Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCharlynn ‡ Une dernière danse.
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Charlynn ‡ Une dernière danse.

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Encore une année de passée, et voici de retour le bal où jolies demoiselles magnifiquement vêtues côtoient les hommes en costume. Malheureusement pour moi, bien que ce genre d’événement me mette en joie, je ne ressentais rien de tel. J'étais juste devenue aigris et vieux en quelques jours rien qu'en repensant à mes interactions avec la jolie Cabot. Mine rien elle avait marqué ma peau au fer rouge et je n'arrivais pas à me débarrasser ses beaux yeux verts de mon esprit. J'étais bloqué, mais bien décidé à changer cette situation à sens unique. Je ne comptais bien sûr pas m'excuser puisqu’à mon humble sens je n'avais absolument rien fait mal, mise à part vouloir l'a protéger. Finalement, c'est seulement au voyage de sa maison que j'avais fini par prendre le large et décompresser vraiment en compagnie d'Isabel. Peut être que finalement j'avais besoin de simplicité, de repos, et je savais que mon hôte de Cabot était la personne parfaite pour un tel moment. Assit seul sur ma chaise, ma cavalière était partie aux toilettes, me laissant seul à la table. Me levant alors, je me décidais à prendre la sortie pour fumer, décompresser, sortir de ce lieu si chaud, voir étouffant pour le grand air. Ce soir, il ne pleuvait pas. L'été venait pas à pas, laissant de plus en plus son ciel bleu et sans nuage faire apparition. Sans parler d'une lune clair et bien distingue incroyablement magnifique. Un tas de jeune fumait déjà dehors, et je comprenais bien vite que je ne pourrais pas être tranquille et surtout seul. Je rebroussais alors chemin en soupirant, n'étant pas dans mon élément et ma bonne humeur habituelle. J'étais fatigué et l'envie de me coucher était bien plus présente que celle de vouloir m'éclater les pieds sur le dancefloor. Finalement c'est à l'étage, sur un balcon que je trouvais la paix que je recherchais tant. Les yeux rivés sur le sol dans le hall en regardant diverses personnes aller et venir pour une raison que j'ignorais. M'asseyant sur le rebord, je sortais mes cigarettes en pensant aux étoiles et à celles que j'avais vu un soir avec Brynn. Ça me rendait presque nostalgique. Ce soir, pendant que tout le monde s'amusait, mon coeur quand à lui souffrait en silence, tentant de penser ses blessures affligeantes.
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Le bal, moment que tu redoutais le plus mais que tu attendais en même temps avec impatience.  Tu avais longuement hésité à y aller, n'étant pas certaine de vraiment t'amuser. Surtout après avoir refusé l'invitation de Charlie, toujours trop fière et bête pour accepter . Tu regrettais presque tes paroles, sachant à quel point tu avais blessé le jeune homme. Mais depuis votre dispute en Egypte tu commençais un peu à remettre votre relation en question. Et puis tu devais bien avouer que jusqu'à présent tu l'avais un peu évité, préférant l'ignorer que devoir avoir à nouveau affaire à lui et de vous redisputer. De toute façon le français semblait bien apprécier ses nouvelles libertés, il faut dire que l'image de lui dansant collé serré à Isabel était marquée au fer rouge dans ton cerveau. Mais bon c'était un peu the soirée de l'année, alors il fallait bien que tu montres tes grosses fesses là bas. Puis il y avait Maxine, ta maxou d'amour toujours là pour toi. Cette fille était la femme de ta vie, ton tout et ta cavalière pour la soirée. Pour l’occasion tu avais revêtu  une magnifique robe dans les tons bleu nuit, au décolleté ravageur, laissant tes cheveux blonds tomber sur tes épaules. Et même si tu avais du mal à l'admettre, tu avais aussi choisi cette robe dans l'espoir de croisé le winthrop. Tu ne savais pas du tout avec qui il venait, et au fond tu ne préfèrais pas savoir de peur d'être blessé. Néanmoins, tu avais fait un effort, dans l'espoir que peut-être les choses s'arrangeraient, ou qu'il verrait ce qu'il avait perdu avec son comportement si sauvage, voir violent.  Bref, attablé à la table familiale, tu souriais bêtement en entendant tous les piques que se lançaient les gens autour de toi. Tu te sentais légèrement perdu, pas vraiment à ta place. Il faut dire que tu ne connaissais pas la moitié des personnes, et malgré qu'elles étaient de bonnes compagnies tu te sentais un peu gêné. T'excusant auprès de Maxine, qui commençait à danser sur what a feeling limite sur la table, tu te dirigeais vers un coin plus tranquille, visitant au passage un peu les lieux. Les lowells avaient vraiment tout donné pour cette soirée, rendant ce lieu magique. Tu te sentais comme une princesse, enfin une princesse ayant besoin de faire pipi. Te dirigeant vers ce que tu pensais être les wcs, tu déboulas sur un balcon. Ton sens de l'orientation inexistant t'avait emmené dehors, à croire qu'il voulait que tu fasses tes besoins dans une plante. Tu juras mentalement. Tu t'apprêtais à repatir quand tu vis que tu n'étais pas seule. Ou du moins que tu avais rejoint quelqu'un, et de dos sa carrure semblait plus que masculine. Bien trop familière. "Charlie?" chuchotas-tu en te rapprochant de lui, de peur de le confondre avec quelqu'un d'autre. Parce qu'à force de penser à lui h24, tu pouvais avoir des hallucinations.
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Coinçant mon dos contre le mur, et m'asseyant sur le rebord en trouvant une position confortable, je faisais attention afin de ne pas tomber. Se retrouver à l'hôpital le soir du bal, c'était pas dans mes projets. Planant au dessus de tout le petit monde en bas, je regardais, observais en silence. Je voyais Royce en compagnie de sa Barbie humaine en pensant au petit être qui était entrain de grandir dans son ventre. Devenir papa à cette âge était un concept pour moi tout bonnement impossible. J'aime pas les enfants, mais j'aimerai en avoir tout de même un jour, mais quand j'aurai la trentaine, au moins ça pour se poser cette fois-ci entièrement. Créer sa vie, trouver un emplois.. Autant de chose qui me semblait si loin pour le moment. Je n'avais que vingt trois ans, et puis financièrement un gamin, ce serait la pire des nouvelles pour ma part. J'allumais alors ma cigarette, tirant une taffe en ne quittant pas des yeux Avery à un bout et Holly à l'autre. J'en soupirai presque de désolation de les voir se déchirer. Et même si je détestais l'autre hypocrite de première, j'avais mal au coeur pour mon meilleur ami. Il ne m'étirait pas de souffrir de la sorte. Laissant mes dents jouer avec ma lèvre inférieur, je réfléchissais tranquillement, ayant trouvé mon coin, ma petite bulle. "Charlie?" Je sursautais, manquant de glisser vers le sol qui m'aurait certainement coûté un fracture d'une côte et plusieurs liaisons sans gravité. J'avais lâché ma cigarette, tombant sur le sol deux mètres plus bas, puisque mes mains s'étaient agrippés rapidement au rebord. Je rouspétais intérieurement sur ce gâchis que je l’ornais de mon balcon avant de m'intéresser à la voix en question. Je tournais donc la tête en croisant alors le regard de Brynn. Electro choc. Je ne pensais pas l'a croiser ce soir et je n'en avais pas envie pour la simple et bonne raison que je ne voulais pas remuer tout mes tracas. Mais le destin en avait décidé autrement puisque c'est bien elle que j'avais en face de moi. Instantanément mon estomac se retournait, j'étais pas bien, pas à mon aise et si je m'écoutais j'aurai prit mes jambes à mon cou pour me tirer d'ici. Descendant du rebord, je ne savais pas quoi lui répondre, surtout après notre dispute. Je détestais l'idée qu'elle puisse me désobéir et faire l'enfant sans regarder les conséquences. Et je n'avais pas oublié ce qu'il s'était passé, non c'était encore au niveau de ma gorge, je ne pouvais pas faire une croix dessus aussi facilement. « Tu m'as fait peur. » Répliquais-je en sortant les premiers mots qui me venaient en tête.
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Tu n'avais pas vraiment fait exprès de venir ici, de tomber sur lui. Tes pieds avaient simplement suivi le mouvement, à croire que tu étais irrésistiblement attiré par lui. Comme si tes jambes savaient que tu le trouverais là, pensif, perdu. Pour la première fois depuis bien longtemps, tu avais l'impression d'être rentré dans son intimité sans vraiment y être autorisé et tu aimais ce sentiment. Tu restais là immobile, attendant que tes yeux s'habituent à cette nouvelle obscurité. Le français était d'une telle beauté que tu en avais le souffle coupé. À force de passer du temps avec lui tu avais presque oublié de le voir comme il était, un bel homme, trop habitué par son physique si avantageux. Mais maintenant que vous aviez tous les deux repris vos distances, tu t’apercevais qu'il t'avait manqué. Terriblement manqué. Tout chez lui, de son odeur à ses yeux avaient créé un petit vide dans ton coeur. Tu n'aimais pas quand vous vous disputiez, et tu aimais encore moins finir sur une note si négative. La vie n'avait rien de facile ou d'agréable. Sans doute les meilleurs moments prenaient ils le pas sur les mauvais avais-tu d'abord pensé, mais dans le fond, est-ce possible d'oublier les douleurs que nous inflige la terrible réalité? Etais-tu capable de le pardonner? Tu avais beau eu retourner cette question dans tous les sens dans ta tête, aucune réponse n'avait surgit. Pourtant malgré tout ce qui c'était passé, tu te mis à rougir comme une petite fille, à croire que c'était la première fois que tu voyais un homme de ta vie. Tu n'arrivais pas à détacher tes yeux de son visage, c'était tout simplement plus fort que toi. "J'ai cru comprendre." pouffas-tu de rire en te rappelant que le jeune homme avait presque failli se vautrer sur le sol. Tu regrettais presque que ce moment n'est pas eu lieu, ça aurait été drôle. "Je ne savais pas que tu fumais."  Ce n'était pas un reproche, simplement un constat. Tu t'approchais un peu plus du français, te retrouvant enfin à sa hauteur. "Je pensais que tu étais avec ta cavalière...." Même si tu t'étais juré de ne pas aborder le sujet c'était plus fort que toi, tu devais savoir. Au fond tu avais toujours pris Charlie pour acquis et tu commençais à comprendre que cela avait été une bien grosse erreur de ta part. Tes yeux pétillants, tu l'observais gardant toujours un espace considérable entre vous deux. Tu ne voulais pas brusquer les choses, ou pire te faire de faux espoirs.
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Posant tout mon poids sur le rebord taillé magnifiquement en marbre, je n'osais pas tout de suite l'a regarder. A quoi bon rêver, me faire espérer une fois encore sur une femme que je ne pourrais avoir ? J'avais décidé d'abandonner. Finalement, je n'avais pas assez de culot et d'audace pour lui courir après. J'avais juste atteint la limite, et ses disputes si prenantes ne m'intéressais pas dans une possible relation. Quand enfin, mes yeux se posèrent sur elle j'en restais ébahit devant autant de beauté présenté d'un coup. Je ne m'attendais pas à la voir dans cette petite tenue bleu nuit, lui allant forcément à la perfection et montrant ô combien pourquoi j'étais tombé aussi vite sous son charme. J'étais de nouveau dans une position vulnérable. Ne sachant que dire face à elle. A son sourire, puis son rire qui dégoulinaient de joie, pétillant, presque tendre. Je ne m'attendais pas à une telle réaction de sa part, à croire que la jolie blonde arrivait beaucoup plus à décoincer sa rancune que moi. J'avais du mal à oublier, et malgré sa tenue et cet événement, si j'étais dans tout mes états, ce n'était pas pour rien mais par sa faute. Et la mienne puisque j'étais faible et incapable de prendre une décision. « Peut être parce qu'on ne se connait pas autant que ça. » Répliquais-je en ne prenant pas de gant, je fumais toujours et depuis un petit moment maintenant. Je cherchais peut être les défauts de cette relation, mais en cet instant, j’essayais juste de me conduire en homme, et de me protéger. Avant que je ne souffre réellement. « J'avais besoin d'être seul.. » Répliquais-je en me rendant compte alors de mon acte égoïste puisque je l'avais laissé surement seule à notre table. Je grimaçais en m'en rendant compte avant de finalement me persuader qu'elle aurait certainement vu une connaissance. En y repensant, je n'avais pas vu son cavalier à Brynn, je me demandais qui cela pouvait être. Alejandro ? Adriel ? Je soupirai fatigué par la jalousie qui montait soudainement en moi. Passe au dessus. C'est ce que je me répétais sans cesse mais ma curiosité était bien plus grande ma propre raison. « Tu n'es pas avec ton cavalier ? » Demandais-je à mon tour.
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 Le jeune homme t'avait terriblement manqué, mais en même temps une part très importante de toi était encore énervé contre lui. Après tout il t'avait tout de même abandonné comme une vieille chaussette lors du voyage en Egypte, sur le bord de la route qui plus est. De ce fait tu exprimais une certaine rancune à l'égard du jeune homme, étroitement mélangé à un certain bonheur de le revoir. Tu ne savais  donc pas quelles attitudes adopter, la joie, l’indifférence ou la colère? Connaissant maintenant bien la personnalité lunatique du jeune homme, tu savais au fond que tu allais surement avoir la chance de ressentir toutes ses émotions si tu continuais cette conversation. Tu devais être un peu maso, parce que tu savais déjà que rien de bon allait sortir de tout ça, mais au fond, tout au fond tu ne pouvais t'empêcher d'espérer. "Ce n'est pas faux." Tu tentais de prendre un air impassible, ne sachant pas quoi répondre d'autre. Dans un sens il avait raison, tu connaissais Charlie sans vraiment le connaitre. Tu avais eu l'opportunité d'aller chez lui, de passer du temps avec le français et malgré tout ça tu ne savais pas grand chose. D'un autre coté tu avais vraiment essayé de te livrer au jeune homme, mais tu avais bien compris que ça n'avait pas été suffisant. Tu soupirais, déjà fatigué par tout ça. Néanmoins, même si c'était quelque peu méchant, tu devais bien avouer que tu étais contente d'apprendre que le jeune homme avait laissé sa cavalière seule. Au fond elle ne devait pas être si intéressante right? Tu te tenais à cette idée comme à une bouée de sauvetage, ne voulant pas concevoir une autre possibilité. "Tu veux toujours être seul?" demandas-tu tu timidement, ne voulant pas non plus lui imposer ta présence. Malgré tous vos problèmes non résolus tu étais beaucoup trop poli, et s'il souhaitait un moment de tranquillité tu étais prête à lui offrir. D'ailleurs quand il demanda où était ton cavalier, tu ne pus t'empêcher de sourire. "Je ne sais pas, j'suis pas sa baby sitter. Elle doit être en train de danser sur la table." Tu haussais les épaules comme si tout ça t'était égal.
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On revenait toujours au point de départ tout les deux. Aucun de nous deux ne pouvaient donner plus qu'il ne pouvait en ce moment même. Une relation certainement voué à l'échec, peut être comme Avery et Holly justement. J'avais la tête ailleurs, incapable de réellement me concentrer sur autre chose que nous deux. J'avais déjà la cervelle corrompue par son élégance et son mauvais caractère. Finalement c'était peut être le soir pour tout mettre en oeuvre, pour finaliser ou bien mettre un point final à tout ça. Boucler la boucle que nous avions commencé, il y a bientôt un an. « Non, reste tu tombe bien, très bien même. » répondis-je à sa question me demandant si je voulais rester seul. De toute manière, j'allais devoir bientôt descendre et rejoindre ma cavalière, après tout c'est à elle que j'ai demandé de m'accompagner et contrairement à Brynn, elle avait accepté avec beaucoup d'humilité. Quand le sujet dérivait intentionnellement sur son cavalier en question, j'étais surpris qu'elle me parle d'une femme. Elle est vraiment venu accompagné ? Et pas d'un homme ? Bon, ça me ferait un ennemie en moins, j'avais déjà l'autre con d'Adriel. « T'es venu avec qui ? » Répliquais-je presque aussitôt face à sa réponse me semblant bien énigmatique. Je voulais savoir pour qui elle m'avait refusé sa main pour l'accompagner ce soir. Par simple curiosité. « Brynn, je crois qu'on devrait arrêter les dégâts tu ne trouve pas. » Répondis-je tout d'abord, commençant lentement à entrer sur le sujet qui m'inquiétais le plus. « Visiblement, on ne se comprend pas. On est je crois, trop différent et j'ai l'impression que.. ça ne marchera jamais. Tu me donne tout ce que tu peux mais ça ne me convient pas, parce que j'ai besoin de plus. Ce n'est pas ta faute, chacun avance à son rythme mais je peux pas t'attendre. Je peux plus. J'ai besoin de tendresse, d'amusement, de te sentir, de te toucher. Mais tu en es incapable pour le moment. D'autant plus qu'on ne fait que de se disputer sans cesse pour un oui ou bien pour un non. Je trouve ça vraiment fatiguant, éreintant même. Je pense qu'il faut qu'on se fasse une raison. » Je déglutissais lentement, me rendant compte de ce que j'étais entrain de faire. Je mettais fin à nos espoirs, nos envies et surtout à nos efforts vain. « Je veux qu'on arrête tout. » Je ne disais pas ses mots de gaieté de coeur mais avant que je ne trempe trop dans cette relation, et que j'en pâtisse, cette solution me semblait l'a plus raisonnable.
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Un grand sourire s'étirait le long de tes lèvres, heureuse de finalement tomber sur le français. Il faut dire que tu avais passé tout le début de cette soirée à le chercher du regard, à tenter de voir avec qui il était et s'il passait du bon temps. C'était étrange car en faisant ça tu souhaitais tout simplement ne serait ce que pour quelques secondes partager un moment de sa vie. Tu en avais marre des cries et des larmes qui alimentaient toujours votre relation quelque peu malsaine. Alors quand il te répondit que ça tombait bien que tu  trouvais ici à ses cotés, tu ne pus entrevoir que de l'espoir. Même si au fond tu savais que ni l'un ni l'autre n'allait s'excuser pour son comportement, beaucoup trop fiers et têtus. Au final vous vous étiez bien trouvé dans un sens, comme quoi il n'y avait pas que les opposés qui s'attiraient. "Je suis venu avec la femme de ma vie, je t'avais bien dit que j'étais lesbienne non? C'est Maxine." répondis-tu les yeux pétillants, toujours aussi puérile quand il s'agissait de le taquiner. A l'instant même ou cette sensation de confiance montait en toi, cette dernière se brisa en mille morceaux. Ton coeur s’emballa, battant encore plus fort qu'il y a quelques secondes, et cette fois, c'était sous l'effet de la crainte, et non du l'espoir. Dans un certain sens, tu ne voulais pas affront le regard de Charlie, et faire face à la vérité. Tu le toisais quelques secondes, cherchant quelques choses à dire, cherchant quelques choses à faire. Tu ne trouvais rien, parce qu'il n'y avait rien. Ton regard triste se glissait doucement vers l'homme avec lequel tu t'étais le plus confié, ouverte. BOUM. BOUM. BOUM. Les bruits de ton coeur étaient insupportables, s'intensifiant. Tu avais envie de partir en courant. Une envie de vomir était également présente, là, au creux de ton estomac, qui avait fait un bond énorme à la découverte que le français ne souhaitait plus de toi. Tu avais encore tout gâché, tu gâchais toujours tout. Pourquoi un homme voudrait-il de toi de toute manière? Les larmes montaient à tes yeux et tu les contenais, respirant profondément, tentant de garder le peu de dignité qui te restait. Chacun de ses mots te faisaient mal, te blessant au plus profond de ton âme. "Je...Je..Je pense que tu as tort. Je veux dire okay on se dispute tout le temps mais c'est un peu une forme de passion quand tu réfléchis bien." commençais-tu à plaider mollement. Pour ce qui était de la tendresse tu allais faire des efforts, tu pouvais lui faire des câlins ou même l'embrasser s'il le voulait. Tu te sentais tellement vide, et seule que les larmes roulaient le long de tes joues. "Ne me laisse pas." chuchotas tu dans un souffle en te rapprochant du jeune homme, lui attrapant la main.
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J'étais mal à l'aise. Dans position délicate. J'avais l'impression de rompre, de mettre un terme à une relation amoureuse qui n'avait pourtant jamais existé. Mais qui avait pourtant le don de me mettre plus mal que je l'aurais cru. Depuis le moment où j'avais commencé à lui courir après sur la plage au Summer Camp jusqu'à aujourd'hui, je m'étais attaché à elle, bien plus que ce que j'avais prévu. Je ne mentirais pas si je disais que je tombais peu à peu amoureux d'elle, puisque mine de rien, à part son caractère c'est une femme tout bonnement incroyable et qui se respecte. Ce que je n'avais pas vu depuis un petit moment, peut être la première depuis mon arrivé ici ? Mais nous arrivions à un point où j'attendais de prendre mon avion dans un port, nous n'étions pas sur la même longueur d'onde et avant même que ça nous déchire d'avantage le coeur, je voulais couper court. En apprenant que Maxine était la cavalière de la jeune femme, j'étais quelque peu soulagé de savoir que je n'avais pas de concurrent directe. Un soulagement bien vite balayé par ma consternation devant la réaction inattendu de la jeune femme. J'avais fini par croire après notre dispute qu'elle en avait rien à faire de moi mais en voyant son visage, c'était une toute autre surprise que je voyais. J'étais déstabilisé mais je ne comptais pas revenir sur ma décision qui me semblait l'a plus juste. Je ne lui annonçais pas ça pour qu'elle change d'un coup, qu'elle me montre un soudain intérêt et qu'elle se force, non mon but était tout autre. Ne pas se blesser, et passer à autre chose. Je ne pensais pas abandonner un jour une femme, mais avec elle tout pouvait arriver. Ses yeux brillaient face à la lune bien présente ce soir-là. Je me mordais la jour intérieur, voulant garder toutes expression de visage dans la solitude que je trouverai une fois dans ma chambre. Pourtant mon regard franc et déterminé cherchait son regard, ne trouvant pas d'autre chose à faire que de me raccrocher à cet instant à elle. Ses mots résonnant à ms oreilles comme à une bouée de sauvetage ne suffisait pas à me faire changer d'avis, j'avais pris ma décision.C'était persuadé que ça résoudrait les problèmes de coeur que j'avais l'a concernant. Je fuyais. Comme un lâche. Frottant ma barbe de trois jours machinalement, je ne savais plus où me mettre et d'autant plus quand elle me demandait de ne pas l'a laisser. Je fermais les yeux, luttant contre cette sensation succulente et enivrante de l'a prendre dans mes bras. J'en avais pourtant tellement envie. Je soupirai, me forçant à rester sur ce que je pensais, ne surtout pas céder face à elle. « Brynn.. rend pas les choses plus difficile qu'elles ne le sont.. » Je rejetais doucement la chaleur et la douceur de sa main, préférant reculer et ainsi nous éloigner.
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Tu n'avais pas pu retenir tes larmes, elles s'étaient échappées malgré toi, face à cette réalité que tu ne parvenais plus à affronter. Tu ne voulais pas renoncer à lui. Non. Après tout ce que tu avais fait pour lui pour tenter dans un sens de lui plaire, tu en étais tout bonnement incapable. Ton coeur s'accélérait dans ta poitrine, rendant ton souffle saccadé. Ce sentiment de rejet te faisait tellement mal que tu avais des difficultés à respirer. Une petite voix dans ta tête ne pouvait s'empêcher de demander pourquoi? pourquoi maintenant? Pourtant le français t'avait toujours mis en garde, et au fond tu avais toujours su qu'il ne t'attendrait pas indéfiniment. Alors pourquoi ses paroles te blessaient autant? Tu avais beau eu lui répéter que tu ne savais pas ce que tu ressentais à son égard,  il y avait que l'amour pour faire souffrir une personne ainsi. Cette pensée te fit rire alors que les larmes continuaient à ruisseler le long de ton visage. Impossible. Jamais. Tu préfèrais balayer cette pensée de ta tête, avant de t'y accrocher niaisement. Comment tu pouvais être amoureuse de Charlie Wilcox, nan mais sérieusement ça en était à mourir de rire.  Le pauvre français devait vraiment te prendre pour une folle, n'étant surement pas conscient de ton conflit intérieur. Pas étonnant qu'il souhaitait mettre fin à votre "relation", même si ça n'en avait jamais été une. D'un revers de la main, tu balayais les pleures qui recouvraient tes joues, tu les faisais disparaître pour qu'il n'en reste aucune trace. Tu pris une inspiration profonde, relevant pour la première fois ton regard dans sa direction. Tu devais être forte. Au final cette décision devait être la plus décisive. Il n'avait pas tort, ça n'aurait jamais fonctionné entre vous deux. Tu tentais de te rattacher à ses paroles, comme pour te convaincre qu'il avait raison. "Très bien je ne dis plus rien." répondis-tu sur un ton qui se voulait froid et distant. Inconsciemment, tu t'étais mise à tirer sur ta robe, tentant d'occuper tes dix doigts. Ce moment était tellement humiliant, que tu avais bien du mal à ne pas partir en courant. Pour la première fois de ta vie un homme te rejetait. "Je devrais peut-être y aller."  Tu détournais le regard incapable de regarder cet inconnu en face. À quoi bon rester? Le jeune homme ne voulait définitivement plus de toi.
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