TG 3 •• Épreuve #2

Okay, Maxine était à fond. Elle voulait ce massage, se faire chouchouter. Alors qu'importe les ralentisseurs, elle allait y aller à fond. Elle était avec sa soeur et les deux ralentisseurs étaient Charlie et Hardin. Elle n'était pas arrivée la première, plusieurs personnes étaient déjà là dont Brynn, naturellement. Maxine devinait de loin ses deux ralentisseurs. La jeune femme se dirigea vers eux, elle connaissait Charlie mais pas Hardin. La présidente, armée de son éternel sourire, vint les aborder. Hey les garçons ! Hardin c'est bien ça ? dit-elle en regardant le garçon à côté de Charlie. Je m'appelle Maxine, ravie de te connaître, enfin pour l'instant, dit-elle en souriant. Pas sûre qu'elle soit ravie quand il commencera à la ralentir.

Charlie, j'me trompe ? Perdu dans mes pensées, j'avais sursauté en entendant le son de sa voix atteindre mes oreilles. Je souriais alors en le voyant, rencontrant alors ma moitié, mon autre emmerdeur de la journée. Je sens qu'en allait bien s'entendre sur ce coup. « C'est bien moi, tu as trouvé Charlie. » Répondis-je en m'auto tuant à cause de ma vanne pourrit et trop facile. Mon dieu ce devait être la chaleur qui me faisait autant d'effet. Bientôt, c'est Maxine qui nous rejoignait, se présentant à nous. Elle avait pas vraiment besoin pour ma part, je l'a connaissais de vu et puis c'était une amie de Brynn. « Bon, il nous manque qui maintenant ? » Demandais-je en étant tout excité à l'idée de montrer ma mauvaise foie masculine. On était là pour faire les lourds, et j'allais prendre un plaisir infini à le faire.

Dès que le départ fut donné, je ne cherchais pas midi à quatorze heure, je courrais directement vers Brynn pour la faire chier, c'était mon rôle après tout dans cette équipe et je me sentais de le jouer à merveille ce petit rôle. Je l'avais prise par surprise, elle m'avait décoller les tympans à crier comme elle l'avait fait mais ça ne m'empêchais pas de la prendre dans mes bras et de la serrer contre moi « Hein ? Quoi ? » lui dis-je, faisant mine de ne rien entendre à ce qu'elle pouvait me dire. Elle me donnait des coups d'épaules, je sentais ses coups oui mais de là à me faire lâcher prise, elle avait de l'espoir « Non tiens regarde, on va s'asseoir. » dis-je la forçant à venir au sol avec moi, je le la lâchais toujours pas, mon dieu que la faire chier me faisait sourire, voir même rigoler.