Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI know i'm angry, but guess what ? i don't care. (CHASE)
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


I know i'm angry, but guess what ? i don't care. (CHASE)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’ouvre un œil puis l’autre et tape rageusement sur mon téléphone pour que la sonnerie stridente cesse, aujourd’hui j’ai rendez-vous à l’hôpital pour mon contrôle mensuel et je n’ai pas envie d’y aller. Je vais encore me taper des infirmières insupportables et incapables qui vont me faire des bleus sur les bras et je vais encore être d’une humeur de chien. Encore plus que maintenant. Il me faut un café. Je lève mon corps endolori par le sport avant de me diriger vers ma machine à café et d’y positionner une dosette. Je suis en retard en plus. Tant pis pour elles, ça leur fera les pieds de m’attendre. Je verse mon café dans mon thermos avant de prendre une douche rapide et d’enfiler une robe à fleurs avec mes vans, ça m’évitera de me désaper et de mettre trois plombes à remettre mon jean, vu comme je suis cassée à chaque check-up. Je claque la porte de ma chambre avant de me dêpecher pour attraper mon bus. Quitte à avoir un peu plus de retard, je prends le bus, elles vont me détester un peu plus qu’elles ne le font déjà. Je le vois à leurs têtes de connasses qu’elles n’aiment pas me faire des check-ups parce que je suis la seule à leur dire ma façon de penser. Je ne suis pas une de ces malades qui s’apitoient sur son sort au contraire, leur foncer dedans et leur sortir leurs quatre vérités me fait du bien. J’attrape le bus à la dernière minute et je salue le chauffeur avant de me couper du monde et d’écouter la musique assez fort pour ne pas m’entendre penser. Lorsque j’arrive devant l’hôpital, je soupire et je sors du bus avant de m’enfoncer dans cet endroit que je déteste, son odeur que je déteste et je monte directement à l’étage qui me concerne, mes pieds me guidant seul, je serais aveugle que cela ferait la même chose. Lorsque je me présente au grand comptoir, la secrétaire est sur son téléphone personnel du peu que je peux voir et elle envoie des textos. Je me racle la gorge et elle lève la tête, gênée. « Roth-Spiegelman, j’avais rendez-vous y’a cinq minutes, le bus était en retard. » Elle soupire et regarde sur son écran « Le docteur Walton t’attend dans son bureau Bird. » Je grogne « Déjà tu me tutoies pas, et arrête d’envoyer des textos pendant ton boulot ou j’te fais virer. » L’esprit Eliot qui ressort. Je me dirige alors vers le bureau de mon chirurgien, heureusement que je ne tombe pas sur ces incapables, je pousse la porte en souriant et je m’assois avant même qu’il ne me donne la permission « Et sinon, la secrétaire, elle a son téléphone greffé à sa main ou quoi ? Elle ferait mieux de se faire greffer un cerveau. Bonjour docteur sinon. » Je bois une gorgée de mon café, avant de lui sourire, bon il faut que je me calme, sinon lui aussi va me détester.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avant que la jeune femme n'arrive pour sa visite hebdomadaire, j'étais en train de consulter encore et encore le dossier de Bird Roth-Spiegelman afin de mieux comprendre ce qu'elle avait. Bien que je sois un jeune interne et tout, le médecin-chef m'avait chargé du dossier de la jeune patiente alors je faisais de mon mieux pour bien la soigner ; en gros je faisais mon futur travail quoi ! Aujourd'hui j'étais un peu perdu dans mes pensées d'ailleurs puisque cela faisait quelques petits jours que je venais de pseudo-rompre avec Sienna, ma petite amie depuis janvier 2015 plus précisément depuis les prises d'otages à Harvard au début de l'année… Cette année était une horrible année d'attentats quand même parce qu'entre les attentats et prises d'otages en France, puis la Tunisie, la Belgique et j'en passe, il s'en passait des choses et ce n'était pas très réjouissant quand même et encore moins rassurant… Mais voilà, il fallait que j'évite d'y penser ! J'avais du travail à accomplir et si je commençais à penser à des choses tristes, je n'arriverais pas à m'en sortir alors oui pour rester dans mon truc, je continuai ma lecture du dossier de Bird avant de regarder l'heure affichée sur mon ordinateur, son rendez-vous était prévu pour dans une petite demi-heure… Mais d'après la secrétaire, elle n'était pas encore arrivée ce qui n'était pas très normal pour la jeune femme puisqu'elle arrivait toujours à l'heure. Cela ne me dérangeait guère qu'elle soit en retard surtout qu'elle était mon dernier rendez-vous avant mes opérations de la journée et qui allaient sérieusement occuper tout mon temps par la suite. Ma secrétaire me sortit soudainement de ma petite torpeur afin de m'annoncer que la jeune femme était enfin arrivée alors je lui signifiais qu'elle pouvait entrer sans attendre et avant même que je ne puisse donner mon autorisation, Bird entra en trombe dans le bureau et se mit sur le fauteuil face à moi afin de me balancer à la figure que ma secrétaire était une greffée de téléphone et non du cerveau ce qui eut le don de m'arracher un petit rire. « Bonjour à toi aussi Bird. Je lui ferais un rappel pour l'usage de téléphone portable personnel pendant les heures de service. » répondis-je d'un ton sérieux avant de la regarder longuement puis je me détendis tandis que je lui demandais d'une voix posée : « Comment te sens-tu aujourd'hui ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je suis bien contente que ce soit le docteur Walton parce que je ne supporterais pas que quelqu'un d'autre me touche vu comment je suis de mauvaise humeur j'aurais assassiné le médecin ou la secrétaire ou je ne sais qui encore. Je suis tellement de mauvaise humeur en ce moment que personne ne parvient à me calmer mis à part Théo et Will et encore il faut qu'il se lève de bonne heure pour le faire. Heureusement que j'ai réussi à boire mon café avant de rentrer dans le cabinet, merci la thermos. Je ne devais pas être à jeun, sinon j'aurais vraiment fini par tuer quelqu'un. La première aurait été cette connasse de secrétaire. Well, calme toi Bird J'entre dans le cabinet et je vois que le docteur semble être préoccupé et je ne vais sûrement rien arranger avec ma mauvaise humeur. J'aurais aimé le rencontrer ailleurs que dans cet hôpital, on aurait pu parler de lui plutôt que de parler de moi mais visiblement, il veut savoir comme je vais. Je ne veux pas lui dire que je vais mal parce que j'ai failli me faire briser le cœur, mais je ne répond rien pour le moment, je me contente de juger l'expression de son visage afin de savoir si oui ou non il va vraiment bien. Il n'a pas la tête de quelqu'un de triste mais je prend quand même le risque de lui demander « Je me sens aussi bien qu'une fille qui a un cancer qui menace de se réveiller du jour au lendemain, mais toi, enfin vous, comment allez-vous ? Vous semblez préoccupé, j'me trompe ? » J'avale une gorgée de mon café avant de grimacer parce que la boisson est froide, je murmure alors un « putain de thermos. » avant de le regarder « Et oui, vaut mieux prévenir la secrétaire sinon je vais la faire virer ça va aller vite. » Je soupire en posant ma thermos dans mon sac à main avant de me lever pour le fixer. « Bon j'suppose qu'il faut que je me déshabille ? » Je soupire en retirant mes vans dans un premier temps avant de m'asseoir sur la table de consultation, j'aurais préféré me déshabiller dans d'autres conditions, mais bon. Le fantasme du médecin et de la blouse blanche, ça fait de l'effet même pendant les check-ups.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Franchement heureusement que je l'appréciais la jeune femme parce que dans l'état où je me trouvais aujourd'hui, j'aurais pu très bien la renvoyer chier mais il ne fallait pas oublier que j'étais l'un des jeunes internes les plus appréciés dans le service pour mon aisance auprès des patients. Mais aussi et surtout pour ma patience qui était toujours mise à rudes épreuves comme aujourd'hui par exemple alors que ma jeune patiente semblait être de très mauvaise humeur. J'ignorais complètement les raisons mais je n'avais pas vraiment l'intention de le savoir même si cela faisait partie intégrante de mon métier… Savoir tout ce qui tracassait les gens que je soignais. Qu'importe alors qu'elle était finalement dans mon bureau, je lui faisais savoir après sa petite remarque concernant ma secrétaire que j'allais lui faire la remarque bien sûr avant de lui demander comment elle allait. Sa réponse ne m'étonna guère donc je ne pus que sourire mais ledit sourire se figea légèrement alors qu'elle s'était mise à me poser une question bien trop personnelle, néanmoins je retrouvai bien vite ce sourire pour répondre d'une voix posée : « Saches que tu peux me tutoyer. Cela ne me dérange pas et si une personne t'en fait la remarque, tu lui répondras que je t'en ai donné l'autorisation. Et pour répondre à ta question, tu as bien remarqué… Je suis bel et bien préoccupé. » mais je n'en dis pas plus pour le moment alors qu'elle continuait de parler de ma secrétaire. À croire que celle-ci avait fait une erreur très grave, ce qui eut toujours le don de me faire sourire. « Pas de souci même si je dois avouer qu'elle est efficace comme secrétaire. Dommage qu'elle soit de la génération Y ou de la E-Generation ». Oui vous savez les jeunes qui ne peuvent plus vivre sans leurs smartphones et j'en passe… Par la suite, elle me demandait si c'était l'heure de se déshabiller.0 « Oui et pendant que tu te mettras à l'aise, je vais préparer mon matériel dans la salle de travail. Dès que tu seras prête, rejoins-moi ». Je me levai lentement pour aller dans ladite salle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il va vraiment finir par me détester si j'arrive de mauvaise humeur à chaque fois, mais il faudra que je me calme pour la prochaine fois. Je me coucherai plus tôt et je ne boirais pas de boisson à base de caféine pour pouvoir faire une bonne nuit de sommeil, ce qui ne risque de ne pas être donné. J'ai toujours beaucoup de mal à bien dormir, je dors bien que quand je suis avec quelqu'un, sauf qu'en ce moment, je suis légèrement toute seule, j'essaierais de m'arranger, ou d'aller dormir avec Will la veille de mon prochain rendez-vous. Lorsqu'il me répond qu'il est assez préoccupé, je souris et je me sens fière de moi, sauf que je ne répond plus rien. J'ai l'impression que cette question le dérange ou le préoccupe encore plus mais je n'aggrave pas mon cas. « Ou alors je les enverrais balader comme j'envoie balader votre secrétaire qui me sort par le nez...  Je ris avant de l'insulter intérieurement, il va vraiment finir par en avoir marre. Encore plus quand je la menace, il va vraiment falloir que je songe à me calmer avec cette fille, après tout elle ne m'a rien fait. Je vais peut-être m'excuser de mon comportement. Mais pas aujourd'hui, je ne suis pas dans mon bon jour. « Oui finalement, après réflexion c'est peut-être une bonne secrétaire. » Oula, il va neiger et j'espère qu'il ne va pas faire de remarque sur ma gentillesse naissante. Il faut que je me déshabille. Je soupire, j'ai envie de pleurer j'en ai marre de ce putain de cancer et même si je suis énervée, j'ai tout de même d'autres sentiments qui prennent le dessus sur mon énervement. Je retire alors ma robe pour me retrouver en sous-vêtements, heureusement qu'ils sont accordés. Je frissonne alors en le rejoignant dans la salle, attachant mes cheveux en un chignon rapide « Tu penses que ça va se finir un jour tout ça ? Sans que je crève ? » J'ai un nœud dans la gorge et ma voix est tremblante, je m'installe alors sur la seconde table d'examen, croisant mes mains sur mon ventre. « J'aimerais que tout ça cesse docteur... » Oui, j'aimerais que tout cela finisse, que je ne sois plus une poupée de chiffon qui suit les diktats de la médecine.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comme je ne cessais de le dire depuis le début, je me retenais de dire quelque chose de déplacé à l'encontre de la jeune femme parce que d'une c'était ma patiente et de deux, je l'appréciais bien ce qui était assez rare chez moi puisque d'ordinaire, j'essayais tant bien que mal de ne pas trop m'attacher à mes patients… Mais il allait s'en dire que le fait de passer tant de temps en compagnie d'une seule et même patiente, cela créait un certain lien… D'ailleurs, c'était certainement ledit lien qui m'avait permis de répondre à sa question pour le moins très personnelle et à en juger par son expression, je pense qu'elle ne s'attendait pas à ce que je lui réponde de la sorte. Alors je tenais à rajouter ces quelques mots : « Je te dirais peut-être ce qui me préoccupe mais plutôt après la consultation ». C'était presque une promesse que je ne pouvais briser mais de toute façon, je faisais toujours ce que je disais alors oui une fois que je l'aurais finement examinée, je pourrais peut-être me mettre à parler de ce que j'avais personnellement. Je ne pus que rire alors qu'elle continuait à parler sur ma secrétaire… Etrange quand même mais je n'en faisais guère la remarque hein. Et encore moins lorsqu'elle s'était mise à parler plus gentiment. Par la suite alors qu'elle me rejoignait dans la salle de travail, elle me disait tout en s'installant sur la table d'examen qu'elle aimerait que tout cela cesse… Je comprenais parfaitement ce qu'elle ressentait, je compatissais clairement… « Je comprends mais saches que je ferais tout ce qui en mon pouvoir pour t'aider à vaincre ce cancer… Je n'abandonnerais jamais, je n'aurais de repos que lorsque tu seras pleine guérie, je t'en fasse le serment ». Ce qui était complètement vrai, je n'abandonnerais jamais surtout que je ne connaissais pas ce mot abandon ! Je pris le tensiomètre que je mis en place sur le bras de la jeune femme… Sa tension était assez basse aujourd'hui mais elle était encore dans la limite du raisonnable donc pas de quoi s'alarmer. Par la suite, je me mis à l'examiner minutieusement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'ai beaucoup de mal à accorder ma confiance aux gens, encore plus à une personne qui est issue du corps médical, mais je ne sais pas, avec Chase, enfin le docteur Walson c'est différent, il me semble plus humain que les autres médecins, c'est peut-être pour ça que je suis heureuse quand je sais que j'ai rendez-vous avec lui et pas les autres infirmières qui ne savent que me charcuter le bras. Je n'aime pas savoir que quelqu'un que j'apprécie est préoccupé, mais je ne dis rien de plus, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, après tout il me le dira certainement après, j'ai confiance en lui. Après tout, heureusement que j'ai confiance en lui sinon je ne le laisserais pas m'ausculter, ce serait tellement débile. Il a réussi à obtenir ma confiance en me parlant simplement, en ne me traitant pas comme les autres, en ne me traitant pas comme une poupée de chiffon mais comme une humaine. Après tout, même malade, je suis une humaine, je ne suis pas un jouet ou une poupée, même si j'ai l'impression d'être un jouet pour certaines personnes tout de même. Lorsque je me retrouve dans la seconde salle, cette salle que je déteste soit dit en passant, j'ai le coeur qui se noue et j'ai envie de vomir. J'étais assez stressée, j'avais peur qu'il ne décèle une nouvelle chose, un nouveau cancer, un retour en force de la maladie. « C'est gentil... Mais tu penses que je suis condamnée ? J'ai vu des gens. Je sais qu'il revient, que cette saloperie revient, et si jamais un jour ça m'arrive, je veux que ce soit toi, et pas un autre qui s'occupe de moi, j'aurais pas la force de dire que je ne veux personne d'autre que toi. » Je veux qu'il me fasse la promesse de s'occuper de moi. Après tout, il est la seule personne qui puisse me calmer alors il vaut mieux pour le corps médical que ce soit lui qui s'occupe de moi. Je me laisse alors manipuler, je ne bronche pas, je reste calme mais j'essuie tout de même une larme solitaire qui vient de rouler le long de ma joue, non ce n'est pas le moment de pleurer, ce n'est pas le moment de craquer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ma jolie et jeune patiente avait ma confiance tout autant que j'avais la sienne parce qu'au final, je ne pense pas que j'aurais pu autant m'occuper d'elle si elle me faisiat pas amplement confiance. Celle-ci ne se gagnait pas mais se méritait clairement et contrairement à certains de mes collègues, je savais mériter la confiance des patients et ce par mon humanité débordante même si je devais avouer que je n'étais plus que l'ombre de moi-même depuis la mort de mes parents quelques semaines auparavant dans ce stupide crash aérien qui avait fait de moi un grand orphelin… Fin bref, il fallait que je pense à autre chose sinon je ne parviendrais pas à m'occuper de Bird qui allait avoir besoin que je la réconforte parce que je savais mieux que personne qu'elle détestait venir ici et je ne pouvais que la soutenir quoi mais elle en avait besoin étant donné qu'elle était atteinte d'un cancer qui guérissait petit à petit heureusement. Mais ce n'était pas encore gagné, du moins pour le moment. Je ne voulais vraiment pas lui donner des faux espoirs. Et alors que je m'apprêtais à l'examiner minutieusement, elle me demandait de lui promettre que si cette fichue malade revenait la frapper, j'allais être là pour elle, que je sois le médecin qui s'occupe de son cas. « Je te le promets Bird. Je ne t'abandonnerais pas, je serais toujours là pour m'occuper de toi où que je sois, je viendrais immédiatement pour toi. ». Je tenais toujours mes promesses et il se trouvait que celle-ci n'était pas trop dure à tenir donc j'y arriverais sans peine. Maintenant je l'examinais, commençant par prendre sa tension et tous les petits détails que je trouvais, je les notais dans un petit calepin que je portais dans ma main. « Je vais te faire un ECG (électro-cardiogramme). Ne bouge pas » lui demandai-je doucement avant de préparer l'ECG. Une fois que tout était en place, je lançai la machine en route et j'attendis les résultats.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Au bout d'un moment, s'il commence à être sympa avec moi, je vais demander des rendez-vous toutes les semaines au lieu de tout les mois, et je serais heureuse d'y aller, mais il ne faut pas rêver, il ne sera sympa qu'un temps, après il en aura marre de me voir et m'enverra balader. J'ai tellement un caractère de chien que ça ne m'étonnerait même pas. J'ai besoin d'être rassurée, qu'il me dise que tout ira bien et comme je n'ai pas l'habitude de me taire, je lui demande qu'il me promette d'être la pour moi, à n'importe quel moment. Je serais la pour lui comme il sera la pour moi. Mais je ne lui dis pas pour le moment, je ne veux pas le déranger, je ne veux pas qu'il soit de nouveau préoccupé alors que la sérénité semble être revenue sur son visage. Quand il me le promet, j'ai les larmes aux yeux. J'ai envie de pleurer, mais je me retiens et je souris simplement lui murmurant un « Merci » du bout des lèvres tandis qu'il m'auscultait, fort heureusement, ce n'était plus de la chimiothérapie, donc je n'avais pas besoin de piqûre, je déteste les aiguilles malgré le tatouage présent sur mes côtes. Le tatouage est une bonne douleur, les piqûres non. Il me demande de ne pas bouger, je reste alors immobile, mes doigts tapotant sur mon ventre tandis que je fixais le plafond. Je gardais un oeil distant sur les résultats de l'ECG et je voyais les traits devenir plus régulier comme je sentais mon coeur battre de plus en plus vite « Non mais c'est pas vrai.. » Je soupirais en essayant de me calmer et j'attrapais la main du médecin pour la serrer afin de me calmer. Les crises d'angoisse, c'est vraiment de la merde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La jeune femme semblait être en proie à un certain mal être que je comprenais parfaitement vu que je m'occupais de son cas depuis le début, depuis qu'elle avait décidé de placer sa confiance en moi, en mon expertise et je ne comptais pas la décevoir. Voilà pourquoi j'allais tenir ma promesse, je ne la laisserais jamais tomber et de toute façon je ne me le pardonnerais pas si jamais il lui arrivait quelque chose. « Ne me remercie pas. Il est normal que je sois présent à tes côtés parce que même si tu es ma patiente, je t'avoue que je me suis attaché à toi Bird. Je te considère comme une amie et je serais toujours là pour mes amis. » lui dis-je d'un air grave avant de me concentrer pleinement dans cet examen hebdomadaire ; tout était réalisé de manière minutieuse puis vint finalement le moment où je décidais de faire un électrocardiogramme… Même si la chimio de la jeune femme était finie, c'était obligatoire cet ECG et alors que je lui disais de ne pas bouger, je regardais le moniteur pour évaluer les résultats avant de me figer légèrement. Elle me prit soudainement ma main pour la serrer fortement alors qu'elle commençait à faire ses fréquentes crises d'angoisse. « Shhhh… Calme-toi, je suis là. » murmurai-je d'une voix douce avant de caresser doucement sa main. « Penses à rien d'autre. Évades-toi ! Si tu veux à l'issue de cet examen, je t'emmène quelque part. J'annulerais mes rendez-vous parce que je ne compte pas te laisser seule dans cet état. »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)