MAXWELL † on ne laisse pas bébé dans un coin!

Tu étais là tout contre lui, bizarrement ce bal devenait de plus en plus intéressant. Ca devenait même l’un des meilleurs bals de ta vie, ton préféré en tout cas. Sentant les yeux de Maxwell sur toi tu n’osais pas lever la tête, ni même faire un mouvement trop brusque. Tu te laissais guider par son corps en même temps c’était un excellent danseur. Il suffisait de le laisser agir et on penserait que tu es une danseuse d’exception. Tu souriais doucement, avant de relever tout de même ton regard vers lui. Il ne semblait pas réellement avoir compris de quoi tu parlais en évoquant le terme obligation. Peut-être croyais-il que tu parlais de son travail enfin de ce qu’il exerçait pour le moment mais pas du tout. Tu souriais doucement en coin. « Oui, en bon gentleman que tu es, tu as des obligations de raccompagner ta cavalière chez elle, alors que moi non. » Tu lui lançais ton plus beau sourire alors que vos hanches se balançaient toujours au rythme de cette douce mélodie. Il te proposait par la suite de venir terminer la soirée avec lui. Tu faisais mine de réfléchir pendant un long moment, avant de reposer ton regard perçant sur lui. « Pourquoi pas tiens. » Tu avais un petit rictus en coin qui voulait tout dire. Maxwell te plaisait et Maxwell t’invitait à terminer la soirée chez lui que demande le peuple ! Ton corps se séparais ensuite du sien, car le beau brun avait décidé de te faire virevolter. Tu te sentais si légère à cet instant même et puis ses bras t’emprisonner de nouveau et vous n’étiez plus que deux petits points confondus dans cette foule immense. Tu te rapprochais de lui pour finalement déposer un doux et long baiser sur ses lèvres. Qui ne tente rien, n’a rien et à ta plus grande surprise, Maxwell répondait à ce baiser tout en glissant ses mains dans le bas de ton dos. Tu prolongeais pendant un court instant avant de séparer doucement tes lèvres des siennes. Tes joues s’empourpraient légèrement et tu préférais jouer sur le ton de la plaisanterie. « Un baiser de plus ce soir monsieur Davis ! » Tu lui faisais un petit clin d’œil, venant poser ta tête sur son torse sans ajouter quoique ce soit. Il n’y avait rien à ajouter vu que tu te sentais bien.