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Ft. Ethan & Rose
Aujourd’hui, le réveil fut quelque peu difficile, je regardais l’heure, ouf je ne suis pas en retard. Bon en même temps je ne l’étais jamais en ce qui concernait les cours. Me levant de mon lit pour me préparer, je vis un mot sur mon chevet. Voyant l’écriture je reconnue que c’était ma colocataire Eileen. Les yeux encore brouillés, je rouspétais de déchiffrer ces quelques mots. Elle avait surement dû l’écrire à la hâte. Mon cerveau enfin réveillé je pus lire que j’avais rendez-vous au secrétariat. Tiens, bizarre ? Après mettre préparée, je dévalais à grande vitesse les escaliers pour me rendre dans le grand hall.
Arrivée au secrétariat, une dame m’indiqua qu’il y avait une erreur dans mon dossier de réinscription. Elle ajouta « Ah et vous avez reçu une lettre. » Une lettre ? De qui ? Je pris la lettre, en voyant écrit ‘’Mr et Mme Morrighan’’ mon visage se figea. La responsable me demanda si tout allait bien. A vrai dire j’en étais plus tellement sûre. Cela faisait deux ans que je refusais de voir mon père et apercevoir son nom sur cette lettre … Je m’y attendais pas. J’ouvris la lettre avec une lenteur considérable, un peu comme si je voulais faire durer le suspens ou plutôt faire durer le moment où j’aurais à lire ces mots. Retirant le papier à lettre de l’enveloppe, mon visage se déraidi, car premier point positif, c’était l’écriture de ma mère. Elle me manquait tellement et en même temps, j’étais tellement déçue qu’elle reste avec un pourri pareil. Y’avait pas d’autres mots. La vie avec mon père était un enfer. Je survolais rapidement la lettre, vu qu’elle était assez longue et je me rappelais qu’il fallait que j’aille en cour.
L’enveloppe était aussi accompagnée d’une photo. On pouvait voir une maison de campagne, parsemées de briques rouges et de verdures. Je ne compris pas tout de suite l’intérêt de la photo, pourquoi me l’avait-il envoyé ? Je retournais la photo et vit une date (11 Juillet 1997). Je soupirais, car je compris que si je ne lisais pas cette lettre en entier, je n’allais pas savoir le but de cet envoie.
Lisant entièrement la lettre, j’appris que la fameuse maison était la résidence que l’on occupait tous les ans pendant les vacances. Je me mis les mains devant les yeux, et dit à voix haute « Comment, j’ai pu oublier ça ? » Techniquement je n’avais pas vraiment oublié cette maison, j’étais fatiguée. En y repensant cela me faisait mal, car à cette époque j’étais ignorante de la méchanceté de mon père. J’étais heureuse, je l’aimais. La responsable du secrétariat, m’enleva de mes rêveries en m’indiquant qu’elle devait fermer le secrétariat quelques instants. Ne l’écoutant pas, je fixais la photo. A l’instant même, j’étais mal, je voulais déchirer la lettre en mille morceaux, ainsi que la photo. La dame me fit un geste de la main devant mon visage comme si j’allais m’évanouir. Elle ajouta « Vous êtes sure que tout va bien ? Je suis désolée, je dois fermer le secrétariat. Et puis vous n’avez pas cours à cette heure-là ? » Et merde, les cours ! Je sortie rapidement du secrétariat et marchais à grande vitesse en parcourant le grand hall. Dans la précipitation, je fis tomber toutes mes affaires ainsi que la photo.
J’aperçu un jeune homme me ramasser mes affaires. Je le remerciai. J’allais repartir, quand il m’avertit que j’avais oublié la satanée photo. Revenant sur mes pas, je le vit fixer avec un air d’interrogation l’objet rappelant des souvenirs tant douloureux. Enfin son visage était plus figé qu’autre chose. Cela me surprit car j’avais eu exactement le même faciès quand j’avais revu mon ancienne maison de vacances. Perplexe je lui dis «Euh… Ça va ? » .
Arrivée au secrétariat, une dame m’indiqua qu’il y avait une erreur dans mon dossier de réinscription. Elle ajouta « Ah et vous avez reçu une lettre. » Une lettre ? De qui ? Je pris la lettre, en voyant écrit ‘’Mr et Mme Morrighan’’ mon visage se figea. La responsable me demanda si tout allait bien. A vrai dire j’en étais plus tellement sûre. Cela faisait deux ans que je refusais de voir mon père et apercevoir son nom sur cette lettre … Je m’y attendais pas. J’ouvris la lettre avec une lenteur considérable, un peu comme si je voulais faire durer le suspens ou plutôt faire durer le moment où j’aurais à lire ces mots. Retirant le papier à lettre de l’enveloppe, mon visage se déraidi, car premier point positif, c’était l’écriture de ma mère. Elle me manquait tellement et en même temps, j’étais tellement déçue qu’elle reste avec un pourri pareil. Y’avait pas d’autres mots. La vie avec mon père était un enfer. Je survolais rapidement la lettre, vu qu’elle était assez longue et je me rappelais qu’il fallait que j’aille en cour.
L’enveloppe était aussi accompagnée d’une photo. On pouvait voir une maison de campagne, parsemées de briques rouges et de verdures. Je ne compris pas tout de suite l’intérêt de la photo, pourquoi me l’avait-il envoyé ? Je retournais la photo et vit une date (11 Juillet 1997). Je soupirais, car je compris que si je ne lisais pas cette lettre en entier, je n’allais pas savoir le but de cet envoie.
Lisant entièrement la lettre, j’appris que la fameuse maison était la résidence que l’on occupait tous les ans pendant les vacances. Je me mis les mains devant les yeux, et dit à voix haute « Comment, j’ai pu oublier ça ? » Techniquement je n’avais pas vraiment oublié cette maison, j’étais fatiguée. En y repensant cela me faisait mal, car à cette époque j’étais ignorante de la méchanceté de mon père. J’étais heureuse, je l’aimais. La responsable du secrétariat, m’enleva de mes rêveries en m’indiquant qu’elle devait fermer le secrétariat quelques instants. Ne l’écoutant pas, je fixais la photo. A l’instant même, j’étais mal, je voulais déchirer la lettre en mille morceaux, ainsi que la photo. La dame me fit un geste de la main devant mon visage comme si j’allais m’évanouir. Elle ajouta « Vous êtes sure que tout va bien ? Je suis désolée, je dois fermer le secrétariat. Et puis vous n’avez pas cours à cette heure-là ? » Et merde, les cours ! Je sortie rapidement du secrétariat et marchais à grande vitesse en parcourant le grand hall. Dans la précipitation, je fis tomber toutes mes affaires ainsi que la photo.
J’aperçu un jeune homme me ramasser mes affaires. Je le remerciai. J’allais repartir, quand il m’avertit que j’avais oublié la satanée photo. Revenant sur mes pas, je le vit fixer avec un air d’interrogation l’objet rappelant des souvenirs tant douloureux. Enfin son visage était plus figé qu’autre chose. Cela me surprit car j’avais eu exactement le même faciès quand j’avais revu mon ancienne maison de vacances. Perplexe je lui dis «Euh… Ça va ? » .
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