Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWhen we think that everything goes well, everything goes wrong in reality (JACKIE & AIDAN)
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When we think that everything goes well, everything goes wrong in reality (JACKIE & AIDAN)

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Ma tête était légèrement posée contre l'épaule d'Aidan, mes paupières commençaient à se faire lourde. Mon corps ne rêvait que d'une chose : troquer cette robe contre un bon vieux pyjama. La beauté... une souffrance qu'il était parfois difficile d'endurer surtout en fin de soirée. Les étudiants étaient encore bien agiles, beaucoup dansaient encore. J'affichais un petit sourire au jeune peintre. J'approchais mon visage pour l'embrasser dans le coup. « Serait-il possible d'avoir les clés de votre voiture monsieur Norrington ? Je vais aller chercher mon gilet et je vais changer de chaussures » dis-je en affichant une petite grimace. Mes pieds appelaient à l'aide et le froid se faisait ressentir. La fatigue sans doute. Le jeune professeur me tendit ses clés, je les lui pris avant de l'embrasser doucement. « Je reviens vite » dis-je en me levant et en prenant la direction de la sortie. La voiture n'était pas très loin, fort heureusement. Néanmoins, les derniers pas furent difficiles. Je pris mes chaussures dans une main et ouvris la voiture. Mon gilet gisait sur la banquette arrière et mes chaussures plates se trouvaient dans le coffre. Assise sur la banquette arrière, j'attachais mes nouvelles chaussures. Mon regard se trouvait rivé par terre avant qu'il ne dévie légèrement sur la droite. Une pochette attira mon attention. Curieuse, je pris l'objet mystérieux et l'ouvris. Mes yeux s'ouvrirent doucement et mes sourcils se froncèrent au fur et à mesure. Ce dessin n'avait rien de mystérieux. Aussitôt ouvert, aussitôt fermé. Ce corps hantait déjà mes pensées, et l'incompréhension se lissait petit à petit sur mon visage. Dans un mouvement rapide, je jetais la pochette dans la voiture prenant soin de prendre le dessin avec moi. J'avançais rapidement, mon visage semblait plus crispé, moins endormi aussi. Une fois de retour à la table, je plaquais le dessin contre la table devant Aidan « Quel corps pas étonnant que ce dessin se retrouve dans ta voiture ! Soit plus discret la prochaine fois » dis-je sèchement avant de partir rapidement ne laissant aucune chance à Aidan de s'expliquer.
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La sérénité. C'était une sensation avec laquelle il ne pensait jamais renouer et pourtant, tout était propice à cela désormais. La soirée s'était déroulée presque sans encombres, du moins le concernant, il était avec la meilleure compagnie, celle de la femme qu'il aimait. Oui celle qu'il aime, il commence à oser se le dire, lui dire à elle, c'est encore autre chose. Sa carrière connaît un franc succès et il a désormais son indépendance aussi bien financière, que professionnelle et même sentimentale. Tout va pour le mieux. Aussi, quand Jackie lui emprunte les clés de sa voiture, l'Ancien Lowell ne se méfie pas un seul instant de la Vague qui va déferler. « Ne t'envole pas. » lui lance-t-il narquois alors qu'elle lui promet de ne pas être longue. Ses prunelles s'attardent sur les étudiants encore entrain de danser, ceux qui sont désormais trop ivres pour le faire, ceux qui se sautent à moitié dessus dans les recoins et les Déçus. Il ressent comme une distance entre Lui et le reste d'Harvard. Peut-être parce qu'il a déjà fait ses adieux il y a bien longtemps et parce que son statut de Professeur a toujours eu une promesse d'éphémère. Mais cette distance est paisible, presque attendri, lui-même suit son propre cheminement désormais. Jackie revient alors et lui plaque un lambeau de papier entre les mains. Il n'a pas besoin de regarder la peinture plus d'une seconde pour la reconnaître. Comment as-t-il pu être aussi con et laisser ce dossier traîner dans son coffre. Bordélique un jour, bordélique toujours. « Jackie ! Attends... » clame Norrington pour tenter de ralentir sa fuite. Mais c'est peine perdue. Le dessin entre les mains, il voudrait l'abandonner là, mais par égard pour Emma... Il le garde. Haletant, il retrouve finalement Jackie sur le parking . Comme la sérénité est envolée désormais, le tourment familier, semble le poignarder avec une subtile délectation, Vieux frère semble-t-il lui murmurer. « Jackie, sérieusement ? Tu me fais une crise pour ça ? » Il hausse les épaules en pointant le portrait. « C'est une ancienne peinture, tu sais bien que je ne vois plus Emma depuis que nous sommes de nouveau ensemble ! » Il soupire, il est nul pour tout ça, il le sait pertinemment. Il repense à Jasper quelques heures plus tôt, ça doit être dans le sang d'être handicapé des sentiments. « Ne complique pas tout ! » Trop tard aurait murmuré la raison, mais le Diable d'artiste est entêté quand il le veut.
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« Jackie attend... » Ce dessin avait su tourmenter mon esprit en quelques secondes faisant ressurgir mes craintes. Énervée, mes pas s'accéléraient. Difficile d'oublier un dessin si bien fait, mes yeux se fermaient et mon visage bougeait essayant de chasser cette vision. Qu'avait-elle de si différente que les autres ? Difficile de ne pas faire une crise de jalousie quand il s'agissait d'un dessin comme celui-ci. J'arrivais sur le parking avant d'entendre rapidement des pas derrière moi. « Jackie, sérieusement ? Tu me fais une crise pour ça ? » mon visage se retourna pour lui faire face. Pour ça ? Était-ce si insignifiant ? Alors pourquoi l'avais-je retrouvé dans un recoin de sa voiture ? « Pour ça ? Bordel Aidan, on ne parle pas d'une BD là. » dis-je en le fixant dans les yeux. « C'est une ancienne peinture, tu sais bien que je ne vois plus Emma depuis que nous sommes de nouveau ensemble ! » J'apportais ma main sur mon front, pourquoi était-il toujours question de cette Mather ? Le destin semblait se jouer de nous ou plutôt de moi « mais sa n'empêche pas que tu gardes sa peinture... Bordel Aidan, tu as une peinture de ton ex nu dans ta voiture, tu trouves sa normale . Et puis elle... Tu pouvais pas choisir une autre mégère. » dis-je en soufflant longuement avant de croiser les bras contre moi. Ce dessin me rendait folle. Un léger blanc commençait à s'installer. « Ne complique pas tout ! » Mon regard se reporta de nouveau sur le peintre. « Ce n'est pas moi qui est fait la connerie de laisser traîner mes affaires ! » dis-je pleine de reproche. Le dialogue de sourds commençait à s'installer. Voilà pourquoi j'avais fui, consciente que cette discussion ne mènerait à rien de constructif. « Tu aurais réagi comment ? Hein si tu trouvais une photo nue de Léo dans ma voiture ? Je suis vraiment curieuse de savoir ? »
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Le papier git toujours entre ses mains. Il ne comprend pas vraiment la réaction de Jackie. Que cela ne lui fasse pas plaisir soit, mais que cela prenne de si grandes proportions ça lui échappe. Ses sourcils se froncent alors que Jackie lui fait la morale. « Mais j'avais complètement oublié qu'elle était là. Elle était dans mon coffre et dans une pochette, pas encadrée au dessus de la cheminée bordel. » Il soupire, fixe Jackie, ne la comprend pas et encore moins cet espace qui se creuse entre eux. Il les pensait au dessus de ça. Des disputes et des jalousies, mais il s'est sans doute trompé. « Je ne peux pas renier Emma d'avoir fait partie de ma vie. » Parce que la Mather reprenait toute une époque de son existence, une certaine insouciance, un âge où rien encore n'était réalisé. Malgré le temps passant, ils gardaient une certaine complicité et Aidan savait bien que Jackie la détestait. « ça ne m'aurait pas fait plaisir c'est clair mais j'en aurais pas fait une montagne. » Il se rapproche brusquement de la Blonde tandis que ses yeux se posent sur le visage familier et colérique. « Tu me fais si peu confiance Jackie ? » Parce que quelque part, la déception le gagne. Elle sait qu'elle doit lui laisser une certaine liberté pour laisser parler son tempérament d'Artiste, que cela implique un lâcher prise sur sa relation au féminin. Il lui sera fidèle néanmoins et c'est un privilège énorme qu'il lui accorde, ce dont elle a moins conscience c'est qu'elle à cet instant précis entrain de piétiner ses belles promesses et cela ne le blesse que davantage dans son orgueil certes mal placé.
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Cette peinture avait envolé en éclat tout ce qui avait de plus rationnelle chez moi. J'étais consciente que sa passion impliquait parfois des sacrifices mais aujourd'hui, je n'arrivais pas à faire la part des choses. Cette peinture n'était pas n'importe quelle peinture, pas pour moi en tout cas. « Mais j'avais complètement oublié qu'elle était là. Elle était dans mon coffre et dans une pochette, pas encadrés au-dessus de la cheminée bordel » mes yeux se plissèrent avant que je ne lui réponde : « et alors ? Sa change quoi ? » dis-je en le défiant du regard. Partie dans mon entêtement, je n'étais pas décidé à baisser ma garde. Mes bras se resserrent contre moi. J'avais conscience que je réagissais sous le coup de l'énervement, de l'agacement aussi mais il était pour le moment difficile pour moi de me l'avouer. « ça ne m'aurait pas fait plaisir c'est clair mais j'en aurais pas fait une montagne » mon regard restait immobile, braquer sur le jeune peintre. Son corps s'approchait de moi dans un élan brusque. « Tu me fais si peu confiance Jackie ? » je levais le visage avant de soupirer. Je pris la peinture dans mes mains et lui fis : « C'est à elle que je ne fais pas confiance... » dis-je en pointant ce dessin. « Je t'assure que je fais des efforts... je suis consciente de tout sa mais ce truc-là c'est au-dessus de mes forces. Je n'ai pas confiance en cette fille, je ne l'aime pas. Et je sais pertinemment qu'elle comptera toujours pour toi. Je les compris mais alors voir sa sincèrement j'y arrive pas » dis-je en grimaçant légèrement...
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Le bonheur fait oublier les disputes, et l'amertume dans la bouche du Peintre est bien présente alors que les deux s'adonnent au crachat de leur venin. Comme un goût d'antan à une sensation qu'il croyait oubliée. « ça change tout voyons. » Qu'il n'exhibe pas ses conquêtes aux yeux de la Blonde, qu'il les dissimule à l'abri dans un recoin de son coffre, ça change tout. Elle ne peut pas pour autant lui demander de tirer un trait sur son passé. « Mais Emma se fiche de moi, elle est passée à autre chose, elle a pas besoin de moi et tu le sais. Elle n'est pas toi. » Quoi dire de plus ? Bien entendu qu'elle n'était pas Jackie, elle n'était pas rien pour autant. Il pose ses bras autour des siens et la regarde doucement. « Alors on fait quoi ? Je peux pas effacer mon passé Jackie. Tu peux pas me forcer à rayer toutes les filles de ma vie et faire comme si il s'était rien passé. » Parce que des femmes y'en aura toujours, ne serait-ce que pour son Art. C'est le féminin qui l'inspire, et ça a toujours été. Être la compagne d'un Artiste n'est pas sans compromis mais c'est comme si Jackie venait tout juste d'en prendre conscience.
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« Mais Emma se fiche de moi, elle est passée à autre chose, elle n'a pas besoin de moi et tu le sais. Elle n'est pas toi. » mon visage se recula un peu, légèrement sceptique. Les paroles d'Aidan n'arrivaient pas à me rassurer et ceux malgré sa bonne volonté. J'avalais machinalement ma salive avant qu'il ne pose ses bras autour des miens. « Alors on fait quoi ? Je peux pas effacer mon passé Jackie. Tu peux pas me forcer de rayer toutes les filles de ma vie et faire comme si il s'était rien passé. » mes yeux se froncèrent un peu plus avant que je lui dise : « le problème ce n'est pas les filles... mais là fille, Aidan. » dis-je en regardant de nouveau la peinture avant de lui poser sur le torse en m'éloignant doucement du jeune peintre. « Aidan, je te demande pas d'oublier ton passé, tu ne comprends rien. » dis-je en m'éloignant un peu plus. « j'ai une peinture nue de la fille que je déteste le plus. Une peinture cachée dans le coffre de mon petit ami. Excuse moi de ne pas le prendre bien. » dis-je sur les nerfs avant de me retourner pour commencer à marcher.
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Les prunelles azurées recherchent celles similaires. Instinctivement. Le fait que Jackie jalouse toujours autant Emma est ridicule, presque touchant. « Elle n'était pas cachée. » avoue-t-il en haussant les épaules. Ce qui suffit à provoquer la fuite de la Blonde. Il la rattrape en courant et attrape son bras délicatement. « Écoute, je comprends que tu ne le prennes pas bien, mais c'est toi qui compte aujourd'hui Jackie. Tu ne comprends pas qu'il n'y a que toi ? » Sa deuxième main enserre la taille de la jeune femme alors qu'il ne cesse de la fixer. « On passait une si bonne soirée, tu ne crois pas qu'il serait de bon temps et qu'on parle de ça plus tard à tête reposée. Jackie. S'il te plaît. » Et Norrington adopte son visage de faon égaré, nul doute qu'il est doué pour apitoyer la gente féminine et il espère bien parvenir à ses fins avec la jeune femme même si la problématique est bien plus compliquée qu'il ne veut bien s'en donner l'air.
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La raison ne daignait pas pointer le bout de son nez. J'étais partagée entre plusieurs sentiments. La crainte et l'énervement. Le jeune peintre s'avança une nouvelle fois vers mois, attrapant délicatement mon bras. Mes yeux se reposèrent sur les siens. « Écoute, je comprends que tu ne le prennes pas bien, mais c'est toi qui comptes aujourd'hui Jackie. Tu ne comprends pas qu'il n'y a que toi ? » s'était difficile à croire après tout nous étions tous deux revenus d'un monde plutôt douteux ou l'amour et les sentiments n'existaient pas. J'affichais une grimace avant de finalement soupirer. Les mains baladeuses d'Aidan se posèrent sur ma taille. Ma tête se pencha sur le côté avant de finalement dire : « C'est toujours difficile à croire... » dis-je en le regardant. Aimer était une chose mais être aimé en était également une autre. Mes mains se posèrent sur le visage du professeur avant que je ne dise. « Je te crois... » dis-je en grimaçant une nouvelle fois. « On passait une si bonne soirée, tu ne crois pas qu'il serait de bon temps et qu'on parle de ça plus tard à tête reposée. Jackie. S'il te plaît. » mon regard scrutait son visage avant que je ne dise : « D'accord... on arrête pour ce soir mais rentre, s'il te plaît. Je suis fatiguée et mon m'appelle » dis-je en affichant un maigre sourire.
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Il avait au moins réussit à radoucir le feu chez Jackie et l'espace d'un instant, il en fût soulagé. Son étreinte se resserra sur la Blonde alors qu'elle lui fit part de ses craintes. Lui plus que quiconque pouvait les comprendre. Tout simplement parce qu'il avait les mêmes. Il laisse son front reposer contre le sien quelques instants, laissant le silence s'installer entre eux. Ses prunelles claires se relèvent ensuite sur le visage familier de la jeune femme. « Promets-moi de ne pas m'échapper Jackie. Pas pour ça. » Pas pour une illusion, une illusion d'une autre femme alors que je te promets de rester là, pas alors que j'ai enfin chasser mes vieux démons, aussi familiers que je les croyais installés, pas quand je te laisse une place pour exister et cultiver une nouvelle histoire, une histoire tout simplement. « Rentrons. » lui murmure-t-il avant de l'embrasser doucement. Il a bien conscience que le trouble n'est pas évacué, qu'à ce problème ils n'ont pas trouvé de solution et n'en trouveront peut-être jamais. Il ouvre ensuite la portière côté passager à la jeune femme et s'installe ensuite au volant avant de démarrer en direction de son Loft. Du moins, dans son intention.
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