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Take a deep breath
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Tu t'amuses de le voir sourire aussi fièrement quand tu "acceptes" l'idée du carton d'invitation. Il est fatiguant ce garçon, il t'épuise et ce, dans tous les sens du terme. Mais c'est peut-être ça qui te plait autant chez lui. Ou le fait que vous êtes pareils. Tu sais pas trop. Et t'as pas le temps de continuer à te poser la question puisqu'il glisse la demande d'une photo, surement histoire d'alimenter ses fantasmes lors de ses nuits solitaires. Tu ris aux éclats et tu secoues la tête avant de sourire d'un air espiègle.
- A voir si t'es sage.
Tu n'as pas le temps d'aller plus loin dans le sujet, bien vite distraite par son corps collé au tien et ses lèvres sur la peau sensible de ton cou. Tu soupires, tu fermes les yeux, tu t'abandonnes à ses baisers. Et quand il plaque ses lèvres aux tiennes pour t'embrasser à pleine bouche, tu n'hésites pas à prolonger, à approfondir. Une fois que tu sens ton short glisser légèrement sur tes jambes, tu n'hésites pas à le retirer et à l'envoyer balader lui aussi dans la pièce. Tes doigts glissent sur le torse de l'italien jusqu'à venir jouer avec la bordure de son boxer que t'as déjà envie de lui retirer. Mais tu ne le fais pas. Pas tout de suite. T'as envie de le faire patienter encore un peu, de faire durer les choses, de profiter de cette étreinte même si tu sais d'avance que ça ne sera pas la dernière.
- A voir si t'es sage.
Tu n'as pas le temps d'aller plus loin dans le sujet, bien vite distraite par son corps collé au tien et ses lèvres sur la peau sensible de ton cou. Tu soupires, tu fermes les yeux, tu t'abandonnes à ses baisers. Et quand il plaque ses lèvres aux tiennes pour t'embrasser à pleine bouche, tu n'hésites pas à prolonger, à approfondir. Une fois que tu sens ton short glisser légèrement sur tes jambes, tu n'hésites pas à le retirer et à l'envoyer balader lui aussi dans la pièce. Tes doigts glissent sur le torse de l'italien jusqu'à venir jouer avec la bordure de son boxer que t'as déjà envie de lui retirer. Mais tu ne le fais pas. Pas tout de suite. T'as envie de le faire patienter encore un peu, de faire durer les choses, de profiter de cette étreinte même si tu sais d'avance que ça ne sera pas la dernière.
crackle bones
(Invité)