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livraison de douceur - marlen

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c’est un peu compliqué comme situation parce que t’essayes tant bien que mal d’avoir un conversation amusante, agréable, t’peux pas t’empêcher de lui dire combien t’as eu peur. warren c’était un peu ton toi d’y quelques temps et t’aurais tellement pas supporté qu’il finisse dans le coma que tu l’avais été. mais quand tu l’entends, tu souris, parce qu’il te fait rire. malgré tout il te fait toujours aussi rire, même si il traverse une période pas facile et tu te dis que c’est déjà un bon début, qu’il pourrait se morfondre, s’enfermer et ne voir personne, mais non, puis de toute façon, tu lui laisses pas vraiment le choix. « ah j’ignorais ! et j’peux savoir qui a noté mon nom tout en haut ? » dis-tu en haussant un sourcil en riant un peu. tu grignotes un peu ta pizza en l’entendant limite t’engueuler tu fais la moue « faut croire qu’ils sont vraiment aveugles… ou alors c’est un truc que tu dis pour m’remonter le moral » tu rigolais un peu, t’espérais que ce ne soit pas la deuxième affirmation la bonne, ça serait triste. et quand tu l’entends répliquer sur sa bière tu ris « excuse-moi monsieur l’homme viril, j’voulais juste t’aider » t’affiches une petite tête d’ange sur ton visage. puis tu décapsule ta bière avec les dents, en deux trois temps mouvements « une affaire d’homme hein ? » tu continues de rire, et là tu vois son visage qui s’éteint un peu alors t’arrêtes de rire aussitôt et tu te lèves, tu l’attrapes dans tes bras parce que tu supportes pas de le voir triste, puis t’embrasses sa tête, et tu le serres fort, fort, fort contre toi « je sais.. c’est dur … ça va aller d’accord, pas tout de suite, mais à force tu verras. » puis tu t’mets en face de lui en souriant « vraiment fais-moi confiance, ça va aller » et pour le coup j’savais vraiment de quoi j’parlais ayant vécu la même chose quelques mois avant ça puis t'embrasses sa joue et tu t'éloignes un peu retournant à ta place.
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« ah j’ignorais ! et j’peux savoir qui a noté mon nom tout en haut ? » Tu souris en coin, satisfait. Il ne te faut pas de temps pour répondre, du tac au tac : "Tu n't'en rappelles pas? C'était toi!" Tu lui souris, amusé de la discussion que vous avez, rassuré par sa présence. Tu n'en n'as pas besoin de beaucoup pour être heureux dans l'instant. Tu vis dans l'instant présent, bien que tu as toujours aimé savoir si le lendemain serait encore là, quand tu te réveillerais, au petit matin. Et depuis qu'Olive était partie, tu avais peur que le lendemain n'existe plus d'un moment à l'autre. « faut croire qu’ils sont vraiment aveugles… ou alors c’est un truc que tu dis pour m’remonter le moral » Secouant la tête, tu te penches légèrement au-dessus de la table, après qu'elle soit revenue et que tu lui aies piqué la bière des mains. "J'dis pas ça pour te remonter le moral. Tu l'vois pas dans le miroir, que t'es si belle que moi j'le vois?" C'est vrai, qu'elle l'est. Et non, tu ne lui dis pas ça que pour lui faire plaisir. Faut qu'elle le sache, c'est tout. « une affaire d’homme hein ? » T'es étonné de la voir ouvrir sa bière avec ses dents, alors que tu l'avais fait avec tes mains. Tu lui fais un clin d'oeil. "Tiens, tiens, tu me surprendras toujours..", dis-tu en riant. Mais ton rire se dissipe bien vite pour laisser place à cette souffrance qui te serre le ventre, l'estomac, la tête. Marloes s'approche de toi pour te serrer dans ses bras. Tu la laisses faire, t'en as besoin, mine de rien. Et ça t'fait du bien. « je sais.. c’est dur … ça va aller d’accord, pas tout de suite, mais à force tu verras. » C'est là qu'tu dis avec difficulté, une voix étouffée et douloureuse : "Mais c'est elle, que j'aime. J'pourrais tout péter, tellement... tellement j'y comprends rien." Tu te calmes, prenant de grandes respiration, pour retrouver un minimum de dignité. "J'te fais confiance. C'est à elle que j'fais plus confiance...", dis-tu tristement. "Allez, mange. J'veux pas te couper l'appétit avec mes bêtises... Tu dois être en forme pour le bal." Même si le bal, c'était que dans quelques temps, en fait.
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tu fronces les sourcils puis tu te dis qu’en fait il raconte juste n’importe quoi « ah ce truc que tu m’as fait écrire alors que j’étais dans un état second, c’était donc ça » dis-tu en riant, toi aussi tu réponds du tac-au-tac. tu sais qu’il a besoin que quelqu’un soit là, alors tu l’occupes, tu lui parles, tu veux pas qu’il se morfonde, t’essaye de le faire rire, même si c’est pas tout le temps facile, au moins un peu. qu’il se rende compte que la vie n’est pas juste triste, même dans les pires moments. puis quand il te complimente tu sens le gros rouge qui monte aux joues, t’es méga gênée, t’acceptes pas trop les compliments, t’as pas l’habitude de ça en fait, ça te mets mal à l’aise. « hein .. ? euh ? t’en fais pas un peu trop là ? » dis-tu en te mordillant la lèvre inférieure « .. mais … merci, c’est gentil .. » ok faut que tu te reprennes parce que là t’es out of space. tu bois un peu de ta bière au goulot « oui paraît que j’suis surprenante comme fille » tu riais un peu, t’étais loin d’être une midinette, pourtant tu faisais quand même attention à ton apparence, puis t’avais ce petit truc qui te rendais toute mignonne, cette douceur et cette naïveté qui cassait les codes du garçon manqué qui ouvre sa bière avec les dents.
ça te fais de la peine de le voir comme ça, mais faut pas que tu lui montres alors après que tu l’ais serré bien fort contre toi, tu lui souris un peu, un sourire doux qui réchauffe le cœur. « je sais.. je sais c’que c’est.. mais je crois que même si t’essayais de comprendre t’y arriverais pas » parce que les sentiments rendait la chose subjective, on se dit qu’on l’aime, que l’autre aime aussi, que rien ne vous sépareras. pourtant l’autre faute et c’est la fin. tu l’avais vécu et t’avais souffert, comme warren souffrait actuellement et tu te détestait de ne pouvoir rien faire. parce que le serrer dans tes bras n’allaient pas réparer son cœur. il faudrait bien plus de temps pour ça. « je sais, mais.. tu vas finir par, pas l’oublier mais … vivre avec ça, puis ça te feras plus rien, au pire des cas tu deviendras un cœur de pierre, au meilleur des cas tu laisseras une fille te réparer le cœur et les sentiments. » ça te faisais tant de peine que t’aurais aimé avoir une baguette magique, être un fée pour tout recollé les morceaux de cœurs éparpillés. t’hochais la tête quand il te demandait de manger, t’étais un peu inquiète pour lui alors ça te coupais presque l’appétit mais l’odeur qui te chatouillais les narines et l’fait qu’il te demande de manger pour que t’ai des forces pour le bal, tu voulais lui faire plaisir « oui oui regarde je mange » dis-tu en croquant un bout de pizza, puis tu le regardes « mais toi aussi, faut ! » et lui encore plus que moi puisqu'il sortait de l'hôpital.
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"j'aurais jaaaamais profité de toi de la sorte!" Tu lui fais un clin d'oeil. La petite, tu l'aimes beaucoup. Faut croire que c'est une relation bien spéciale que tu entretiens avec elle, et tu ne l'échangerais pour rien au monde. Encore moins dans le moment, elle était bien trop précieuse à tes yeux pour cela. « hein .. ? euh ? t’en fais pas un peu trop là ? » Tu secoues la tête, te plaisant à observer avec intérêt le rouge qui lui monte aux joues. Un plaisir pour les yeux. « .. mais … merci, c’est gentil .. » Tu bois ta bière sans jamais la lâcher du regard. Ce nouveau silence t'es trop précieux et t'amuse à la fois. Tu finis pourtant par le rompre : "Arrête de te mordre la lèvre, si tu savais comment ça m'fait fondre devant une fille." Tu dis ça à la blague, pour la taquiner, mais c'est vrai en soit. « oui paraît que j’suis surprenante comme fille » Tu hoches la tête en déposant presque trop bruyamment ta bière sur la table, ça fait même lever les ustensiles qui s'trouvent de chaque côté de ton assiette. Tu ne les utilises pourtant pas, préférant déguster ta pizza avec les doigts. "Ça, c'vrai!" Puis, tu ris de bon coeur. Et avec son bon coeur, Marloes essaie de te réconforter du mieux que tu peux. Tu te crois pathétique, minable, insupportable dans ta peine et ta colère, dans ton incompréhension la plus totale. Tu souffres tellement, que ça en gêne les autres. Tu ne voudrais pas perdre marloes rien que parce que tu as du mal à vivre avec ta peine d'amour. "J'pourrai opter pour le coeur de pierre... c'est plus facile à gérer que de retomber amoureux d'une femme.. j'en serais pas capable.", souffles-tu, l'impression d'être épuisé d'être dans ce lamentable état. Tu lui souris tristement, en la regardant manger. Tu as perdu tout appétit, en fait. "Non, j'ai terminé. Ça devrait aller!" Tu pousses l'assiette plus loin, la laissant terminer de manger, toujours un peu triste, quand même. Tu pousses un soupir, regardant les murs de ta maison. Quelle tristesse... "Dis, princesse.. j'aurais un truc un peu délicat à te demander.. j'comprendrais que tu veuilles pas.. mais enfin.." Tu te passes une main au niveau de la nuque, visiblement mal à l'aise de ce que tu voulais lui demander..
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j’hausse un sourcil « ah oui, vraiment ? » dis-je en riant à moitié. j’suis contente de le voir dire des petites blagues, même si je vois bien qu’il est pas au top de sa forme, je me dis que c’est toujours ça de gagné, que petit à petit, même si ça prendra beaucoup de temps, il finira par aller de mieux en mieux. j’suis pas utopiste pour autant, je sais que ça prendra du temps, j’espère juste que ça prendra pas autant de temps que ça a pris pour moi, je supporterais pas de le voir comme ça pendant deux ans. puis là je l’entends et j’écarquilles les yeux « mais tu fais exprès de dire des choses comme ça parce que tu vois que ça me gêne ! » je fronce les sourcils, je suis pas énervée, je fais plutôt semblant, je préfère le laisser me taquiner, ça rend la soirée plus joyeuse. Sauf que ça dure jamais bien longtemps, mais c’est mieux que rien, mieux de rire un peu et d’être triste un peu que d’être beaucoup triste et de ne rire pas du tout. tu te mordilles l’intérieur de la joue, parce que t’es vachement inquiète quand même. « tu dis ça pour l’instant, mais tu verras un jour tu tomberas sur la bonne quand tu t’y attendras le moins » dis-je avec une mine un peu triste, je le lui disais mais même moi j’avais du mal à être convaincue que je trouverais l’homme de ma vie alors comment réussir à le convaincre. Et quand il me dit qu’il a fini de manger je baisse les yeux « t’as rien mangé.. » je finis ma part de pizza et le regarde inquiète de ce qu’il va me demander « tu me fais peur, qu’est-ce qu’il y a ? qu’est-ce que tu veux que je fasse ? dis-moi.. »
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