She'll never fuckin know that, these fuckin eyes that I'm starin at ♔ AUSTERAH

Austerah

❝She'll never fuckin know that, these fuckin eyes that I'm starin at❞

Ses mains remontèrent sous mon t-shirt et je frissonnai légèrement au contact de sa peau chaude contre la mienne. Il le faisait pas ça pour la première fois, c’est certain. Ses mains avaient une certaine habileté, une agilité propre aux mecs d’expérience. Ce qui me fit me questionner, mais pas plus de quelques secondes puisque l’alcool m’empêchait de me concentrer d’avantage. « Je suis pas sûr que ça soit une bonne idée » Je rigolai avec lui, secouant la tête en attrapant ses lèvres pour une nouveau baiser. Je pressai ma main au-dessus de la sienne contre ma poitrine et lui chuchotai à mon tour. « Probablement pas.. » ne faisant toutefois rien pour l’en empêcher ou pour le repousser. J’aurais dû pourtant. J’aurais vraiment du. Et aurais-je seulement su qu’il était en couple, nous n’aurions jamais même été aussi loin. Mais voilà, maintenant nous y étions et j’y prenais plaisir.

Ses seins en main, je prenais un plaisir à les ploter et c’était encore mieux une fois que j’avais enlevé son haut et son soutien-gorge. Je me régalais à cette vue, m’emparant une nouvelle fois de ses lèvres, la lui mordant avec sensualité, laissant mes mains faire le boulant tandis que je la caressais aussi du bout des pouces. Ma bouche se perdait sur sa peau chaude et transpirante, un mélange esquit tandis que je riais tel un gogole, à sa phrase. Ce n’était pas l’idée la plus bruyante que j’avais eu. Que nous avions eu d’ailleurs et pourtant, ni elle ni moi étions en état de tout arrêter. En même temps, alcool + drogue + sexe, je ne pouvais pas passer meilleure soirée je crois.

Austerah

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Sans que je ne sache exactement quand ni comment, Austin m’avait retiré mon haut et même mon soutien-gorge. Je clignai rapidement des yeux en regardant ses mains qui bougeaient habilement sur ma poitrine nue et ris doucement alors que ça n’avait rien de drôle. Ce que l’alcool peut vous faire faire! Austin aussi riait, c’était probablement pour ça que je me joignais à son élan. Ça ou parce que ça m’aidait à tourner la situation au ridicule, oubliant que j’avais trop bu et que je me retrouvais à baiser sur le sol du parc en plein milieu d’un terrain de camping. Baiser? Que dis-je, on en était à peine à se peloter. D’ailleurs, pourquoi ne pas en profiter moi aussi? Je remontai les mains sous son t-shirt jusqu’à le lui enlever, caressant distraitement ses tatouages alors que ses baisers m’arrachaient des soupirs d’aise. « On devrait pas… aller… à ta tente? » réussis-je à demander entre deux baisers et quelques gémissements.

Mon t-shirt à mon tour enlevé, ma main remontait doucement sa jambe alors que je souriais à ses paroles. « Hum…je partage ma tente.. » Se serait con de devoir être interrompue, on aurait l’air de deux idiots qui ne peuvent pas se retenir de baiser sous prétexte qu’ils sont trop défoncés pour réfléchir par eux. « Et je suis très bien ici » Lui chuchotais-je alors que ma main s’aventurer dans sa petite culotte afin de caresser son sexe du bout des doigts en essayant de la dissuader ainsi pour rester dans le parc. Après si elle, elle avait un tente de libre pourquoi pas, mais je n’étais pas sûr de vouloir bouger. Ça casserait tout le moment hot de cette scène et je trouvais ça tellement dommage.

Austerah

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« Hum…je partage ma tente.. » J’hochai la tête, légèrement déçu, mais pas réellement surprise. Tout le monde partageait sa tente, sa caravane ou son chalet avec au moins une autre personne, allez savoir pourquoi je n’y avais pas pensé plus tôt. « Et je suis très bien ici » J’hochai la tête de plus belle. C’est vrai qu’on était bien là. Je ne crois pas que c’aurait été pareil si on avait prit le temps de se lever pour aller ailleurs. Sa main glissa sous la barrière de mes vêtements, trouvant rapidement mon sexe et j’inspirai d’un coup, retenant mon souffle et le relâchant simplement pour gémir. Plongeant mon regard dans le siens, je fronçai les sourcils, ouvrant légèrement les lèvres, oubliant tout argument possible pour nous faire bouger de là. J’étais définitivement trop saoule pour penser plus avant à tout ça et le plaisir montait aussi trop rapidement en moi pour que je ne veuille même me forcer à penser. Histoire de lui faire comprendre le plaisir que je ressentais, je décidai de lui rendre la pareille en passant une main sous son short et son boxer, caressant sa verge déjà bien durci par l’excitation. Je me mordillai la lèvre et le pris carrément en main pour faire des légers mouvements de vas-et-viens.

La demoiselle dont j’avais tendance à oublier le prénom vu le taux d’alcool que j’avais dans le sens, avait l’air d’avoir changé d’avis et n’avait plus aucun argument à mon insu. En même temps, faudrait être fou pour vouloir bouger de là et puis entre nous, j’étais déjà beaucoup trop excité pour pouvoir me relever et aller autre part. Ma main déjà bien sur son sexe, elle ne tardait pas à faire de même et c’est en sentant sa main venir attraper mon sexe que je ne pus m’empêcher de gémir sentant mon sexe durcir dû à ce trop d’excitation. Je ne l’étais jamais assez. Mes lèvres dans son cou, je défaisais ses dessous, pouvant enfin admirer son corps nu, allongé dans ce dit parc. Elle était bien foutu –comme tous les nanas d’Harvard à croire que c’était un critère inscrit sur le dossier-Je me délectais de sa poitrine du bout des lèvres alors que j’approchais son bassin du mien.

Austerah

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Austin avait du talent, je n’avais rien d’autre à dire là-dessus. Sans même m’en rendre compte, j’étais déjà complètement nue et lui offrait totalement mon corps. Sa main s’activait toujours sur mon intimité, jouant avec mon bouton bien gonflé alors que je faisais toujours des vas-et-viens rapide sur sa verge. Ses lèvres glissèrent de mon cou à ma poitrine et j’inspirai profondément, retenant bien mal mes gémissements, sentant toujours son corps se rapprocher du miens. Je plongeai la main dans ses boucles et tirai doucement sur ces dernières avant de lui susurrer « Prend-moi.. » Voilà, j’avais perdu la raison.

Je sentais la demoiselle mouiller entre mes doigts lorsque je passais ses derniers proche –trop je ne crois pas- de son intimité. Je souriais à entendant ses dires qui avaient du mal à passer. Tout me semblait trop flou et trop loin que j’avais du mal à capter ce qu’on essayait de me faire comprendre, mais je ne réfléchissais pas plus longtemps pour m’introduire en elle –grosse erreur de ma part- Des vas et viens elle longs et bons faisant claquer nos bassins l’un contre l’autre. Elle voulait que je l’a prenne, je n’allais pas l’à faire répéter. Mes mains sur le sol, mes lèvres contre sa peau et mon sexe dans le sien, je cessais de réfléchir et de savoir que je faisais là car je n’en avais même pas conscience au final. Mon cerveau était juste OUT.