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ASHTON - Je n'ai jamais eu autant besoin de toi que maintenant

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La vie est faite de choix. Certains sont bons et profitent à tout le monde, tandis que d’autres sont mauvais et finalement ne profitent à personne car tout cela se retourne contre vous. Prendre ces champignons hallucinogènes et pousser Ashton à coucher avec moi m’avaient ouvert les portes de l’enfer. Tout le monde m’en voulait, sauf le principal intéressé, Andrew, ce qui avait le don de me mettre hors de moi. Tous ses proches se permettaient de me juger. Mais pas de juger seulement la femme que je suis, mais également la mère que je peux être avec mes enfants et ça, je ne le supporte pas. Je pense que celle qui m’a vraiment poussée à bout dernièrement, c’est Mary. Lors du bal, je dansais sur le bar, juste à côté d’elle et je l’ai entendu parler sur moi, sur mon couple, sur ma façon d’élever mes enfants, de mener ma vie de famille. Je ne méritais apparemment pas Andrew, ni mes enfants. Il serait sûrement mieux sans moi selon ses propres mots. Je trouvais cela blessant, choquant. Je m’étais battue à plusieurs reprises ces derniers jours, avec elle mais également avec Nayla et puis, je sentais que Lyssana serait la prochaine sur la liste. Toutes les femmes de sa vie, les plus proches du moins, avaient pour objectif de me rayer complètement de sa vie, comme si la décision leur revenait. Andrew avait beau me demander ma main, me dire que j’étais la femme de sa vie et qu’il n’en avait que faire de l’avis des autres, qu’il savait ce que je valais, son entourage me bouffait lentement, à petit feu et je me sentais partir petit à petit. C’est ainsi que je me retrouvais à pleurer, assise dans un coin des couloirs du campus, par terre. Je n’arrivais pas à me calmer. Je pense que ça y est, j’avais perdue pieds et il me faudrait plus que de simples mots pour remonter à la surface. J’avais cette sensation de me noyer et de ne plus pouvoir respirer. Je ventilais. J’en avais mal à la tête et vu mon état, je n’arrivais même pas à pleurer silencieusement. Puis, de toute façon, à quoi bon pleurer silencieusement ? Ceux qui me blessent, m’attaquent, me font du mal volontairement le cri haut et fort alors je devais me laisser aller et exprimer ma peine comme je l’entendais. Sans aucun artifice. Sans retenue, aucune !
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Il n’avait pas revu Aaliyah depuis le Spring Break, depuis sa tromperie envers Naomi, depuis leur erreur commune qui aurait pu couter très cher à Ashton et qui ne cessait de troubler et de faire du mal à Aaliyah. Il n’avait pas cherché à prendre de ses nouvelles parce qu’il sentait qu’à tout moment le ciel pouvait s’abattre sur lui. Naomi ne lui faisait très certainement pas confiance, et s’ils étaient sur le chemin de la guérison et qu’il faisait tout pour qu’elle reste sienne, il savait qu’il n’était pas maitre de la situation et que si on le voyait encore avec elle, on ferait probablement des plans sur la comète. C’était peut-être mieux s’il évitait tout le monde, s’il ne se concentrait que sur le basket, à moins de trois semaines de la consécration. Il angoissait, il savait qu’il serait choisi, ça ne faisait pas de doute, mais il espérait jouer les play-offs dès sa première année, ambitieux au possible. D’ailleurs, il préparait déjà son départ. Il discutait beaucoup avec ses professeurs qui lui souhaitaient toute la réussite du monde, mais qui regrettait que le bon élève qu’il était ne choisisse pas un autre type de carrière. Aussi, il était allé voir son professeur de mathématiques appliquées, pour lui expliquer son comportement, ses notes, alors qu’il comprenait évidemment tout, c’était juste qu’il avait autre chose en tête, et que devenir professeur de mathématiques ne l’intéressait absolument pas. Ce dernier lui avait dit qu’il aurait pourtant été excellent mais ce n’était pas son affaire. Alors sortant de la salle, il était passé par les couloirs, et il avait trouvé celle qu’il évitait depuis quelques semaines au sol, complètement abattue, voire dans un sale état, à la limite de la crise de nerfs. Il ne pouvait pas la laisser comme ça. Alors il s’approcha, et il s’abaissa à sa hauteur, lui soufflant : « Hey… Tu devrais pas rester là. » Il faudrait qu’il la relève. Il ne savait pas ce qu’elle avait, mais il ne pouvait en définitive pas la laisser dans cet état. Il l’attrapa alors pour la sortir de ces couloirs, bien que personne ne fasse attention à elle et il la porta jusqu’à l’extérieur, dans un coin tranquille, l’asseyant sur un muret à l’ombre. « Qu’est-ce qui se passe ? » Elle pouvait bien se vider sur lui. Il savait plus ou moins qu’elle était la cible de lynchage, mais il ne fallait pas que ça l’atteigne.
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J’avais les yeux fermés. Cela me permettait de ne pas voir les personnes qui passaient devant moi et me regardaient. Qui me jugeaient sûrement aussi. J’avais ma dose niveau jugement et je voulais juste pleurer en paix, me laisser aller, que l’on me lâche juste deux secondes, rien de plus ou de moins. Mais il faut croire que certains souhaits sont difficilement réalisables. J’entendais une voix étranges, connues selon moi, me parler. Je sursautais car je ne m’y attendais absolument pas. Mais en ouvrant les yeux, je fus agréablement surprise de savoir que ce n’était personne d’autre qu’Ashton. Je ne savais pas trop s’il avait raison mais pleurer ici, par terre me faisait du bien. Quoique j’avais un peu mal à la tête à force. Je ne répondais pas à ce qu’il me disait, me laissant faire. Avoir quelqu’un près de moi, qui me comprenait et qui savait à peu près pourquoi j’étais dans cet état me réconfortait. Bon, je n’allai pas soudainement à merveille, mais cela m’apportait tout de même un certain réconfort. Je me retrouvais rapidement dans ses bras et je me contentais de poser ma tête sur son épaule, laissant mes larmes couler de plus belle. J’allai finir par virer barge si je ne réussissais pas à parler à quelqu’un de confiance. A quelqu’un qui me comprendrait et surtout, qui ne me jugerait pas. Peut-être qu’Ashton était cette fameuse personne et qu’il avait croisé ma route aujourd’hui pour une certaine raison ? Je veux dire, depuis cet incident, on ne s’est pas vu et aujourd’hui, il est là… Je suis dans ses bras. C’est une magnifique coïncidence je trouve. On arrivait finalement à l’extérieur du bâtiment. La lumière du jour me faisait mal aux yeux et à la tête. Je finissais assise sur un petit muret, dans un coin où aucune pétasse d’Eliot ne pourrait me voir. De toute façon, nous étions bien placés pour savoir qu’il ne fallait absolument pas que l’on soit vu ensemble. Ca chuchotait déjà assez bien sur nous, pas besoin d’en rajouter une couche. Quand il me demandait ce qu’il se passait pour que je me mette dans un tel état, je haussais les épaules en regardant le sol. Ou plutôt ses chaussures étant donné qu’il se trouvait devant moi. Je suis apparemment une femme infidèle qui adore se taper tout un tas de mec, une mère indigne qui ne mérite pas Andrew ou même les enfants qu’elle a elle-même mis au monde… Le dire à voix haute me faisait bien plus mal que l’entendre toutes les 2 minutes dans ma tête. C’était tellement douloureux.
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Aaliyah n’avait rien dit. Elle s’était laissée faire, laissée guider par Ashton qui sentait bien qu’elle était en détresse et qu’il fallait l’aider. Il trouvait ignoble d’ailleurs que tout le campus la laisse se détruire ainsi, et il se demandait où pouvait bien être son fiancé ou sa sœur dans de pareils moments. Après tout, Ashton était loin d’être la personne la plus proche d’Aaliyah même s’ils avaient partagé le même lit un instant lors du Spring Break. D’ailleurs, à ce sujet, il ne savait pas vraiment quoi penser. Il avait certes apprécié leur moment, mais il avait Naomi en tête et il l’aimait. Aaliyah avait ses enfants et son fiancé, même si ce dernier n’avait pas l’air très enclin à la porter à bout de bras. Ce n’était pas le moment de parler de ce qu’il s’était passé entre eux, ni de savoir ce qui les avait poussé à le faire, car pour lui ce n’était évidemment pas la drogue. Mais la question n’était pas là. Même si le jeune homme éprouvait une sensation bizarre en la portant dans ses bras car ça lui rappelait ce souvenir ancré dans sa mémoire et qui avait fait tant de ravages par la suite, il fallait qu’il garde son esprit focalisé sur son objectif. L’état de la jeune femme à l’heure actuelle était bien plus préoccupant que les états d’âme du basketteur. Il l’avait emmenée à l’extérieur, afin de pouvoir la sortir de sa torpeur et de la faire parler, pour qu’enfin quelqu’un prenne soin d’elle. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle parle tout de suite, et pourtant c’est ce qu’elle fit. Elle avait l’air complètement défaite, elle était brisée en mille morceaux, et Ashton se sentait tout de même responsable de son état. Ce qu’il entendait lui déplaisait fortement. « Qui sont-ils pour oser dire que tu ne mérites pas tes enfants ? Comment peux-tu être une mère indigne alors que tu gères la naissance de jumeaux dizygotes et tes études en parallèle ? » Il marqua une pause, la forçant à le regarder en relevant doucement son visage vers lui : « T’as pas le droit de les laisser dire de telles choses. Andrew est loin d’être un saint. A l’heure actuelle est-ce qu’il te mérite pour te laisser subir les moqueries des autres ? Il est où là ?! » Il n’était pas en train de semer le doute dans son esprit, mais tout ce qu’il souhaitait c’est qu’elle prenne conscience de sa force. Tout le monde fait des erreurs, mais ce n’est pas aux autres à juger de leur gravité ou non. D’autant plus que ces gens adoraient les amalgames.
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Si on m’avait dit qu’un jour je me confierai aussi facilement à Ashton, j’aurai ri à la figure de cette personne. On se disait à peine bonjour avant car il ne supportait pas ce que je faisais à son meilleur ami, Darnell. Je pense qu’on n’était pas fait pour finir ensemble Darnell et moi d’ailleurs, car j’avais fini par me défaire de lui, totalement et sans grande difficultés. Alors qu’avec Andrew c’était différent, mais passons. Ashton venait de me prendre dans ses bras pour me déposer dans un coin, à l’extérieur du bâtiment, loin de tout le monde pour que je lui dise ce que j’avais sur le cœur. Il devait s’en douter. Être avec Andrew me rendait malheureuse, mais pas à cause de lui, à cause de ses soi-disant amies, à cause de sa sœur… Je ne trouve pas ça normal de faire du mal à la personne qui est censée partagées la vie de ton frère, aussi gratuitement, parce que tu n’aimes pas cette femme. Ce n’est pas toi qui vis avec, mais lui. Je trouvais ça si facile de leurs parts de me juger alors qu’elles ne valaient pas mieux que moi. Alors que pour tout le monde et même pour son propre frère, elle avait l’image d’une traînée. Je n’arrivais pas à lever les yeux vers lui. Je n’arrivais même pas à le regarder. Mes yeux ne me servaient qu’à verser un torrent de larmes que je ne parvenais pas à arrêter. Ashton tentait de me rassurer et même si je savais qu’il avait raison, on m’avait tellement rabaissée que je n’arrivais pas à voir et penser de manière positive. Ils disent ça parce que j’ai… J’ai couché avec toi ! Dit comme ça, on pourrait croire que tout cela était de sa faute, mais pas du tout. Par-là, je voulais dire qu’ils disaient parce que j’avais trompé Andrew. Mais je le regrettais. Enfin, je regrettais d’avoir trompé Andrew, mais je ne regrettais pas que la personne avec qui j’avais fait cela soit Ashton. En y repensant, je ne voyais pas pourquoi je devrais le regretter… Je sentais sa main sur poser sur le bas de mon visage. Je relevais la tête lentement, grâce à son aide surtout. Une fois mon regard ancré dans le sien, je posais ma main sur la sienne, la retirant de mon visage, sauf que je ne la lâchais pas immédiatement. Je ne sais pas où il est ! Puis, je peux rien contre les haineux car il y a sa sœur, sa meilleure amie dans le lot, tout un tas de petites pétasses bourgeoises ! J’étais également issue d’un milieu aisée mais je n’agissais pas comme elles. Je ne me le permettrais pas. La preuve, je n’avais pas brisé les testicules de Jacey alors que j’aurai pu. Non, je m’étais contentée de soutenir ma sœur pour qu’elle ne sombre pas, sans descendre le père de son bébé. Le respect se perd… Je lâchais la main d’Ashton afin d’essuyer mes larmes. Au fait, je n’ai jamais eu l’occasion de te le dire mais je suis sincèrement désolée de t’avoir entraîné là-dedans… Je baissais de nouveau la tête. Je m’en voulais tellement.
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Les gens devraient se mêler de ce qui les regarde. C’est le principe de la paille et la poutre. Ils voient la paille chez les autres, mais ne voient pas la poutre qu’ils ont devant les yeux. Ashton avait toujours détesté les commères. Elles détruisaient tout sur leur passage, et parfois à tort. Aaliyah avait beau commettre des erreurs, il fallait arrêter de vouloir l’enterrer. Ashton l’avait compris lorsqu’il l’avait accablée par rapport à Darnell. Elle n’était pas méchante, elle ne savait juste pas trop où elle en était, et si elle était forte en apparence, elle possédait une certaine fragilité et il fallait la ménager. A quoi cela servirait de la voir sombrer ? Les gens ne réalisent-ils pas le mal qu’ils font autour d’eux ? Lui avait réalisé le mal qu’il avait causé par ses actes et depuis il évitait soigneusement Darnell, sauf au basket, et avait tenté d’éloigner Naomi de lui pour qu’elle cesse de souffrir. A quoi bon les accabler alors qu’il avait merdé ? Le jeune homme de vingt ans savait qu’il ne pouvait pas arranger les choses, ce qui était fait, était fait. Mais il ne comprenait pas que ça puisse intéresser des gens autour, qu’ils s’amusent à pourrir la vie d’Aaliyah alors qu’elle était droguée ce jour-là. Elle ne pouvait donc pas se maitriser. Pourquoi mêler les enfants à une tromperie ? C’était deux choses différentes. « T’as couché avec moi en étant droguée… Je vois pas en quoi tes enfants devraient être mêlés à ça. » Au fond, il aurait aimé que ça ne se sache pas. Et il se disait bien qu’elle avait dû le raconter à quelqu’un pour que la rumeur de leurs ébats, de leur acte commun se répande comme un virus. Mais il ne savait pas qui avait osé avertir tout le monde, et il trouvait ça moyen de s’être abaissé à cela. Ashton pouvait sentir la douleur de la jeune femme, il la savait sincère, elle aimait profondément son fiancé. Mais il fallait que certaines choses changent. La main de la belle brune restait sur la sienne et il ne fit rien pour briser ce contact, signe de confiance. Le problème auquel elle faisait face se trouvait être l’entourage d’Andrew. Il soupira, il ne connaissait pas vraiment ce problème lui qui avait toujours été seul avec sa mère, mais il avait son idée sur la question : « Andrew devrait te protéger, leur dire qu’elles doivent pas se mêler de vos affaires. Il est grand, il peut se gérer tout seul non ? Ou il a encore besoin d’une gouvernante ? » Les filles n’arrêteraient pas s’il ne mettait pas les choses au clair. Et puis, à ce qu’on racontait, Andrew papillonnait pas mal, et là personne n’avait quelque chose à dire ? Il s’abstint de mentionner cela, il ne voulait pas la contrarier toujours plus. Et puis Aaliyah s’excusa et il secoua la tête. Finalement ils allaient l’aborder ce sujet. C’était inévitable. « T’as pas à t’excuser. Tu n’étais pas toi-même. Moi je devrais m’excuser, parce que je ne comptais pas céder, j’étais lucide et j’ai craqué quand même. C’est ma faute si tu subis tout ça… » Il le pensait. D’autant plus qu’elle subissait à sa place.
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Ashton voyait exactement où je voulais en venir. Je ne comprenais pas le fait que tout le monde mêle mes enfants à cette histoire, comme si ça avait un quelconque rapport. Puis, les gens devraient d’abord balayer devant leur porte avant de s’attarder sur la mienne qui méritait bien plus qu’un simple nettoyage. Je ne sais pas, mais je suis à bout de toutes ces conneries… Je ne veux pas retourner au point de non-retour de Septembre ! Il ne devait certainement pas savoir de quoi je parlais, mais moi si. Je ne me souvenais plus trop bien de la date, mais c’était autour de Septembre que j’avais voulu mettre fin à mes jours et que j’y étais quasiment parvenue. Si Nolwenn ne m’avait pas trouvée, je pense que je ne serai plus là à l’heure actuelle. Je me disais que je ne pourrai plus jamais repenser à cet acte affreux qu’est le suicide, mais plus j’avance dans la vie et plus je me dis que c’est lâche, mais que ça vaudrait peut-être le coup. Que je donnerai ainsi aux gens ce qu’ils voudront, c’est-à-dire, qu’Andrew ne finisse pas sa vie, ses jours avec moi mais avec une autre femme qui en aura peut-être qu’après son argent et son prestige. Voilà que je divaguais et que mes pensées n’étaient que tristesse et stupidité. Je devrais penser autrement. Surtout qu’Ashton disait vrai à chaque fois qu’il ouvrait la bouche. Je ne devrais pas supporter ça toute seule, de mon côté, mais avec lui. Il devait me protéger de ses proches qui bavaient un peu trop à mon sujet. Il a apparemment besoin d’une lignée de gouvernantes ! S’il n’y avait qu’une personne qui se mêlait de ses affaires, de nos affaires, ça m’irait. Mais là, s’en était trop. Il y avait toute sa clique de justicières démasquées et je n’avais plus les épaules de tout me prendre en pleine figure, seule, alors qu’on devrait l’affronter ensemble, main dans la main. C’est illogique d’être aussi éloigné l’un de l’autre dans un moment pareil. J’allai finir par prendre mes enfants sous les bras pour rejoindre mon père en Angleterre, accompagnée de ma mère malade. Eh ouais, ma mère était malade et je devais supporter les dires de connasses enragées. Chuut ! A mes yeux, il n’était en rien responsable de ce qui me tombait dessus depuis déjà plusieurs semaines. Et je ne voulais pas qu’il me contredise sur ce point. J’attrapais de nouveau sa main, le regardant de la tête aux pieds. Je le tirais vers moi en lui disant le plus calmement possible. Tu me stresses, tu pourrais t’asseoir s’il te plaît ! En réalité, j’avais besoin qu’il se mette à côté de moi afin que je pose de nouveau ma tête sur ses épaules et que je me repose, que je me détende sur son épaule. Comment ça se passe avec Naomi et Darnell au fait ? Je n’arrêtais pas de penser à Darnell depuis l’évenement. Je lui avais fait beaucoup de mal depuis qu’on a décidé de devenir amis lui et moi et, encore plus quand on s’est mis dans l’idée de sortir ensemble. C’est à partir de là que j’ai enchaîné les erreurs le concernant. Tout cela s’est achevé par une prise de substances illicites et de contacts physiques pas très catholiques dans la chambre d’Ashton. Mais une fois de plus, je ne regrettais pas tout. Seulement le fait d’avoir blessé certaine personne sur mon chemin.
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Aaliyah le surprenait par des annonces certaines. Elle parlait de septembre, et il ne savait pas où elle venait en venir. Mais la jeune femme était déphasée, elle semblait être au bord de la rupture. Il était temps de la laisser s’exprimer sur tout ce qui la tracassait. « Qu’est-ce qu’il s’est passé en septembre, Aaliyah ? » Il avait bien sa petite idée, mais il ne voulait pas qu’elle garde des idées noires. Parce que se plonger dans une dépression pour ensuite avoir envie d’en finir n’est jamais bon. L’autodestruction est le mal le plus difficile à curer. Il n’y a pas vraiment de traitement si ce n’est l’envie de s’en sortir et de compter sur le fait que la chance tourne. Ashton avait toujours été bien dans sa peau, il ne comprenait pas qu’on puisse vouloir en finir à ce point car il y avait toujours moyen de s’en sortir, mais le sort ne s’était jamais acharné sur lui. Il n’avait jamais manqué de rien. Il ne pouvait donc pas comprendre. Mais ça ne voulait pas dire qu’il ne pouvait pas essayer de l’aider à voir les choses d’une autre façon. Ca ne serait pas une mince affaire, mais elle pouvait voir le positif, elle avait de magnifiques enfants, elle était appréciée par certaines personnes qui ne la lâcheraient pas, et elle était étudiante dans une des meilleures universités mondiales. Tout n’était pas dramatique, il fallait peu à peu reconstruire son image et sa vie pour faire fi de tout ce qui la blessait, mais ça prendrait du temps. Malgré tout, ce n’était pas franchement à Ashton à le faire, mais plutôt au fiancé de la belle brune puisqu’au fond, il n’était pas véritablement son ami, et il allait bientôt s’envoler pour d’autres contrées. La NBA l’appelait. Il songeait à en parler au concerné, mais sachant ce qu’il avait fait à Darnell, il craignait que l’entente soit loin d’être cordiale. C’était donc une mauvaise idée, et il passerait le flambeau une fois parti. Andrew était trop entouré pour la belle, et il lui suggéra quelque chose : « Ces filles sont toutes Eliot ? Pourquoi ne pas déléguer ça aux Mathers ? » Après tout, le conflit Mather/Eliot existait, et s’il pouvait faire mordre la poussière à ces enfoirés, il le ferait. La jeune femme ne voulait pas qu’il se rende responsable de ce qui lui arrivait, mais c’était pourtant vrai. Lui avait la chance d’être hors d’atteinte, peut-être parce qu’il était grand et qu’il effrayait les autres. La seule chose qu’il avait dû subir, c’était le fait que Naomi et Darnell se soient embrassés. Saisissant sa main, elle lui demanda de s’asseoir à ses côtés, et c’est ce qu’il fit, sans un mot. Il l’enlaça d’un bras, lui soufflant : « Ca ira. Tu verras. » Et puis elle posa une question qui le fit repenser à tout ce qui s’était passé dernièrement. Il eut un raclement de gorge, un peu ennuyé par les répercussions de leurs actes : « Darnell et moi on ne se parle plus. On finit la saison de basket ensemble, mais il veut plus avoir affaire à moi. Je le comprends quelque part. Naomi et moi, on se donne une chance, mais on sait pas encore où ça nous mènera. » Il haussa les épaules, de toute façon il ne pouvait plus rien y faire puisqu’il allait partir. Si Naomi le suivait, leur couple tiendrait probablement, sinon ce serait à lui de faire les efforts. « Et Andrew, il t’a pardonné ? » Question bête, mais c’est toujours difficile de pardonner un tel affront.
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Pourquoi ne pas déléguer le sale boulot aux Mather ? S’il savait. Je riais intérieurement, car sans le vouloir, c’était exactement ce que j’avais fait le soir du bal. J’avais parlé de mes soucis à mon cousin, Alexander qui n’était personne d’autre que le président de la maison verte. Quelques minutes plus tard, j’avais reçu un message d’Andrew me demandant de le rejoindre dans les toilettes afin d’admirer les dégâts sur sa sœur et sa meilleure amie Lyssana. Je n’avais été aussi fière de mes amies. Même de ces pseudos amies que je connaissais à peine car elles valaient bien plus que celles qui prétendaient être toujours là pour moi et qui se permettaient de me planter un couteau dans le dos. Dans le cas de Nayla, qui me balance le contenu d’un vase en pleine figure. Petite catin russe ! Une fille de ta confrérie leur a foutu un coup de pelle en pleine figure… La violence du geste me choquait mais, le message derrière cet acte me touchait profondément. On ne touche pas à la famille et beaucoup de Mather représentait cette fameuse famille. J’étais heureuse de savoir qu’ils étaient là pour moi, quoiqu’il arrive. Ce n’était d’ailleurs pas la première fois qu’ils me le prouvaient. Il n’y avait qu’à regarder Ashton qui était là pour moi malgré nos problèmes communs pour comprendre où je voulais en venir. Il vint s’asseoir à côté de moi, passant l’un de ses bras autour de moi. C’est ainsi que ma tête se retrouvait de nouveau sur son épaule. J’espère que t’as raison ! Je voyais bien que la question que je lui avais ensuite posée le gênait. C’est ainsi que je connaissais la réponse avant même qu’il ne me la donne. Et pour moi, elle n’avait rien de positif et j’en eu la confirmation quelques secondes plus tard. Je relevais doucement la tête vers lui, ne sachant pas quoi lui répondre. J’étais responsable de tout ce qui lui arrivait mais, lui dire que j’étais désolée ne changerait rien. Il le savait déjà étant donné que je lui avais dit cela il n’y a pas si longtemps que ça. Je ne sais pas. J’imagine que oui, vu qu’il m’a demandée en mariage ! Mais mon problème, c’était ça justement. J’avais l’étrange impression que cette demande avait été faite afin de sauver les apparences, rien de plus. Bien que, quand je lui avais dit être prête à lui rendre sa bague, il m’avait répondu ne vouloir que moi et personne d’autre… Sauf que, je trouve que les mots sont bien plus faciles que les actes. Je voulais qu’il me prouve que je comptais pour lui et que cette demande n’était pas faite dans le vent… Paraît que tu nous quittes à la fin de l’année ?
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Apparemment, elle n’avait pas attendu sa suggestion, et la Mather House était déjà passée à l’action. S’il l’avait su avant, il serait intervenu aussi, mais au bal il s’était occupé de Nevada qui n’était pas au mieux elle aussi. A croire que c’était la période. Tout le monde déclinait et Ashton se transformait en bon samaritain. Ca le faisait doucement rire, lui qui avait tout fait pour être une autre personne ici. Chassez le naturel, il revient au galop ! Il ne put en tout cas pas réprimer un rire quand il s’imagina un coup de pelle. Heureusement qu’Alexander prenait son rôle de cousin au sérieux, car la Mather House pouvait enfin revenir au premier plan. « Ca ne m’étonne pas venant de ma maison ! J’espère qu’elle a eu aussi mal que ce que tu as pu ressentir ! » Ce n’était pas le karma mais presque. Au moins elles se tiendraient loin d’elle pendant un moment du moins. La proximité qui s’installait entre Aaliyah et Ashton pouvait en surprendre plus d’un et peut-être même les principaux intéressés, mais cela se faisait naturellement. Ils avaient déjà partagé bien plus lors de leur après-midi au Spring Break où leurs corps s’étaient apprivoisés, mais là c’était tout autre chose. Ce n’était pas une tendresse liée à une quelconque pulsion ou drogue, c’était une compréhension mutuelle, un sentiment qu’eux seuls comprenaient et qui les rapprochaient. Il espérait lui aussi avoir raison, et il lui souffla pour la rassurer en lui caressant la joue du bout des doigts : « Je ne les laisserais pas te détruire de toute façon. » Peu importe ce qu’il s’était passé, il assumait la responsabilité de ses actes et il reprenait le cours de sa vie. Il s’était excusé auprès de Darnell, celui-ci avait décidé de ne pas les accepter, qu’il en soit donc ainsi. Si Darnell allait véritablement lui manquer, il ne pouvait pas le forcer à l’apprécier. Quant à Naomi, seul le temps leur permettrait de savoir ce qu’il adviendrait d’eux. Tout ce qu’il savait c’est qu’il l’aimait. Andrew, lui, pour sécuriser son histoire avec Aaliyah, l’avait demandée en mariage. Mais le jeune Mather de 20 ans se posait la question : est-ce que le prince l’aimait véritablement ou ne voulait-il pas que son égo en prenne un coup ? Il lui avait pardonné bien trop vite sa tromperie, c’est qu’il ne devait pas être blanc comme neige de son côté. Mais après tout, c’était Aaliyah qui choisissait de mener sa vie comme elle l’entend. « Tu es sûre de vouloir te marier si vite alors que vous nagez en eaux troubles ? Mais bon je crois que t’es la seule à savoir ce qui est le mieux pour toi. » Aaliyah avait choisi de parler d’autre chose, de lui en fait, et de son départ. Cela le fit sourire, et il acquiesça avant de lui répondre : « Oui, en fait dans trois semaines je m’en vais à New York pour la draft NBA, et ce fameux soir je saurais dans quelle équipe je suis pris ! » Il saurait s’il irait à l’autre bout des Etats-Unis ou s’il serait à proximité de tout son petit monde.
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