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(Alaska) i can't drown my demons, they learned how to swim

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Je déteste l'hôpital et pourtant, je dois y passer le restant de ma vie à venir en consultations et dire le restant de ma vie est un putain d'euphémisme. Qui me dit que je ne vais pas mourir demain ? Que ce cancer ne va pas revenir comme ça du jour au lendemain, me laissant au fond du trou jusqu'à ce que je finisse six pieds sous terre. Tapant du pied dans la salle d'attente, je regarde autour de moi les personnes malades, les cancéreux, les gens comme moi. Ma mère m'a forcé à aller à ce rendez-vous et Théo voulait m'accompagner mais j'ai refuser. Je ne veux plus que mon frère mette un pied dans un hôpital à cause de moi. Je me sens déjà bien trop coupable de lui avoir fait vivre cela même s'il me répète inlassablement qu'il ne m'en veut pas. J'ai bousillé sa jeunesse en le forçant à me suivre dans des endroits plus lugubres les uns que les autres et il ne m'en veut pas. Mon frère, l'homme de ma vie. J'envoie un message à mon père pour lui dire que je viendrais sûrement pendant les vacances d'été à Los Angeles et je répond à un texto incendiaire de ma mère qui e dit que j'ai oublié mon traitement chez elle. J'y repasserais et puis c'est tout. Tant pis. Le médecin qui me suit sort de son cabinet et m'appelle, je soupire avant de saisir ma besace et d'attraper mon dossier avant de serrer la main de mon médecin.

Une quarantaine de minutes plus tard, les examens terminés je sors de son cabinet avec une envie de tout casser. Il m'énerve tous à me prendre pour une attardée, j'avais un cancer pas une case en moins. Attrapant mon téléphone dans mon sac, je le rallume et appelle mon frère, qui ne répond pas bien évidemment. L'un des médecins qui m'a suivi quand j'étais plus jeune sort de son bureau et me salue, je ne lui répond pas. Je soupire et lorsque j'entend la voix du praticien qui brise le silence, je me retourne à l'écoute du nom qu'il a prononcé. Alaska Harrison-Florès Ca ne peut pas être elle, malheureusement je me suis retournée trop tard, la porte est déjà close. Mais je ne melaisserais pas faire. J'ai encore du temps à perdre. Sortant de l'imposant bâtiment, je m'installe sur le muret qui fait face à l'entrée et allume une cigarette en attendant, lisant le dernier Batman pour pouvoir en parler avec Théo quand je le verrais. Son rendez-vous dure visiblement moins longtemps que le mien, puisque je la vois ressortir toute pimpante. C'est bien elle. Alaska. Mon Alaska. Je range alors mon comics avant de descendre de l'endroit ou je me trouve et de me planter devant elle « Alaska ? C'est toi ? » Quelle question stupide.
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Le cancer est irrévocable, on peut vivre avec mais pas s’en débarrasser. J’ai longtemps penser que c’était une malédiction qui m’avait frapper, mais les médecins m’ont expliquer que c’était juste une part de moi qui s’est réveiller, et qui fait des siennes. On ne peut pas la supprimer, ils ont essayer,  parfois ils leurs suffit d’enlever une jambe, un bout de doigts pour que ça cesse, mais dans mon cas, même si on retirer tout le poumons droit, le cancer serais toujours là. Alors j’ai fait avec. Je supporte les prises de sang à répétition, les IRM, les injections. C’était le cas ce matin. Je me suis réveiller en retard, oubliant que j’avais ce soucis là, parfois j’oublie, parfois j’ai l’impression d’être une personne normal, hormis le fait que je ne peut pas faire de sous l’eau, ou fumer une cigarette. Je suis arriver en retard, oubliant que je n’avais pas le droit de manger le matin. J’ai dû donc attendre deux heures que mon repas intègres mon sang, avant de pouvoir faire ses stupides prises de sang. J’ai fermer les yeux sur le manque de délicatesse de l’infirmière, aussi sur la vulgarité des internes qui s’occuper de mon cas. Je hais cette endroit. Je hais l’odeur de javel permanante. Je hais les familles qui pleurent sans cesse. Je hais les infirmières qui préfèrerais être ailleurs, qu’ici. Je hais ses gens qui penses tout savoir de l’être humain, parce qu’ils savaient de quoi on est composer. La vérification mensuelle c’est fait vite, ils m’ont poser maladroitement des questions sur ma sexualité, et mes habitudes alimentaires, j’ai répondu sèchement et avec des rires sarcastique. Ils ont fait leurs IRM, leurs prises de sang, ce teste horrible ou je doit souffler dans un bocal jusqu’à ce que la boule dépasse le trait rouge, avant de sortir de là. Je rallume mon portable une fois dehors, pour prévenir Samaël de la fin de tout ce bordel, je ne me sent pas d’humeur à être dans les transport en commun, encore moins de prendre un taxis. J’aimerais qu’il vienne me chercher, et préfèrerais même l’attendre deux heures, sur un banc que de subir un chauffeur de taxis bavard. Mais une voix m’interpelle, je me retourne e voix une fille avec une cigarette. Je bouche mon nez, recule de deux pas et fait un stop avec ma main. « La cigarette, on vient de me prévenir que je peut encore vivre deux ans, alors j’aimerais ne pas tout niquer avec une bouffer de nicotine. » dis-je en reculant. Qui est-ce?
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Je me souviens encore du jour où on s'est fait piqués avec Alaska parce qu'on faisait des courses de fauteuil roulant. On s'était pris un sacré savon mais elle avait ri et c'est exactement à ce moment précis que j'ai su qu'elle ne me laissait pas indifférente, elle n'était pas comme toutes ses filles qui se préoccupent de leurs apparences, elle, elle sait ce que c'est la vie, qu'il ne faut pas se prendre au sérieux et que la vie est trop courte pour nous imposer quoi que ce soit. Je ne dirais pas que c'est à ce moment là que je suis tombée amoureuse d'elle mais presque. Elle avait ce truc qui me plaisait chez elle. Et je ne pensais pas qu'après tout ce temps, entendre son nom me ferait toujours un drôle d'effet, mais elle doit probablement m'avoir oublié. Et je ne pensais pas la revoir ou du moins entendre son nom à travers les couloirs de cet hôpital que je hais tant. Je pense souvent à elle, et je me demande comment je réagirais si jamais je la revoyais, j'ai eu plusieurs options qui sont venus à moi, je cours, je la prend dans mes bras, je lui demande pourquoi nous ne sommes pas restés en contact, je l'embrasse. Mais je ne m'attendais pas à ce que ces questions aient des réponses bientôt. Et si elle ne me reconnait pas ? Je fais quoi ? Je laisse tomber ? Je ne m'étais jamais pris la tête pour quelqu'un et il faut que j'entende son nom pour me prendre la tête. Je soupire sur mon muret à attendre. J'ai le coeur serré, la boule au ventre, envie de vomir. N'importe quoi, je ferais mieux de rentrer à la Eliot House pour réviser ou pour regarder une série que de rester planter ici. Puis je dois encore passer chez ma mère et si j'arrive tard, elle va encore me dire que j'abuse et je vais encore avoir envie de l'insulter. J'allais m'apprêter à partir quand je la vois, et je lui demande si c'est bien elle. Visiblement à son regard et à son visage, elle ne me reconnait pas. Lorsqu'elle mentionne la cigarette, je l'écrase instantanément avant de rester éloignée d'elle, à regarder les traits de son visage « Toi c'est la cigarette, moi c'est l'alcool. » J'hausse les épaules en un sourire, puis une idée me traverse l'esprit, je lui tend alors la main « Bird enchanté. Bird Roth-Spiegelman, tout le monde me prend pour un personnage sorti de l'univers de John Green, et pourtant je ne suis pas Hazel Grace-Lancaster. » Un sourire en coin, je garde ma main levée, si avec ça, elle ne me reconnait pas. J'abandonne.
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Un frisson me traverse, lorsque mon intérlocuteur avait finit par me dévoiler son identité. Qui aurait crus que nos chemins se croiserais encore, un jour? Mon souffle devenez court et je suis rester, la bouche béante pendant une dizaine de seconde. Le dernier souvenir que j’avais de Bird était le jour de son départ. Son visage illuminer par la lumière des néons, un sourire satisfait de son passage dans cette enfer sur le visage et la soif d’aventure dans ses yeux. Elle allait sortir de cette hôpital, et sortir de ma vie. Le monde s’ouvrait à elle, alors que j’allais peut être crever ici, entre deux piqures et une IRM. Je lui en voulais de m’avoir laisser, mais je lui en voulait encore plus d’avoir couper court à notre relation, alors qu’elle aurais pu continuer par lettre, mail ou autre connerie de ce genre. Bien sur on n’aurais pas tenu, on aurait finit par se dire que ça sert à rien, mais au moins on aurait donner une chance à notre histoire. Mais elle a péris entre les eaux de l’Amérique et celle de l’Europe, et avec le temps, mon coeur à finit par se faire l’idée que rien de bien ne m’arriverais, jusqu’au jour ou je suis sortit de là, moi aussi. J’avale ma salive, je ne sais pas quoi penser, ni quoi faire. Est-ce que je suis heureuse ? Fâcher ? Ou juste troubler? Je remet une mèche derrière mon oreille, et répond un peu sèchement, n’ayant pas encore choisit la réaction que je vais avoir, je préfère ignorer ce pèle mêle de sentiment, et me contenter d’êtrer la froide, glacial et impénétrable Alaska. « Tu n’as pas changer. Enfin si, peut être tes cheveux, ils sont plus long.» dis-je en montrant ses cheveux du bout de mon doigt, j’avais garder cette espace qu’il y avait entre nous, ne sachant pas si il faut la franchir ou pas. « Qu’est-ce que tu fais ici? J’veux dire : à Harvard ? Tu ne voulais pas faire le tour du monde ? » dis-je avec une voix intimidé. La Alaska imposante perdait tout ses moyens face à Bird Roth-Spiegelman.
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Elle est toujours aussi belle, j'ai envie de la prendre dans mes bras et de l'embrasser. Depuis que je suis partie du centre, j'ai flirté avec des filles comme des garçons, j'en ai embrassé certaines, couché avec certains mais je n'ai jamais ressenti ce que je ressens quand je vois Alaska. C'est dingue, c'est étrange, ça me fout la trouille. Après tout, dans le centre nous n'étions que toutes les deux, tout le temps fourré dans une de nos chambres, mais la, qu'est ce qu'il va se passer ? Est-ce que ça va être pareil ? Je ne pense pas. Bon sang, elle a l'art et la manière de me retourner le cerveau rien que par sa présence. Tout comme la première fois qu'elle m'a embrassée. Quand je vois sa réaction, je me dis que je n'aurais peut-être pas dû l'attendre, que c'était n'importe quoi. Lordqu'elle remet une mèche derrière son oreille, je ne peux m'empêcher de sourire, c'est son truc ça. Finalement, elle n'a pas changé, je devrais peut-être lui demander comment va sa vie ? Si elle a trouvé quelqu'un. Elle a l'air épanouie, et si je ne savais pas qu'elle était comme -cancéreuse- j'aurais presque dit qu'elle était en bonne santé. Lorsqu'elle me dit que je n'ai pas changé, mon coeur se serre un peu, je ne sais pas si c'est de bonheur ou d'amertume, elle ne m'a pas reconnu au début... « Toi non plus tu n'as pas changé, tu es toujours aussi jolie. » On dirait deux personnes qui ne se connaissent pas mais qui font comme tel, et j'ai presque pitié. Elle me demande ce que je fais ici, et je ne sais pas quoi lui répondre, après tout elle a raison, elle sait que je voulais faire le tour du monde et être un oiseau voyageur. « Euh... Je suis revenue et j'avais envie de reprendre mes études... Théo est à Harvard et c'était notre université... Puis je voulais savoir si tu allais bien, Théo m'a dit que tu étais ici... » Elle va me prendre pour une stalkeuse, pour une folle. Je fais alors quelques pas vers elle. « J'suis désolée... De ne pas t'avoir donné de nouvelles. » Voilà, c'est fait, au moins elle sait ce que je pense, libre à elle de me pardonner ou non. Après tout, on a toutes les deux notre part de responsabilité dans cette histoire.
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Je souris à ses mots, mais je n’arrive pas a répondre un : toi aussi. Toi aussi, t’es toujours aussi belle, toujours aussi voluptueuse, toujours aussi étourdissante. Est-ce que tu as quelqu’un qui te le dis assez souvent ? Est-ce que tu as quelqu’un qui prend soin de te rappeler chaque jour que tu es sublime ? Parce que moi je l’aurais fait. Moi, je me serais lever à l’aube pour te regarder dormir, et pousser ton corps fébrile contre le mien, pour te serrez contre moi. Moi, je t’aurais offert le plus gros et le plus beau bouquet de fleure pour te dire qu’il ne seras jamais aussi beau que toi, parce qu’il faneras, et qu’il pourriras mais que toi, tu resteras toujours cette fille qui fait palpiter mon coeur, mais je ne dit rien de ça. Je lui adresse un sourire polie, et lache un « Merci. » je lui demande le pourquoi du comment, qu’est-ce qu’elle fait là, alors qu’au dernière nouvelle elle arpentais les rue de Lisbonne à la recherche de grande aventure. Pourquoi avoir tout lâcher pour devenir étudiante, ça devient plus claire quand elle parler de son frère. Théo est a Harvard ? Je ne l’est jamais vu. Peut être que je n’ai pas fait attention. Peut être qu’il est passer à plusieurs reprise sous mon nez mais que je n’ai jamais fait gaffe. « Je comprend. Il a sûrement me voir à la rentré quand on est passer dans toutes les maisons avant d’en choisir une. » dis-je en secouant positivement la tête, ou peut être qu’il m’a chercher pour dire à sa sœur que je suis sortit de là en vie. Je lève les yeux vers elle quand elle s’excuse, j’ai essayer tant bien que de mal de lui écrire, mais rien à faire, elle ne me répondait pas, elle m’ignorais, alors j’ai finit par me dire que tout ça, nous, ça appartient aux passer et qu’il fallait juste que j’arrête d’y penser. « Pas de nouvelle, bonne nouvelle non? ça devait être trop bien en là ou tu était pour perdre une journée à rédiger un morceaux de papier. Je suis sortit du centre à mes dix huit ans, il y a un an et quelque. C’est Marc, l’un des étudiants qui m’a aider à m’inscrire à Harvard, je n’ai pas vu grand chose, mais ils ont changer un de mes poumons, alors je vais un peu mieux. » dis-je, je lui raconte tout ce qui m’arrive, en pensant que ça mette fin à cette discussion gênante.
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J’ai le cœur au bord des lèvres, j’ai envie de la prendre dans mes bras de lui dire des mots que personne ne pourra jamais lui dire, mais avec ce que je lui ai fait, ce que nous nous sommes fait, je ne pense pas que cela soit possible. Je ne veux pas qu’elle pense que je l’ai abandonné, j’ai voulu lui écrire, une carte par ville, une carte à Paris pour lui dire que je pense à elle, une carte à Madrid pour lui dire que les espagnoles ne lui ressemblent pas mais je n’ai jamais réussi à écrire tout cela et les cartes sont restées vierges, dans mon sac de voyage. Et je me suis toujours dit que quand je reviendrais à Cambridge, je lui récrirais, mais je n’ai jamais eu le courage de le faire, de peur qu’elle ne me réponde pas. Alors je suis restée silencieuse. Je lui dis que c’est grâce à mon frère ou à cause de lui, je ne sais pas. Je ne sais pas si j’avais vraiment envie de venir ici, mais il faut dire que quand j’ai su qu’elle y était aussi, je n’ai pas spécialement réfléchi à la chose. J’ai juste pensé que je pourrais la voir, et rien que cela me rendait heureuse. Mais avec la vision que j’avais maintenant, je pense que c’est une mauvaise idée. J’ai toujours eu le don de faire les mauvais choix de toute façon. Quand elle me parle de Théo, je repense à ce qu’il m’a dit. Il m’a dit qu’il la trouvait jolie, et j’étais jalouse. D’ailleurs, il aime bien m’embêter avec ça et ça me fait rire maintenant. Il ne sait pas que je suis amoureuse de lui, il pense juste que c’est ma meilleure amie. Il ne sait pas que j’aime les filles autant que j’aime les garçons. « Ca doit être ça, lui il est à la Winthrop House. Mais il t’a peut-être croisé, il m’a dit avoir vu la fille de la photo. » Cette photo que je lui avais montré à la sortie du centre et qui ne quitte pas mon journal intime, journal dans lequel je n’ai pas écrit depuis que je suis arrivée à Cambridge. « Écoute Alaska… J’ai voulu t’écrire, des cartes, j’en ai encore, elles sont dans le bas de mon armoire à la Eliot House avec tout mes souvenirs de mon road trip. Si tu penses que je n’ai pas pensé à toi, tu te trompes. Parce que tu étais –tu es- toujours dans ma tête. » Je soupire avant de récupèrer ma besace sur le muret « Mais visiblement, on a plus rien à se dire, on est devenues deux inconnus. Mais je suis heureuse de voir que tu vas mieux. J’avais peur pour toi, j’ai toujours peur pour toi. Mais laisse tomber, il vaut mieux qu’on redevienne ce qu’on était deux inconnues. » Je respire un grand coup avant de me rapprocher d’elle pour déposer une main sur sa joue et la caresser du bout des doigts. Cette sensation est électrisante. J’aimerais tellement l’embrasser, rien qu’une dernière fois, mais je sais que je ne peux pas, ça lui ferait trop de mal. Ça me ferait trop de mal. Voilà ce que nous sommes devenus. Deux inconnues.  
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J'ai tenue une théorie un jour. J'ai comparer les relations humaines à des droites. J'ai longtemps penser que Bird était uen droit parrallèle, qu'elle aller me suivre jusqu'à la fin de mes jours, et partout ou je serais, et en réalité, elle n'était qu'une droit perpendiculaire, qui me traverse, un quart d'instant et laisse une trace à jamais. Et maintenant, tout de suite, je me demande si elle n'est pas une droit parallèle qui s'est égarer et qui revient pour me suivre pour toujours. Parce que d'après ce qu'elle me dis : j'ai compter. D'après ce qu'elle me raconte : j'ai été quelqu'un, dans le grand scénario qu'est sa vie. « T'as garder cette vielle photo de toi et moi avec le bouquet de fleure ? J'étais même pas coiffé, là dessus. » dis-je en gloussant, je me rappel bien, on avait utiliser un bloc entier de polaroid en essayant de réglés ce truc là, au début on nous voyez pas parce que c'était flou, puis ensuite y avait trop de lumière, puis ensuite on avait nos têtes couper, on a du recommencer une dizaine de fois pour en prendre une potable. Et comme ça ne sors qu'une fois, je lui ai laisser. Parce que c'était plus important pour moi qu'elle sache que j'existe, parce que je n'ai pas besoin de voir une photo pour me rappel chaque détail de son visage. J'en rêve encore, enfin, j'ai arrêter d'en rêver quand j'ai rencontré Kyla, mais Kyla n'est plus, alors pourquoi est-ce que je continue à me torturer? Sa voix me sors de mes penser, alors qu'elle m'explique la raison de son silence. « Tu as toujours été dans ma tête. » répétai-je avec une petite voix, tandis qu'elle s'approche, épuiser de mon comportement je suppose. Alors qu'elle prend son sac, j'imagine qu'elle va me tourner le dos encore une fois, prendre ses clics et ses clés encore une fois, sortir de ma vie, encore une fois. Mais rien de ça. Elle supprime l'espace qu'il y a entre non. Et pas seulement en centimètre, mais en année. Elle supprime les deux, voir trois ans qui vienne s'écouler me rappelant que ce qui compte est ici, maintenant, ce qui se passe dans le monde réel et non dans les souvenirs. Elle me rappel l'odeur de ses cheveux, la tendresse de ses caresses, et mon coeur se remet à battre si fort qu'il menace de quitter ma poitrine. Alors qu'elle est sur le point de partir, j'attrape sa main et la tire, pour ne pas qu'elle parte encore une fois. « Allons boire un café, ou une glace. J'veux dire manger une glace, pas boire une glace. Ou se promener, dans le parc juste à côté, ou si tu préfères allons chez moi. » peut importe, vient avec moi, n'importe où.
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Des fois, je me demande pourquoi est-ce que je suis la, sur cette terre. Pourquoi est-ce que la vie a accepté que je vienne sur cette terre si c’est pour me foutre des trucs indescriptibles dans mon foie. Je me pose souvent des questions philosophiques avant de dormir et cette dernière revient souvent. Peut-être que c’était pour rencontrer Alaska et me dire que finalement, la vie est jolie. La vie ce n’est pas des hôpitaux tout le temps, à chaque heure du jour, de la nuit, c’est aussi des sentiments, un truc fort qui te prend à la gorge et qui te donne toujours envie de sourire. Elle me donne encore une fois envie de sourire quand elle se rappelle de la photo « Oui, cette photo, je la garde toujours. Et je pense que je ne m’en séparerais pas... Et tu es jolie, même pas coiffée. » Et t’es belle quand tu souris, t’es belle quand tu dors, t’es belle quand tu glousses… Je sais que je n’ai pas le droit de penser ça, mais c’est plus fort que moi, c’est comme ça quand t’as quelqu’un dans la peau. Et je l’ai dans la peau, quoi que je fasse, quoi que je dise. Lorsque je l’entends répéter ma dernière phrase, j’ai des papillons qui s’activent dans tout mon corps, j’ai mon cœur qui s’emballe. J’ai envie de partir désormais, j’ai envie de la laisser parce que c’est visiblement ce qu’elle veut. Mais je ne le veux pas, enfin peut-être que je le veux, mais je ne m’écoute jamais. Lorsque ma main se dépose sur sa joue, je me rends compte que sa peau a toujours cette douceur qui me faisait fondre il y a trois ans de cela. Je me souviens quand nous trichions pour dormir tout les deux, que je la regardais dormir et que je baladais mes doigts le long de sa peau nue, elle avait toujours cette douceur qui me plaisait. Je garde ma main quelques minutes sur sa joue avant de le retirer pour partir rejoindre Théo ou pour aller chercher un Starbucks avant de rentrer pour réviser. Elle me retient alors, et j’ai le cœur qui se serre une nouvelle fois. Finalement, peut-être que je lui ai vraiment manqué. « Je m’en fiche… Si tu veux, on peut aller dans ma chambre à l’Eliot House aussi… Peu importe, je veux juste qu’on rattrape tout ce temps. Le temps qu’on a perdu, le temps qui a filé et qui nous a fait devenir deux putains d’inconnues. » Instinctivement, j’enlace nos doigts avant de la serrer dans mes bras. Je reste silencieuse avec elle dans mes bras, me rappelant tellement de souvenirs, mauvais comme bon. « Rattrapons ce foutu temps… » murmurais-je alors, les yeux fermés, Alaska dans mes bras.
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Alors j'saute le pas. Elle m'avait touché après tout, pas maintenant, pas tout de suite, elle m'avait touché le coeur il y a des années de ça, et un simple geste de sa part avait fait revenir une vague immense de souvenir et de remords. Encore une relation faire de « Et si », peut être qu'un jour j'arriverais à me défaire de ses« Et si » et agir ? C'est ce que je fais d'ailleurs, alors qu'elle s'apprête à partir, alors qu'elle s'apprête à sortir de ma vie encore une fois, je la retiens, je beug un peu, perd mes mots et me demande en cours de route si c'est vraiment la bonne solution, mais je me dis : tant pis, si ça ne marchera pas, je n'aurais pas laissé l'amour de ma vie me filer une seconde fois entre les doigts. « D'accord.. » dis-je en secouant positivement la tête, mes doigts toujours autour de son poignet, je la reclache avec douceur, et reprend ma voix. « Hum, d'accord il y a cette pizzeria en bas de chez-moi, j'sais pas si tu aimes toujours ça. On peut en prendre une, et si tu veux, j'te montrerai l'appartement. On vient juste d'enmenager avec-» est-ce que je lui parle de mon mariage ? C'est ce qui nous a brisé Kyla et moi, ça pourrait la faire fuir. J'aime Samaël, mais pas comme tout le monde le pensent, je l'aime comme si c'était une partit de moi, je l'aime comme une personne aime son rein ou son poumon, parce que sans lui je ne suis rien, mais elle n'a pas besoin de savoir, j'évite le sujet. « Mon coloc, je l'est rencontré sur le net. » dis-je pour me rectifier. Je passe devant elle, en passant mes doigts dans ma chevelure pour mettre une mèche derrière mon oreille, et l'attend pour qu'elle me suive, ce n'est pas bien loin et marcher un peu ne nous feras pas de mal après avoir été allongée pendant près de deux heures, j'ai envie de prendre sa main, je ne me souvient plus de la sensation, j'aimerais ressentir des frissons à nouveau, mais je me retiens. « On est pas des inconnues. Ce que tu as été, et ce que j'ai été, c'est toujours là quelque part. ça a un peu évolué, mais je reste cette fille qui déteste la geler et qui gagne toujours aux courses de fauteuil roulant. » dis-je en gloussant, j'avais envie de détendre l'atmosphère même si c'est moi qui est instauré cette ambiance froide.
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