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Fly to India ✖ Je répondais à son sourire à mon tour. Nous étions ensuite beaucoup plus proche l’un de l’autre, lui s’était rapproché de moi, se tournant légèrement vers moi. De mon côté j’avais fait pareil. Il souriait, inconsciemment, j’avais posé tour à tour mes yeux sur ses lèvres avant de replonger mon regard dans le sien. Mes paupières s’étaient closes lorsqu’il m’avait embrassé. Marc venait de me donner une autorisation silencieuse de poursuivre mes taquineries. Avait-il seulement conscience de l’effet qu’il me faisait ? Une douce chaleur s’installait progressivement au creux de mes reins.
Je le regardais reprendre sa place et levai les yeux pour vérifier qu’aucune hôtesse n’arrivait dans le couloir. L’adrénaline mêlée à l’excitation, le désir mêlé à la crainte d’être observé. Quel délicieux mélange. « Jamais de la vie. » lui répondais-je après quelques secondes. Pourquoi lui refuserais-je quoique ce soit ? A lui ? Ce canon !
Silencieusement nous poursuivions nos discrets échanges. J’avais pris la liberté de baisser sa tablette, pour réduire les chances que l’on comprenne ce qui se passe. J’avais également pris la liberté d’ouvrir son pantalon afin de laisser suffisamment de place à ma main pour qu’elle puisse aisément se glisser dans son boxer. Il ne s’en plaignait pas, alors je n’arrêtais pas. Mais que cela pouvait être frustrant de le savoir juste là à côté de moi sans vraiment pouvoir le toucher. D’être forcée de ma contenir. Frustrant oui… mais excitant aussi.
Après le repas, tous commençait à s’assoupir. J’avais démarré un film, mon casque sur mes oreilles, ma tête posée sur l’épaule de Marc. J’interrompais mon film pour repasser sur le menu accueil de l’écran imbriqué dans le siège face au mien. Il nous restait plus de quatre heures de vol. Je tournais ma tête vers le Eliot, mes lèvres frôlaient son oreille. Je murmurais : « J’ai envie de toi Marc. » Clair, court, précis. Pourquoi s’embarrasser de formule de politesse, c’était une réalité et ça durant depuis le décollage.
Je le regardais reprendre sa place et levai les yeux pour vérifier qu’aucune hôtesse n’arrivait dans le couloir. L’adrénaline mêlée à l’excitation, le désir mêlé à la crainte d’être observé. Quel délicieux mélange. « Jamais de la vie. » lui répondais-je après quelques secondes. Pourquoi lui refuserais-je quoique ce soit ? A lui ? Ce canon !
Silencieusement nous poursuivions nos discrets échanges. J’avais pris la liberté de baisser sa tablette, pour réduire les chances que l’on comprenne ce qui se passe. J’avais également pris la liberté d’ouvrir son pantalon afin de laisser suffisamment de place à ma main pour qu’elle puisse aisément se glisser dans son boxer. Il ne s’en plaignait pas, alors je n’arrêtais pas. Mais que cela pouvait être frustrant de le savoir juste là à côté de moi sans vraiment pouvoir le toucher. D’être forcée de ma contenir. Frustrant oui… mais excitant aussi.
Après le repas, tous commençait à s’assoupir. J’avais démarré un film, mon casque sur mes oreilles, ma tête posée sur l’épaule de Marc. J’interrompais mon film pour repasser sur le menu accueil de l’écran imbriqué dans le siège face au mien. Il nous restait plus de quatre heures de vol. Je tournais ma tête vers le Eliot, mes lèvres frôlaient son oreille. Je murmurais : « J’ai envie de toi Marc. » Clair, court, précis. Pourquoi s’embarrasser de formule de politesse, c’était une réalité et ça durant depuis le décollage.
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