my darkness (leevy)

Curieuse de connaître ce genre de réponse. Est-elle vraiment heureuse que ce qu'elle dit ? En tout cas, Effie ne veut pas le croire. Il y a d'autres moyens d'être heureux. Et choisir une vie de famille, c'est choisir la vulnérabilité. Mais tu restes une proie facile. dit-elle d'un sourire en coin. Des sous-entendues ? Non aucun. Elle veut juste lui faire comprendre que c'est plus facile de s'attaquer à elle, quand elle a des personnes à protéger. Nous ne sortons jamais, vraiment, de ce monde. Du monde de la mafia. Même si on s'en éloigne, il nous rattrape toujours. Un peu, comme ce soir. C'est le cas. Puis, elle fut assez étonnée de trouver une Leevy, nostalgique et c'est le bon moment pour frapper et raviver certains souvenirs... Cela s'avère facile mais elle ne crie pas victoire en avance. Leevy est une dure, elle ne 'la jamais oublié. Son sourire revient peu à peu, tentant de masquer sa surprise et d'autres sentiments qui n'ont rien à faire, là. Tu vois. T'es devenue faible. Trop faible, Leevy. dit-elle en restant, pas trop loin d'elle, lui prouvant ce qu'elle est devenue. Quelqu'un de faible. Pourquoi j'devrais te promettre que tout ça va recommencer si tu mens. Tu n'as aucune intention de recommencer, même un jour. Parce que... Leevy, dans un jour... Tu auras encore cet appartement, ce gars et ce chien. Effie est certaine qu'elle aura le même discours, dans un jour. On peut dire que c'est maintenant ou jamais. Je ne te savais pas aussi lâche. Elle fait exprès de taper là où ça peut faire mal. Finalement, elle se recule et sortit un flingue qu'elle avait derrière elle. Elle le regarde en souriant avant de le poser sur la table. Comme si, il était à portée de main. C'est une sortes de dilemme.

(Invité)

J'affichais un petit sourire amusée quand elle disait que j'étais une proie facile, là elle avait tord. Depuis la mort de mon père j'ai été menacée pas mal de fois ainsi que ma famille et je m'en suis toujours sortie pour sauver mes proches ainsi que ma personne. Pas quand je sais me protéger, je serais morte depuis un moment si ce n'était pas le cas. Dis-je en haussant mes épaules tout en la regardant. Je pouvais pas m'empêcher de repenser au passé avec les paroles de blondie, c'était tout bonnement plus fort que moi. Bon je n'avais pas non plus totalement arrêté la mafia vu que je travaillais chaque soir mais c'était plus à temps pleins comme avant. J'arquais ensuite un sourcil en entendant ses mots, moi faible ? Sérieusement ? Je pense qu'elle a vite oubliée qui elle avait en face d'elle. Plus elle parlait plus je me sentais bouillonner parce qu'en effet elle utilise les mots qui touche. Mon regard se baissa un instant sur l'arme pour ensuite sourire en coin en la récupérant. Je venais passer mes doigts dessus tout en fixant blondie. J'ai toujours adorée ces armes.. Je me souviens encore de mon père qui m'a offert la mienne à seize ans. Dis-je en gardant mon petit sourire vicieux, je voulais juste lui faire comprendre que j'avais toujours vécue dans se monde et ça dès ma naissance, donc non je n'étais pas faible et je le serais sûrement jamais, on m'a appris toute ma vie à ne pas l'être après tout. Je m'approchais alors un peu plus d'Effie en tournant très lentement autour d'elle. T'es personne pour me dire que je suis faible et encore moins lâche. Et t'es personne non plus pour juger ma vie. Dis-je d'un léger murmure contre son oreille en étant placée derrière elle. Je finis par passer mon bras contre son cou en la tenant assez fermement pour ensuite venir plaquer l'arme contre sa tempe. Ne pense pas que c'est parce que j'ai plus la même vie que j'ai changée. Je prend toujours autant de plaisir à détruire les gens et je me ferais un grand plaisir de te détruire toi si tu te barres pas d'ici tout de suite. Dis-je d'une voix beaucoup plus menaçante maintenant alors que je finis par relâcher son cou afin de la laisser respirer et de laisser l'arme sur la table pour ensuite aller m'asseoir sur le divan l'air de rien. J'espérais juste que le message était bien rentré dans sa tête.
(Invité)