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Tu t'étais levée ce matin de bonne heure. En effet, tu t'étais endormie très tôt la veille ce qui t'avait permis de bien récupérer tes précédentes nuits blanches, car depuis ton retour et avant même, tu ne faisais que ça. Mais il semblerait que tu commençais à aller de mieux en mieux. D'ailleurs, tu te retrouvais à te promener en jogging alors que le ciel clair laissait échapper les dernières étoiles. La ville de Cambridge était encore paisiblement endormi et tu te demandais ce que tu pourrais faire en attendant que le soleil se lève. Un footing ! Mais oui. Puis de toute façon, ton cours de théâtre ne commençait qu'à dix heures aujourd'hui, alors t'avais beaucoup de temps devant toi encore. Bref, la matinée se passa super bien pour toi, t'avais repris un peu de force grâce à ce footing et ton cours de théâtre c'était bien passé. C'était maintenant l'heure de la pause et tu avais emmené avec toi de quoi tenir ton ventre jusqu'à ton retour à la maison. T'avais envie d'une chose en particulier aujourd'hui et c'est donc pour cela que tu ne voulais pas manger à l'université. Te rendant dans le parc du campus, tu t'installais au pied d'un arbre où tu sortais ton livre que tu lisais maintenant depuis un mois. Un livre que tu avais commencé à lire à Johannesburg et il était tellement captivant que tu ne regardais même pas tes fraises en mangeant. Même que tu n'avais même pas senti la présence d'une personne derrière ton arbre qui venait de te piquer ton bol de fraise. Ce n'est que lorsque tu tendis ta main pour t'en resservir que celle-ci toucha le sol te tirant le nez de ton livre. Tes fraises avaient disparu et tu ne les trouvais nulle part. Alors en te levant rapidement, tu remarquais Erwan et son sourire provocateur en train de manger tes délicieuses fraises -à la crème chantilly je précise- derrière ton arbre. « CHIPEUR ARRÊTE DE CHIPER ! » Non pas que tu regardais encore Dora l'exploratrice, mais petite ouai, tu adorais ça. T'approchant de lui, tu tendis tes bras pour essayer de reprendre ton bol. Mais il était coriace le mec. « Rends-moi mes fraiseuuuh !. » demandais-tu en riant.
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