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(charrys) ☀ a little vacation.

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Vous n'aviez pas besoin de parler pour vous comprendre et ça, c'était une belle qualité. Ça faisait du bien de pouvoir être là, tout les deux, à ne vous préoccuper de rien que de vous. Ça faisait vraiment plaisir d'être enfin sur la même longueur d'ondes. Alors que tu étais encore sous lui à redécouvrir chaque parcelles de son corps, il ne mit que très peu de temps avant de vous faire basculer, te laissant être sur le dessus. « J'ai tellement envie de toi Charlie ! » Cette phrase, ces quelques mots prononcés à l'arrache... C'était tout ce qu'il te fallait pour vraiment t'allumer - même si tu l'étais déjà, avouons-le. Vos lèvres se retrouvèrent rapidement et le jeune homme passa une main sous ton t-shirt, finissant même par passer sous ton jeans pour aller redécouvrir ton corps. Ça dura quelques minutes, juste assez longtemps pour que vos souffles deviennent courts et rapide. Ça y est, vous en étiez à ce stade où il fallait que ça passe à la seconde étape. Tu te relevas donc doucement, allant chercher les poignets d'Emrys pour les ramener au dessus de sa tête, le forçant - sans trop le forcer, évidemment - à rester immobile. Tu en profitas pour l'embrasser sur les lèvres, dans le cou, sur l'épaule gauche, puis tu continuas comme ça jusqu'à son nombril, puis jusqu'au commencement de son jeans. Tu lâchas ton emprise, espérant qu'il ne se débatte pas pour reprendre le dessus, et vint déboutonner son vêtement. À cet instant présent, c'est comme si rien n'avait changé. Et Dieu seul sait à quel point ça peut faire du bien de se retrouver dans un territoire connu... ~
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Soudain, le temps sembla se stopper net tant la joie revenait par ce désir fou, flambloyant. Je redécouvrais chaque parcelle de son corps, sa peau, son odeur enivrante, tout, tout ce qui me plaisait en folie. Nos embrassades me tuaient, nos calins m'avaient manqués et nos caresses me faisaient trembler d'amour. Je manquais à chaque fois de crier mon désir ! Il finit enfin par exaucer mon souhait, me dominer, me tenir sous ses ordres, tenant fermement mes bras au dessus de ma tete et un sourire à la fois carnassier et satisfait venait habiller mon visage doux. Mon souffle se coupait peu à peu lors qu'il descendait, soufflant lègèrement sur mon nombril en me faisant soupirer de bonheur puis il arriva à l'endroit tant recherché, et je sentis son angoisse de me lacher ; la peur que le Emrys, insupportable, qui ne peut laisser quelqu'un le dominer puisse revenir. Je l'étonnais donc en gardant mes mains en l'air, m'accrochant avec difficulté au lit, bien en haut comme je le pouvais et en lui disant : Je suis à toi, Charlie ! Je venais m'ancrer dans son regard me tortillant sous son habileté, ses caresses et cette grosse attente, insoutenable.
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« Je suis à toi, Charlie ! » Cette confiance envers toi dont il faisait preuve te plaisait au plus au point. Tu secouas doucement la tête, un sourire ravi collé aux lèvres. Tu étais heureux. Heureux d'enfin pouvoir lui montrer qu'entre vous, c'était pas une histoire de dominant/dominé ou quoi que ce soit. Vous étiez tout simplement deux êtres qui s'aiment et se respectent mutuellement. Tu ne perdis pas une seule seconde à glisser vers le bas son jeans, jusqu'à finalement lui enlever au complet. Il se retrouvait en sous-vêtement. Il était beau, étendu là sur le lit. Puis soudain, tu eus comme une illumination. Tu retournas s'allonger près de lui, posant ton front contre le sien, passant ta main sur son bas ventre, jouant par moment avec le seul bout de tissu qui lui restait. « Nah, mais tu sais... Ton idée d'écouter la télé... Ça pourrait être sympa aussi ! » dis-tu avant de te mettre à rire, ton regard perdu dans le sien. Tu l'embrassas alors doucement puis un peu plus vigoureusement, passant ensuite ta main sous son vêtement pour venir caresser son sexe. ~
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Ces sensations, ce désir, ce trop plein d'amour me rendait tellement fou, fou d'amour, fou de folie, fou de joie que j'en pensais, j'en disais des débilités dingues. J'appréciais le toucher, cette descente qui me faisait m'impatienter de plus mais pourtant, me plaisait parce que je sentais le désir monter progressivement, se meler à cet amour si grand, si fort, si vrai. Je compris aussi soudain qu'il se jouait de moi aussi, il était bien trop lent d'un coup puis soudain, rapide me faisant imaginer enfin un peu de sauvagerie et là, vetue d'un simple boxer, j'imaginais qu'il allait se devetir d'un coup et me prendre comme jamais ; Non, ce petit con adorable préféra se poser à mes cotés, coller son front et se marrer en me disant qu'on pourrait regarder la télé tout en effleurant mon entrejambe alors ça m’échappa dans un petit rire et une petite haine néanmoins toute mignonne ; petit con que j'aime ! Je devenais tellement mielleux que je fus moi-meme surpris de ma petite phrase et j'ouvrais les yeux d'un coup, gros, très gros, dans l'étonnement. Là, il me rassura en prenant les devants à nouveau ; il passa sa main sous le boxer et commença à astiquer doucement mais surement mon sexe. Je fus directement surpris, levant d'un coup ma tête vers l'arrière ; c'était fou ! Oh putain Charlie ! Avais-je dit dans la folie du moment et retrouvant sa légendaire facilité à me faire grimper au moindre bon toucher.
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Tu voulais prendre ton temps, vivre chacune des prochaines minutes comme s'il pouvait s'agir de la dernière. Était-ce égoïste de vouloir en profiter autant ? De vouloir savourer chaque souffle expiré, chaque phrases sensuellement prononcées, chaque gémissements à venir ? Était-ce... glauque ? Non. C'était juste l'agissement normal d'un mec qui était en manque. En manque de son homme, de sa moitié, de son âme-sœur, de son tout. Toujours front à front, tu l'embrassais langoureusement, laissant ta langue retrouver la sienne, tandis que tes doigts agile retrouvèrent cette verge si connue. Tu étais à nouveau chez toi, dans un terrain connu. Ça te plaisait d'avoir ce contrôle dont il te faisait cadeau... À peine avais-tu commencer à la caresser que déjà il semblait s'exciter. Vos lèvres se séparèrent et il se pencha la tête vers l'arrière, ce qui te donnait le champ libre pour l'embrasser dans le cou. « Oh putain Charlie ! » Intérieurement, tu jubilais. Tu lui donnais du plaisir, voilà une belle victoire. « Bon, ce fut bien agréable, mais maintenant je meurs de faim. » dis-tu doucement avant de subitement te défaire de lui, te relevant d'un coup. « Tu viens avec moi. » lui ordonnas-tu en le prenant par la main, le forçant à te suivre jusqu'à la salle de bain de la chambre. Tu enlevas ton t-shirt, puis tes pantalons en terminant évidemment par les sous-vêtements, te retrouvant ainsi nu devant lui. S'il était futé, il comprendrait que tu avais envie de réaliser l'un de tes fantasmes - pas original - qu'était de passer à l'acte sous la douche... ~
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Dans cette folie, cette recherche folle du désir, j'apprécie le toucher de mon tendre amour et le lui fait savoir dans mon comportement si bien qu'il en joue et je le hais de me faire ça. Je le regarde, pris d'une incompréhension totale dans sa manière de faire les choses. Il m'embrasse, se détache, m'embrasse et tout à coup, alors qu'il s'occupait de mon petit bijou, mon copain me dit qu'il a faim et ce, d'un naturel presque trop déconcertant. Je reste bouche bée et je ne sais quoi faire. Je dois le suivre mais je comprend pas pourquoi il a besoin de moi pour aller manger quoique il a faim? faim ou faim ? J'écarquille les yeux surtout quand il me tire tout en se déshabillant. On se retrouve dans la salle de bain et là, je pige direct alors je l'attrape et le pousse contre le lavabo sauvagement. Je l'appuie contre celui de manière à me retrouver dans son dos et qu'il puisse voir mon visage dans la glace, proche du sien. j'embrasse son cou, je le dévore tout en passant ma main sur son sexe doucement ; Tu as faim... hein ? Dis-je d'une voix très suggestive. Je m'éloigne à nouveau et je recule, le laissant se remettre d'une soudaine activité et je me colle contre le coté opposé retirant à mon tour mon boxer en l'ignorant un peu. Je prend presque un pose et les bras ouverts, je lui dis, provocateur, presque pervers : Je pense que tu as de quoi te mettre sous la dent, amour ... Je termine dans une tendresse infini.
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C'est bien de pouvoir prendre le temps; savourer ces instants magiques et mémorables. Rien ne presse, nous avons toute la vie devant nous. Pourquoi devrions nous baiser sauvagement en dix minutes top-chrono quand on peut faire durer le plaisir jusqu'aux petites heures du matin ? Tu l'avais allumé, tout à l'heure. Et là tu semblas le refroidir un bref instant lorsque tu le trainas dans la salle de bain. Il finit toutefois par comprendre et ça fit naître un sourire sur tes lèvres. Il prit rapidement le contrôle de la situation, ne perdant pas une seule seconde de ce jeu excitant. « Tu as faim... hein ? » dit-il après t'avoir retourné contre le lavabo, t'embrassant dans le cou et caressant presque trop rapidement ton sexe durci de plaisir. Il s'écarte rapidement et s'éloigne un peu plus. Pourquoi ? Il se déshabilla à son tour, fit mine de prendre la pause. Seigneur qu'il était beau, son mec. « Je pense que tu as de quoi te mettre sous la dent, amour ... » Un nouveau sourire se dessina sur tes lèvres. Tu ne perdis pas de temps toi non plus et vint plaquer ton corps contre le sien, le forçant à reculer. Ni d'une, ni deux, vous furent sous la douche. Tes lèvres se posèrent contre les siennes, vos langues se retrouvèrent tandis que tes mains valsaient sur son corps déjà humide. Tu descendis jusqu'à reprendre le contrôle de son membre bien ferme, faisant quelques mouvements de va et vient. Vous aviez toute la nuit, pas besoin de se presser... Mais là, t'étais vraiment excité. ~
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Collé contre le mur opposé au sien, je le provoquais de mes yeux si expressifs. J'étais décidé à ce qu'il me désire comme jamais, à ce qu'on se désire complètement comme deux fous. Je laissais mon dos se plaquer bien plus réellement contre ce mur froid avant de voir mon amant me foncer dessus, coller son corps puis ses lèvres sur les miennes. Il fond alors en moi, partant dans un ballet sans fin et l'eau coule sur nos corps se mouvant peu à peu. Sa main glisse vers mon membre déjà tendu et j'apprécie le contact de sa peau contre ma verge. Quelques va-et-vient, je gémis déjà quelque peu. Je lève la tête tant le désir me fait grimper et me chauffe. Je fond plus encore sur ses lèvres et je ne cesse de l'embrasser violemment. Et je me rend soudainement compte que la nuit va etre bonne et longue ...

FIN


PS; c'est surement mieux de finir pour en faire un tout neuf comme on disait la dernière fois.
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