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❝ i had the time of my life
fighting dragons with you ❞Et puis je les fait. Un geste, LE geste que je retenais depuis tant de temps. Ça me faisait presque bizarre d'en arriver enfin là, j'en avait tellement envie que ça se transformer en explosion de feu d'artifice dans ma tête. Vous savez, c'est comme quand tu finit enfin par trouver ta bonne taille de tee-shirt un jour de solde, ou que tu rencontre la star que tu stakle depuis des jours dans le rayons chips d'un super marcher. C'est l'aboutissement d'un travail acharner. C'est le A+ que tu reçoit avoir avoir bosser comme un dingue que sur sujet extrêmement difficile, et arriver au bout du tunnel tes efforts sont récompenser. C'était ma récompense. Elle est trouble, je le sent, mais elle ne se débat pas. Elle colle son corps contre le miens sans brancher, elle aurait pu me repousser et me gifler un bon coup en me traitant de pervers, s'en aller en me balançant le reste de sa bière au visage et dire à toutes ses copines ô combien Tom Halberswag était un pourris. Mais elle se laisse faire, son corps se détend contre le miens, ses lèvres danser une valse douce et sauvage à la fois, dans le rythme que j'ai donner. Une passion s'installe et on aurait pu faire ça toute notre vie, mais elle y met fin, se détache et panique. Ah oui, y a Kol. « Tu penses qu'il va être enKOLère ? » lol, c'est pas drôle, ferme là bordel. Tu passes une main gêner dans ta nuque, tout en riant tout de même à cette petite blague que tu as fait. « ça c'est ce que tu pourrais avoir avec moi. Si c'était moi que tu avais choisit. Si tu n'avais pas foncé tête baisser avec ton colocataire. Tu penses que j'te drague juste pour baiser avec toi ? Charlie, je prend pas autant de temps sur une fille, si c'était juste pour la ken. Tu m'aurais dit non la première fois, je me serais trouver une autre fille dans la bar d'à côté. Mais si j'ai pris autant de temps sur toi, c'est parce que tu m’intéresse plus que ça. » Je la regarde droit dans les yeux, en faisant mon petit discourt d'hôneteté, si là elle a pas envie de voté pour moi, c'est que je ferais un très mauvais président, et que j'suis nul en discourt. Je prend ma veste et finit ma bière. « On bouge d'ici ? » Non pas que la soirée d'Eric soit intéressante, mais faire des jeux qui tourne autour de soit, et avoir sa tête sur un gateau, c'est un peu trop narcissique à mon goût.© LOYALS.
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Tom lâcha une blague totalement débile, qui m'arracha tout de même un sourire. Puis il se lança dans un petit discours, précisant que si je l'avais choisis, j'aurais eu le droit à des blagues dans ce genre. Il m'en voulait visiblement d'être avec Kol, disant que j'avais foncé tête baissé, mais ce n'était pas le cas... enfin pas vraiment. C'est vrai que je m'étais rapidement remise en couple après la mort d'Augustus et que parfois je le regrettais un peu. J'avais l'impression d'être aller trop vite, de ne pas avoir eu le temps de faire mon deuil, et que je m'étais forcée à passer à autre chose. J'avais un faible pour Kol depuis qu'il avait rejoins la colocation, ce n'était un secret pour personne, ou presque. Alors forcément quand je me suis retrouvée anéantie par le départ soudain d'Augustus c'est dans ses bras que je me suis réfugiée. Et aux yeux de Tom ça avait été mon erreur, bien que j'étais persuadée qu'il ignorait tout de mon passé et qu'il n'avait aucune idée de ce qui m'était arrivée avant que je ne me mette avec Kol. Pour lui je m'étais simplement mise en couple avec celui qui m'avait dépucelée, un point c'est tout, alors qu'en faite c'était bien plus compliqué que ça. Il ne me lâchait pas des yeux, m'affirmant que s'il voulait juste coucher avec moi il aurait depuis longtemps lâcher l'affaire. Il marquait un point. Un gars comme lui devait pouvoir se trouver n'importe qu'elle blonde dans mon genre et ce en moins de 24 heures, alors pourquoi est ce qu'il s'acharnerait comme ça pendant dès mois ? Je réfléchissais à tout ça, terminant ma bière, restant silencieuse, lorsqu'il me proposa de bouger. C'est vrai qu'il venait d'engloutir tout les mini-pizza sous mon nez et que je mourrais de faim. Je hochais la tête, posant mon gobelet vide sur une table. « J'ai envie de sushi. » Dis-je simplement. Je préférais passer sous silence ce qui venait de se passer, faire comme si de rien n'était pour le reste de la soirée. J'avais trop bu pour réfléchir d'avantage.