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« Perfect Weapon. »
La pluie battait toujours contre les fenêtres. Le temps était chargé d'électricité statique assez étrange comme journée. Matthiew était attiré contre Serah par une force inconnue, cette force qu'il aimait bien cependant. « Matt... » le corps déjà chaud de jeune homme pris littéralement en feu. Ce simple mot avait fait exploser tous les désirent refoulés que Matthiew essayait tant bien que de mal de contrôlé. Une féroce dans ses gestes avait pris le contrôle. Le désire s'accentuait dans tout le corps de l'amant. Il recula quelques secondes le temps d'enlever son chandail qui le gênait quelque peu. Il voulait sentir toute caresse qui serait destinée à lui. Sa respiration était saccadée. Ça faisait si longtemps qu'il n'avait pas eu le plaisir de toucher une si jolie femme. Il voulait embrasser chaque partiel de ce corps qui se présenterait devant lui. Il avait commencé par l'embrasser le long de sa mâchoire avant de continuer son chemin dans son cou. Une de ses mains avait pris le chemin sous son chandail pour caresser la peau de son dos. La paume de son autre main était sagement sur la joue de Serah, caressant avec son pouce la jolie peau.
Il sentait sa tête tournée tellement le désire avait pris le dessus sur ses pensées Il remonta ses baisé le long du cou pour finir sur les lèvres parfaitement pulpeuses de l'amante. Jetant quelques fois des regards sur la demoiselle devant lui. De ses mains il parcourut les belles courbes de la jolie, avant d'agripper des ses deux mains ses fesses. Il souleva Serah afin de la poser sur le lit qui était un peu trop petit. Elle était sur le dos et lui sur elle. Sa peau contre le tissu du chandail lui rappelais cette barrière invisible. Il attendait qu'elle lui donne un signal pour tout enlever. Ça aurait si facile pour lui de la deshabillée. Le simple contact de ses doigts sur la peau de Matthiew avait un effet immédiat sur le jeune homme. Son pantalon devenait définitivement trop petit, il commençait à étouffer priant silencieusement qu'elle le libère enfin. Il ne pouvait faire autrement que de caresser ses cuisses qui étaient a porté. Remontant graduellement vers le bas de ses fesses.
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