Is that really you ? (martin)

« Mmmmh, si tu savais les choses que je fais en regardant nos photos … » J'affichais une mine de dégoût en voyant sa tête de pervers. Okay, pourquoi j'avais dit ça sérieux, maintenant il m'avait dégoûtée de lui en deux secondes. Bon, j'étais déjà dégoûtée de base mais maintenant c'était le summum. J'pense pas que tu puisses faire quoi que ce soit avec la taille de ta bite inexistante. Comment faire rager un mec en trois secondes, parler de la taille de sa virilité. Sérieux, c'était un truc à pas faire et je comprenais que ça pouvait mettre la haine. Quand on parlait de mes seins je commençais à m'énerver, bon heureusement mes fesses arrangeait le truc. (a) mais c'était quand même saoulant, alors pour le seul truc de génial que les hommes pouvaient avoir, si on se mettait à les clasher là-dessus, ça passait super mal pour eux. « ça me rassure, j’aurais tellement culpabilisé d’apprendre que tu ne t’étais pas remise de mon départ, que t’avais pleuré, que t’avais essayé de t’ouvrir les veines avec une enveloppe et tout. Mais si t’as trouvé un remplaçant, tant mieux, même si j’pense que mes frisotis t’ont manqué. » Okay, j'avais maintenant envie de vraiment le frapper. Autant j'étais contente de le voir y'a cinq minutes, mais maintenant il me tapait sur le système. M'enfin c'était notre jeu, on avait toujours communiqué en se lançant des pics et faut croire que c'était toujours d'actualité aujourd'hui. Le seul sang que j'aurai sur ma main sera le tien quand j'vais t'attraper par surprise et t'égorger chéri. annonçais-je tout naturellement. Je préférais pas trop répondre quant au reste, et je pris rapidement mes affaires pour les poser à côté des siennes. Non pas que j'veuille rester avec toi, mais j'me fais chier toute seule.

(Invité)

I believe I can touch the sky

C'est pas parce qu'elle s'appelait Skye et qu'elle avait l'impression de toucher le ciel qu'elle pouvait voler avec les aigles, ouais parce qu'elle c'était un pigeon comme Nabilla. Qui fait caca de partout et qui pue. Alors ouais, ce n'était clairement pas possible qu'un mec puisse bien vouloir d'elle, à moins qu'il soit aveugle et qu'il chante sous les sunlights des tropiques quoi. Martin n'en croyait pas ses oreilles, roulant les yeux vers le ciel. C'était petit, très petit de critiquer Martin-Piqueur. Et malheureusement pour elle sa remarque puéril ne l'offensait point, tout simplement parce qu'elle, avant de devenir une fille, en avait une plus petite que lui. Pas besoin de nier, il savait tout sur le passé plus que troublant de la demoiselle, enfin du monsieur, Sky pour être plus précis. « Au moins moi j'ressemble pas à une vache de l'amour est dans le pré. » riposta-t-il d'un ton las comme s'il parlait à un bébé de quatre ans qui ne comprenait rien. Bref, au moins elle ne semblait pas avoir été très touchée par votre séparation, toujours aussi froide cette fille. Bien que qu'il aurait voulu savoir qu'elle avait pleuré comme une madeleine juste pour ses beaux yeux pour une fois et non à cause d'un bout d’oignon coincé dans l'oeil. Voilà aussi pourquoi ce n'était pas possible qu'elle ait trouvé un autre mec, trop relou. Martin souriait bêtement avant d'ajouter « Egorger ? Tu sais que c'est considérer comme une forme d'amour et de luuuve dans certaines tribus d'Afrique. » Pas qu'il avait spécialement envie d'entendre des messages de tendresse de la part de la demoiselle, mais il se devait de passer l’info. Puis elle posa ses affaires près de lui, tranquille la meuf, posey comme Tyler. Martin ne put s’empêcher de répliquer, en faisant des aller-retours du regard entre ses affaires et ses gros yeux de chouette culotte ; « Ouais ouais, c'est sûr que ça doit te changer un peu de passer du temps avec moi, tu dois avoir l'air trop débile à parler toute seule, à ton poto imaginaire, l'homme de tes nuits. » rigolait Martin les yeux pétillants de malice. Bizarrement, il sentait que cette conversation n’allait pas tarder à se finir sous la flotte.

Skye

Copyright Clochette

(Invité)

« Au moins moi j'ressemble pas à une vache de l'amour est dans le pré. » Je croisais les bras et levais les yeux au ciel. Ahahah, vraiment pas drôle. En attendant tu fantasmais sur moi quand on était ados et j'suis sûre que c'est toujours le cas. D'ailleurs ma tête est ici, pas en bas ! répondis-je en pointant ma tête. Ouais, il regardait mes boobs cet enfoiré, j'en étais sûre. Bon ça faisait quand même plaisir vu que je complexais pas mal là-dessus, vu qu'ils étaient petits. Mais merci mon dieu l'effet push-up sur mon bikini faisait vraiment effet, j'allais pouvoir faire la belle tout l'été. (a) « Egorger ? Tu sais que c'est considérer comme une forme d'amour et de luuuve dans certaines tribus d'Afrique. » je levais à nouveau les yeux au ciel, puissance mille cette fois-ci. Il trouvait toujours réponse à tout, même quand c'était vraiment con. Comme 90% des choses qui sortait de sa bouche, en fait. Avec moi ça va être une toute autre chose qu'une forme d'amour. Fais gaffe, la folle vache que je suis pourrais s'retrouver dans ta tente. Ouais j'pari que comme le clochard que t'es depuis que t'as déménagé, t'avais pas d'quoi t'offrir un chalet ? Triste vie, j'te plains. Ouais la pilule passait toujours pas concernant son déménagement. Je finissais par prendre mes affaires et rejoindre Martin où il était installé. « Ouais ouais, c'est sûr que ça doit te changer un peu de passer du temps avec moi, tu dois avoir l'air trop débile à parler toute seule, à ton poto imaginaire, l'homme de tes nuits. » Mais bien sûr. T'en fais pas pour moi, j'ai déjà un homme de mes nuits.. différent chaque nuit d'ailleurs. ouais j'étais pas du genre à me poser avec quelqu'un. Je retirais mes habits, dévoilant mon bikini. J'te sens pâle tout à coup, qu'est-ce qui se passe ? T'as pas l'habitude d'avoir une jolie fille à côté de toi ? Tu m'étonnes..

(Invité)

I believe I can touch the sky

Tous les ados fantasment sur leurs potes filles, c’est un fait avéré. On croit qu’il fantasme sur les actrices pornos ou les nanas pas trop vêtues sur les magazines de tuning, mais paaaaas du touuuuut. Alors oui, Martin avait eu une période de perdition où il pensait à elle quand … Mais faisons impasse sur ce sujet dégoûtant pour revenir à l’essentiel ; la poitrine de Skye. « Oui je sais, mais je me demandais si t’avais fait ta puberté depuis le temps. Apparemment pas à tous les niveaux. J’vois les traces d’acné là, mais par contre là … » Il pointa du doigt la zone sinistrée où était censé se trouver ce qu’on appelle communément boobs. En plus, elle critiquait les tentes maintenant, et beeeeh. « J’ai une caravane avec un ventilateur de luxe, oui madame ! ça me ferait très plaisir de te le montrer tantôt, n’hésite pas à passer. » Elle verra que c’est plus luxueux que son chalet. Non mais un chalet quoi, et pourquoi pas un cottage ? Elle s’est crue à la montagne avec les caribous elle ou quoi. En fait, Martin décela vite le plus gros problème de Skye et la raison de sa frustration ; son Tchèque préféré lui manquait. Il ne tarda pas à procéder à l’analyse psychologique tant attendue par les spécialistes ; « Tu sais que ton incapacité à te poser peut être une traduction du manque que tu as à mon égard. Je te manque tellement que tu tentes de le compenser en changeant d’hommes tous les soirs. T’es un peu Cendrithon qui ne trouve pas la chaussure à son pied. » Et toc. Par contre, quand elle se déshabilla pour montrer son bikini, OK, Martin resta quelques secondes bouche bée. Une fraction de seconde. « Une jolie fille ? Où ? » Il se mit à marcher vers le lac et pouffa de rire. Puis il se retourna ; « Ah, tu parlais de toi … » Et il se remit à rire avant de reprendre son chemin. Il était temps de tester la baignade dans un lac en plein milieu du désert.

Skye

Copyright Clochette

(Invité)

« Oui je sais, mais je me demandais si t’avais fait ta puberté depuis le temps. Apparemment pas à tous les niveaux. J’vois les traces d’acné là, mais par contre là … » je lui lançais un regard noir. Quel enfoiré. Il avait capté que j'avais des soucis de complexité avec ma poitrine, mais je ne comptais pas devenir comme Shauna Sand, fallait pas rêver. Fais pas style, j'sais que tu préfères les meufs simple dans ton lit. Mais tu m'attaques là-dessus parce que tu sais que tu m'auras jamais dans ton lit, triste vie. Console toi avec ta main droite, mais tu finiras par avoir une tendinite à force de trop insister, fais gaffe. C'est bon j'avais grillé son bras droit plus musclé que celui de gauche, il était trop dans le forçage ce gars. « J’ai une caravane avec un ventilateur de luxe, oui madame ! ça me ferait très plaisir de te le montrer tantôt, n’hésite pas à passer. » je lâchais un rire, il était vraiment trop naïf ce gars. Tu crois que j'vais quitter mon chalet pour passer dans une caravane ne serait-ce que quelques minutes ? J'ai mieux à faire. J'étais déjà assez gentille pour lui accorder de mon temps là, donc il allait pas exagérer non plus en voulant me faire venir dans son trou à rat. « Tu sais que ton incapacité à te poser peut être une traduction du manque que tu as à mon égard. Je te manque tellement que tu tentes de le compenser en changeant d’hommes tous les soirs. T’es un peu Cendrithon qui ne trouve pas la chaussure à son pied. » Cendri quoi ? Il venait de me traiter de thon ? Tellement de mauvaise foi. C'est tellement pitoyable de ta part de faire comme si tu me trouvais moche et d'essayer de retourner la situation à ton avantage. Rappelle moi qui est-ce qui est venu pleurer sur Skype quand t'avais appris que tu déménageais ? Alors tu devrais apprendre à la fermer parce que j'peux te rafraîchir la mémoire et te taper l'affiche au passage tellement tu m'faisais pitié. répondis-je avant d'étendre ma serviette, comme si j'étais à la plage. Puis on en venait à parler de ma beauté évidente. « Une jolie fille ? Où ? Ah, tu parlais de toi … » je lui lançais un doigt d'honneur. C'était dans ces moments-là qu'il fallait vraiment autoriser la maltraitance sur animaux. Je le rejoignais tout de même, ne comptant pas rester seule. Si tu mouilles tes cheveux, tu te transformes en mouton ou comment ça s'passe ?

(Invité)

I believe I can touch the sky

Oulaalaaaaa, Martin venait de pointer du doigt le point faible de Skye, aka sa poitrine. Ou son absence de poitrine, en l’occurrence, mais n’insistons pas, on a toujours appris à Martin à ne pas parler dans le dos de quelqu’un. Donc, il critiquerait la poitrine de Skye quand elle sera dans les parages, c’est-à-dire jamais, sauf si elle fait appel à Docteur Glamour pour qu’il lui mette un peu de silicone par-ci et un peu de silicone par-là (des deux côtés quoi, ça sert à rien d’avoir un boob plus gros que l’autre). « J’compte bien me consoler. Pour ton plaisir à toi, évidemment. Je sais que tu adooooreees mater mes gros muscles. » Bon, Martin n’était pas Schwarzy, mais elle ne pouvait pas dire qu’il avait que du gras autour du cœur hein. « Ben ouais, si dans cette caravane il y a moi. » répondit-il du tac-au-tac, avant d’embrayer rapidement sur le sauvetage de son égo, quand Skye lui rappela qu’il avait chialer quand il avait su que son père raccrochait avec l’entreprise des Rhodes. Il lui lança un regard noir avant de rafraîchir à son tour sa petite mémoire de Cendrithon ; « Bitch please, tu pleurais tout autant. Fais pas genre. Tu mettais même plus de smiley dans tes messages quand tu l’as su. J’ai cru qu’on t’avais lobotomisé le cerveau et retiré la fonction kikoo de tes gênes. Apparemment pas. T’étais juste triste. » Et bim, faut arrêter de s’attaquer à plus grand que soi, n’est-ce pas Skye Rhodes. Finalement, il était temps de prendre un peu l’eau et ils se dirigèrent ensemble jusqu’au lac, où la brunette ne put s’empêcher de critiquer l’œuvre d’art capillaire qui siégeait au sommet de la tête de Peček. « Ouais, une goutte là-dessus et je frise, oh mon dieu quoi, faut pas que je me mouille au-dessus des épaules. J'ai oublié mon lisseur. » lâcha-t-il super sérieusement, imitant toutefois la petite voix de Skye. Ouais non, y a que les nanas qui frisent et qui en font toute une montagne. D’ailleurs, Martin attrapa par surprise Skye et la porta comme une princesse – ou pas. Il courut jusqu’à l’eau avec la Rhodes dans ses bras et une fois au niveau de la taille, la lâcha pour qu’elle boive la tasse. « Je suis un héros ! J’ai ramené Moby Dick dans son état naturel ! »

Skye

Copyright Clochette

(Invité)

« J’compte bien me consoler. Pour ton plaisir à toi, évidemment. Je sais que tu adooooreees mater mes gros muscles. » je regardais autour de moi en arquant un sourcil. Ah tu parlais de TES muscles ? J'avais pas compris, vu que j'en vois pas spécialement là. Bon okay il avait pas de bras grassouillets et fort heureusement, parce que je serais partie en courant. Mais fallait pas exagérer, il était loin d'être le mec le plus musclé que j'avais vu dans ma vie. C'est moi ou t'es encore plus narcissique qu'avant ? Je déteignais trop sur lui faut croire. La différence c'est que moi j'étais vraiment hors classement, alors qu'il était toujours en bas de la liste. (a) « Ben ouais, si dans cette caravane il y a moi. » Le pauvre il s'y croyait vraiment, fallait qu'il arrête son délire parce que je voulais pas trop être méchante et le recaler trop violemment non plus. Raison de plus pour pas que j'vienne, j'voudrais pas me faire violer. Il pouvait faire flipper parfois quand il faisait son regard de pervers. « Bitch please, tu pleurais tout autant. Fais pas genre. Tu mettais même plus de smiley dans tes messages quand tu l’as su. J’ai cru qu’on t’avais lobotomisé le cerveau et retiré la fonction kikoo de tes gênes. Apparemment pas. T’étais juste triste. » J'arquais un sourcil et croisais les bras. J'allais le tuer quand franchement ? Si y'avait personne je l'aurais noyé dans le lac sans aucun regret. La fonction kikoo de mes gênes te faisait kiffer en attendant quand tu m'demandais de te faire des coeurs parce que t'étais en manque d'affection. Ouais fallait pas tout confondre. Il m'avait fait plus de peine qu'autre chose. « Ouais, une goutte là-dessus et je frise, oh mon dieu quoi, faut pas que je me mouille au-dessus des épaules. J'ai oublié mon lisseur. » Je le suivis mais n'eus même pas le temps de répondre qu'il m'attrapa par surprise avant de me jeter dans le lac. Bon au moins j'étais pas habillée, c'était déjà ça. Je remontais à la surface et le poussais avant de lui mettre un coup de poing sur le torse. Ouais j'avais une petite force mais je faisais de la boxe les gars. MES CHEVEUX PUTAIN ! gueulais-je, ouais c'était important les cheveux. J'étais restée une heure à me faire belle ce matin, il avait tout gâché.

(Invité)

I believe I can touch the sky

Tsktskstsssk. Bien sûr que Martin avait des muscles, SVP. Il faisait du sport, faut pas croire, en fait, quand il était en République Tchèque, il était même dans l’équipe d’Ice Hockey de son université. Il espérait qu’il y en avait une à Harvard, histoire de ne pas trop perdre, et surtout pour le plaisir de Skye qui avait un besoin vital de baver sur ses gros muscles, tout le monde le sait. D’ailleurs, elle déclina son invitation dans sa caravane. Trolololol. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle ne fasse une Zéphyr et décide d’y pénétrer incognito pour rejoindre Martin sous ses draps, sous la fraîcheur de son ventilateur. « Te faire violer ? Ahahaha, c’est plutôt moi qui devrais me dépêcher d’investir dans des verrous plus solides. » On verra dans quelques semaines. Ou quelques jours. Ou quelques heures. Ben oui, suffisait que Martin la porte pour qu’elle puisse checker en live qu’il avait en effet du muscle, muscles dont il se servit pour la jeter à la mer. Bon, il n’avait pas prévu le retour de flamme, aka le poing sur le torse mais ça va, elle avait juste une force de chaton qui aurait fusionné avec un champion de kickboxing. Ça passe, quoi. Martin tomba à son tour en arrière et, quand il remonta à la surface, s’écria à son tour en imitant la pseudo princesse ; « MES CHEVEUX PUTAIN. » ça va friser, SOSSSSS, tous les cris les SOS partent dans les airs lalalalalaaaaaa. « Estime-toi heureuse que nous nous trouvions dans de l’eau douce. Dans l’eau de mer, t’aurais été bonne pour un shampoing et tout. Là c’est bon, suffit de frotter un peu comme çaaa, et comme çaaaa … » fit-il en frictionnant ses mains de part et d’autre de la tête de Skye, pour la décoiffer encore plus en fait.

Skye

Copyright Clochette

(Invité)

« Te faire violer ? Ahahaha, c’est plutôt moi qui devrais me dépêcher d’investir dans des verrous plus solides. » Je soupirais bruyamment en levant les yeux au ciel pour la millième fois depuis.. quinze minutes ? J'avais oublié à quel point c'était un vrai gamin totalement immature level infini. Je commençais même à regretter de l'avoir interpellé, parce que j'aurais pu continuer ma vie tranquillement. Voilààà fais ça, ça m'fera des vacances. Je cherchais même pas à démentir, il était tellement taré dans sa tête qu'il s'était inventé toute une histoire dans sa tête sur le fait qu'il était mon centre du monde. Puis il me faisait tellement de peine, il était vraiment en manque d'affection. Dans cinq ans il allait finir dans une télé réalité pour rencontrer l'amour. Il tombait en arrière suite à mon coup et remontait à la surface pour m'imiter avec une voix de travesti. « MES CHEVEUX PUTAIN. » mais quel idiot mon dieu, fallait vraiment le tuer cet enfant, pour débarrasser le monde de déchets de son genre. Puis il fit l'impardonnable, oser toucher à mes cheveux. Puis c'était bien la merde quand c'était mouillé c'était pire, je devais plus ressembler à rien. « Estime-toi heureuse que nous nous trouvions dans de l’eau douce. Dans l’eau de mer, t’aurais été bonne pour un shampoing et tout. Là c’est bon, suffit de frotter un peu comme çaaa, et comme çaaaa … » je finissais par l'arrêter en lui foutant un coup de pied dans l'entrejambe avec mon genou. Tant pis pour sa gueule. T'avais pas qu'à m'chercher, bien fais pour ta gueule ! m'exclamais-je.

(Invité)

I believe I can touch the sky

Vous savez, les nanas, dans les cours de récréation, quand on leur tire les cheveux, au début elles rigolent. Enfin non, au début elles râlent. Mais après elles rigolent et font même exprès de se faire une queue de cheval version poney de concours pour inciter les garçons à tirer leurs cheveux, parce qu’elles le traduisent comme une manière pour les garçons de montrer qu’ils aiment bien la fille. Attention, pas tout le temps quand même. Des fois, le garçon il tire juste les cheveux parce que c’est un fétichiste des cheveux, et dans ce cas il faut penser à lui faire suivre une expertise psychologique. M’enfin, revenons au sujet principal ; Skye. Là, elle était en mode ’gros con ne me tire pas les cheveux ou je te tire tes poils de bbbbb…’. Mais Martin ne pensait pas qu’elle réagirait aussi violemment, à savoir tenter la castration naturelle en s’en prenant à Martin-Piqueur et ses petites sœurs. Sitôt que son pied caressa violemment ses parties génitales, le Tchèque réprima un cri alors que ses deux mains vinrent automatiquement se poser vous-savez-où, comme pour inhiber la douleur. « Je te déteste, aaaaaaaaaaah. » lâcha-t-il finalement en plongeant sa tête sous l’eau, pensant sans doute que ça suffirait à lui changer les idées, mais non. « J’ai compris, OK, c’est bon, j’ai compris. Ne t’approche plus de moi. » Non mais c’est mort là, elle ne savait pas s’occuper d’un homme un vrai.

Skye

Copyright Clochette

(Invité)

(Contenu sponsorisé)