NEWT ✮ t'es en train de prendre trop de place dans ma vie.

« Bien sûr que je connais Flash. L'homme à la traînée rouge qui court très vite. Je ne suis pas obligé d'avoir les collants bleus, mais juste la cape rouge avec le S de Super-Man ça suffirait. » Newt la regarde en se retenant de rire et puis il suffisait de peu de choses pour ressembler à un personnage. Surtout en Clark Kent. Il suffisait de porter un costume avec des lunettes et mettre avoir les cheveux sur le côté et hop le tour est joué. Néanmoins, les deux étudiants parlèrent d'un sujet un peu plus sérieux. Depuis quand Manu se souciait de lui. En entendant la réponse de la brunette, l'homme de vingt-trois ans reste bête en mettant la tête sur le côté, mais cela plaisait à entendre. « Je vois, sache, j'ai aimé ce moment. » Là, il était clairement pathétique, mais c'était la vérité. Néanmoins, ils étaient d'accord sur le fait que les baisers étaient naturels et un bon remède. Chose rare. Ils allaient trouver une solution tous les deux pour trouver où mettre Manu, même si la seule était qu'elle dorme avec lui. Quelques minutes plus tard, les deux amis – amants étaient partis en direction la Winthrop House et plus précisément vers la chambre de l'Australien. Ce dernier invite la Russe à rentrer et à faire comme chez elle. Chose que la troisième année prit aux mots en se dirigeant vers son armoire, ouvrir celui-ci et lui piquer une chemise blanche. Pendant que Francescov se changeait dans la salle de bains, le brun aux yeux vert c'était dirigé vers le même meuble que la future styliste afin d'opter pour une tenue plus décontractée. Un tee-shirt noir qui mettait ses muscles en valeur. Quelques minutes plus tard, le Winthrop était assit sur sa chaise roulante de bureau. En voyant la belle sortir dans cette tenue avec sa chemise qui s'arrêter au niveau des genoux, il ne pouvait que la trouver affreusement sexy et jolie. Voilà que la Studient était assise sur ses cuisses face à lui, ses nénés contre son torse. La femme de vingt et un ans voulait la tuer ? Voyant son visage s'approcher presque à l'embrasser, voilà que Shakespeare était à deux doigts de fermer les yeux et déposer ses lèvres contre celle de la grise. QUOI ??? Pourquoi cette torture ? Quelle traîtresse !! Tout ça pourquoi ? Pour attraper un cadre !! WTF ? Soupirant de frustration, il met la tête sur le côté pour voir la photo. Il y avait une petite fille qui ressemblait beaucoup à Newt, la même tête, les mêmes yeux sauf qu'elle était blonde. Sur la photo, il avait un grand sourire tandis que la petite dernière de la famille riait sur la photographie en se regardant mutuellement. « C'est ma petite sœur. » Tu m'étonnes que Newt soit dans un tel état de mal-être. Cela restait un homme nom de Dieu. Le deuxième année ne pouvait pas rester stoïque face à Manu qui était assise sur ses genoux dans une tenue plus que délicieuse. Prenant doucement le cadre des mains de la brunette aux yeux marron, il fait tourner la chaise de bureau de façon à ce que la Russe soit un peu dans le vide, mais pas totalement. Se penchant vers le bureau pour remettre le Polaroid à sa place. Au passage grâce à son épaule large, il avait réussi à basculer légèrement la Russe dans le vide, la retenant avec son bras. Il y avait aussi le bureau qui la retenait. Ayant le souffle de l'Australien qui cognait contre l'épaule de la jolie demoiselle. Ouais, il commençait à plus répondre de lui-même enfin presque. Tout ça n'était dans le seul but de se venger aussi.  

Les deux amis étaient de parler d'un sujet plutôt sérieux. En effet, Manu avait avoué que la brunette tenait plus qu'elle voulait le croire à Newt. Plus précisément depuis que leurs lèvres s'étaient touchées pour s'échanger en plusieurs baisers enflammés. Ce n'était plus la guerre entre eux, mais il restait cette habitude de se taquiner qui sera toujours présente d'une manière ou d'une autre. Ça a été leur relation de base et le restera toujours. C'est super, ils avaient été deux à avoir plus qu'à apprécier ce moment si particulier et doux à la fois. Bien sûr lui aussi voudrait recommencer à embrasser ses lèvres, dire le contraire serait un mensonge. Sauf que la Russe avait une autre idée en tête. Celle de le chauffer. C'était inhumain de faire subir surtout à un homme. L'homme de vingt-trois ans ne pouvait rester insensible surtout dans cette tenue. La troisième année était seulement habillée d'une des chemises de l'étudiant en journalisme. Après avoir soupiré de frustration en secouant la tête de gauche à droit en regardant le plafond, le brun aux yeux verts ne pouvait pas s'empêcher de se demander pourquoi la femme de vingt et un ans aimait tant que ça jouer avec ses nerfs surtout lorsqu'il était à deux doigt de recevoir un baiser. Maintenant, son attention était portée sur le cadre où le Winthrop posait avec sa petite sœur, voyant les yeux de sa partenaire brillaient de mille feux. « Merci, c'est vrai, mais elle a déjà son caractère. » C'est vrai Bianca était adorable, mais savait s'affirmer si la petite sœur était d'accord ou pas. Revenons au moment présent. Où Monsieur Shakespare était en train de prendre sa vengeance sur Manu en la faisant tournant en même temps que la chaise et pencher ce petit bout de femme au-dessus du vide, posant au passage le cadre photo à la même place. Sauf que cette tête de mule ne se laisse décidément pas faire et réplique en le poussant au fond de la chaise à l'aide sa main posée sur le torse de l'Australien . Ce n'était pas juste et compter ne pas se laisser faire. La brunette aux yeux marron se redresse sur ses jambes tandis que la tête la demoiselle était posée sur la sienne, en ayant les longs et soyeux cheveux de la studient devant son visage. Tiens, le Winthrop devait être beau comme ça. Son bras. Newt avait réussi à l'oublier pendant quelques instants jusqu'à ce que Mademoiselle Francescov te rappelle que ce dernier était dans un mauvais état. Se mettant à grogner jusqu'à ce que la Russe pose ses lèvres contre le front de l'homme de vingt-trois ans pour descendre jusqu'à son nez pour déposer un petit bisou sur celui-ci. Ouais, c'était mieux que rien. « Oui on peut faire ça, à moins que je te laisse mon lit et que je dorme par terre. Sinon, il y a une solution qui risque de nous mettre dans une situation assez bizarre. » Soudain Newt – sans s'en rendre compte sur le moment - se sent à l'étroit surtout au niveau de son entrejambe. Ah non tout sauf ça, c'était la honte et Manu l'avait remarqué en se levant de lui. Son corps avait parlé à sa place. Le brun aux yeux vert tourne avec sa chaise de bureau roulant de façon à ce qu'elle ne voie plus le moment super gênant. Même si c'était fait. Le rouge commençait à monter jusqu'aux oreilles. En même temps si Manu avait cherché à faire de l'effet, c'était réussi. Faisant rouler de bureau à l'aide de ses pieds pour attraper un coussin histoire de cacher le massacre. Le temps que tout se calme dedans. Lorsqu'il entend un boom. Se retournant tout de suite, le jeune homme voit Manu les fesses relevées découvrant la couleur de sa petite culotte. Mettant les mains devant les yeux, il ne peut pas s'empêcher d'éclater de rire. Oui, mais un rire nerveux en répondant entre deux rires. Oui il était plié en quatre. « Je vois ça, on dirait que je te perturbe malgré moi. ça sera bien difficile d'enlever cette image de la tête. » Dit-il en n'arrêtant pas de rire et de se lever afin de ramasser ses affaires pour éviter d'autres accidents. Au passage, pose ses doigts de sa main libre sur la joue de Manu pour lui pincer doucement cette petite partie du visage avant d'attraper l'oreiller pour lui lancer dessus. Même s'il commençait à être mort de fatigue, mais il voulait lutter pour rester quelques minutes de plus à embêter la demoiselle et pourquoi pas se rapprocher un peu plus de cette femme âgée de vingt et un ans. C'était l'adréaline qui le faisait tenir debout et éveillé.