Mais t'étais ou???? Mateig

Je proposais a Solveilg de monté avec elle dans sa chambre mais j'avais bien compris qu'elle ne voulais pas vraiment que je vienne pour le moment. Je n'avais pas envie de la laissé seul mais je respecte son choix. Ma fille était entrain de bouder dans son parc.
"Oui oui c'est a l'étage." Elle me disait de la rejoindre cette nuit.
"Tu m'envoie un message je viendrais faire le gros nounours." Je venais reprendre ma princesse.
"Bah alors madame boudeuse, faut apprendre a partagé un peu." Disais je en lui faisant des bisouuuus" Je venais la chatouillé. Qu'es que sa allait être quand j'allais trouvé quelqu'un

Lorsque je monte les escaliers, je manque de me casser la figure deux fois, parce que j'ai la tête qui tourne et parce que mes yeux sont embués par les larmes. Satanée rupture. Je regarde à droite à gauche et je devine que ma chambre est celle au fond du couloir, puisque la porte est ouverte et aucune trace de vie se trouve au sol ou même sur les meubles. Lorsque j'entre dedans, je me sens nostalgique, je dépose alors mon sac de sport au sol et je me jette sur le lit, la tête dans l'oreiller et je me laisse aller, je pleure et je serre l'oreiller contre moi avant de m'enfoncer sous les couvertures. Je ne veux pas que Matthew me rejoigne, mais en même temps j'en ai envie, je n'ai pas envie de rester seule. Je l'entend en bas avec sa fille, et je me dis que c'est la qu'il doit être, j'attrape alors mon téléphone dans la poche arrière de mon jean et je lui envoie SOS en guise de message. Peut-être qu'il viendra, peut-être pas. En attendant, je regarde les photos du Spring Break sur mon téléphone, puis les photos du mariage, et je pleure encore et encore, peut-être qu'après cette crise de larme, je n'arriverais plus à pleurer.

Je jouais avec ma princesse quand je regardais Soso monté les escalier difficilement c'est la fatigue sa surement. J'aime pas trop sa. C'est au bout de quelques minutes que je recois un SOS de Solveig. Je pose ma fille dans son parc la laissant a Beverlly. Je monte les marches et sans vraiment prendre la peine de toquer j'ouvre la porte, je vois So' entrain de pleuré toute les larmes de son corps sans dire un mot je viens me faufilé dans le lit a coté d'elle et vien l'entouré avec mes bras.
Je lui prends le téléphone des mains pour le posé sur une table de nuit
"Arrête de te faire du mal avec sa." Je viens la serez contre moi
"Ce qui compte la maintenant toute suite c'est que tu dorme So', pense pas a autre chose. Tu veux que je te mette un film marrant et tu t'endors dessus en pensant qu'au connerie qui vienne de raconté'" Je savais pas vraiment comment l'aidé.

Pauvre chose vulnérable, je suis allongée dans ce lit trop grand pour moi et je pleure, encore et encore, je me lamente sur mon sort, j'ai envie d'abandonner, c'est horrible cette sensation de rejet. C'est horrible de se faire briser le coeur, et le plus horrible c'est d'entendre sa voix et cette phrase qu'il m'a dit avant de me claquer la porte au nez, la porte de sa chambre d'hôtel ou je suis restée interdite pendant de nombreuses minutes avant de m'effondrer comme une poupée de chiffon. Les images défilent et les larmes coulent quand je sens Matthew qui me prend mon téléphone des mains, je résiste un peu avant de le laisser faire. Lorsqu'il me dit qu'il faut que je dorme, je soupire et je me blottis contre lui. « Non je ne veux pas regarder la télé... » Je hoquette avant de poser mon front contre son épaule. « Je suis désolée... d'être comme ça... » Et je me blottis un peu plus contre lui, me calmant avant d'embrasser sa joue « Merci.. Merci pour tout... » Je reste contre lui, fermant les yeux, pleurer c'est fatiguant. Je reste silencieuse, laissant le silence remplacer les larmes. « Redescend avec ta fille si tu veux... Elle a besoin de toi. »

Je trouvais So' entrain de pleuré toute les larmes de son corps. Je tiens a ma So' j'aime pas la voir comme ça. Elle refuse que je mette la télé, comprhensible après tout. Je cherche juste un moyen pour lui faire moins pensé a ses souvcis. Je la sert contre moi. Elle se calme quelques minutes et repart de plus belle. Elle me dit que ma fille a besoin de moi.
"So' t'inquiètes pas elle est avec Beverlly, je verais ma fille plus tard tu as besoin de moi bien plus qu'elle " Fin elle a surtout besoin de quelqu'un a qui parlé. J'étais la pour mon amie. Ma princesse elle elle va resté gentillement avec tata Beverlly et voila.

Vidée, voilà ce que je suis, je suis vidée et je me sens comme une poupée de chiffon qu'on a transporté longtemps, qu'on a traîné partout et qu'on finit par abandonner sur un banc parce qu'on en a marre d'elle. Mais Matthew me réconforte, Matthew me prend dans ses bras, me caresse le dos, me dit que tout ira bien, me demande si je veux la télé, je ne veux rien de tout ça, je veux juste m'enfoncer six pieds sous terre pour tout oublier. La sensation que j'avais quand Chuck me touchait, quand Chuck me donnait envie de me battre, de lui prouver que j'étais capable de plus. Mais non, plus rien de tout cela n'aura lieu. « Je ne veux pas... » Puis je sombre, je ne me sens pas partir, le sommeil prend la place de la tristesse, et je me blottis contre le torse de Matthew, je ferme les yeux et je ne ressens plus rien. Je me sens apaisée et rassurée ici, dans ses draps, dans ses bras.