Samby Juste un petit flippe

Se soir c'était pas la forme, Wesley avait mi les voiles sans vraiment prévenir. J'étais seul dans cette grande villa. J'avais peur. LEs images de la prise d'otage me revenait en mémoir. Il fallait absolument pas que je sois seul se soir. J'avais vraiment peur. JE fermais a triple tour la porte d'entré et j'allais m'enfermer dans ma chambre avec mes deux chiens et mon chat. J'avais juste trop peur. JE savais que mon oncle n'avais pas abandonné de me faire la peau. Même si mes garde du corps était dehors, j'avais peur. C'était irrationnel. J'envoyais un message a la première personne qui tombait sur Samson. Je lui disait de venir... J'avais peur. Je n'avais pas pensé que je n'avais pas fermé la porte de derrière ni celle de ma chambre.

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Un jean gris clair, un tee shirt blanc, une chemise à manches courtes crème ouverte, et une paire de converses blanches et anthracite rayés qui passaient à moitié sur un futal trop long, Samson sortait tout juste d'un tabac. Il n'avait plus de clopes, et sans clope, il arrive pas à bosser. Il ouvrit son sac à dos en jean gris foncé, avec un gros logo blanc sur le coté. La tête ailleurs, il pensait à son cours de methodologie, quand son portable vibra dans sa poche. Vas-y pour une séance de contorsion, pour passer par dessus sur sac encore sur son épaule et pas tout bouerrer par terre comme un malpropre. Abby? Mince, qu'est-ce qui lui arrivait...? A croire que le printemps n'était pas bon pour tout le monde. En ce moment, il était souvent à tout vent pour aider les autres. Et dire non? Hein de quoi? ça existe? Il jeta un coup d’œil à ses bouquins dans son sac, l'heure, et répondit juste qu'il arrivait. Il était déjà venu une fois chez elle, pour lui apporter des cours quand elle était malade sur la demande d'une amie. Ils sont tous les deux en relations internationales, si ce n'est que lui est en mineur et elle en majeur. Ça ne changeait rien pour certains cours. Il renvoya juste un autre sms pour lui dire qu'après plusieurs longues minutes de marche dans le bordel de Cambridge, il se trouvait face au portail et qu'un gros gorille avait décidé de lui faire la misère, refusant de le laisser passer, quand bien même il lui avait montrer le sms de Abby... ces gros muscles... ils avaient bon dos sans cerveau.

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J'étais en mode gros flipe dans ma chambre a tournée en rond je voulais juste que Samson arrive, j'avais besoin de lui pour me calmé. Il était si calme et gentil que sa présence m'apaisait. Je sais pas trop mais je sais qu'il est adorable. Il me renvoyais un message pour me dire qu'il arrivait je commençais a legerment me detendre. JE n'avais pas pensé que j'avais commencé a renforcé ma sécurité, vu que j'allais essayé de relancé se foutu procès. Je recevais un nouveau texto mes gorilles le laissais pas passé. J'envoyais un message a mes gardes pour qu'il le face entré dans la maison et sortait de ma chambre. Je ne sais pas trop pourquoi mais je me jetais dans ses bras quand il passa la porte. Mon coeur battais a 150 a l'heure j'avais eu un gros flippe en vrai, j'en tremblais encore.

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Samson vit le gros gorille observer son portable. Dans sa paluche, le truc faisait office de petite cuillère. Il arrivait à taper sur ce truc sérieusement? Le jeune Reilly haussa un sourcil quand l'autre grogna. On se calme l'ours, pas mordre, j'ai rien fait. L'armoire à glace fixa le gamin de haut en bas se demandant ce que la gamine pouvait lui trouver, il était tellement... tellement ... insignifiant. Oui bah on fait ce qu'on peut hein! Dégage gros lard! Et comme si les pensées de Samson avaient été entendu, il se décala. Second étonnement. Eh ben. Efficace. Il passa rapidement, comme craignant qu'on le choppe par l'arrière du col, pour lui dire: woh woh tu vas où là, c'était une blague. Mais non, rien. Il marcha un moment à reculons prêt à déguerpir si le gros baraqué se mettait à lui courir après d'un coup. On sait pas, c'est instable ces bêtes là.

Il monta les marches de biais, tenant toujours le monstre du regard, et n'eut pas le temps de se retourner qu'il se prit de plein fouet une crevette blonde, pas dénuée de force sans le vouloir. "Oufch..." échappa-t-il en refermant ses bras par réflexe autour d'elle. Il vit une marche arriver derrière et s'arrêta avant l'irréparable. Violent le bonjour. "Euh...salut?" c'était un peu bizarre, elle ne l'avait jamais saluer comme ça avant. C'était pas plutôt la bise qu'on fait? Il fronça les sourcils et la laissa faire, lui frottant doucement le dos, la gardant contre lui. Elle n'allait pas bien, ça se sentait. "Tu... trembles..." dit-il avec son habituelle voix calme. "Il s'est passé quelque chose? " Un rapide regard vers l'intérieur de la maison, et aucun bruit n'en sortait. "Ton coloc est pas là? "

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Samson était enfin arrivé. J'étais vraiment soulagé de le voir. Automatiquement je lui sautais dans les bras. J'avais eu un gros coup de flippe toute seul... C'était la première fois que je me trouvais totalement seul depuis la prise d'otage, j'avais vraiment flippé. Je me serrais contre lui. Rien que ses premiers mots me calmais, il était toujours si calme et doux, que je ne pouvais que me calmé en sa presence. Il me demandait ce qu'il c'était passé, et si mon coloc était la.
"Mon coloc est parti et a pris toute ses affaires..." MA voix tremblais encore mais je me detachais un peu de lui pour le regardé.
"Je ... C'est la première fois que je suis toute seul depuis la prise d'otage..." JE sais pas pourquoi mais je retournais dans ses bras je voulais pas le quitté. J'avais besoin qu'il me calme

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Samson n'aimait pas ce genre de situation. Bravo , c'est quoi ce coloc qui se tire et laisse une fille seule? Les mecs étaient franchement salement couards parfois. Mais quelque chose lui disait qu'il n'était pas juste parti comme ça pour le fun. "Tu t'es engueulé avec? On peut en parler si tu veux. Enfin à l'abri des regards. J'crois que ton bodyguard, il m'aime pas, il me mate bizarrement..."
Le petit brun jeta un regard en arrière et plissa les yeux. Il se tenait là bas au loin, fier comme un gorille, et fixa le duo. Instinctivement, Samson la décolla un peu de lui, lui prit la main et la fit rentrer dans le hall... "Il est flippant ce mec... de quoi t'as peur en ayant un type pareil à ta solde...." Il tourna les yeux vers la petite blonde après avoir fermé la porte et lui prit doucement les joues dans ses mains . "Hey, calme.... regarde-moi. Tu inspires et tu expires lentement... okay? T'as fait une crise d'angoisse?"

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Mes gardes le mettais mal a l'aise. Vu le modèle de mes gorilles sa se comprenais.
Non il est juste parti il est rentré dans son pays Je voulais pas me décollé de lui. Je ne l'expliquais pas mais je crois bien qu'il était le seul a pouvoir me calmé aussi bien et vite.
J'étais pas encore bien calme mais depuis son arrivé sa alait beaucoup mieux.
"D'une personne qui me veu du mal avec des moyen illimité" Il me disait de le regardé. Je le fixai, j'étais toute blanche, normal en même temps. Je commençais a reprendre une respiration normal. Je sentais que mes jambes allait pas me porté longtemps. Je me dirigais vers le canapé en mécrassant comme une merde dessus.
"Mon oncle veu me faire disparaitre, j'ai une peur bleu de vivre seul..."

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Samson la suivit du regard. Il ôta son sac de son épaule et le posa au sol contre le pied du canapé et contourna adroitement la table basse devant le canapé immense. C'était de la baraque, y'avait rien à dire. Elle était d'un milieu que lui-même n'atteindrait jamais, quoi que dans un sens, il s'en foutait totalement. Il n'était pas du tout matérialiste. Il jeta un coup d’œil au plafond et finit par s'asseoir sur la table basse, devant les genoux d'Abby, plutôt inquiet. "ça va aller?" Il attrapa un coussin sur un autre bout de canapé et s'approcha pour pousser ses mèches de nuque sur le coté et placer le coussin derrière sa tête, ses gestes toujours adroits et calmes, comme à son habitude. Il ignorait si ça se faisait de toucher une fille de son rang de la sorte, mais honnêtement, Samson était un tactile dénué de perversité, alors aucun de ses gestes n'était mal intentionné. Il se rassit sur la table basse, les coudes sur les genoux et chercha quelque chose dans la poche avant de son sac à dos. Ses clopes en fait. "Tu me dis ça comme ça, direct? T'as pas peur que je partes en courant? Je fais pas mal d'études de cas des différents types de criminels et leurs actes, on est obligé avec le droit pénal et les mises en situations... et on nous apprend que l'entourage est souvent touché par les fous dangereux. Je suis pas sûr que tu devrais en parler comme ça, tu vas te retrouver seule... Les gens ne comprennent pas en général ou veulent pas s'emmerder... Ils te laissent avec ta merde, que tu sois SDF ou princesse." Il sortit un tube blanc du paquet et son briquet, se leva et s'approcha de la fenêtre à un petit mètre derrière la tête d'Abby, pour l'ouvrir et ne pas la déranger avec sa toxine. Il l'alluma en silence et recrachant la fumée, il l'observa calmement en coin, pensif. "Pourquoi tu pars pas toi aussi d'ici? Au campus, tu serais en sécurité. C'est toujours blindé de monde. T'es une Quincy, c'est un argument supplémentaire, c'est les rois de l'altruisme non?"

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Je ne l'expliquais pas mais Samson avait des qualité apaisante, son calme legendaire sa zenitude. Il était si gentil et prévenant, quan je lui disait qui me voulait du mal je ui répondait.
"Tu sais, tu m'a posé la question je répond. De toute façon j'ai l'intention de faire explosé tout ça en place publique. C'est hors de question que je retourne sur le campus, je veu vivre dans mon chez moi, pas au milieu de tout le monde." J'ai des tendance solitaire un peu quand y s'agit de ma vie privée, je n'aime pas être constament entouré d'inconnue
"Je te fait confiance Samson, et je sais pas t'arrive toujours a me calmé..."

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Samson resta silencieux une bonne minute, pensif, puis en soufflant la nicotine par la fenêtre, il ajouta: "Ta famille pense quoi de tout ça? Pourquoi ton oncle cherche à te faire du mal...? T'as été témoin d'un truc problématique?" Il posait la question à tout hasard. L'Europe c'était pas à coté, donc si le mec avait les couilles de venir jusqu'au USA pour buter une gamine, il devait avoir commis un truc bien lourd. La curiosité malsaine de Samson en matière de criminel s'était réveillée. Et il n'était pas sûr qu'Abby mesure les conséquences de son isolement volontaire. "Tu as quoi contre le campus...? Je suis un solitaire aussi, et ... je préfère quand même ça à ma famille..." Il se décala et se rassit avec sa clope sur la table basse pour lui prendre la main calmement. "Abby, c'est pas restant tapi comme une proie sous cent tonnes de parpaings blancs que tu seras hors d'atteinte. Faut que tu trouves une solution. Et faire de toi une star des médias ne t'protégera pas non plus... Sans compter que s'il se fait passer pour l'un d'eux tu feras quoi?

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