Priape & Reyna ☼ La curiosité est un vilain défaut.

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Priape & Reyna

- Oh oui, Alec grandit trop vite, ai-je renchéris avec un petit hochement de tête.
Je lui ai expliqué tout ce qui s'est passé entre Arès et moi. Enfin tout...Surtout la fin. Je ne voulais pas en parler d'avantages puisqu'il ne m'expliquait pas ses histoires. Chacun son truc. Au moins, on avait un point commun. Je buvais mon verre et j'écoutais sa passion qui était le cognac. Hélas, ce n'était pas ça qui allait arranger ses problèmes. Il me glissa un compliment et je secouai la tête avec un petit sourire.
- C'est bien dommage que tu sois saoul... J'aurai bien aimer discuter avec un bel inconnu.
Il savait faire des compliments ? Moi aussi ! Après tout, j'étais célibataire alors pourquoi n'aurai-je pas le droit d'en profiter ? Je buvais mon cocktail avant de poser le verre sur le comptoir.
- Alors santé !
Je haussai les épaules avec un petit sourire et me tournai vers mon verre. Bon, on n'allait pas forcément parler de choses très intéressantes ce soir.. Ça m'inquiétait un petit peu. Je ne voulais pas faire la discussion toute seule après tout.
 

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Oops:

Puisque les hommes saouls ce n’était pas son truc, elle n’avait surement pas l’intention de s’éterniser à parlementer avec moi, même si elle me glissait un petit compliment qui me fit sourire. J’en avais marre de me justifier, de me sentir jugé. Les gens ne savaient faire que ça : vous prendre de haut, vous sermonner. C’était le bal, j’avais bien le droit d’être dans un état second pour l’occasion. « Un bel inconnu qui n’est pas venu seul tu vois… » répondis-je donc. Oui j’avais une cavalière, Zoïa, que j’avais à peine vue depuis le coup de poing de l’autre taré à table. Après avoir trinqué avec la demoiselle, je finis donc mon verre d’une traite et j’annonçais : « J’vais d’ailleurs partir à sa recherche et voir si elle veut rentrer… » Avant que je finisse par m’endormir sur le comptoir du bar tellement j’étais plein. « Passe une bonne soirée Reyna, au plaisir de te recroiser… » la saluai-je. J'savais très bien que Zoïa ne me réserverait aucun jugement, qu'elle serait surement aussi bourrée que moi de toute manière alors. Je me levai et m'éloignai alors de la brune pour partir en quête de ma cavalière