get out of my way i'm a little bit drunk. (Tom)

Besoin de prendre l'air, de m'évader, de sortir un peu. Les soirées en boîte de nuits semblent être cool même si les tentations sont grandes. J'enfile un short et un débardeur avant de prévenir Will que je sortais, il était visiblement en bonne compagnie, je souris en claquant la porte du chalet avant de me rendre à mon endroit de prédilection de la soirée. Je croise quelques personnes que je ne connais que de visage avant de rentrer. Je ne suis pas fatiguée. Je veux profiter. Les musiques sont entraînantes et je me laisse tenter. Après tout, un verre qu'est ce que cela me fera ? J'ai toujours bien pris mes cachets. Je commande un verre de Tequila, il paraît que c'est le meilleur. Le barmaid me le tend, et je fais comme dans les films, comme ce que j'ai vu. Je les vide cul-sec, un puis deux, puis trois. Puis j'ai la tête qui tourne et je bouscule quelqu'un en essayant de marcher droit , renversant ma boisson alcoolisée au passage. Tom. « Maaaaaaaaaaaaaaais, pourquoi tu te met sur mon chemin aussi toi ? » J'explose de rire avant de le prendre dans mes bras. « J'suis désolée pour le bal tout ça, la gifle tout ça. Tu m'en veux pas Tommy hein ? » Mon dieu, qu'est ce que je fais ? Je ne suis plus maître de mes paroles, ni maître de mes gestes ? Et où est la sortie ? Ca tourne. Sauvez moi.

Ce seraient cool ils ont dit, ça te feras rien, ils ont dit, ce serais sympa qu'on le fasse tout ensemble qu'ils ont dit. Et c'est comme ça que j'ai faillit crever à cause de la pire idée du ciel. Fumer c'est sympa, avec des potes c'est encore plus sympa, mais fumer dans une tente avec des potes c'est toxique. On a allumer un bédo, on a commencer à le faire tourner et dix minutes après on était tous étouffé par la fumer qui avait remplacer l'air environnant. En sortant de là, j'étais complètement péter. Mon frère me fait signe qu'il faut que j'aille me rafraîchir au bar, prendre un verre d'eau, ou un verre de bière, qui me permettrais de retrouver une vision correcte. Je m'élance donc dans ce grand voyage et heurte, quelque chose, une tête sur le passage. Je baisse les yeux, et tombe nez à nez sous ce petit oiseau de Bird, je roule des yeux mais elle rectifie le tire en s'excusant : pour le verre et pour le bal. J'me rend compte qu'elle est bourrée, que je suis défoncé aussi, alors j'accepte en secouant la tête et caresse le haut de son crâne en gloussant. « Je vais avoir du mal si tu m'appel Tommy, Birdichou. » dis-je en gloussant. Je prend ce qui reste de son verre pour boire le fond du verre d'un coup. « T'en veux un autre ? » dis-je en agitant le verre. Y a plus de bleu, ni de verre, là on est juste des élèves normaux qui décide de se bourré la gueule ensemble, en Septembre ça changeras mais pour le moment, Bird est une fille cannon parmi tant d'autres.

Ca tourne, ça tangue, j'ai mal au coeur et j'ai l'impression que tout le monde est en double. Alors c'est ça être saoul ? Je n'ai pas manqué grand chose, enfin c'est le seul résonnement que je me fais avec le peu de jugeotte qu'il me reste. Puis j'ai chaud. Trop chaud. Lorsque j'entame mon 3ème verre de téquila, je remercie le serveur dans un langage que je trouve un peu trop bizarre à mon goût mais tant pis. Puis je heurte quelqu'un, renversant ma boisson alcoolisé sur le sol. Je fais une moue boudeuse avant de me rendre compte que c'est Tom, puis je m'excuse. Pourquoi je m'excuse ? Je n'ai pas à m'excuser. Mais l'alcool fait faire de drôles de choses visiblement. « Mais c'est beau Tommy ! Tu trouves pas ? Ca sonne... Tommy quoi ! » Je reste alors pendue à ses bras quand il finit son verre pour m'en proposer un autre, je fais alors une tête de nana qui réfléchit avant de proclamer « OUAIS ! Allez ! UN AUTRE, FAIS MOI GOÛTER LE PARADIS TOMMY. » Je souris en m'accoudant sur le bar, posant mon verre vide sur le bar et attendant que Tom choisisse ma boisson, heureusement qu'il paraît que quand on boit, on oublie ce qu'on dit parce que vaudrait mieux que j'oublie.

Elle est dans un état second, je le suis aussi, mais j'ai déjà était dans plusieur état second pour reconnaître une personne qui essaie pour la première fois. Je repense à ce qu'elle m'avait dit la dernière fois en me balançant son verre à la gueule : je ne boit pas. Encore une attitude Eliot qui prouve bien à quel point ils sont contradictoire, les fils à papa n'attende qu'une chose : le feu vert pour devenir un délinquant. Je caresse le haut de son crâne alors qu'elle me fait un sourire, ce genre de sourire qui rend ses jours rose et transforme tout ce qu'elle voit en drôle et amusant, c'est ce que les Halberstam appel : l'effet Dumbo. Parce que c'est comme dans Dumbo, quand y a plein d'éléphant rose qui tourne autour de sa tête, c'est exactement cette effet là. Je ris en l'entendant continuer à m'appeler Tommy et finit par le pas relever, je l'entraîne au bar ou je prend un verre d'eau, avant de commander une plaquette de dix shoot de tequilla, avec la petit rondelle de citron qui va avec. « C'est pas encore ça le paradis. Ça ce n'est que le première étape. » Dis-je en poussant un verre près d'elle. « A ta première cuite petite oiseau ! » dis-je en avalant cul sec un verre.

il faut que j'arrête de boire est-ce que je pensais sérieusement dire cela un jour ? Non je ne pense pas, et si ma mère apprend ça, elle va m'en mettre une, mais tant pis. Je m'en fiche. Pourquoi est-ce qu'il a fallu que je croise Tom, le seul être au monde que je déteste autant que je déteste Regina dans la série Once Upon a Time. Et pourquoi je lui fais des câlins ? Faites que j'oublie ça demain s'il vous plaît. Je prie intérieurement avant qu'il ne me traîne jusqu'au bar ou je manque de me rétaler au moins deux fois, mais une fois mes deux mains posés sur le bar, je me stabilise et je le regarder commander ce qui semble être des shots. Mais non, enfin, non, pas ça. « Et c'est quoi la deuxième étape Tommy ? » Je pouffe de rire avant de lui répondre « Merci ! Enfin, je n'sais pas si je dois te remercier mais merci quand même. » Je regarde alors le contenu de mon verre avant de le porter à ma bouche et de le vider d'un seul trait, l'alcool me brûle la gorge et me tire une grimace, mais je porte alors le bout de citron à ma bouche et ça m'adoucit légèrement la brûlure. « Je veux voir la deuxième étape. » Je lui tire la langue avant de vider un deuxième verre, et répétant la même opération avec le citron. Ivrogne.

Je pensais pas que ce serais si facile d'avoir une seconde chance avec Roth-Spiegelman. Je pensais sérieusement qu'il aurait fallut laisser passer des litres d'eau couler sans les ponts, et des années de silence pour qu'un jour de la retrouve mère de famille, avec un gars qui se prénom Robert – agent immobilier ou banquier – à ses côtés et qu'elle en est tellement marre de sa vie de mère au foyer, ou de psychologue qu'elle me supplierais de lui faire prendre son pieds dans une station service. Bien sure j'aurais accepter, j'aurais même étant son amant plus d'une nuit, et j'aurais enfin pu lui dire : tu le regrette cette gifle alors ? Mais rien de tout ça. Elle s'est excuse, et elle me dit merci. J'en fait prèsque les gros yeux, lorsqu'elle entame son première verre en grimaçant t-elle un enfant. Je fait de même mais je n'ai plus ses grimaces qui vont avec, le goûts en est devenue limite familier, et ne fait qu'envoyer des feux d'artifice dans mon cerveau, je n'ai même plus besoin de citron, je préfère savourer le spectacle que j'ai devant moi : une petite eliot complètement paumer, qui s'abandonne au plaisir de la vie. « T'es vachement presser dit donc. » je ne perd pas une minute, elle est peut être dans un bad trip ou elle reprendrais connaissance dans la minute qui suit. Mes doigts se pose sur sa joue, que je caresse de mon pouce et sans attendre, je colle mes lèvres aux siennes, dans un doux baiser goût citron. « Pour la première étape, il nous faut un plus d'intimité. » PRELIMINAIRE.

Je déteste ce mec et je passe ma soirée avec. N'importe quoi. Claquer moi la tête dans le mur s'il vous plait. Aidez-moi, réveillez moi, je ne sais pas. Théo t'es ou ? Pourquoi t'es pas la ? Pourquoi t'es pas venu ? Après tout, Théo serait la, il ne me laisserait pas boire, alors reste où tu es Théo ! Voilà que je me met à parler à mon frère. N'importe quoi. Bird arrête de boire. J'envoie balader ma conscience, avant de vider un nouveau verre. La, ça commence vraiment à tourner. Je pense que je me débrouille pas mal, puisqu'il ne se moque pas de moi. Je suis sûre qu'il s'en serait donné à cœur joie, se moquant de moi, m'affichant devant tout le monde mais non. Pas mal pour une première fois. « Ba quoi ? Tu m'aguiches aussi ! &raquo Je suis sûr qu'il le fait exprès et que c'est lui qui a commandé mon cerveau pour que je boive. Je n'ai pas le temps de saisir un nouveau verre que je sens ses lèvres sur les miennes, et sa main sur ma joue. Instinctivement, j'entoure son cou de mes bras avant de le laisser se reculer. « Allons.. Dans ta tente ? Mon cousin est la, et j'ai pas envie qu'il me voit avec toi. » En vérité, j'aimerais que personne ne me voit avec lui.  Je saisis alors sa main, et l'attire dehors, déposant une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes. « Elle est loin ta tente ? » Impatiente. Voilà ce que je suis. Impatiente. Alors que je ne devrais pas.

Je perd pas mon temps, j'ai pas envie de le perdre surtout pas quand c'est une fille aussi coriace que Bird. C'est pas du viole, puisqu'une fois mes lèvres sur les siennes, elle a trois options : un) elle me gifle, me jette son verre comme la dernière fois et me traite d'enculer, deux) elle se détache et fait un air choquer en mode : tommen, tu n'as pas oser ! Ou trois) elle se laisse faire, me rejoind dans une valse sensuelle avec la langue et accepte mes avances. ET C'EST LE TROIS, C'EST DANS LE MILE, HALBSTRAM EST SUR LE TERRAIN, JE REPETE HALBERSTAM EST SUR LE TERRAIN. « T'es presser dit-donc. Je suis avec mon frère, mais je pense qu'il est pas là. » et même si il est là, on le vire. Je l'aide à se relever, elle titube déjà un peu. Je fronce les sourcils bien sur lorsqu'elle me dit qu'elle ne veut pas qu'on nous voit ensemble, pour moi c'est une victoire de me taper une bleu, mais pour les bleus c'est une défaite de se faire avoir par un vert, Livia me l'avait bien fait comprendre en essayant de porter plainte contre moi, alors que la petite cochonne ne cesser d'hurler : VAS-Y TOM, pendant que je m'occuper d'elle. « Vient là. » je la porte en mode princesse, puisqu'elle a l'air un peu fatigué, j'ai peur qu'elle ne s'écroule sur le sol et que je soit obliger de lui faire des points de suture pour la remettre sur pied. « T'est sûre de vouloir aller au Paradis Bird ? » dis-je une fois devant, je la remet sur pied, et passe mes mains autour de sa taille, embrassant sa joue, puis sa nuque, un sourire charmeur aux lèvres.

Quand je le fais sortir, je vois bien que son instinct masculin reprend le dessus, puisqu'il semble très motivé à me faire découvrir le paradis. Pourquoi est-ce que j'ai dis cette phrase aussi moi ? Je frappe inconsciemment ma conscience, je devrais le frapper lui mais non, à la place de cela j'en redemande et je le réembrasse après qu'il m'est annoncé qu'il dormait avec son frère mais qu'il n'était soi-disant pas la. Y'a plutôt intêret. Je ne veux pas qu'on nous voit ensemble, surtout qu'un Eliot nous voit ensemble, j'imagine déjà la situation de crise. Mais je ne suis pas tout à fait dans mon état normal, j'ai une excuse. Quoi que. Non. Mais c'est moi, je suis faible trop faible, un sourire charmeur, un peu d'alcool et ça y'est roulez jeunesse. Lorsqu'il me porte comme une princesse, je me met à rire avant de me cacher le visage pour cesser mon fou-rire. « Gentleman en plus. » Je lui tire la langue et je n'ose pas regarder le sol, je vais tomber sinon. Si je suis sûre de vouloir aller au paradis ? Un peu que oui. Sa tente a l'air inhabité, je souris alors, entourant sa nuque de mon cou, tandis que je presse mon corps contre le sien, une main baladeuse se glissant sur son bas-ventre. Je vais vraiment passer à l'acte avec un Mather. Au. Secours. (#CSPOTINS) Je murmure alors « Tu veux que je te donne d'autres signaux ou ça va aller ? » Je dépose mes lèvres sur les siennes, laissant nos langues se chercher, jouer ensemble, mon corps se collant au maximum contre le sien, tandis que ma main baladeuse continue son ascension lascive.

J'arrive pas à le croire. Je check mon moi du bal, lui qui croyait que cette fille était folle, alors qu'elle est juste trop trop trop cannon, et tu vas te la faire, BRAVO TOM. Une fois devant la tente, j'essaie de faire durer le plaisir, étape par étape, j'essaie de m'y tenir, mais elle a l'air d'en vouloir plus et sans attendre. Ses mains se baladent sur mon corps, alors que je fais de même pour le sien. Mes doigts qui sont poser sur ses hanches viennent saisir son derrière à peine cacher dans se mini-shirt que je tâte sans honte. Un sourire au coin se dessine sur mon visage, tandis que je me détacher d'elle pour ouvrir la tente. YOUPI, elle est ranger, si on appel ça comme ça. En tout cas : rien ne traîne, pas de slip, pas de bouffe avec une tonne de fourmis, pas de Léo endormis sur des mangas chelou, rien, qui soit suspect ou étrange. « Mademoiselle, si vous voulez bien vous donnez la peine. » je fais une révérence et lui laisse un passage pour entrée, matant son derrière lorsqu'elle se met à quatre patte pour marcher jusqu'à l'intérieur. On va s'éclater. Je sors une paire de chaussette devant la tente, je pense que Léo comprendras, c'est pas vraiment al cravate sur la porte pour : ne pas déranger, mais on fait avec les moyens du bord. Je referme ensuite la tente deux fois, pour éviter que des moustiques nous gâches la soirée en bourdonnant au dessus de nos têtes. « Vient là, toi. » Je tire doucement Bird contre moi, son corps chaud et humide à cause de la chaleur. Et reprend des baiser sauvage et passionner. Étape suivante.