Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTIMOXYS ✱ pire que les montagnes russes.
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TIMOXYS ✱ pire que les montagnes russes.

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Je crois que je suis maudite. A chaque bal, il arrive quelque chose. L'année dernière, j'y avais été avec Jorden alors que quelques jours auparavant, j'avais rompu avec du coup, l'ambiance était merdique et en plus de ça, il m'en voulait à mort. C'était également la première fois que Zakhar m'avait embrassé et m'avait assuré ne pas me détester. Aujourd'hui, retour à la case départ puisqu’il me détester et que plus rien ne sera jamais comme avant. J'étais venue pour mes amis sauf qu'apparemment, la plupart d'entre eux étaient occupés, s'amusaient ou encore m'évier. Parce que oui, même si Timoteï m'assurait que ce n'était pas le cas, j'étais persuadée qu'il me snobait depuis le voyage des Mathers et ça, ça me rendait dingue. J'avais besoin de mon meilleur ami et il n'était pas là. Il était absent, il m'évitait, me faisait la gueule tout ce que vous voulez. J'avais envie de le fraper, de ne faire réagir mais au lieu de faire quoique ce soit, je me contentais de lui envoyer un sms pour l'informer que je partais. Je m'attendais à ce qu'il comprenne, qu'il ne me retienne pas mais au lieu de ça, il me demanda de le rejoindre dehors en m'engueulant à moitié comme il avait l'habitude de le faire et le pire, c'est qu'il disait que je lui prenais la tête pour rien. J'ai soupiré, j'avais envie de broyer mon portable mais, je me contentais de serrer le poing et de le rejoindre dehors. Je me demandais bien ce qu'il avait à me dire après tant de temps. Est-ce qu'on allait de nouveau nous engueuler ? Parce que sérieusement, je détestais cette situation. Je voulais retrouver notre relation, je voulais mon ami et non un étranger. Enfin bref, je me suis dirigée vers la terrasse et lorsque je l'ai aperçu du dos, je me suis contentais de m'éclaircir la voix. Salut... ais-je murmuré comme si de rien était. Bordel la situation la plus bizarre de toute ma vie.
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Tu as tellement pris sur toi, que tu ne te rendais pas compte du changement. Peut-être que prendre l'air à Édimbourg, t'avait fait du bien. Malheureusement, tu n'avais pas pu rester bien longtemps, mais tu allais recommencer cette expérience dans peu de temps. Au final, tu avais retrouvé pas mal de personne et de vivre à Harvard t'agaçait au plus haut point. En même temps, tu côtoyais les même personnes chaque jour, chaque semaine, chaque mois. Tu avais besoin de voir du nouveau, des anciens. Tu avais besoin de changer un peu, de tourner la page et de recommencer une nouvelle vie. Marre de souffrir, marre de t'en prendre pleins la gueule. Tu avais supplié ton amie de te joindre à toi, de reprendre ses cours près de toi. De venir vivre avec toi, dans ton appartement, profiter d'elle encore et encore. Sans même te rendre compte, qu'au final tu t'éloignais de tous tes autres amis dont une en priorité. Alexys, cette jeune femme qui t'avait aidé, qui était si importante pour toi, même beaucoup trop. Tu l'avais forcé au départ à venir à ce bal et au final, tu avais lâché l'affaire. Tu avais baissé les bras, y allant avec Maëlys et non avec elle. Ne comptant plus la voir à cet endroit et au final, tu te retrouvais à sa table. Le contact était plus que rude, car depuis ton voyage, tu ne lui avais pas envoyé un seul message. Et pendant le voyage avec les mathers, c'était plutôt très froid entre elle et toi. Elle t'avait envoyé un sms pour limite te dire qu'elle se cassait rapidement. Tu levais les yeux au ciel en recevant se messages. Tu devais lui parler, lui parler de cette relation et tout le reste Et si ça pouvait l'aider à la faire rester, autant tenter. Tu l'attendais un peu plus, loin des autres. Tu n'avais pas envie que les autres entendant votre discussion, tu avais enlevé ta veste, et tu avais défait ton nœud papillon et ouvert légèrement ta chemise. Elle venait derrière toi, et tu te retournais pour déboutonner tes manchettes. « Salut. » soufflais-tu doucement, en posant ton regard sur elle. « Au final, tu étais rapide. Tu avais envie de me voir ? » lançais-tu doucement.
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J'en voulais énormément à Timoteï. J'avais l'impression de n'être plus rien à ses yeux depuis l'arrivée d'Octavia et ça me saoulait. Moi jalouse ? Ouais, sans doute un peu. J'avais juste besoin de mon meilleur ami et lui, il n'était pas là. Je ne sais pas si c'est à cause de notre relation plutôt compliquée, du fait que je sois partie ou encore de sa super pote qui était de retour mais moi, ça me saoulait horriblement et c'est bien pour cette raison que je n'avais pas tellement envie de faire d'effort. De toute fçaon, il n'en faisait pas lui ! Il était arrivé à la table comme si de rien était, n'avait même pas pris le temps de me dire bonjour ou encore, comment tu vas donc oui, je m'apprêtais à partir sans dire au revoir. Ca me faisait chier pour mes amis mais, je me voyais mal rester alors que je n'avais pas ma place ici. J'avais fait un effort pour eux, pour lui parce que même si je lui avais demandé d'y aller avec Maë, je pensais qu'il aurait un peu de temps à me consacrer alors que je n'étais pas le cas. Sauf que maintenant, il me faisait péter les plombs et je comptais bien mettre les points sur les i avec lui. J'avais donc décidé de le rejoindre dehors et tout ce qui sortit de ma bouche, se fut un putain de salut ! Au final, tu étais rapide. Tu avais envie de me voir ? J'ai baissé la tête en souriant légèrement malgré moi avant de relever les yeux vers lui en haussant les épaules. Evidemment que j'avais envie de te voir. Si c'est pas le cas pour toi, ça l'est pour moi ! Qu'est-ce que je pouvais dire d'autre de toute façon ? Il me saoulait, j'avais envie de lui taper dessus. Et puis comme je me cache apparemment... voilà, je suis là !
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Tu t'en voulais d'être ainsi avec elle, mais pourtant d'un côté tu te sentais ailleurs. Tu n'avais plus cette boule au cœur, quand tu n'étais plus avec elle. Tu en avais marre de te battre pour au final n'avoir qu'en échange un baiser sur la joue. Comme le ferait ta meilleure amie, et non ta petite amie. Tu ressentais quelque chose de fort pour cette femme, pour ta meilleure amie. Et tu ne voulais plus souffrir, tu ne voulais plus t'attacher plus que tu l'avais déjà fait. Du coup, ta seule solution c'était de s'éloigner d'elle, de partir quand elle arrivait. De tourner la page et de recommencer quelque chose de nouveau. Tu avais pris sous ton aile ton ancienne meilleure amie sous le bras et tu l'avais fait venir à Harvard. Avec elle, c'était totalement différent. Tu couchais avec elle, sans avoir pour autant des sentiments. Même si parfois des crises de jalousie venaient te rejoindre quand elle se trouvait avec un autre mec. Enfin bref, tu étais ainsi et personne ne pouvait te faire changer. Tu avais marché jusqu'à arriver à cet endroit, tranquille, loin des autres. Tu ne supportais pas ce genre de bal avec une ambiance aussi mauvaise. Tu avais enlevé ta veste, enlevé ce nœud, déboutonné ta chemise et tes manchettes. Tu avais besoin de t'éloigner et de respirer un bon coup, tu savais que tu lâchais Maëlys. Mais, elle allait retrouver une autre personne, tu n'étais pas irremplaçable. « Qu'est-ce que tu en sais, que je n'ai pas envie de te voir ? » lançais-tu d'un seul coup, sur un ton assez froid. Tu levais les yeux en direction du ciel, bordel où est-ce qu'elle pouvait te rendre dingue. « Tu veux savoir . Je ne peux pas être en face de toi sans penser à quelque chose. » lançais-tu méchamment. Tu croisais les bras en plantant ton regard dans le sien.
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Qu'est-ce que tu en sais, que je n'ai pas envie de te voir ? J'haussais les épaules en baissant la tête. J'hésitais à répondre parce que c'était con mais, je crois que j'avais besoin de sortir tout ce que j'avais sur le coeur. J'avais besoin qu'il comprenne alors, rien à faire, je vais balancer quitte à m'en prendre plein la gueule. Depuis que je suis rentrée, t'en as rien à foutre Tim... Tu m'évites ou tu m'ignores, comme tu préfères et puis, je compte plus vraiment. Je pourrais crever que tu t'en rendrais même pas compte. Tu m'as remplacé, j'ai compris, je voulais pas te prendre la tête pour rien comme tu dis c'est juste que, je pensais vraiment que tu m'évitais alors, je voulais que tu saches que je partais au cas où tu te planquais tu vois. Genre maintenant la voie est libre tu peux faire ce que tu veux. Bon apparemment, on était pas sur la même longueur d'ondes. Tu veux savoir . Je ne peux pas être en face de toi sans penser à quelque chose. Je me suis mise à rire mais, c'était plus nerveux qu'autre chose? J'ai détourné le regard avant de le reposer sur lui. Penser à quoi ? Au fait que je t'ai laissé tout seul ici, que je me suis tirée. Excuse-moi d'accord ? J'aurais peut-être pas dû, je suis désolée ! Sinon, c'était quoi ? De toute façon, une part de moi était en train de se dire que Timoteï me détestait et que je n'avais vraiment plus rien à perdre donc !
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Tu soupires, tu en as marre de cette situation. Çà ne peut pas durer comme ça, tu as du mal à respirer, comme si tu as une boule au ventre. Qui t'empêche de respirer, qui t'empêche de faire quoi que ce soit. Tu fermes les yeux un instant, tournant la tête dans le sens contraire d'Alexys. Elle n'avait pas tort, mais d'un côté tu soupirais. Tu n'en pouvais plus de cette situation, tu plantais tes mains au fond de tes poches. Et tu reportais ton attention sur la jeune femme, elle t'en foutait pleins la gueule, et tu ne disais rien. Tu ne levais même pas le petit doigt pour la contredire. « Je ne t'ai pas remplacé, je ne peux pas te remplacer. Si tu crèves, je crève compris . Et je veux juste m'éloigner, reprendre le contrôle de mes propres sentiments. Je ne veux pas souffrir, je ne veux plus souffrir, c'est ça la différence. Mais, tu ne peux pas le comprendre. » lançais-tu rapidement, sur un ton neutre. Tu ne t'énervais pas, de toute façon, tu savais que cela ne te servait plus à rien, de hausser le ton avec elle. Tu as du mal à la regarder dans les yeux, tu t’appuies doucement contre la murette et tu plonges ton regard dans celui de la jeune femme et tu rigoles nerveusement. « Bordel, tu ne veux pas essayer de te comprendre. Tu as déjà oublié ce que je t'ai dit avant ton départ ou quoi ? À croire que tu t'en bas totalement de ma gueule. » soufflais-tu sur un ton froid. Au final, ça te blessait, faisait-elle ça exprès ou non ?
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Il a rien dit et je ne sais pas si je devais m'inquiéter pour ça. Après tout, il est toujours en train de m'aboyer dessus quand je dis quelque chose qui n'est pas vrai, quand il n'est pas de mon avis. Je crois que le fait qu'il se taise voulait clairement dire que j'avais raison et ça faisait mal. Je ne t'ai pas remplacé, je ne peux pas te remplacer. Si tu crèves, je crève compris . Et je veux juste m'éloigner, reprendre le contrôle de mes propres sentiments. Je ne veux pas souffrir, je ne veux plus souffrir, c'est ça la différence. Mais, tu ne peux pas le comprendre. Evidemment que si que je comprenais. J'étais amoureuse de Zakhar et lui, il me détestait. Tim avait des sentiments pour moi et j'étais incapable de lui donner ce qu'il attendait de moi alors si, je pouvais comprendre. Ses mots me touchaient et c'est sans doute pour cette raison que j'ai pris une grande inspiration pour calmer mon coeur qui battait à tout rompre. Je m'en voulais à mort mais, je ne savais pas vraiment quoi faire. Je veux pas te faire souffrir Tim... je suis vraiment désolée... Qu'est-ce que je pouvais bien faire pour l'aider après tout ? Il n'y avait rien à faire et ça me rendait dingue cette situation. Je voulais vraiment aider, faire quelque chose pour arranger les choses. Bordel, tu ne veux pas essayer de te comprendre. Tu as déjà oublié ce que je t'ai dit avant ton départ ou quoi ? À croire que tu t'en bas totalement de ma gueule. J'ai soupiré parce que c'était pas le cas mais que j'aurais juste pensé qu'il changerait d'avis. Ouais, je sais pas pourquoi j'ai pensé ça ! Je me suis rapprochée de lui au début, j'ai fait quelques pas hésitant et puis merde, c'est mon meilleur ami après tout non ? Du coup, j'ai continué ma route jusqu'à lui et j'ai passé ma main sur sa joue. Je t'en prie dis pas ça... je m'en fous pas de ta gueule tu le sais très bien. Ecoute, tu me manques... Bizarrement, j'étais plutôt calme. Moi qui m'énervais pour un rien ! Je peux pas sans toi Tim...!
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Tu sais que ce n'est pas dans ses habitudes de te faire du mal, pourtant, là, en ce moment , c'était le cas. Ce n'était pas voulu, mais au final tu en souffrais. Tu avais déjà connu ça pendant plusieurs années et tu ne voulais pas recommencer. Tu étais froid, distant et même si tu mettais ton amitié avec elle en danger, tu te préservais. Tu protégeais ton propre cœur, toi, tout simplement. Tu ne voulais pas passer pour le faible, tu ne voulais pas avoir cette faiblesse que les autres pourraient utiliser contre toi. Tu ne veux pas être le mec avec le cœur brisé, tu ne veux pas être le mec qui pour une fois, retombe amoureux d'une femme. Non, tu ne veux pas être ça, tu ne veux pas être le pauvre pour cette fois. Tu veux reprendre ta vie en main, tu veux être comme tu étais il y a quelques années. Ce pauvre connard, qui ne pense qu'à sa gueule, qui baise avec n'importe qui, juste pour se soulager et se casser sans rien dire. Oui, tu veux redevenir comme ça, au final c'était bien plus simple pour toi. Aucune attache, aucune amitié, aucun sentiment, juste de la baise, juste de l'attirance, rien de plus. Peut-être qu'en le faisant, tu allais te mettre du monde à dos, peut-être que tu allais perdre tes amis. Mais, c'était ta vie, et tu en faisais ce dont tu en voulais. Ta réputation ? Elle était déjà bien faite et ça depuis un bon moment. « C'est la vie, malheureusement. Il faut bien des hauts et des bas, il faut bien que l'un de nous deux, souffre. » un léger sourire sur tes lèvres, histoire de ne pas dramatiser la chose, même si pourtant ton sourire sonne faux avec ce que tu ressens en ce moment présent. Tu n'as qu'une envie, c'est au final te barrer, comme elle allait le faire. Mais tes jambes ne bougent pas, elles restent plantées là. Tu ne peux pas t'enfuir, tu ne peux pas retourner près de Maëlys. Tu étais coincé ici, et tu ne pouvais pas te barrer d'un coup, sans rien dire. Elle s'approchait de toi, et pourtant tu restais de marbre. Tu ne bougeais pas, tu restais debout, raide comme un piquet. Sa main, s'approche de ton visage, tu ne bouges que des yeux. La suivant du regard, sentant sa main contre ta joue. Sentant sa chaleur contre ton visage, tu as un léger pincement au cœur. Pourtant tu restes le même, tu n'as peut-être plus ce sourire, mais pourtant tu ne l'envoie pas chier. « Tu me manques, mais je ne peux pas Alexys. » soufflais-tu doucement, la regardant droit dans les yeux. Tu ne pouvais pas continuer sur ce chemin, sur cette pente, dangereuse. « Je suis père, Alexys. Mais je n'aime pas la personne, du moins si, mais pas comme si c'était ma femme. Je ne voulais pas d'enfant, et encore moins avec elle... » lançais-tu, sur un ton froid. Tu ne pouvais pas continuer, tu allais être père, tu allais devoir t'occuper de ce môme comme si tu l'avais désiré. Avec ton ancienne meilleure amie, tu ne ressens rien pour elle, et pourtant tu allais certainement devoir te marier avec elle pour cacher tout ça.
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Je crois que c'est la première fois que je me retrouve dans une situation comme celle-ci. Jamais je n'ai du me plier en quatre pour garder un ami près de moi du oins, jamais de cette façon. En fait Tim m'évitait parce qu'il arrivait plus à me regarder comme avant, comme son amie et quelque part, ça me faisait mal. Je n'avais pas envie de le faire souffrir, ça n'a jamais été mon intention. A vrai dire, on a toujours été sur la même longueur d'ondes tous les deux et je pensais que cela allait durer des années encore. Seulement, on avait pris des chemins différents tous les deux. Il me voyait autrement et moi, je me voilais la face, autant face à ses sentiments à mon égard que ceux que j'avais pour Zakhar alors qu'il me détestait et qu'il n'espérait plus rien de nous. Je savais que je devais tourner la page, j'étais persuadée que quelque part, je pouvais être heureuse avec Tim parce que c'était le gars le plus gentil, le plus chiant, têtu, lunatique, possessif et emmerdant que je connaisse mais, j'arrivais pas. J'arrivais pas à me sortir cet Eliot le la tête alors que tout le monde attendait que je le fasse. Je ne veux pas être la personne qui te fait souffrir alors que je tiens à toi... C'était la réalité. Est-ce qu'il y en avait forcément un qui était obligé de souffrir ? Parce que ce n'est pas comme ça que je voulais que ça se passe. Je me suis rapprochée de lui, j'ai passé ma main sur ma joue sans penser aux conséquences ou à l'impact que ce geste pouvait avoir sur lui. Je voulais juste lui prouver que j'étais là, que j'avais besoin de lui et que je serais toujours présente pour lui. Je voulais lui montrer à quel point il m'avait manqué et malgré le fait que je lui manquais aussi apparemment, il ne pouvait rien faire pour arranger les choses alors, j'ai baissé les yeux tout ravalant ma salive. je l'ai écouté parler, d'un air détaché parce que j'arrivais pas à croire qu'il renonçait à notre amitié et finalement, le mot père a attiré mon attention. Tu... Quoi ? J'ai laissé retombé ma main, je l'ai observé d'un air choqué et je me suis mise à rire nerveusement. Qu'est-ce qu'il était en train de raconter comme connerie ? Tu te fous de ma gueule, pas vrai ?! C'était forcément une blague, je ne vois pas les choses autrement.
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Tu en apprends des belles chaque jour et pourtant tu restes toi-même. Pendant ton voyage, tes parents parlaient de divorce, parlaient de vendre la maison pour se séparer une bonne fois pour toutes. Tu allais devoir passer de ta mère à ton père, alors que tu ne les voyais déjà que très peu. Tu avais appris la mort de la sœur de ton meilleur ami, il y a quelques mois... Renversé par une voiture, le conducteur était défoncé et bourré. Ils ne l'ont toujours pas retrouvé, toujours en fuite. Et dire que tu avais déjà couché avec elle, un bon nombre de fois, et que cette fois-ci, tu étais allé la voir, dans un cimetière. Déposant un énorme bouquet pour lui dire une dernière fois au revoir. Tu pensais que ce voyage allait te permettre de tourner la page, mais au final tu n'as fait que découvrir tout ce qu'il s'était passé depuis des années à Édimbourg. Pendant que tu fermais les yeux et te bouchais les oreilles pour ne rien entendre. La tristesse s'était emparée de toi, tu repensais à tellement de choses. Tu n'as pas parlé de cette histoire avec la bombe, même si tes parents avaient lu ce reportage à la télévision. Tu te rappelles du nombre de messages et d'appel qu'ils avaient laissé sur ton portable. Et au final, c'était ton ami qui avait fini par répondre pour expliquer tellement de choses. Sauf l'histoire d'Isadora, et après pendant plus de trois mois, ils n'avaient plus eu de nouvelle. Enfin bref, trop de souvenirs, tu devais faire un choix. Tu devais retourner les voir plus souvent, essayer de les remettre "ensemble" ou de recommencer comme avant, disparaître du jour au lendemain. Trop de choses dans ta tête, mais la pire était celle que tu avais apprise il y a quelques minutes avant son message. Tu devais lui en parler, elle devait être au courant, tu ne voulais pas qu'elle apprenne ça par quelqu'un d'autre, que toi. Elle s'excuse, après tout, elle n'y peut rien. Tu ne peux pas lui en vouloir, légèrement, mais au fond tu t'en veux à toi-même. Sa main touche ta joue, et ça te fait comme un coup d'électricité, un pincement au cœur. C'est le moment que tu balances totalement tout ce que tu as dans la tête. Tu prends une grande inspiration, elle ne te croit pas. Elle espère que tu rigoles et pourtant tu restes de marbre, sérieux, pour une fois. « Non. » soufflais-tu doucement. « Elle est enceinte, réellement. Et je suis le père, car elle n'a pas couché avec un autre homme que moi depuis plusieurs mois. » tu serrais ta mâchoire comme tu ne l'avais jamais faite. Ça te faisait un énorme choc, une énorme boule au ventre.
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