne même sans le vouloir tellement j’en peu plus du manque de lui dans tous les sens du terme. « Je vais te dévorer tout cru toi… »
Aucun doute que tes vacances d'été vont être les plus parfaites de ta vie. La toute première fois que tu partiras en vacances sans tes parents et loin, dans un autre pays. Il commence a te faire une liste des pays que vous aller voir. T'es tout excité, t'as presque envie de partir maintenant tellement que t'es excité et impatient, toi, Axel. "On part quand?" que tu lui demandes, les yeux remplit d'excitation et de paillettes. Qu'est ce que t'es impatient, toi, en fait, le temps passera probablement dix fois moins vite que d'habitude. Il te tire sur lui, tu t’assois à califourchon sur le bas de son ventre et tu te penches sur lui pour l'embrasser, les mains posées sur son torse. Ça te fait rougir quand il te dit qu'il va te dévorer tout cru, avec un petit sourire d'amusement, tu peux pas t’empêcher de lui répondre, les lèvres a quelques millimètres des siennes : "Comment tu vas faire pour me dévorer ton cru, amour..?" T'as beau jouer les mecs coquins, t'as quand même les joues roses et un regard mi-timide, mi-malicieux. Tu glisses tes mains par dessus son débardeur blanc pour laisser tes doigts courir sur la peau de son torse. Il a la peau toute chaude, alors tu lui dis doucement, "t'es chaud", avant de te mettre à rire timidement, parce que en fait oui, il a l'air chaud, et dans tout les sens du terme, en plus. Suffit de regarder ses yeux, il dit rien comme ça, mais t'es certain que dans sa tête, il a déjà fait l'amour dix fois.
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