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Et si elle allait faire une petite surprise à sa grande amie ? Il est temps de mettre certaines choses en application. C'est pourquoi, connaissant son adresse, Effie décide de se rendre au logement de Leevy. Elle sait qu'elle n'est pas encore là mais c'est justement, là, la surprise. Trafiquant la serrure, la jeune blonde finit par y arriver et à rentrer doucement. Elle referme derrière elle, comme si de rien n'était. De là, elle regarde s'il n'y a pas d'obstacle. Bon, juste un chien qui dort à poing fermé. Tant mieux. Elle en profite alors pour regarder la vie de son ancienne amie. Photos, et tout ce qui s'en suit. C'est intéressant car elle en apprend beaucoup. Et surtout elle ne reconnaît plus cette fille. Quel gâchis. Elle vient prendre un livre de photo et elle s'installe alors sur un fauteuil. La lumière d'extérieur l'éclaire quelque peu. Juste, en attendant Leevy pour lui faire la plus belle des surprises. Et elle meurt d'impatience. (Invité)
Je venais tout juste de sortir de l'hôpital où j'avais emmené Royce pour sa consultation vu que oui il avait perdu la mémoire à cause d'un accident de moto. Pour le bien de ses souvenirs il devait aller chez le médecin assez souvent et tant mieux parce que je voulais vite récupérer l'homme qui était amoureux de moi et non cet inconnu. Je me gara alors devant l'entrée de mon immeuble pour ensuite arriver devant ma porte d'entrée et froncer mes sourcils en sentant que la porte était déjà ouverte en ayant glissée la clé dans la serrure. C'était pas normal personne ne devrait être là. J'aurais bien aimée avoir mon arme sur moi à ce moment là mais malheureusement ce n'était pas le cas. J'ouvrais alors la porte posant mon sac à main à l'entrée pour ensuite venir dans le salon et sursauter en reconnaissant une silhouette assise sur le canapé. J'allumais alors la lumière pour ensuite reconnaître Effie, oh non, pas ça. Effie ? Dis-je d'un peu sous le choque de la voir, après tout cette femme faisait partie de mon passé, un passé que j'aurais bien aimée oublier. J'arquais un sourcil en voyant qu'elle avait l'un de mes albums photos dans les mains, je m'approchais alors pour lui arracher des mains. On t'as jamais appris que c'est mal poli de fouiller dans les affaires des autres ? Dis-je assez froidement en la regardant. Et encore plus mal poli d'entrer chez les gens sans leur autorisation. Au final j'étais contente de la voir parce que c'était mon amie, mais une amie en qui je n'avais pas confiance.