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« Mais t'as toujours pas compris qu'un papa et un papa, ça peut pas faire de bébé ? T'es un monstre, ma maman elle m'a dis que t'as pousser dans les coquelicots. » hein quoi ? LES COQUELICOTS ? Mais je suis pas un coquelicot moi, déjà. Et puis, qui a envie de savoir ce que Sally Je-me-la-pète parce que j'ai un vélo barbie a à dire ? On s'en fou, elle fait pipi dans un pot elle aussi, et elle sait même pas encore compté, alors qu'elle arrête de nous dire comment on fait des bébés, parce qu'elle sait rien du tout. Ou peut être qu'elle le sait mais que les parents complote pour que j'soit pas au courant, en tout cas, ça va barder ce soir. J'étais tranquille chez mémé, quand j'ai compris qu'un papa et un papa ça pouvait pas faire de bébé, et que donc j'étais le bébé de quelqu'un d'autre. Bien sur, quand j'ai appris ça j'ai pleurer pendant quarante cinq minutes non-stop parce que je pensais réellement venir d'un énorme coquelicot qui aurait pousser dans le jardin pendant neuf mois. Mais mon papa m'a expliquer que c'est plus compliquer que ça, que ça part d'une graine de boîte à graine et plein de truc bien compliquer comme ça, alors j'ai fait genre de comprendre, j'ai arrêter de pleurer et puisque j'étais déjà lancer dans le jeu du
« quand je pleure, je peut avoir ce que je veux », alors j'ai demander à manger de la pizza devant les épisodes de Mes parrains de sont magiques, et le lendemain j'ai dis à cette garde de Sally, que j'étais la plus belle des fleures du jardin, et qu'elle était moche sa salopette, alors elle a plus rien dit, et puis NAH. Je pensais en finir là de cette histoire de coquelicots, mais les choses ne sont pas arrêter là. En grandissant les métaphores stupide que mes parents ont utilisé pour parler d'utérus, de vagin et de pénis sont devenue plus claire, et je me suis rendue compte du pourquoi je ne pouvait pas être le fruit de deux hommes. Ça m'avait blesser, parce que mes papas sont mes héros, ils sont pire que fabuleux avec moi, ils sont géniaux, super, incroyable, et j'aimerais crée un mélange de ses trois mots pour d'écrire ce qu'ils sont : GESUPCROYABLE ! Ou quelques choses qui y ressemble. Et ça me blesser que je ne soit pas le fruit de leurs entrailles, ou juste un fruit, je suis un fruit pourris qu'ils ont ramasser parce que j'étais trop mure pour aller quelque part. Et voilà que moi aussi je fais des métaphores minables, vous vous rendez compte ? Alors, un jour, un jeudi, après l'éducation sexuelle, Melvyn arrêtez pas de les traîter de pd, je me suis lever et je les frappe. Imaginez une petite brindille de vingt kilos sur un mètre vingt se dresser contre son double ? Imaginez cette petite chose pousser de toute ses forces ce gros tas contre les chaises du fond, et imaginez cette brute épaisses, la pousser si fort qu'elle se cogne le nez contre la table en plexiglas. J'ai morflais, et il a morflait aussi et on a tout les deux étaient punis pour avoir abîmer une table, et écraser les cartables des autres élèves. Les parents sont venue me rechercher fou de rage, on se serais crus dans un remarke d'une page de Boule et Bill, ils comprenais pas que c'était dure. En rentant, j'ai boudée en les accusant de m'avoir kidnapper, et au final ils m'ont pris chacun dans leurs bras pour m'expliquer :
« Tu n'est peut être pas le fruit de nos entrailles, mais tu es le fruit de notre amour. »
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Ça a été bagdad quand j'ai eu mes règles. J'avais même pas quinze ans, et je pensais que je m'étais fait mal alors que c'était pour ça que mes collants étaient plein de sang, mais pas du tout. C'est arriver un mercredi après midi, alors que Magalie m'avait invité à la patinoire. Je m'amusais tranquille à faire des ronds sur le sol, lorsque j'ai sentit comme une vie de faire pipi et là : LE DRAME. J'ai vue ma culotte tremper de sang, et j'ai paniquée. Bien sur Magalie à pas compris pourquoi je suis rester dix ans dans les chiottes, elle pensais que j'avais eu un accident style : oops, je me suis fait chier dessus, et c'est même la version que cette pute à raconter dans tout le bahut. Mais mes parents sont arriver une heure après, et j'ai paniqué, et lorsque j'ai présenter mes symptômes, ils se sont mis tout les deux à rires. Ça a été moins drôle, lorsqu'on été tous les trois chez le gyneco, et que l'infirmière m'expliquer comment fonctionne mon corps. J'étais gêner, et c'est là que j'ai eu envie de rencontrer « the mother ». C'est ainsi qu'il l'appel, quand j'étais gosse c'était pour que je ne sache pas qu'ils parlaient de la mère porteuse, en grandissant j'ai appris l'anglais et j'ai compris qu'il s'agissait d'elle. Mon père était paniqué à son idée, il avait peur qu'un jour elle débarque et m'embarque dans ses conneries, pour ne plus jamais me rendre ou que je réclame de la rencontrer et préféré vivre avec elle, qu'avec eux. Mais je n'ai jamais demander à la voir, je n'ai jamais demander à être avec elle d'ailleurs, je la connaissait comme la femme dont j'ai empreintes l'utérus pendant 9 mois, et m'a sauver en me donnant à un couple génial d'homosexuelle passionner de comédie musicale et de doctor House. Mais aujourd'hui, j'avais besoin d'un exemple féminin, d'une présence féminine dans mon entourage, j'avais besoin d'elle. Ou juste d'en savoir un peu plus sur elle, et sur les probable peut être qui s'ouvrais à moi. J'ai fait la demande un peu avant la fin de cette année là, chamboulant tout dans la tête de mes parents. Toutes les craintes que mon père avait réussi à canalisé toutes ses années, avait finit par surgir de nouveau remplissant sa tête de scénario catastrophique, si jamais je rencontre ma mère. « Et si elle l'aimais ? Et qu'elle décide de nous laisser tomber pour elle ? » « Et si elle est déçue ? Elle pourrais nous haïr de lui avoir présenter un tel monstre ? » « Et si au contraire, elle adorer la vie de The mother ? Et qu'elle nous en voulais de ne pas lui avoir acheter se vélo barbie quand elle avait six ans, je te l'ai dis, on aurait du lui acheter ce putain de vélo, ça nous aurais coûté quoi de lui faire plaisir ? » J'étais moi même paniqué à cette idée, mais j'avais besoin de réponse. Au final, ils ont accepter, et on a commencer une procédure judiciaire pour rencontrer the mother. Le hic, c'est qu'elle vivait à New York, qu'elle avait signer un contrat stipulant qu'elle voulais l’anonymat total et qu'elle ne désirais pas reprendre contacte avec nous, surtout pas avec moi. C'était horrible comme sensation, se faire rejeter une deuxième fois. Les parents ont bien vu que ça m'avait blesser, encore plus que quand les Jonas Brothers on arrêter de chanter pour chacun faire une carrière solo et Kevin une télé réalité, bordel mais Kevin prend ta vie en main au lieu de toujours te laisser mener par les autres rho. Quoi qu'il en soit, ils ont décider de prendre des mesures draconienne et de mener eux même leurs enquêtes pour retrouver the mother. C'était un choc de savoir ça, mais c'était ce qu'ils voulaient. On a donc déménager de l'Indiana, pour vivre dans la banlieu du New Jersey et faire des recherches à New York. C'était réellement un choc, j'veux dire : j'ai était elever entre la balançoire des Maileurs et la piscine gonflable des Jones et je devait à présent vivre comme une citadine, alors que la fête la plus brancher à lequel je suis aller, c'était l'entêrement de madame Wither qui avait fait en sorte qu'un DJ vienne pour ses obsèques, et qu'ils joue : AVE MARIA, comme le jour de son mariage. On a tous chialer pendant deux jours, et après on a danser comme des malades sur ce remix so dance floor. J'allais ête dépayser, mais mes parents était près à faire ça pour moi. Parce que c'était la meilleure chose à faire, parce qu'ils feraient tout pour moi et qu'ils le referaient encore si s'était à refaire. Je me suis rendue compte que la phrase qu'ils m'avaient dites en cœurs, ce jours là : tu es faite de notre amour, et la raison pour lequel je les auraient choisit, et que je les choisirais encore.
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Pensez pas que je suis le genre de fille fan de comédie musicale, style chanter HSM en portant une robe de princesse et manger uniquement des aliments décorer de ruban rose, non, je suis un bonhomme. Mon père était pilote de formule 1, c'était pas un des plus connue, mais ce truc là était sa passion et dans un sens il me l'a transmise. J'ai toujours adorer les voitures, la vitesse, sensation que tout va si vite que mon cœur en tremble, j'adorais ça. Et puis, je me suis intéresser à la partit plus mécanique, genre comment on fait les voitures ? Qui décide que la voiture doit aller à cette vitesse ? Comment on fait pour que la voiture se conduise toute seule quand on a les mains prise ? C'est quoi la différence entre une automatique et une normale? Des tonnes de questions qui me turlupiner, alors j'ai commencer à devenir une tête, genre les maths, la physique, les trucs chelou comme ça c'est devenue mon univers. Mais les garçons m'aimait bien. Va savoir pourquoi. Peut être parce que je suis comme eux? J'me prend pas la tête, je passe pas quarante minutes à me demander si oui ou non je met se beau gilet beige pour plaire à Ethan, si oui ou non je met des collants ou je vais assumer mes jambes de sauterelles, si oui ou non je laisse mes cheveux boucler frisée rebelle pour montrer à tout le monde que mes cheveux au naturelle sont magnifique, je ne fait pas de liste de pour ou de contre constamment dans ma tête, je ne réfléchis pas à deux fois pour faire quelque chose, non, moi je me prend la tête, si j'ai envie j'y vais, si j'ai pas envie j'y vais pas et ainsi soit il. Et ça plaît bizarrement au mec, que je n'ai pas besoin qu'on me fasse la cours pour m'avoir, qu'ils n'ont pas à dépenser 70 balles dans un repas pour qu'au final je dise : oops, j'ai mes règles. Quoi qu'il en soit, j'avais coucher avec deux trois mecs, et j'ai trouver ça bof, jusqu'au jour ou je me suis mise au fille, et j'ai adorer. C'est comme être avec quelqu'un qui sait exactement où toucher, et quand il faut le toucher, et les caresse, et les baiser, la tendresse, en elle même donne un côté plus érotique et plus intense qu'avec un mec, qui pense juste à : faut la tremper, faut la tremper, faut accélérer. J'me suis donc mise aux filles, et je suis rester sur cette position là ; un long moment, sauf exception. Ça n'a pas déranger mes parents, au début ils penser que je faisait ça parce que je trouvais ça normale que coucher avec une fille, c'est mieux parce que j'ai été élever par deux gay, et que donc être gay est LE chemin à suivre, mais ils ont compris que c'était mon choix, mes goûts, et n'ont pas eu envie de s’étendre sur le sujet. Et puis on était à New York, les gens sont libre d'esprit et s'en fiche pas mal que tu sortes avec une fille, un garçon, un chien ou que tu soit en couple avec ton serpent domestique, tant que tu
believe in your self et que tu fais pas des attentas dans le métro, ils s'en foutent pas mal de ta vie. Puis, on a finit par la retrouver. Comme par magie, alors qu'on a chercher dans tout les registres et annuaires possible, elle est apparue à nous comme si le destin voulais enfin nous réunir. C'était un jeudi, mes parents m'avait déposer devant le lycée, et dans les halo brumeux et le soleil cacher par les nuages, son visage est apparue : Katherine Olsen, voyante et diseuse de bonne aventure. C'était elle, ils l'avaient reconnue, on a boycotter les cours, choses étrange de la part de mes cher parents qui refuse que je rate un jour de cours même si j'ai le sida, ébola et une épée qui traverse mon dos : « tu es malade ? Bah vas en cours, ça va te guérir ! » ça semblait plus important que tout pour eux, encore plus pour moi, mon cœur trembler à en palpiter, et je ne savait pas vraiment à quoi m'attendre. Ils ont proposer que j'y aille seule, de peur qu'elle ne prenne la fuite en voyant le couple auquel elle a refourguée le gosse. J'ai donc jouée le jeu, je l'ai laisse tripoter ma main en pensant qu'elle savait ce qu'elle faisait, elle a lue des choses étrange, m'a dit des choses banale comme quoi j'allais devenir riche, que j'avais un avenir prometteur et que c'était le moment ou jamais de dire à l'homme que j'aime, que justement : je l'aime. Je l'ai laisser faire, avec un sourire amuser et au moment de partir, je me suis lever pour m'en aller et elle m'a dis :
« Je sais ce que tu te demande : pourquoi est-ce qu'elle m'a laisser ? Je vais te le dire : je ne t'ai pas abandonner. Je t'ai sauver. Tes parents, enfin, tes géniteurs ne pouvait pas avoir d'enfant, ils m'ont demander d'être leurs mère porteuses, en ce temps là j'avais besoin de fric pour payer mon loyer et mes cours de chants – qui ne m'ont servit à rien d'ailleurs -. Lors de l'accouchement, ils ont découvert qu'ils n'y avait pas un bébé, mais deux bébé, et ça a été un choc pour tout le monde, on est rester neuf mois ensemble, une vingtaine d'échographie et ils t'ont même pas vue, t'était minuscule, un bout de personne. Mais tes géniteurs n'ont payer que pour un bébé, donc le deuxième devait partir à la poubelle, ou je ne sais ou. Ils avaient appeler les services sociaux pour qu'ils te case ailleurs. T'imagine ? Passer ta vie dans un orphelinat ou balade de gauche à droite, parce que ses crétins voulaient pas payer deux berceaux, au lieu d'un. Alors je t'ai sauver, je t'ai pris avec moi et on s'est enfuit. Tu connais la suite, tu sais ce qui s'est passer. Maintenant vas t'en. Et n'oublie pas de laisse un pour boire. »
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Et puis un truc c'est réveiller, quelques choses dont j'avais jamais soupçonner l’existence. Une rage intérieur qui pouvait tout faire chavirer. J'aurais du être contente, j'ai rencontrer ma génitrice qui en fait n'est que le chaudrons qui a garder tout ça, mais j'étais loin de là. J'ai une sœur, une sœur jumelle, qui doit me ressembler comme deux goutte d'eau, tomber dans une famille de parents qui on salement décidé de jeter le deuxième gosse à la poubelle, je me suis sentit comme le second choix. La mauvaises herbes qui faut arracher, c'était horrible comme sensation, et j'avais beau en parler à mon père, il me disait que j'avais eu de la chance de tomber sur eux, que je n'avait plus à m’inquiétai à présent parce que je suis avec eux, qu'une famille qui m'aime et qui m’entoure sont là pour moi. Et puis, ils ont décidé d'avoir un nouveau bébé, parce qu'ils avaient tout fait pour moi, que je vais bientôt quitter le nid, alors il fallait un second bébés. Je me sentait comme exclus de ma propre famille, alors je suis dans une spirale infernale. D'abord j'ai arrêter de me nourrir, parce que je trouve ça débile, puis j'ai arrêter la viande, puis j'ai compris pourquoi j'ai arrêter la viande, parce qu'un jour j'ai regarder une suite de documentaire sur les animaux abattue, puis j'ai accuser mes parents de ne pas m'avoir prévenue que je bouffer de la merde, et de m'avoir laisser m'empoisonner toute ses années, puis je leurs en ai voulu, puis j'en ai voulu au monde entier de continuer à bouffer de la viande, puis je m'en suis voulu à moi même d'être si différente, moi qui pousse le monde entier à être différent, je me blâme à l'être. C'était l'adolescence, la naïveté, et le manque de confiance en moi, en gros j'me sentait comme une grosse merde, et je suis tombé dans l'anorexie, et l'anxiété sociale. C'est compliquer à expliquer, ce sentiment de dégout avait finit par m'envahir, et j'me suis retrouver à me haïr si fort que mon corps à programmer ma tête pour qu'il est peur de la société. A chaque fois que j'allais en cours, à chaque fois que je traverser une rue, à chaque fois que j'allais acheter un truc en supermarché, mon corps trembler en long, en large et en travers et me supplié de ne rien faire de stupide, c'est comme avoir le tracs, encore et encore, et ne jamais réussir à arrêter cela. Mes parents m'ont directement dans un hôpital pour que j'ai un suivit, et j'ai passer ma terminale à la maison, avant de passer mon bac en libre en juillet. J'ai passer neuf mois dans cet état second, jusqu'à ce que je débloque cette rébellions et que cette haine devienne de la colère, de la colère contre la société, le monde d'aujourd'hui et le grandes entreprise qui se foute de notre gueule. J'suis devenue une rebelle, j'ai rejoint un groupe de rébellion durant les derniers mois et on faisait des sale coup au agros-alimentaire. Rien de méchant au début, on couper le courant pour que la viande pourrisse, on brûler les cargaison, on inonder le super marcher de sang de bœuf et on taguer les murs. Une vrais rebellions qui pourrais être transformer en film, si les réalisateurs n'était pas tous tourner vers une version alternative de The Hunger Games. Jusqu'à ce qu'on se fasse chopper, et que j'me fasse coffret. Mon père est une ancienne vedette du Rallye et mon autre père est un grand chirurgien de renommer, je ne vous dit pas le gros bordel que ça a fait lorsque leurs filles est passer en première de couverture du Times, et même pas sous mon meilleurs profils ! Ils m'ont trouver des avocats du tonnerre, et tout a été très médiatiser, je pense éviter la taule et me contenter de travaux d'intérêt généraux, mais je me suis retrouver face à des millions de dollars à rembourser et une peine de prison de quatre mois. J'ai accepter de faire plus, si l'argent diminuer, et j'ai donc était coffret pour six mois de délinquance. C'est à ce moment là que le fausser entre mes parents et moi c'est construit, je n'étais plus le fruit de leurs amours, mais une bombe à retardement. Je détruisez tout sur mon passage, et eux par la même occasion. J'étais la tempête Zéphyr, créatrice de mon propre malheurs.
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C'est bon, j'me reprend en main. C'est cool la taule, c'est comme être dans une colonie de vacance mais faut faire des taches ménagères dans la journée et non des batailles de coussin ou encore des veiller avec des mashmallow. La bouffe est pas terrible non plus, mais mes papa venait m'apporter un mcdo en secret quand ils venez me rendre visite, ils payaient le gars qui surveille avec des nuggets, et ça passer pas mal. J'ai eu beaucoup temps pour réfléchir, et beaucoup temps pour me dire que ma vie n'était pas finit parce que je suis le seconde choix, je n'ai pas été le second choix de mes parents, je ne l'ai pas été de mes soit disant amis, et je ne le suis pas. Il fallait que je grandisse, et bien que j'aurais aimer que ça se fasse dans d'autre condition, je me suis retrouver à grandir en prison. C'est que ça marche quand même cette solution. Mes parents n'avaient pas réussit à avoir de bébé, ils s'est passer trop de truc autour de leurs personnes pour qu'une mère porteuse veille bien leurs donner un enfant. J'me suis voulue, et j'ai vu dans les yeux de mon père qu'il m'en voulait aussi, il m'a demander, au tribunal alors que le verdict à était prononcer : « est-ce que tu as fait tout ça pour qu'on est pas de bébé, Zéphyr ? » Il ne s'en souvenait pas, parce qu'il pleurer en même temps et que mon autre père forcer un garde pour qu'ils puissent m'embrasser une dernière fois et me donner du courage, mais la minutes qui a suivit le verdict j'étais dans la bagnole pour aller en taule, et tout ce que j'ai entendu ont était ses mots. Lorsqu'ils sont venue pour la première fois me voir, ils n'ont pas parler du bébé, ils ont attendue la quatrième fois, pour m'en parler, ils étaient déçu, moi aussi, et je ne savait pas quoi faire. Alors en sortant de là, j'ai accepter ce que mon père voulais que je fasse : des études. De longues études, pour devenir quelqu'un de bien. J'ai postuler partout, dans l'université du coin, à Harvard, à Yell, à Brown, et j'ai était accepter aux trois. Je ne sais pas ce qui m'a pousser à choisir Harvard, j'me disait que c'était le plus grand de ceux dont j'avais était accepter, et j'me disait que c'était assez loin que pour fausser entre mes parents et moi reste large. Je ne voulais pas qu'on redevienne comme avant, je voulais que ce soit ainsi, éloigner et distant. Je ne peut pas réparer l'horrible année que je leurs avait fait passer, mais je pouvais essayer d'arranger l'avenir pour leurs rendre tout ça en quelque chose de bien, le rendre fière et devenir une personne responsable. Bien que je soit toujours cette fille étrange qui mange des biscottes en écoutant Axelle Red.