Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Alaska) i can't drown my demons, they learned how to swim - Page 2
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


(Alaska) i can't drown my demons, they learned how to swim

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Alaska) i can't drown my demons, they learned how to swim - Page 2 Tumblr_marh2ypxDr1qhmo8oo1_250
C'est étrange quand même, j'ai toujours imaginé que je ne reverrais jamais Alaska, non pas parce que l'une de nous deux n'aurait pas survécu mais parce que je n'aurais jamais eu le loisir de la recroiser, et pourtant, nous sommes la, toutes les deux à nous demander de nos nouvelles, moi à lui dire à demi-mots qu'elle m'a manqué, et elle à me dire qu'elle avait survécu et qu'elle était sortie du centre après quelques années à y vivre, dont quelques temps sans moi. Mais qu'elle allait mieux, et au fond de moi je suis soulagée, parce que je me dis qu'elle le mérite. Je veux partir, je veux tout oublier en vérité, je veux oublier que je l'ai revu parce que visiblement, elle ne veut plus de moi. Lorsqu'elle me retient, j'ai presque envie de pleurer, mais non, Bird Roth-Spiegelman ne pleure pas. Bird Roth-Spiegelman ne pleure plus. Oui j'aime toujours autant les pizzas et la 4 fromage reste toujours ma préférée... Oui j'ai hâte de voir ton appartement, je suis sûr qu'il a du caractère. Lorsqu'elle me dit qu'elle a emmenagée avec quelqu'un, j'ai le coeur qui se serre encore plus pendant son silence, qu'est ce qu'elle veut me dire ? Qu'est ce qu'elle ne me dit pas ? Son coloc ? Je reste dubitative, mais je souris, je ne veux pas tout gâcher. Je la suis alors en marchant à ses côtés, les mains dans mes poches de veste, je ne sais pas où mettre mes mains. Je me sens bête. Menteuse, c'est moi la meilleure aux courses de fauteuil roulants... Et moi aussi je reste la même... Celle qui adore les comics et qui aime se faufiler la nuit dans le frigo... Le souvenir de notre escapade nocturne me revient au visage et je souris comme une imbécile, puis dans un élan qui me vient de nul part, j'attrape doucement sa main pour la serrer dans la main et entrelacer nos doigts On a tellement de choses à se dire que je ne sais pas par où commencer... C'est étrange de te revoir, je ne veux pas te mentir... Je ne pensais pas te revoir... Je serre alors sa main, laissant toujours nos doigts enlacés, je ne veux pas lui mentir. C'est loin chez toi ? Je ne veux pas le dire, mais les examens m'ont épuisés. J'ai l'impression d'être une poupée de chiffon tellement je suis cassée du fait qu'il m'ait examiné de tout les côtés, et j'ai hâte de pouvoir me jeter dans mon lit, ou de dormir, avec elle dans mes bras. Même si cela sera impossible, j'en suis sûre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

   
❝ if people were rain i was
drizzle and she was hurricane.

BIRDASKA TEAM MOULE

« Oui, c'est parce que j'te laisser gagner de temps en temps, tu me faisait de la peine. » dis-je en riant avec une petite voix, les souvenirs me revient en tête, et les prises de tête avec la surveillante, et le rire des camarades qui n'osait pas le faire avec nous, mais riait lorsqu'on s'écraser dans la bac à lingue à l'arriver, et l'odeur horrible de produit ménager me vient, tout un bloc de souvenir que j'ai longtemps rogner de ma mémoire, mais qui me fond du bien, rien que d'y penser. Ses doigts finisse par attraper les miens, et un frisson me parcours. Nous n'avions jamais eu l'occasion de nous prendre la main en plein jour, et c'est une sensation délicieuse et étrange qui me parcourt actuellement. J'avale ma salive, et me laisse faire. J'ai hésité à la repoussais et garder mes distances, mais à quoi bon ? J'ai envie qu'elle revienne. J'ai envie qu'elle reprenne la place qu'elle avait prise. J'ai envie qu'elle soit celle qu'elle était, celle pour qui mon coeur battait. Alors la repousser ne ferais que ralentir le processus. « Parce que tu pensais que je n'allais pas survivre au prise de sang et au piqure répétitive ? J'suis plus coriace que ça. J'en ai dans le ventre. » dis-je dans un rire. « J'ai fait une crise, un peu après que tu soit partit. Ils pensaient que je faisait une allergie au nouveau médicament qu'ils venaient de me prescrire. J'ai faillit y passer. J'pense avoir vu la lumière, et m'être pose la fameuse question du : je me bat ou je m'en vais ? Et je pense avoir choisit de partir, mais le déstin avait prévu autre chose pour moi. » dis-je en la regardant, c'était elle, l'autre chose. J'étais si fatigué et si triste que mon corps à rejeter tout ce qu'il avait avaler, il ne voulait plus rien, y compris les médicaments qui devait le soigner. J'ai passer une semaine au soin intensif ou la seule personne avec qui j'avais le droit de parler était Marc. « On va prendre un taxis, si tu préfères ? » dis-je en regardant autour de moi pour voir si il y 'en a un. Je lève la main pour que celuil en face s'approche et fait entré Bird en premier dans le taxis. J'lui file l'adresse et nous voilà en direction du centre ville. J'avais choisit de ne pas vivre à des kilomètres de l’hôpital, à peine cinq minutes après nous étions au pied de l'appartement. J’espérais que Sam ne soit pas là, que Bee non plus. Je la laisse passer en premier et passe ensuite devant elle pour la diriger vers l'entrée de l'immeuble. « On commanderas la pizza, tu as l'air épuisée. »
© LOYALS.
[
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Alaska) i can't drown my demons, they learned how to swim - Page 2 Tumblr_marh2ypxDr1qhmo8oo1_250
Je lui faisais de la peine lors de nos courses de fauteuil roulant, lorsqu'elle me dit ça, je ne peux pas m'empêcher de lui tirer la langue parce que je suis persuadée du contraire, j'ai tellement envie de la mettre au défi d'en refaire un, mais la vie n'est pas le centre, la vie ce n'est pas être attrapé par une surveillante qui nous réprimande et nous laisse partir alors que nous sommes en train de rire pour nous moquer d'elle. Non la vie ce n'est pas ça. Je ne lui répond rien et me contente de la regarder, j'imagine ce que nous pourrions être, est-ce que ça marchera comme ça a marché la-bas ? Ou est-ce qu'au contraire, on va s'aimer tellement fort que nous allons finir par nous détester ? Je ne suis plus la Alaska du centre, mais je veux toujours être son Alaska, je ne suis plus la Alaska chétive du centre, non, j'ai grandi, j'ai évolué et je ne veux pas qu'elle m'en veuille pour cela, je ne l'ai pas attendu pour vivre ma vie, et j'espère qu'elle le comprendra. Lorsqu'elle me dit qu'elle en a dans le ventre, ça me fait sourire, je sais qu'elle est forte, je sais qu'elle n'est pas du genre a laisser la maladie la terrasser. Non, Alaska Harrison est bien plus qu'une petite malade, Alaska Harrison est une battante. Elle est ma battante. « Je ne pensais pas te revoir dans le sens, te recroiser, je sais que tu es une battante. » Mon sourire disparaît quand elle me dit qu'elle a failli y passer, après mon départ, non, je ne veux pas l'imaginer en train de mourir, non je ne peux pas. Je ferme les yeux et chasse ses images qui viennent d'envahir mon esprit. « Je ne veux pas imaginer que tu ai pu mourir... Non... Moi tout se passe comme sur des roulettes, j'ai mon traitement... Mais parfois, j'ai peur qu'il revienne, que cette saloperie revienne, puis je déteste tout ça, les Check-Up a l'hôpital, le fait qu'ils me prennent pour une attardée avec leurs conseils à la con la. Je vis avec le cancer, eux ils se contentent de me dire que c'est mal le fait que je fume, le fait que je sois partie en Europe, mais je ne les écoute pas, je me contente d'avaler chaque pilule chaque matin avant de boire mon café et je n'ai pas besoin de charlatans pour me le rappeler. » Je lève les yeux au ciel, parler d'eux me débecte, me donne envie de vomir, je revois la tête du médecin qui me suit quand je lui ai dis que oui, je fume. Mais je me calme rapidement, parce que je ne veux pas qu'elle me voit énervée. Lorsqu'elle hèle un taxi, je la laisse faire et prend place dans la voiture et m'attache en attendant qu'elle monte. Je reste silencieuse le temps du trajet après avoir posé ma tête sur son épaule, il ne faut pas que je m'endorme et il faut dire que je n'ai pas beaucoup dormi depuis quelques temps à cause des examens à l'université, le stress ne me fait beaucoup dormir et je n'aime pas ça. Donc le stress, plus les examens, mon corps en a un peu assez. Le trajet était assez rapide, et je m'étire en sortant dans la voiture puis en engageant le pas, je marche lentement, ayant remis mes mains dans mes poches, j'ai envie de fumer une cigarette, mais je dois m'abstenir. Lorsque nous arrivons devant l'immeuble, je lève la tête pour me rendre compte de la hauteur vertigineuse de l'immeuble, on dirait l'hôtel de mon père. « Oui, enfin, je ne dors pas beaucoup en ce moment alors tu sais. » Je souris en entrant dans son immeuble, et je me retourne pour la regarder « Je ne veux pas m'imposer, je ne resterais pas tard. Quel étage ?  » Nous ne sommes qu'en milieu d'après-midi mais je la préviens déjà. Je dois encore passer chez ma mère. Je ne contrôle plus mon esprit, quand je la sens si proche de moi, je l'attire alors contre moi pour la prendre dans mes bras « Tu m'as tellement manqué Laska... » Je me sens niaise, mais tant pis. J'ai besoin de lui dire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

   
❝ if people were rain i was
drizzle and she was hurricane.

BIRDASKA TEAM MOULE

Je reste perplexe à l'idée qu'elle fasse soudainement re-apparition dans ma vie, mais je me laisse une marge d'erreur. Si ça ne marche pas, on laisseras tomber et je finirais pas me dire que le destin est une pute, et que nous sommes ses pentins et que plus jamais je ne lui ferais confiance, mais je pense que Bird est arriver au bonne endroit, au bon moment. « C'est mal de fumer. » dis-je pour la taquiner, je n'aime vraiment pas les cigarettes, et je pense que c'est la raison pour lequel je ne reste jamais au soirée mathers, à moins d'etre avec Olive, quand ils commencent à sortir leurs bédo et se mettre en rond pour la fumé, c'est comme si on m'arracher un poumons, et qu'on m'obliger à essayer de respirer sans, juste : horrible. Je secoue la tête positivement pour dire que je suis d'accord avec ce qu'elle dit, je hais également les hôpitaux, mais Marc a pris soin de moi, et c'est lui qui généralement me fait passer mes testes, bien qu'il soit occuper en ce moment, ce qui fait qu'il a laisser ces infirmières incompétente prendre le relais, ça m'a un peu énerver, mais l'habitude à fait que j'apprécie encore plus de rentré chez moi, et m'étaler devant un bon film après avoir fait ma prise de sang. « J'te comprend. Au moins, tu as vu du pays, tu ne peut pas dire que tu n'a pas profité de ta vie. »  dis-je en gloussant. Elle a l'air fatigué et j'appel un taxis, bien que le chemin retour ne soit pas très long, je n'ai envie qu'elle s'effondre dans mes bras et devoir retourner à l'intérieur pour attendre trois heures dans les urgences. Elle est un peu trop tactile à mon gout, moi qui est pris l'habitude de ne pas m'approcher des gens, je suis prise d'étonnement lorsqu'elle me prend la main ou qu'elle passe sa tête sur mon épaule. Je suis devenir hostile avec le temps, ne laissant plus personne prendre ses aises avec moi, mais je la laisse faire parce que je n'ai pas envie de la repousser et me retrouver à le regretter ensuite. En sortant de là, je me dirige directement vers la prote d'entrée, je suppose que personne n'est là puisque le courrier est encore dans la boite aux lettres, et les pub pour des offres d’emploi également. Dans l'ascenseur j'appuie sur le dernière étage, et attend sagement, c'est assez long puisque l'immeuble est immense mais Sam aime voir les choses en grand, alors un grand appartement voulais dire qu'il fallait qu'on prenne le dernière étage pour avoir un loft à nous tous seul. Je trouve ça vide et inhabité, mais je n'ai jamais voulu lui faire de la peine en lui disant cela, alors je me suis fait habitué à rester seule, dans un endroit vide de vie. Nous étions presque arriver, lorsque Bird me prend dans ses bras, je suis incapable de faire la part des choses et la laisse me serrez contre elle, elle m'a manquer aussi, mais je ne suis pas assez à l'aise pour lui en faire part. « C'est gentille. Vient, j'vais te faire un thé, et tu pourras te reposer un peu. » dis-je en passant devant elle, l'ascenseur donne directement au salon, bien sur il y a une cles pour que personne d'autre à part nous puisse entré. « C'est un peu trop grand à mon gout, mais mon colocataire aime les choses en grand alors je n'ai jamais rien dit contre ça. Ce qui est bien c'est que j'ai un grand dressing et une pièce pour tourner mes vidéos, sans être interrompue par le monde environnant. Tu veux quelques choses de chaud ? Un thé comme j'tai proposer ou plus un café, du jus de fruit ? Fait comme chez toi. »
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Dis moi est-ce que tout sera comme avant ? Est-ce que tu aimeras toujours te réveiller à mes côtés ? Est que des fois, tu n'auras pas envie de m'envoyer balader ? Est-ce que tu ne me détesteras pas ? Tellement de questions que je voudrais lui poser passent dans mon esprit torturé et fatigué, mais je ne peux pas, je n'y arrive pas. Je suis bloquée par cette peur qui me colle une boule dans le ventre. Mais j'aime beaucoup la regarder dormir, elle m'apaise. « C'est mal de boire » je lui répond du tac au tac, elle ne supporte pas la cigarette, je ne supporte pas l'alcool, chacun son truc. Enfin mon foie ne supporte pas l'alcool et vu comment j'ai déguster la seule fois ou j'ai osé me faire une tekpaf avec mes amis, je ne préfère pas réitérer. Je lui parle de l'Europe et elle me dit que j'ai vu du pays, pour avoir vu du pays, j'en ai vu du pays, et que j'ai profité de la vie. J'aurais préféré profiter de la vie avec elle. Profiter de Paris, de Madrid, de Londres avec elle. cA aurait été tellement bien, mais malheureusement c'était impossible. Je n'ai pas l'habitude d'être tactile comme cela, mais avec elle, je n'ai pas peur, je ne sais pas si elle apprécie, mais de toutes façons, si la réponse est négative, elle me repoussera d'elle-même. Je suis surtout tactile parce que je suis fatiguée et quand je suis fatiguée, j'ai besoin d'être accompagnée pour pouvoir lutter contre le sommeil ou au contraire m'endormir. J'ai beaucoup de mal à dormir quand je suis seule, donc je m'arrange souvent pour dormir avec quelqu'un. C'est peut-être une habitude que l'on a pris avec Théo quand il me lisait ses comics et que je m'endormais dans ses bras. J'ai pris beaucoup d'habitudes avec mon frère, on a nos petits trucs de fratrie, et je suis heureuse qu'il fasse partie de ma vie, qu'il m'ait supporté tout ce temps. Je la suis silencieusement dans la rue qui semble être pas mal peuplé, vu le brouhaha qu'il y a, mais je suis sûre qu'elle est au calme, après tout Alaska Harrison n'aime pas être embêtée. Lorsque nous sommes dans l'ascenseur, je ne peux pas m'empêcher de la prendre dans mes bras et lui dire qu'elle m'a manqué, je veux lui dire, je veux profiter du temps que j'ai pour lui dire, peut-être que demain je ne pourrais plus le faire, et j'en serais bien triste. Saleté de cancer qui me fait vivre au jour le jour et qui me fout une trouille bleue à chaque fois que je rentre dans cet hôpital que je déteste. Les portes s'ouvrent alors sur un salon immense qui me fait froncer les sourcils, je ne la pensais pas vivre dans un endroit pareil, je la voyais plus dans un appartement assez grand mais pas un loft. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai une drôle de sensation qui me parcourt tout le corps, sensation que je ne fais que taire pour ne pas gâcher ces retrouvailles. J'ai déjà gâché assez de choses dans ma vie comme le mariage de mes parents, même s'ils prétendent le contraire. J'avance à pas de loup dans cet endroit qui me met mal à l'aise saleté de pressentiment « Euh.. je veux bien un café s'il te plait, avec du lait si tu as. » Je regarde tout autour de moi et je m'installe sur le canapé, gênée. Je souris en la regardant dans sa cuisine, mais j'ai envie de fuir, j'ai envie de partir parce que même si les grands appartements ça me connaît, j'ai l'impression d'être une étrangère ici. De ne pas être la bienvenue. J'attrape mon téléphone pour dire à ma mère que je ne passerais pas tout de suite et je le range dans ma besace « Tu m'as dis que tu l'avais rencontré comment ton coloc au fait ? J'ai pas beaucoup de mémoire... » Je ne veux pas qu'elle me mente, je ne veux plus de secrets entre nous, mais ça va être compliqué

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

   
❝ if people were rain i was
drizzle and she was hurricane.

BIRDASKA TEAM MOULE

« J'vais te faire ça. » Dis-je en lui adressant un sourire polie. Bien que je n'ai jamais réussi à allumer cette foutu machine à café. A un point que j'ai finit par laisser tomber et m'acheter un café tout les matins chez Paul avant d'aller à Harvard. Samaël avait promis de me montrer comment faire, surtout qu'il y a beaucoup d'option dessus, mais il n'a jamais eu le temps. Je tourne vers Bird, et la regarde un peu intriguer par cet environnement dans lequel je vie. Est-ce qu'elle remarquais que rien ici ne me ressemblait ? Les lieux étaient encore vide, je n'ai pas pu mettre ma touche personnelle, je ne voulais pas gêner qui que ce soit de ma présence, même si j'aurais aimer mettre un peu plus de couleur dans ce décors gris et blanc. Je sais bien que Samaël n'a pas de bon gout en décoration, mais je n'aurais pas aimer que quelqu'un débarque chez moi, et me demande de tout changer. « C'est plus un ami qu'un colocataire. Je l'ai rencontrer en février dans un groupe de soutient, il a perdu un être cher et avait besoin d'aide pour se sortir de cette phase, je faisait partit des gens qui gérer ce groupe et j'ai pris un moment pour parler avec lui. Le mois dernier j'me suis retrouver à la rue et il m'a recueillit. » Après le mariage, après avoir dit oui devant une foule d'inconnue à Végas, avec un taux trop augmenter d'alcool dans le sang. J'ai commencer mon année avec un peu de mal, et ensuite c'est partit à la dérive. La prise d'otage, la fermeture des maisons, le spring breaks, je suis très vite devenue une fill d'harvard par excellence, qui se fait bien berner de gauche à droite. Je finit par laisser tomber en frappant sur la machine, suivit d'un soupire. « Tu préfères pas un smoothie ? Ou encore une limonade ? J'arrive pas à allumer ce truc là, et je pense que j'y arriverais pas, tant que je serais deux mains gauche. » dis-je dans un rire, je lui fait signe de venir près de moi pour examiner la bête de plus près. Soudain, Ace, mon chien débarque de nul part, sautant à pied joint sur les genoux de notre invités. Je soupire, et regagne le salon pour le virer. « J'te présente mon seul ami : Ace j'te présente Bird, Bird j'te présente Ace. C'est mon premier meilleur ami qui me la offert, il est rentré en France pour finir ses études. Harvard c'est pas fait pour tout le monde. » Et je ne pensais pas faire partit des gens qui sont fait pour Harvard, je caresse le pelage gris et noir de mon husky, à grand coup, et frotte le haut de son crâne pour le faire grogner. J'me demande ce qu'elle a pu devenir sans moi, ce qu'elle a vu sans moi, j'aurais aimer être avec elle, partager tout ça avec elle. « Raconte moi un peu ton road trip. C'était comment l'Europe ? »
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je la regarde s’affairer à la machine à café toujours aussi gênée d’être ici. Elle me fait rire à ne pas savoir comment marche la machine et j’attends qu’elle me dise de venir en ne bougeant pas, regardant toujours autour de moi. Est-ce qu’elle vit vraiment ici ? On ne dirait vraiment pas chez elle, je voyais plus son appartement girly ou autre. C’est vide d’elle, vide de son esprit un peu déluré. Puis je commence à comprendre quand elle me dit que cette personne l’a recueillie alors qu’elle était à la rue, si seulement je l’avais revu plus tôt, je lui aurais dit de venir dans ma chambre, j’aurais fait en sorte que personne ne nous voit pour qu’elle puisse vivre normalement et pas dans la rue. Je ne veux pas l’imaginer sur un carton en compagnie d’autres sans abris. « Oh d’accord, je comprends. Si seulement on s’était revus avant, je t’aurais hébergé tu le sais bien… » Je l’hébergerais même aujourd’hui alors que je ne sais pas ce que nous sommes. Même si nous sommes deux inconnues, je l’hébergerais parce que finalement, nous avons vécus de jolies choses qui se sont trop vite arrêtées, mais j’ai envie de reprendre tout cela. Est-ce que c’est possible ? Dis-moi que oui s’il te plait. Je suis perdue dans mes pensées quand elle me ramène à la réalité en tapant sur sa machine et elle me demande si je ne veux pas autre chose. Je réfléchis avant de répondre « Si je veux bien un smoothie ! » Ca fait longtemps que je n’ai pas bu de smoothies, puis elle me dit de venir près d’elle mais je n’ai pas le temps de me lever que je me fais attaquer par un chien. Je lui caresse alors la tête avant de voir Alaska débarquait. Heureusement que je n’ai pas peur des chiens, j’aurais fait une crise d’angoisse. « Enchanté Ace » je lui souris avant d’écouter Alaska m’expliquait l’histoire de son chien. Puis elle me pose cette question, comment c’était l’Europe ? On pourrait y passer la soirée, voire la nuit. « L’Europe ? C’était bien ! Je me suis gavée de pains aux chocolats à Paris avant de me balader dans les rues de Londres, j’ai adoré ! Surtout Camden c’est tellement un quartier génial ! J’ai pas beaucoup aimé Berlin par contre, je ne sais pas pourquoi… » Peut-être le caractère des gens. Ou la ville. « Amsterdam était vraiment bien aussi… On trouve des trucs vraiment intéressants la-bas, si tu vois ce que je veux dire… » Je lui tire la langue avant de reprendre « Puis les Européennes et les Européens ne sont pas mal non plus.. Elles m’ont enseignés le French Kiss… » Je vire alors son chien pour me rapprocher d’elle, et déposer une main sur sa joue « Tu veux que je te montre … ? » Je lui souris alors, caressant sa joue. Qu’est-ce qu’il me prend ? Elle va me prendre pour une traînée. Une pauvre traînée en manque.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

   
❝ if people were rain i was
drizzle and she was hurricane.

BIRDASKA TEAM MOULE

Je hochais positivement la tête lorsqu'elle me rassure qu'un Smoothie seras tout aussi bien, qu'un café. Je me met donc au travail, et lui sert un bon smoothie fraise, kiwi, joliment décorer avec une paille noire, dans un petit bocal adorable. Je lui sert, et fait signe à Ace pour qu'il nous fiche la paix. « Ace, vas dans la veranda. » je siffle en sa direction et lui montre l'extérieur du doigts, il me suit et se précipite dehors, comme si un super cadeau s'y trouver. Je prend place alors sur ce canapé immense pour demander à Bird comment c'est passer son voyage. Ce n'est pas rien de faire le tour de l'Europe, je suis née là-bas, mais jamais ça ne m'étais venue à l'esprit d'aller voir ailleurs que dans la petite compagne dans lequel j'ai été élever. Elle me parle de Paris, de Londres, et Camden que j'imagine assez bien aillant déjà vue ses endroits en début d'année avec les Dunster, et le petit week end à Camden avec Maxine. J'ai un peu de mal à m'imaginer Berlin, n'y étant jamais aller, mais elle ne s'y attarde pas. Je l'imagine tout de même avec son petit short, et un débardeur sexy arpentant les nuits chaudes de Paris, un jour d’août ou tout est permis, et me sent mal à l'aise en pensant à ses filles qu'elle a du embrasser sous la tour Eiffel. « T'as vraiment l'esprit mal tourner, Spiegelman. Et c'est ce que j'aime chez toi. » dis-je avec un petit sourire au coin. Je la laisse finir, en prenant le temps de la regarder en détail. Elle m'a réellement manquer, et je n'ai garder d'elle, que des souvenirs vague et fade, des images presque effacer par le temps. Je regarde si elle a toujours sa tache de naissance dans la nuque, ses cuisses sont plus fines et plus fermes qu'avant, et je présume que sa peau est rester aussi délicieuse. Elle me sort de mes penser, en portant son regard sur moi, me proposant un frensh-kiss. Je sourit malicieusement, sa main sur ma joue, que je prend entre les miennes. « Tu dois êtres fatigué, toi, pour raconter des idioties pareilles. Tu veux te coucher un instant ? J'ai un grand lit. Pour deux. » j'aurais dit oui, si ma tête ne me disait pas que c'était une erreur. J'aurais dit oui, si je n'avait pas l'impression que ça part trop loin et trop vite. J'aurais dis oui, si je n'étais pas blesser intérieurement. 
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je vois le soulagement dans les yeux d’Alaska quand je lui demande un smoothie, il est vrai que sa machine à café est assez sophistiquée, moi j’ai assez d’une machine ou il suffit d’appuyer sur un bouton pour que ma drogue matinale coule. Je la regarde s’affairer à la confection de mon smoothie tandis que je caresse son chien qui est assez imposant tout de même. Lorsque je la vois revenir avec un smoothie mignon, je souris en tapotant des mains et le prend avant d’en boire une gorgée tandis qu’elle envoie son chien dans la véranda. Lorsqu’elle s’installe à côté de moi, je lui fais alors face, passant une de mes jambes sous mon autre cuisse. Elle me demande de lui parler de l’Europe et je ne peux pas m’arrêter parce que j’ai tellement de choses à dire, je me stoppe alors parfois pour siroter mon smoothie qui est délicieux. Je lui énonce chacune des villes que j’ai visité et ce qui m’a plu ou déplu. Lorsqu’elle me dit que j’ai l’esprit mal tourné, j’hausse un sourcil interrogateur avant de répondre « Ah oui ? Tu aimes que ça chez moi ? Je suis déçue… » Je fais une petite grimace avant d’hausser les épaules. Je termine mon roman de voyage en lui proposant un french-kiss. Je me demande si elle va accepter ou non ? Pourquoi est-ce que je viens à lui demander un french kiss alors qu’on s’est revus il n’y a que quelques heures seulement, nous sommes atterries au stade d’inconnues. Mais j’ai eu le mérite de la tirer de ses pensées, je me demande ce qu’elle pense, ce qu’elle envie de me dire, j’aimerais voir le don de pouvoir lire dans les pensées des autres parce que ça doit être assez rigolo. Enfin pour certaines personnes, les hommes qui ne pensent qu’avec leur entrejambe me donnent envie de vomir, alors je ne veux pas être dans leur cerveau du tout. « Si c’est un grand lit, pour deux, tu viens avec moi, dans ce lit, à deux places ? » Je lui souris, j’aime bien la provoquer pour voir jusqu’où elle peut aller. Je me moque aussi un peu d’elle en répétant ses phrases. Je finis alors mon smoothie avant de me lever d’un pas léger et de me diriger en souriant jusqu’à l’évier de la cuisine pour rincer le pot et jeter la paille. Je l’attends alors, les mains dans les poches de mon short. « Et si tu me faisais visiter ton antre qui n’a pas l’air d’être ton antre ? On pourra finir dans le lit après… » Je sais que ma phrase a plusieurs sens, mais c’est ça qui me fait rire, voyons voir si elle a l’esprit aussi tordu que le mien.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)