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« Tu crois quoi ? T'as cru qu'on était dans Gossip Girl ? T'as cru qu'on avait que ça à faire de s'acheter des voitures tous les jours parce qu'une idiote à pas les yeux en face des trous ? Tu m'fais rire, d'où j'abuse de mon titre ? Dit-moi une fois où j'ai abusé de mon titre avec toi. Parce que là c'est pas d'l'abus meuf, c'est de la citoyenneté et du bon sens. » Tu expliquais, tes poings serrés, et elle avait de la chance que tu tentes de rester calme parce que fille ou pas fille, si tu n'étais pas doté d'un certain self control, tu lui en aurais volontiers collé une, avec grand plaisir d'ailleurs. « T'm'saoules Alaska. Tu sais quoi, dit ce que tu veux : ton histoire tiens pas la route de toute manière. Va voir le juge ou l'assureur, dit leur à quel point t'étais sobre et que t'attendais que la voiture garée te dise de faire attention avant de lui rouler dedans. Il vont te rire au nez. » Tu t'en foutais de toutes manière, tu savais que tu avais raison. T'en pouvais juste plus de sa mauvaise foi légendaire, parce qu'au final, c'était elle qui abusait de toi et de ton amitié. Elle aurait pu tomber et s'éclater dans n'importe qui, sauf qu'elle est bien trop dégoutée parce que le destin à fait qu'elle soit tombée sur toi, que tu sois toujours dans ta voiture et qu'elle ne pouvait donc pas s'échapper, et que tu n'allais pas la laisser faire avec ses attitudes capricieuses. Tu commençais à prendre des photos des deux voitures, des alentours et des dégats avec ton portable pendant qu'elle te faisait un doigt et cherchait les papiers. Gamine va. Tu levais à nouveau des yeux au ciel, clairement agacée qu'elle continue sur la voie des parents quand tout ça était de sa faute. « Et alors ? Va diriger un état, qu'on rigole tiens. De toute manière, t'essaie de jouer sur les mots mais ça change rien : c'est l'argent de nos parents. Alors arrête un peu de faire ta jalouse. J'sais pas pour toi, mais j'bosse à côté des cours a la libraire pour pouvoir me payer ce que je veux de mon propre porte-monnaie. Commence pas à jouer avec ça avec moi Alaska. » Parce que tu vas perdre, tu la prévenais, attrapant les papiers, avant de secouer ta tête presque ébahi devant le tas de connerie qu'était devenue ton amie. Elle méritait des baffes, au s'cours, t'avais besoin d'aide, de super Nanny, de quelqu'un pour la redonner la raison. « Non, tu n'fais pas ce que TU VEUX ALASKA, pas quand ça met la putAIN DE VIE DES AUTRES EN DANGERS ! » Tu gueulais à ton tour pour qu'elle comprenne enfin, puisqu'elle semblait écouter que lorsque qu'on gueulait dans ses oreilles. Tu grommelais, t'éloignant vers le capot de ta voiture pour commencer à compléter les papiers.
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« Ferme là, ta voix crispé et aigüe me donne des remonter gastrique, si tu veux pas que je vomisse mon diner, faudrais prendre une pause dans des discourts de grand monsieur. » dis-tu en faisant un stop avec ta main. T'en pouvais juste plus, t'en avait marre, de lui, des gens, du monde en générale. Tu voulais juste rentrée chez toi parce que c'est partit trop loin, parce que comme Ted Mosby l'as dit : il ne se passe jamais rien de bien après trois heures du matin, et la meilleure solution est de rentrée chez soit pour arrêter de faire des mauvais choix, pour ton cas tu avait peut être un peu déjà trop déborder dans les mauvais, choix, mais hors de question de reconnaître tes tords, encore plus lorsque c'est monsieur, oh Rainier Grimaldi qui te les craches à la gueule, t'aimerais juste qu'il la boucle un instant et t'aide à sortir de là, au lieu de de t'enfoncer. « Tu sais quoi ? Fais ce que tu veux, prend des photos, porte plainte, de toute façon je serais obliger de payer la réparation de ta caisse, alors je m'attend pas à ce que tu soit de bon coeur et que tu laisse ça filer. Envoie moi les factures, ect, ect, ect. Mais laisse moi rentrée chez moi, avant que je ne décide de t'écraser au passage. » dis-tu en te mettant au volant de ta voiture.
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Tu arquais un sourcil à sa prochaine remarque sur ta voix, et tu lâchais un petit rire, totalement abasourdi par ses conneries. « Woaw, on a tapé le fond des arguments pourris... » Tu marmonnais plus pour toi, et en plus elle s'y croyait tellement avec sa main, elle s'était réellement cru pour une princesse la meuf. Genre limite elle a pensée qu'elle était Elizabeth the Queen et qu'elle dirigeait son petit royaume en claquant des doigts quoi. Merci les substances illicites pour m'imaginer une vie et perdre tous mes amis dans la vraie. Heureusement que t'étais pas son mec, parce que tu ne pourrais définitivement pas la supporter quand elle était de si mauvaise foi. C'était fou comme elle venait de baisser dans ton estime. Elle ne répondait rien à ce que tu disais, peut-être même qu'elle ne t'avais pas comprise tellement son niveau de paroles et de communication était devenu faible, et tu riais à nouveau quand elle se mettait derrière le volant de sa bagnole. « Oh parce que maintenant on va rajouter les menaces de morts dans tout ça ? T'aggraves ton cas Harrison. »
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Est-ce que je suis en état de conduire ? NON. Bien sur que non, je pourrais tué deux personnes en brochette, je ne m'en rendrais compte que demain matin quand ma voiture seras encercler par des flics. Mais est-ce que je vais le faire quand même, parce que je suis une tête de mule ? Bien sur ! Quel question. Je laisse papier, désordre juridique, et autre merde à Némo qui se feras joie de les remplis, et me met au volant de ma petite voiture, abîmer mais en état de fonction. Il n'a qu'à me faire payer le double, le triple et même encore plus des réparations de sa caisse, à cette heure-ci je n'en ai plus rien à faire. Je passe outre les réponses qu'il me fait, et me met au volant pour démarrer. Peut être que demain je ne me rappellerais pas de ça, peut être que demain je serais tellement fâcher contre moi que je n'oserais plus me regardais dans le miroir. Quoi qu'il en soit, je ne suis pas en condition de réfléchir à demain, je veux mon lit et je veux dormir. Je quitte les liens en faisant à doigts à mon soit-disant ami et rentre jusqu'à Cambridge, un bout de carrosserie en moins.


- FIN
et suite -
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