Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityA good new for a good summer x Thélia - Page 2
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A good new for a good summer x Thélia

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Il me dit : "Ceci explique cela..." J'eus un petit sourire en comprenant qu'il indiquait ma poitrine et qu'il devait pas être contre cet avantage. & après bien lui avoir indiqué que je n'avais pas prévu de tomber enceinte à tout prix avant le mariage, ni que j'avais tenté d'arrêter la pilule pour avoir un enfant sans qu'il le sache, je lui assurais qu'il serait un bon père pour ce futur enfant. "Et si ce n'est pas le cas ? Je veux dire... Regarde-moi, je suis le maladroit inné. Et si involontairement je lui fais du mal ? J'ai peur...." J'eus l'impression que c'était la première fois qu'il m'avouait avoir peur de quelque chose et je trouvais ça adorable et j'avais qu'une envie c'est de le prendre dans mes bras et le rassurer. Tu es maladroit par moment, mais tu es très protecteur aussi, sérieux et tu prends soin des gens que tu apprécies. Je ne vois pas comment tu pourrais faire du mal à ton enfant.. Je sais que tu t'en sortiras bien parce que je serais là pour t'aider, pour t'épauler, tout comme tu seras là pour m'aider dans mon rôle. Parce que moi aussi j'allais être débutante. J'ai Matys mais ce n'est pas moi qui l'a élevé, qui a prit soin de lui durant son enfance, qui a changé ses couches, qui lui donnait le biberon, qui l'endormait et compagnie. & ce sont des étapes importantes et où il faut garder l'oeil grand ouvert pour que rien n'arrive de mauvais. Dans tous les cas je deviendrais Madame Cameron avant que le bébé naisse puisque d'après mes calculs, il était prévu pour fin janvier, quel bon cadeau pour bien débuter l'année 2016. J'avais juste hâte. "Pardon ? Figurez-vous future madame Cameron, que même si jamais je ne voulais plus de vous ou même l'inverse, il est hors de question que je ne laisse quelqu'un d'autre élever mon enfant. Tu es à moi." Un grand sourire se dessina sur mes lèvres, j'aimais l'entendre me dire ceci, oui j'aimais savoir que j'étais à lui et qu'il voulait que je ne sois à personne d'autre. Tu l'as toujours été d'ailleurs.... Et je sais, que tu le sais" On était proche l'un de l'autre et je le regardais attentivement. "Depuis l'instant même où ton regard à rencontrer le mien... Et moi j'ai su que c'était toi. Qu'il fallait que je te parle. Que je te rencontre car je te voulais déjà mienne...." Je me remémorais rapidement ce moment qu'il disait. Ce soir où je l'ai rencontré devant ce bar. Où il m'a abordé en disant me connaitre et cette soirée qu'on a passé. Je n'avais pas vu les heures défilées tellement je m'amuse en sa présence. Il m'avait plut dès le premier abord, physiquement puis en apprenant à le connaitre il m'a plut intérieurement. Mais il me sortit vite de mes pensées en posant ses lèvres contre les miennes pour un baiser passionné. J'en sentis mon coeur battre à la chamade. "Ou sont les autres ? J'aimerais bien fêter cette nouvelle dignement si tu vois ce que je veux dire..." Je souriais une nouvelle fois laissant un petite rire sortir de mes lèvres. Tu veux lui faire un jumeau ? dis je pour plaisanter en indiquant mon ventre un peu rond. Puis sur ses paroles je haussais les épaules ne sachant pas vraiment, mais on avait notre propre chambre, personne n'allait s'y incruster sans taper, surtout pas si la porte est fermée. C'est ce qu'on appelle la vie de colocation et on avait établit quelques règles à notre arrivée alors aucune craintes. Mes lèvres sur celle du jeune homme je posais mes mains sur ses hanches, faisant relever son tee shirt tout en le faisant reculer pour qu'on aille vers notre chambre. L'embrassant encore et encore, je gardais son haut dans une main tandis que je fermais la porte de la chambre derrière nous. Le tee shirt tomba au sol et je plaquais le dos de mon fiancé contre la porte, glissant mes lèvres dans son cou alors que mes mains caressaient le haut de son corps ainsi que le dessous de sa taille donc je déboutonnais son bas pour que lui aussi rejoigne le tee shirt qui était sur le sol..

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« Tu es maladroit par moment, mais tu es très protecteur aussi, sérieux et tu prends soin des gens que tu apprécies. Je ne vois pas comment tu pourrais faire du mal à ton enfant.. Je sais que tu t'en sortiras bien parce que je serais là pour t'aider, pour t'épauler, tout comme tu seras là pour m'aider dans mon rôle. » J'avais abaissé la tête pour l'écouter de façon plus attentive et ne pas me laisser distraire par sa beauté et ses paroles...Comment dire ? Me touchèrent au plus profond de tout mon être. « Je ferais de mon mieux, tu peux en être sûre. » Souriant, je rabattais une mèche de ses cheveux derrière une de ses oreilles en un geste très tendre. Puis, lui expliquant que l'épouser était toujours ce que je souhaitais et encore plus depuis que je venais d'apprendre que j'allais être papa, je lui faisais comprendre que fêter cette grande nouvelle dignement était une petite idée sournoise qui venait de me traverser l'esprit. « Tu veux lui faire un jumeau ? » Un éclat de rire s'échappa de ma gorge. Je savais cela impossible mais bizarrement l'idée ne m’effrayait pas. « Ce serait dommage qu'il ne se sente trop seul cet enfant... » Un sourire taquin s'installa sur mes lèvres tandis que je m'empeignais à caresser les parcelles de son corps que j'admirais tant. Puis sans crier garde, la jeune femme me rendit mes baisers avec une fougue qui me laissa sans voix. Me poussant vers notre chambre, je la laissais faire sans me battre, prêt à la laisser faire tout ce qu'elle voulait. La sachant enceinte, je ne pouvais plus me permettre de la maltraiter (a) comme je le faisais avant au lit. Elle entreprit de m'enlever mon malheureux tee-shirt qui fut réduit à néant sur le sol de notre chambre, après que mon dos nu se fut écraser contre la porte de celle-ci. « Attends... » soufflais-je en tentant de m'écarter de la pression de ses lèvres contre les miennes, essoufflé mais aussi super excité pour la position de ses mains sur mon bas ventre, prêtes à me retirer mon pantalon. « Tu es sûre que c'est prudent de faire ça...pour le bébé...ou toi ? » demandais-je alors en cherchant son regard, conscient que j’enflammais pour interrompre comme je l'avais tant de fois fait. Car comme d'habitude, j'agissais et je pensais ensuite aux conséquences... « J'ai peur de...te faire du mal. » Mes pensées s'agitaient à mille kilomètres à l'heure dans mon cerveau, si bien que je ne savais plus ce que je devais faire de correct ou pas. « Tu ne m'as rien dit...le bébé est en bonne santé ? Ou toi..? » Je voulais les deux évidemment, bien que, le bébé à son stade s'il n'arrivait pas au terme du cinquième mois, on pouvait le refaire. Perdre la jeune femme, ça se serait impossible pour moi. Je n'allais pas pouvoir la refaire...Hein ? Ok. Levant les yeux au ciel d'une façon perdue, je respirais profondément, fuyant maintenant son regard, bien qu'un petit sourire coquin étirait mes lèvres. « En fait, j'essaie de gagner du temps car Bobby est sur le point d'exploser. » Abaissant la tête, je jetais un coup d’œil à la bosse tout à fait visible sous mon jean, bien que l'une de mes mains caressaient distraitement l'un des seins rebondis de la jeune femme avec admiration.
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