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Waya ✗ need to breath

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Zoya donna un petit coup dans l'épaule de Warren quand il la menaça de la dénoncer à Viktor et fit semblant de le fusiller du regard. T'façon elle savait très bien qu'il oserait pas lui pourrir davantage sa soirée. Puis il lui demanda si elle le trouvait à son goût avec son sourire de petit garçon devant un camion de pompier, ce à quoi Zoya répondit : " N'importe quoi, t'es pas du tout mon genre! J'tape dans la catégorie plus de 60 ans moi, j'aime les hommes mûrs. " Elle lui tira la langue, taquine, puis l'écouta dire à qui il avait mit son poing dans la figure. Heureusement, ce n'était personne que Zoya connaissait. Moqueuse, elle répondit : " Oulaaaaa, c'est un gros malade de parler comme ça de ta cravate. " Pour ne pas qu'il lui en veuille, elle lui déposa un petit bisou sur la joue. Mais quand il parla de mettre son poing dans la figure à Alexander, elle se crispa davantage : " T'es sûr que c'est nécessaire Warren? Parce que moi j'crois que c'est juste une grosse connerie.. " Bon en même temps, Zoya qui faisait la moral pour ne pas mettre un poing dans la gueule à quelqu'un, c'était pas très crédible. Mais elle n'avait aucune envie de prendre partie dans ce combat bourré de sentiments et de testostérone.
Elle profita du changement de sujet pour le distraire de ses idées noires. Ça avait vraiment l'air sympa cette idée de Summer Camp, voilà qui pourrait occuper une partie de son été : " Ça a l'air cool, j'vais me renseigner. " Puis elle se reprit son "soit pas jaloux" en plein dans les dents, ce qui la fit rire. Loin d'elle l'idée d'être jalouse.
Puis quand vint le sujet de la famille, Warren eut soudain l'air triste. Zoya s'en voulut déjà quand il lui dit qu'il ne voulait pas l'ennuyer avec ses histoires, mais il continua. Quand il eut finit de raconter son histoire, elle tira sur sa cigarette, laissant le silence s'installer un instant puis répondit : " Ça n'a rien d'ennuyeux, mais c'est triste. En tout cas tu peux être fier d'être devenu celui que tu es avec un passé comme celui la. " Elle fit à nouveau une petite pause puis demanda : " Tu veux me parler de Lydia? J'aurais aimé la connaitre.. Si c'est trop douloureux ne dit rien. "
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Immédiatement, comme un réflexe, tu fais la moue triste du mec qui n'aura pas la chance de repartir avec la plus belle fille de la soirée, à l'entente de son faux - tu l'espères, aveux. "Tu préfères les sugar daddy, vraiment? Ew, l'image que j'ai.. c'est pas du tout joli." Et tu rigoles. Et elle ris à son tour, lorsque tu lui évoques la raison pour laquelle tu as frappé ce pauvre type. Ouais, ce soir.. t'y allais un peu fort, par moments. Mais c'était ton côté impulsif qui ressortait. Tu voulais pas lui faire peur, quand même, mais... tu ne pouvais pas empêcher cette colère si vive, si puissante de grimper en toi telle une flèche. Et elle t'engueule. Enfin non, elle te fait la morale. Par rapport à Alexander. Tu secoues vivement la tête en haussant les épaules. Non, non, non. Tu ne délaisserais pas ce plan de lui foutre ton poing au visage. Quoi qu'il t'en coûte. "Un jour, j'irai m'excuser pour le mec de la cravate. Mais Alexander.. si j'pouvais le taper jusqu'à lui arracher les couilles, j'le ferais, Zoya." Tu maugrées entre tes dents, attentif à une apparition du mec en question. Tu n'attendais que ça : qu'il se pointe pour que tu lui sautes à la gorge. [...] Vous êtes dehors, et le monde est beau. Bien plus qu'à l'intérieur. Enfin, les décorations sont magiques, mais tu n'as pas pris le temps de les admirer. De un, c'est pas trop ton truc. De deux, t'es pas dans un état pour admirer la beauté des choses, ce soir. Sauf celle de ta cavalière du moment. "J'espère que tu viendras." Et tu lui dis ça avec la plus grande sincérité du monde. Vraiment. Si t'y vas, t'espères bien la croiser. C'est une fille vraiment sympa et marrante, que tu aimerais connaître plus et... elle est sublime, qui ne l'aurait pas remarqué? Un fou. Toute votre conversation, tantôt amusante et pleine de piques provocatrices, déboule vers de tristes événements passés de ta pathétique histoire. Tu hausses les épaules en riant jaune. "Celui que je suis devenu? Tu vois le même homme que moi? Quand je me regarde dans le miroir, je vois un homme qui a foutu sa vie en l'air pour une femme qui ne voulait même pas de lui. Un homme pathétique qui n'a plus aucun rêve et qui sait plus ce qu'il va réussir un jour." Tu n'étais pas tellement du genre à te dénigrer. Sauf... depuis ton divorce. Et depuis la première trahison d'Olive. Là, tu ne pouvais plus te regarder en face et voir un bel homme, un vrai homme, un homme drôle, sympathique, gentleman. Tu ne voyais qu'un connard qui avait échoué dans tout. Ça te fait tout drôle que Zoya s'intéresse à ta défunte soeur. Et pourtant, malgré la tristesse de la réalité, la demoiselle parvient à faire renaître en toi une certaine lueur de bonheur. Rien que de parler de ta soeur, malgré toutes les difficultés que tu as eu à traverser sa mort, te rend plus heureux. "Oh Lydia.. Lydia, c'était mon petit rayon de soleil. J'l'ai protégée des coups de mon père, car on ne peut même pas une seconde se permettre de penser lever la main sur un ange pareil. Elle m'aimait. Et.. j'l'aimais tellement. J'aurais tout fait pour elle, même à lui donner mon coeur, si c'est ce dont elle avait eu besoin pour se guérir de son cancer. Mais non, il était incurable. Et j'm'en veux. J'm'en suis toujours voulu.. Pourquoi est-ce que ça n'a pas été moi? Pourquoi c'est pas elle qui se tient debout, aujourd'hui? Pourquoi c'est pas moi qui se retrouver en poussière, dans un p'tit bocal exposé au salon funéraire depuis des années? Elle était tellement intelligente. Elle aurait brisé des coeurs, c'est moi qui t'le dit. Oh, elle était belle. J'crois que j'l'ai un peu trop surprotégée.. Mais tu sais, c'est ça le rôle d'un grand frère, non? De veiller sur sa p'tite soeur? J'crois que..." Tu prends une pause en relevant la tête vers Zoya, pour plonger ton regard mouillé par les larmes qui perlent. "J'crois qu'elle veille sur moi, là, tout l'temps. C'est mon p'tit ange, et ce l'sera toujours." Et tu te tires une latte, pour t'empêcher d'éclater en sanglots devant elle. Parce que quand tu parlais de Lydia, tu devenais toujours un peu trop... émotif.
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Alexander semblait bien parti pour passer à la casserole lui aussi, et bien que ce soit son ami, elle devait avouer que sur ce coup là il l'aurait bien mérité. Zoya ne voulut pas insister pour qu'il n'aille pas le frapper, elle ne voulait pas le braquer. Mais elle aurait préféré qu'il ait été là pour rendre les coups que Calypso lui avait donné, là ça aurait été utile. Cela fit penser à la jeune russe qu'elle devait révéler son passé à Warren avant que quelqu'un d'autre ne s'en charge puisqu'elle l'avait clamé haut et fort à sa table plus tôt dans la soirée : " Ouais j'connais cette sensation .. " Elle finirai par tuer sa soeur à ce rythme là.
Lorsque plus tard, Warren formula son souhait qu'elle participe au Summer Camp, elle le regarda droit dans les yeux et lui présenta son plus beau sourire. Elle commençait réellement à s'attacher à ce gars un peu maltraité par l'amour, un peu maltraité par la vie. Puis il lui demanda si elle voyait le même homme que lui voyait quand il se regardait dans la glace et elle répondit : " C'est ton miroir qui doit avoir un problème. Moi quand je te vois, je vois un gars qui a eu le courage de faire confiance, de donner son coeur alors que son passé l'avait déjà ballotté dans tous les sens. " Elle leva son regard vers le ciel et ajouta : " Moi je sais pas si j'aurais ton courage un jour.. " Et pourtant elle en avait envie, de trouver la force de faire confiance. Elle voulait avoir des enfants et devenir la meilleure mère du monde pour se détacher le plus possible de sa propre génitrice. Elle voulait aussi être heureuse et partager ce bonheur avec quelqu'un, mais pour l'instant tout cela lui paraissait improbable tant elle avait du mal à se laisser aller à aimer et à prendre des engagements. Lorsque Warren parla de sa soeur, Zoya ressentit qu'il était bouleversé par les émotions, qu'elle avait provoqué une vague incontrôlable de souvenirs et d'amour, mais elle voyait que d'un côté cela lui faisait du bien d'en parler. Comme pour l'apaiser, la russe posa sa tête sur son épaule et lui souffla : " J'aurais adoré avoir une soeur comme ça.. " Elle resta silencieuse le moment que Warren reprenne ses esprits, puis elle lui souffla : " Désolée de changer de sujet comme ça mais il faut que je te dise un truc.. " Elle releva sa tête de son épaule mais n'osa pas affronter son regard : " J'ai été obligé de révéler un élément de ma vie que j'aurais préféré garder secret ce soir.. Mais ma soeur m'a poussée à bout et comme c'était la seule chose qui lui donnait du pouvoir sur moi, j'ai décidé de le lui retirer.. Mais j'ai peur de la réaction des gens.. " Elle inspira profondément pour se donner du courage, effrayée que Warren la laisse tomber pour une enfance qu'elle n'avait pas choisit, puis elle se lança : " J'ai été abandonnée à la naissance, ma mère biologique était une prostituée incapable de m'élever et mon père a fuit ses responsabilités lui aussi.. J'ai été élevée par mon oncle qui fait partie de la mafia russe.. "
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C'est ton miroir qui doit avoir un problème. Moi quand je te vois, je vois un gars qui a eu le courage de faire confiance, de donner son coeur alors que son passé l'avait déjà ballotté dans tous les sens. Quoi? Tu pivotes la tête vers elle, ta cigarette en bouche. Tu expires la fumée, touché par ses agréables paroles. Oh. Moi je sais pas si j'aurais ton courage un jour.. Tu souris, évidemment. Puis, lâchant ta cigarette presque terminée pour qu'elle tombe au sol, tu l'écrase. Généralement, tu foutais ta clope dans un truc prévu pour ça, mais là, y'en avait pas. Tu entoures la demoiselle d'un bras, la serrant contre toi. "Le courage, ça se trouve. J'sais que dans la p'tite femme que tu es, y'a un courage énorme." Tu ne la connais pas tant que ça encore, mais... ça se voit, ça se sent. Elle dégage une énergie que t'apprécie véritablement, qui est agréable. Sa tête posée sur ton épaule, elle te souffle qu'elle aurait bien aimé avoir une soeur que Lydia. Ça te fait sourire de bonheur, tu sens un rayon de soleil exploser dans tout ton corps. Lydia méritait d'être aimée, même si elle n'était plus là. "Si elle avait été encore de ce monde, je te l'aurais présentée." Parce que Lydia était géniale. Parce que Zoya aussi. Et après le silence, des aveux. Enfin, c'est ce qu'il semble être de ce que Zoya te dit, l'air stressée, paniquée à l'idée de devoir te dire quelque chose. Tu pivotes la tête vers elle, l'air sérieux, attentif. Tu la laisses faire, allant du bout de son idée jusqu'à l'autre. Tu ne veux pas la déranger, ni la brusquer, car ça te semble important, vital qu'elle te dise ce qu'elle a sur le coeur. Mais qu'y a-t-il donc? Et tout s'enchaîne. De courts mais clairs aveux sur son enfance. Mère prostituée, père ignoble, abandonnée, oncle mafieux... Ouah. Tu regardes Zoya, étonné, la bouche ouverte, ne sachant pas quoi répondre. La mafia... c'est pas rien. C'est... Ça implique quoi? Des dangers, ça c'est évident. Des dangers, de la drogue, des armes, des malheurs... Tu avales ta salive, regrettant presque d'avoir écrasé ta cigarette. "Et... et toi aussi, tu fais partie de la mafia? Ou bien... ouah, Zoya.. C'est pas rien. C'est..." Non, c'était pas rien, et t'étais sur le cul, c'est vrai. Comment faire autrement?
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Du courage. Elle en avait quand il s'agissait de se battre, elle en avait quand il s'agissait de sauter à l'élastique, mais alors quand des sentiments rentraient en jeu, elle devenait la plus froussarde de toutes. Cependant, entendre Warren lui dire qu'il suffisait de le trouver, son courage, l'apaisa. Elle savait qu'elle le trouverait un jour, il suffisait de trouver la bonne personne, celle qui ne lui donnerait aucune raison d'être méfiante et qui la comblerait en un seul sourire. Warren lui dit ensuite que si Lydia était encore de ce monde, il lui aurait présentait, ce qui toucha profondément la russe. A part en ce qui concernait Calypso qu'elle détestait, elle était très portée sur la famille. Elle espérait pouvoir rattraper son passé de bébé abandonné en construisant elle-même une grande famille, même si ce n'était pas pour tout de suite.
Quand passa le moment des aveux, Warren tourna la tête vers Zoya, tout ouïe. Son regard semblait brûler le visage de la jeune femme qui ne savait plus où se mettre. Quand elle eut enfin finit de dévoiler la vérité, elle osa enfin affronter le regard de son ami qui la dévisageait, bouche bée. A sa question, elle se précipita pour répondre : " Non bien sûr que non je n'ai jamais prit part à ses actions, je me suis contentée de les .. ignorer. De faire avec. J'avais pas le choix, c'était mon père, ma seule famille, et je l'aimais d'une manière incommensurable pour ça. Mis à part ses activités, c'est vraiment un père formidable qui m'a apprit énormément de choses et m'a apporté son amour et sa protection. Je demandais rien de plus.. " Elle lui sourit pâlement et détourna le regard. C'était dur pour elle de se dévoiler ainsi car les activités de son père avait toujours fait partie d'elle, depuis toute petite. Cela faisait partie de son quotidien au point qu'elle en avait perdu la mesure de sa gravité. Ça faisait mal de sentir le regard des gens qui voyaient son père comme un monstre alors que pour elle ce n'était que son petit papa.. " Mais tu peux comprendre ça toi, non? Toi aussi t'as perdu tes parents, j'veux dire, tu devrais être à même de comprendre.. "
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Tu ne croyais certainement pas apprendre une nouvelle de la sorte. Une nouvelle qui t'étonnerait autant qu'elle te choquerait. Zoya, de la mafia? Et genre, si tu faisais un faux pas, elle te tuerait, ou un truc du genre? Bon, avec l'alcool et le joint que t'as pris avant d'arriver au bal, ton imagination est plutôt débordante, mais... avec une telle annonce, c'est un peu difficile de faire autrement. Zoya se dépêche pour calmer tes peurs, tes mauvaises conclusions, celles que ton cerveau déduit lui-même avant même de tout savoir. Tu as un peu de mal à concevoir qu'un homme mafieux puisse être porté sur la famille, qu'il éduque une petite fille comme Zoya et l'intègre dans le monde des grands de la sorte, alors que tu n'avais dans l'idée qu'il l'ait plutôt entraînée à dealer, à maîtriser les armes, et tout.. Comme t'as dit tout à l'heure : ton imagination est quelque peu débordante, dans l'instant.. Mais tu peux comprendre ça toi, non? Toi aussi t'as perdu tes parents, j'veux dire, tu devrais être à même de comprendre.. Tu restes bouche bée. Elle semble avoir peur de ton opinion, de ton avis sur la question. C'est bien malgré toi que tu réagis de cette façon si.. choquée. Mais ce n'est pas en mal. Il suffit d'avaler la nouvelle et de l'assimiler, ça devrait passer, non? Ça ne change pas la fille formidable qu'elle est, pas vrai? Tu hoches la tête de haut en bas, lentement. "Je... oui, je comprends. Mais je ne suis pas tombée sur des familles d'accueil bien mieux que mes parents biologiques, faut dire. J'veux dire, j'ai jamais reçu d'amour paternel et maternel.. Et.. ça m'étonne, avec c'que tu me dis que.. Qu'un homme de la mafia ait pu élever un enfant.. J'connais pas ça, moi.", souffles-tu finalement dans un minuscule sourire. "Mais... avec la personne que tu m'sembles être aujourd'hui, en tant que femme, je dois dire que ton père.. ça ne pas être un homme si mauvais que ça. Il a fait du beau boulot.", finis-tu par dire, la serrant de nouveau contre toi, ton bras entourant ses épaules.
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Zoya voyait bien que Warren était perturbé son annonce, en même temps, qui ne le serait pas? Elle s'était tellement habituée à son statut en Russie que la réaction des étudiants d'Harvard lui rappelait à quel point il était terrifiant. " Oui je sais, c'est surprenant, je le vois bien dans le regard des gens que ça leur parait improbable qu'un mafieux ait put m'élever avec autant d'amour, je le vois, le pitié qui brille dans leurs yeux.. Mais je suis pas à plaindre tu sais, il n'a jamais levé la main sur moi et bien que des fois j'ai.. vu des choses que je n'aurais sans doute jamais dus voir, il a toujours fait en sorte de me protéger un maximum de lui, de ce qu'il était. J'ai vécu la plupart du temps en internat tu sais.. Et heureusement d'ailleurs. " Elle lui sourit, un peu secouée par toutes ces révélations, et lorsqu'il la serra dans ses bras, elle ressentit un grand soulagement. Il la comprenait. Ou du moins il tentait de la comprendre et ne s'arrêtait pas aux préjugés qu'il pouvait avoir eu de prime abord. Se sentant pratiquement s'assoupir, elle sursauta et se tourna vers Warren pour lui dire : " Je devrais allé rejoindre mon cavalier ! Merci beaucoup pour ce moment, c'était cool ! " Elle lui sourit, lui déposa un bisou sur la joue tout doux et partit, apaisée.
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