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NEWT ✮ t'es en train de prendre trop de place dans ma vie.

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allô ! ici demoiselle en détresse.
Une folle envie de bouger dehors t'avais traversé l'esprit et autant dire que lorsque quelque chose te passait par la tête, plus rien ne t'arrêtait. De ce fait, tu courrais en direction de ta chambre afin de prendre une bonne douche, te refaire une beauté et choisir de nouvelles fringues. Quelques minutes plutard, t'étais maquillée, parfumée, bien habillée et prête à sortir. Mais ce qui t'avais pris plus de temps était tes cheveux dont t'avais décidé de légèrement boucler ce soir. Puis de toute façon, on ne changeait pas d'habitudes parce que tu adorais varier, un jour lisse, un jour ondulés, un jour blond, un jour brun, un jour rousse. Ouai tu possédais des bombes de colorations qui partaient au shampoing. Enfin bref, c'est en jupe noire, débardeur blanc surmonté de ton crop top noir où il y avait écrit « Bad Girl » dessus ainsi qu'une veste en cuir noir que tu avais décidé de partir à la conquête la boîte de nuit. Une fois à destination et au moment où tu t'approchais de l'entrée, une main tira ton poignet et cet inconnu te murmura à l'oreille de te taire où sinon tu ne payerais pas cher de ta vie. Paniquée, t'avais suivi ses ordres lorsqu'il te traîna vers un coin sombre et te te plaqua contre un mur en glissant une main sur ta cuisse. Tétais à bout de nerfs là et tu ne pouvais même pas crier puisqu'il t'avait fermé la bouche à l'aide de son autre main. Encore un mec en manque et qui ne trouvait pas de nanas pour le satisfaire. Normal quoi, avec la grosse verrue qu'il avait au milieu de son front entre ses yeux. Puis merde, tu donnais un coup de genoux dans ses couilles et joignis toutes tes forces dans un poing à la mâchoire. « Aïe !... Espèce de salaud !. » Tu secouais ta main parce que ça t'avais quand même fait mal et alors que t'allais t'enfuir, il sortait son flingue en le pointant rapidement vers toi...
newt & manu
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Cela faisait un petit moment que Newt marchait dans les rues dans le seul but de s'épuiser pour s'endormir plus rapidement. Ces derniers temps, le jeune homme n'arrivait pas à bien dormir tellement qu'il pensait à tout et à n'importe quoi. Surtout à Manu et Mary. Comment arriver à gérer une relation lorsqu'on s'entend et se sent bien avec toutes les deux ? C'était clairement la merde dans sa tête, se sentant plus proche de la Russe. Oui, le début avait été aussi houleux que détestable. Mais ça c'était avant. Puisqu'ils avaient l'air d'être plus proches que jamais, chose qu'il ne serait jamais passé avant. Un bruit le fait sortir de ses pensées, une fille qui tentait de se défendre avec un mec qui l'embêtait. En voyant que c'était Manu, l'homme de vingt-trois ans reste surplace dans la pénombre en serrant les poings. Le brun aux yeux verts commençait à être furieux, ressentant une certaine adrénaline passait dans son corps. En voyant l'arme pointée sur la studient, le Winthrop ne pouvait pas rester là sans rien faire, sinon la brunette allait être blessée. Prenant son courage à deux mains, il court vers le mec pour foutre un coup-de-poing dans la figure afin de le déstabiliser et que le fou baisse son pistolet. Chose qui avait marché, car l'Australien avait eu le temps de former une espèce de boucler, se trouvant dos à Manu pour la protéger. Newt n'était pas un homme violent, mais savait l'être dans les moments d'urgence et là, ça l'était. Malheureusement le type en manque met l'arme vers le rouge, tirant sur la gâchette. Heureusement que le mec était bourré, car la balle attérit dans le mur. Enfin c'est ce qu'il croyait, jusqu'à l'homme de vingt-trois ans ressente une vive douleur à l'épaule. Entre temps, le malade mental avait prit la fuite. Le connard. Se tournant vers Manu qui était plus importante, celle-ci était en état de choc. Ni une, ni deux il la prend dans ses bras pour la rassurer. « ça va ? je suis là. J'espère il ne t'a pas touché  ?? »
newt & manu
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Une chose est certaine, t'aurais dû rester sagement chez toi ce soir à emmerder ta grande sœur peut-être et l'obliger à t'avouer qui aura la chance de danser avec elle le soir du bal. Oui, de nature curieuse, tu voulais tout savoir sur ta sœur notamment le cavalier qui l'accompagnera à ce bal qui approchait à grands pas. Bon, ce n'était pas le moment de parler de bal puisqu'un malade mental se croyait permit de te toucher de cette façon et sans ta permission qui plus est. Tu étais habituée aux gros baraqués qui se croyaient menaçant et cela t'épuisait tout comme ta patience également, voilà pourquoi t'avais pas hésité à te défendre. Malheureusement ce soir, tu étais tombée sur plus coriace, car ce dernier possédait une arme sur le point de tirer de sang froid sur toi, mais un bruit sourd attira ton attention et à peine tu te retournas que tu vis Newt t'agripper et te protéger d'une balle qui résonna soudainement dans les airs. Par réflexe, tu te bouchais les oreilles et fermais les yeux. Est-ce que t'étais morte sayez ?. Apparemment non, t'avais survécu puisque le winthrop te demanda si tu allais bien. Tu ouvrais d'abord un oeil, puis le second. « Newt ! Pourquoi t'as fait ça...t'aurais pu... » Dis-tu affolée alors que ton regard croisa son épaule en sang. Dieu soit loué, la balle n'avait fait que frôler son épaule, mais toi t'étais bien trop paniqué pour t'en rendre compte. « Mon dieu tu saignes !. » Crias-tu tandis que tu déchirais un morceau de ton crop top pour l'attacher autour de son bras sur la blessure. « Je t'emmène à l'hôpital d'accord !? » Dis-tu en posant tes mains sur ses joues près de sa nuque. Sayez ! Crise de panique, tu ne répondais plus de toi-même, t'étais en train d'envisager le pire dans ta tête alors que la balle n'était même pas à l'intérieur de son bras. Lui attrapant un poignet, tu arrêtais rapidement un taxi qui vous conduisait à l'hôpital. T'étais tellement paniquée, qu'une fois à destination, t'avais oublié de payer le taxi. T'étais plutôt occupé à conduire d'urgence Newt jusqu'à une infirmière. « Une balle ! Il a reçu une balle, il saigne ! S'il vous plait occupez-vous de lui !. » T'implorais la demoiselle qui te demanda de te calmer en prenant Newt avec elle. Tu les suivais tandis qu'elle te demanda de rester dehors, alors, tu commençais à te ronger les ongles en faisant les cent pas devant la porte.
newt & manu
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Malheureusement, on ne peut pas prévoir ce qui va nous arriver. Ça fait partie des règles du jeu de la vie. On se dit qu'aurait dû faire avant, ou après telle chose. On ne prend jamais les bonnes décisions, car on regrette tout de suite après un tel élèvement. Newt ne savait pas comment il avait réussi a déstabilisé le costaud avec son poids plume. Le principal était que Manu aille bien. En entendant la balle s'échapper du flingue, le jeune homme avait bouché les oreilles de la Russe, fermant par la même occasion ses yeux verts. En voyant la femme de vingt et un ans paniquée comme tout, cette dernière ne lui laisser pas en placer une. « Tu croyais que j'allais laisser ce connard te buter ? » Dit-il d'un ton ferme en serrant soudainement les dents suite aux douleurs à l'épaule. En entendant que le rouge saignait, l'homme de vingt-trois ans essayait de cacher sa blessure avec sa veste, mais celui-ci fut imbibé de sang. « Manu calme-toi, je t'en prie, tu es encore choquée. » Dit-il en posant ses mains sur chaque épaule pour que la femme de vingt et un ans arrête de bouger dans tous les sens. Parle à mes fesses et ma tête est malade. L'étudiante en troisième année était une pile électrique déchirant au passage son haut pour mettre le bout du tissu sur la blessure dans l'unique but de stopper l'hémorragie. Sentant les mains de la brunette sur ses joues, il ne pouvait pas s'empêcher de sourire comme un idiot alors ce n'était clairement pas la situation. Soupirant en entendant le mot hôpital, il observe le ciel en n'ayant vraiment pas envie d'y aller. Cela lui rappeler trop de mauvais souvenirs. « Je te dis que c'est rien, la balle m'a juste effleuré l'épaule et pas rentrer dans mon bras. » N'avait-il eu d'autres choix que de la suivre ? Non, car la demoiselle le forcer à marcher à le tenant par le poignet, appelant le premier taxi venu. En arrivant aux urgences, Manu – la voleuse – avait oublié de payer le pauvre coursier qui faisait son boulot. A peine qu'ils eurent le pied à l'intérieur, elle implore une infirmière de s'occuper de lui. La chance que le corps médical l'avait écouté, sinon bonjour le scandale qu'aurait fait Manu, vu son caractère légendaire. Les docteurs s'occupèrent de lui en soignant la plaie qui était assez impressionnante à avoir, mais pas trop profonde. Néanmoins, il a fallu mettre des points. Le brun aux yeux verts était soudainement fatigué, le coup des produits qu'ils avaient injecté dans la perfusion. Heureusement, ils n'avaient pas besoin de le garder. Revenant avec l'infirmière, cette dernière rassure la belle en disant que la balle n'était pas rentrée dans son bras, que ce n'était pas très grave et qu'il faillait changer le pansement tous les jours ainsi que faire le moins d'efforts possible sous peine de faire les points partir. Le Winthrop tenait entre ses doigts l'ordonnance avec tout le matériel à acheter pour faire les soins. L'Australien remercie la femme qui c'était occupée de lui et de sa blessure. Observant Manu avec un air désolé, il vient la coller contre lui pour la serrer dans ses bras avec le bras qu'il n'était pas touché. « Je suis désolé de t'avoir fait peur. » Dit-il avec un petit sourire maladroit.
newt & manu
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Te calmer ? Non c'était impossible et là, t'étais en plein crise de panique, même que tu n'écoutais même plus le winthrop. Toi tout ce que tu voulais à cet instant, c'était le soigner. D'ailleurs, heureusement pour le voleur -ou violeur- qu'il avait pris la fuite, car à la vue du bras en sang de Newt, tu ne te serais plus retenue de le mordre comme une chienne enrager cet imbécile qui avait osé vous tirer dessus. L'étudiant te demandait de te calmer, mais toi t'arrivais pas et tu le seras que lorsque les médecins t'auront affirmé qu'il n'y avait absolument rien à craindre. Ni plus, ni moins tu l'avais entraîné à l'hôpital, mais tellement paniquée que tu oublias de payer le taxi. Ouai on ne pouvait pas t'en vouloir, c'était un cas d'urgence et puis le taximètre réclamera surement son dû un jour ou l'autre si t'as la chance de le recroiser, ou alors il t'attendra à l'extérieur tout simplement. Mais t'étais persuadé qu'il te comprendra vu que la panique se lisait sur ton visage et que tu étais venu dans un hôpital et pas dans un restaurant ou un truc de ce genre. Anyway, une fois à l'intérieur, tu imploras une infirmière et si elle t'avais demandé de patienter, il est clair que t'aurais pété un câble, mais dieu merci pour elle, elle s'occupa de Newt rapidement. Quelques minutes plutard, elle revient pour te rassurer en te donnant toutes les instructions nécessaires au bon rétablissement de l'Australien. Finalement, elle te laissa entrer dans la chambre et tu t'approchas rapidement du jeune homme. Surprise, il t'attira contre lui et referma tes épaules à l'aide de son bras libre tout en s'excusant de t'avoir fait peur. Posant ton menton contre son épaule, tu refermes tes bras sur son dos et le serre tout contre toi. Oui, pour avoir peur t'avais eu sacrement peur et en y repensant, tu te surprenais toi-même. « Fais plus ça Newt... Et s'il n'avait pas raté son coup ? Tu aurais pu... » Être paralysé du bras, même pire, faire une grosse hémorragie et mourir. « Mais... Merci...Merci de m'avoir protégé... » Tu caressais son dos avant de reculer et de regarder son bras. « La prochaine fois que je recroise ce salopard, j'risque de commettre un crime !. » T'hésitais à toucher son bras, puis finalement, tu caresses doucement son bandage du bout des doigts. « T'as trop mal ?. » T'avais pas de quoi t'en vouloir, mais tu t'en voulais quand même, car à cause de toi, il aurait pu être gravement touché ou même pire. Heureusement que la balle ne l'avait juste qu'effleuré l'épaule.
newt & manu
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Le jeune homme comprenait parfaitement que Manu soit en panique. D'ailleurs, cela se voyait sur son visage, mais aussi dans sa voix. Cette dernière tremblait lorsqu'elle prononçait plusieurs mots. La Russe était en état de choc et était choquée ce qui est normal, car se faire accoster une telle manière pour se faire toucher, agresser et voir une arme pointée vers vous, en plus d'avoir entendu une détonation. Bonjour le traumatisme. Heureusement que le brun aux yeux verts était là au bon endroit et moment pour protéger Mademoiselle Francescov. Résultat des courses, une balle avait effleuré le bras du beau Winthrop. Certes, ce n'était pas beau à voir, mais la femme de vingt et un ans avaient eu la bonne idée de l'amener à l'hôpital, sinon l'homme âgé d'une vingtaine d'années se serait vider de son sang. - Bon peut-être pas, il ne faut pas exagérer – Somnolant sous l'effet des anti-douleurs, il ouvre un œil puis le deuxième en entendant la porte de la chambre s'ouvrir. Voyant l'étudiante en stylisme près de lui, l'Australien l'avait prise dans ses bras afin de la rassurer, refermant son long bras non blessé autour des épaules de la belle. Sentant doucement les petits bras autour de son dos, la serrant un peu plus contre lui, histoire d'enlever toutes les peurs et les craintes de la troisième année. Le menton de la Russe était posé sur son épaule musclée. Le faisant sourire un peu plus malgré une légère douleur. Une petite grimace s'affiche le temps de quelques secondes. Soupirant presque aux paroles de la brune aux yeux marron. « Encore désolé » Dit-il en mettant son nez contre la chevelure de la Russe pour sentir son doux shampoing. « Je ne pouvais pas rester là à rien faire non plus Manu. Il n'y a eu plus de peur que de mal. Si je ne serais pas intervenu, je ne me serais jamais pardonné si jamais ce con t'aurait blessé ou toucher à un seul de tes cheveux. De rien. » Dit-il en mettant sa main sur l'épaule de son ancienne ennemie pour la décoller légèrement de son corps pour l'observer dans les yeux en faisant un tête du chat potté trop mignonne. Laissant la jeune femme caressait son dos le temps de quelques instants. Rien que de penser que ce débile de mec aurait pu toucher ou blesser son amie, le visage de Newt se referme pour devenir un peu plus sérieux, étant dévoré par un sentiment qu'il ne ressent presque jamais. La colère. « La prochaine fois que tu le recroises, tu cours ou et tu m'appelles. » Laissant la belle lui caresser le bras qui était caché par un bandage. Il était clair et net que les deux ne pouvaient plus se passer d'un quelque quont contact physique. Se mordillant les lèvres pour éviter de grimacer, car les douleurs lançaient l'épaule du rouge. Voulant faire le fort, il réponds avec un petit sourire aux lèvres. « Non je n'ai pas trop mal, mais j'ai le droit à un bisou ? » Dit-il en se retenant de rire ou même de rire et pourtant il fait la deuxième action. Bien sûr, le Winthrop plaisantait pour dédramatiser la situation. Sachant bien que Manu n'allait pas s'exécuter comme ça à moins de poser une condition. « J'ai une bonne ou mauvaise nouvelle à prendre comme tu veux, tu vas devoir changer mes pansements tous les jours. Fin si tu veux, sinon je me débrouillerai tout seul. »  
(c) toxic heart.
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Jusqu'à aujourd'hui, aucun homme ne t'avait protégé au péril de sa vie comme l'avait fait Newt. T'arrivais pas encore à réaliser, le mec aurait pu se prendre la balle quoi et tu ne pensais plus que ce genre d'homme existait encore. Celui qui n'hésitera pas à mourir pour protéger une personne chère à son cœur. Mais du coup, tu te posais la question; pourquoi ?. A part quelques baisers et caresses, cela ne suffisait pas à vouloir mourir pour la personne en face non ? A moins que cela cache autre chose de plus profond. HANNN, comment t'étais arrivée à une conclusion pareille toi ? Tu chassas immédiatement ses pensées de ta tête et tu ne gardas simplement que Newt l'aurait fait avec n'importe qui. Voilà c'est cela, faut que t'arrêtes d'illusionner et te contenter plutôt de le serrer dans tes bras pour le remercier de son précieux geste qui t'avait ouvert les yeux sur beaucoup de choses. Comme la guerre qui s'était installée entre vous et qui vous avait fait perdre un temps précieux à vous gueuler tout le temps dessus ou bien vous faire tout pleins de crasses. Votre étreinte calineuse terminée, tu l'écoutais te répondre alors qu'un sourire se dessinait petit à petit sur tes lèvres. « Alors comme ça, t'avoues indirectement que je t'aurais énormément manqué si jamais la balle avait traversé mon cœur ?. » Te mordillant la lèvre inférieure, tu repris aussitôt. « Tu te rends compte qu'à compter d'aujourd'hui t'es pas seulement Newt le chieur que j'adore embêter ? T'es Newt mon héros chieur que j'adore embêter ! » Okey, t'étais pas certaine qu'il comprenne, mais voilà, c'était ton héros quoi. Ce qui voulait dire que t'étais en parfaite admiration sur son geste et qu'il gagnait certainement une place importante dans ton cœur. « C'est noté !. » Dis-tu simplement en répondant à ses instructions pour la prochaine fois que tu croiseras cet imbécile de voyou. Par contre, tu lui demandais s'il n'avait pas trop mal, question stupide certes, mais tu voulais te rassurer quand même. Sa réponse ne tarda pas et elle te fit rire. Ouaich, il avait bien mérité un bisou et c'est pourquoi tu posais doucement tes lèvres sur le bandage que tu embrassais doucement. « Voilà !. Tu verras, avec un bisou de ce genre, le bobo il partira très vite !. Il n'y a pas mieux comme remède. » La petite maligne que t'étais, tu savais qu'il n'attendait pas ce bisou là, mais ça t'amusait de le provoquer un peu. Et puis, il t'annonça qu'il avait une bonne ou une mauvaise nouvelle, selon ce que toi t'en penseras. D'une oreille attentive, tu l'écoutais et finalement, tu lâchais un souffle complètement rassuré. « Et bien j'ai qu'une chose à te dire, prépare toi à me voir tous les jours chez toi parce que je m'improvise à compter de cette seconde, infirmière personnelle de monsieur Shakespeare ! Ça te va ? Tu crois que tu pourras supporter ma présence ?. » Comme s'il ne pouvait pas, pas après quelques baisers échangés et d'ailleurs, tu te demandais pourquoi cette envie était encore présente et grandissais de plus en plus.
newt & manu
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Et non cela n'existe pas que les rêves, ou les contes de fées les hommes qui se battant pour une fille, ou sauvent la vie de cette dernière. Même si, en effet, maintenant ça devient de plus en plus rare avec cette nouvelle génération qui ne pense qu'à faire l'amour avant de connaître la fille. Newt était ravi d'avoir pu sauver Manu de ce connard même si a dû mettre son poing dans la figure et effleurer une balle qui a failli se loger dans son épaule. D'avoir pu faire sa bonne action du jour et de se sentir utile dans les yeux de la Russe au péril de sa propre vie. Si un jour a des enfants et un petit garçon, il lui apprendrait comment à bien traiter une fille. M'enfin l'homme de vingt-trois n'était pas encore à ce stade et en est très loin d'ailleurs. Avant le Winthrop fallait qu'il termine ses études, trouve une fille avec qui il se sentirait bien, qu'il aimerait et avec qui ça durerait sur le long terme. Monsieur Shakespeare aimait beaucoup Manu malgré qu'elle soit bien chiante – quoi que moins ces derniers temps – plus qu'il voulait le croire. Mettre des sentiments dessus était impossible pour l'instant, ayant tout de même des idées. Ils se serrent dans les bras un petit moment avant de se détacher de l'un et de l'autre. Cela remonte à un petit mois le temps où Manewt passaient leur temps à se crier dessus en faisant les pires crasses du monde. Le brun aux yeux verts se met à sourire en mettant le bras non blessé devant lui parce que cela n'allait pas plaire à la brunette. « Je dis juste que ma vie serait moins amusante sans Manu la garce qui passait son temps à m'embêter autrefois. » Dit-il en ayant un grand sourire. Finalement, l'homme de vingt-trois ans avait sorti une autre phrase qui finalement ferait plaisir à la femme de vingt et un ans, baissant par la même occasion sa garde. Néanmoins, les paroles de Francescov le touchent profondément – et le montrent grâce à un énorme sourire jusqu'aux oreilles. « Je suis désormais ton héros super chieur que tu adores embêter. Oui j'aime bien. » Dit-il en approuvant de la tête. L'Australien avait parfaitement compris ce que voulait dire Manu. Qu'il était devenu son héros après un tel geste et de protection. Quelques minutes plus tard après avoir prodigué les conseils si jamais, elle croisait cet abruti dans la rue ou si ce dernier s'approchait encore d'elle. « Je ne rigole pas Manu et ne fait pas tête de boche. » Lançant un regard tout à fait sérieux, l'étudiante en troisième année lui pose la fameuse si cela faisait mal. Bien sûr que c'était le cas. À ce moment-même, le rouge avait affiché une petite grimace et qu'il avait besoin d'un bisou. L'étudiant en journalisme fut agréablement surpris lorsque les lèvres de la brunette se posèrent sur son épaule et plus précisément sur le bandage. En effet, il ne s'attendait pas à ce que la Russe s'exécute sans donner une condition. C'était presque un miracle. Il fallait reconnaître que Newt aimait sentir ses lèvres contre sa peau que ses poils s'étaient pratiquement dressés sur son bras, espérant que la future styliste n'allait pas le remarquer. « Dommage que je ne peux pas l'avoir plus longtemps ce remède, tous les jours, je veux dire. » Dit-il en ayant un petit sourire amusé. Ce laps de temps lui faisait penser à sa petite soeur. Attention, il ne la comparait pas avec sa petite diablesse. C'est juste le moment qui lui fait rappeler Bianca. Revenons à Manu. Shakespeare guettait la réaction de cette dernière après avoir dit qu'elle devait l'aider à changer les pansements chaque jour. « Chez moi, c'est une chambre d'étudiante à la Winthrop House. Rien de bien extravagant. Ce soir, tu as le droit de prendre congé puisque les infirmières l'ont fait. Au pire, si je ne te supporte plus un petit cachet et en parle plus. » Oui Newt se foutait de la gueule de Manu, mais la brunette avait été pire que ça comme par exemple au Spring Break. Rigolant au passage de sa connerie, il se mordille la lèvre en se relevant, attrapant alors ses affaires surtout son tee-shirt et sa veste, puisque les médecins l'avaient autorisé à garder son pantalon qui n'avait pas été tâché par le sang. Il avait besoin de se changer, de mettre ses affaires aux sales. Chose qui ferait en rentrant à la confrérie. Autant d'un côté, le brun arrivait très bien à mettre un bras dans ses vêtements tandis que l'autre, il se débattait pour éviter d'avoir mal. Il demande alors de l'aide à Manu et pendant qu'elle était occupée à l'enfiler son haut, le rouge dépose ses lèvres contre sa joue au moment où la Russe s'y attendait le moins. « Les médecins ont dit que je peux rentrer. Et si on sortait d'ici le plus vite possible ? » Dit-il en faisant des yeux doux. Et puis de toute façon, il n'avait pas besoin de la permission de qui quonc. Il est majeur et vaciné.   
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Tu étais heureuse de voir de l'enthousiasme dans les yeux du Winthrop à l'entente du mot héros. Parce qu'à compter de ce jour, il l'était à tes yeux. Mais, oui un GRAND mais, ce n'est pas parce qu'il t'avait sauvé que t'allais arrêter d'être chiante avec lui. Non, t'aimais trop le provoquer et tu continueras surement à le faire. « Je tiens juste à préciser que certes t'es mon héros, mais tu resteras à jamais celui que j'aime le plus faire chier, alors ne croit pas t'en tirer aussi facilement, même jamais en fait. » Et pour prouver ça, tu tirais un petit bout de mèche de ses cheveux avant d'éclater de rire. On ne change pas les habitudes et tu y étais habituée maintenant. Soudain, il arbora un regard sérieux et tu arrêtais de rire en grimaçant. « J'ai compris rhooo et j'crois que tu devrais plutôt te soucier de ta tête. On dirait que tu vas avoir de la fièvre, t'es tout pâle. » Dis-tu en touchant son front, peut-être que tu t'inquiétais trop aussi. Peut-être que tu ne devrais pas le laisser ce soir et plutôt veiller à ce que cette nuit passe sans problème. Parce que t'avais vu des cas mal soignés et trois jours après, une hémorragie et hop la mort subite. Ouai, tu t'inquiétais trop. « Attention Shakespeare, tu vas en devenir accro si ça continue... Je parle de mes bisous. » Et tu ne blablatais pas, c'était la pure vérité, même qu'on pouvait comparer tes lèvres à la drogue, ouaich -okey ça va ein, j'ai bien le droit de faire mon éloge toute seule-. Il te donnait congé ce soir, mais pas question, t'allais veiller sur lui toute la nuit et c'était le minimum que tu pouvais faire pour le remercier. « Peu importe où tu vis, ce soir je ne prendrais pas congé, j'ai décidé de passer la nuit avec toi...genre DORMIR ein et te surveiller, sait-on jamais. » Ça se voyait dans tes yeux que tu t'inquiétais, mais tant pis, t'avais décidé ainsi. Et pendant que tu l'aidais à rhabiller son chemisier, il profita pour déposer ses lèvres sur ta joue. T'arrêtais soudainement tout mouvement en ouvrant grand les yeux. Il t'avait bien surprise là. Et t'étais pas habituée à ce genre de douceur. On t'avait jamais surprise de la sorte. Ce n'était qu'un bisou sur la joue, mais ça te rendait tout bizarre quand même. « Ahem... Je... Tu ne devrais pas me surprendre comme ça, sinon tu risques de réveiller ma maladresse et je pourrais te faire mal... » T'avais même pas fini de parler que tu appuyais sans te rendre compte sur son bandage en forçant l'entrée dans sa manche et lorsque tu repris tes esprits, t'écarquillais les yeux d'un air désolé en y allant plus doucement. « Pardon...Tu vois... C'est de ta faute. » Concluais-tu en étirant tes lèvres d'un petit sourire tout en terminant de lui rhabiller ses vêtements.
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t'es en train de prendre trop de place dans ma vie.
Dire qu'on était le héros d'une personne et surtout d'une fille que Newt appréciait faisait très plaisir. Il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir un petit sourire fier sur le visage. Après tout ce n'était pas tous les jours que Manu faisait un compliment ou même remercier. Ce n'était pas son genre, à croire que son fichu caractère l'empêchait de le faire. Quoi qu'il semble s'assagir au fil du temps, même si ce n'est pour mieux attaquer. L'homme de vingt-trois ans savait très bien que la Russe n'allait pas s'arrêter de l'embêter, de le taquiner. Cela était la base de leur relation. Et lui allait faire de même continuer à la charrier. « Si je suis ton héros, faudra que je mette une cape rouge comme super-man sauf que je n'ai pas de supers pouvoirs. De même pour moi. Tu resteras celle que je vais embêter jusqu'à la fin de mes études. Aie ! » S'exclame-t-il en sentant la femme de vingt et un ans tirait sur une mèche de ses cheveux. Certes, ils étaient courts, mais ça ne faisait pas du bien. Ça y'est c'était repartie comme autre fois. De sa main libre, l'homme de vingt-trois ans appuie doucement sur la hanche de Francescov afin de la faire sursauter et par la même occasion la chatouiller – sans arrière-pensée je précise au cas où - . Il n'y avait pas de raison que lui ne fasse rien du tout. « J'espère bien que tu as compris vu la tête de mule que j'ai en face de moi. Et depuis quand tu te soucies de moi ? » Dit-il en la regardant d'un air tout doux, laissant Manu touchait son front à l'aide de sa main qui avait l'air d'être chaud. Ceci devait juste un coup de chaud après toutes les émotions fortes de ce soir. En quelques sortes, la pression ressortait avec des coups de chaleurs ou peut-être de la fièvre tout simplement. « C'est juste que les bisous sont un remède naturel, mais efficace. » Dit-il en se mettant à rire en remarquant que l'étudiante en stylisme pouvait être légèrement narcissique. Wait ? Mais le problème, c'est où qu'il allait mettre ce petit bout de femme ? C'est vrai, il n'avait pas de deuxièmes lits, enfin si un lit d'appoint qui s'avère être un berceau pour sa petite sœur qui n'a que deux ans. Et encore lorsqu'il avait Bianca avec lui, Shakespeare la faisait dormir avec lui côté mur pour éviter que la petite tombe du lit. Un vrai frère poule celui-là. « J'ai compris que c'était pour dormir et me surveiller. Je n'ai pas de lit d'appoint à moins que tu veuilles être pliée en quatre pour dormir dans un berceau. » A moins de dormir dans le même lit. Très mauvaise idée. D'ailleurs faudrait peut-être qu'il songe à prendre un studio pour avoir plus de place. En réalité, le brun aux yeux vert avait peur qu'ils se rapprochent encore plus durant cette nuit-là. Physiquement parlant. Voyant les yeux de la Russe qui reflétait de la peur et surtout de l’inquiétude. Pour la détendre et pour la déstabiliser, - il faut l'avouer - l'Australien avait posé ses lèvres contre la joue de la belle qui était en train de l'habiller d'un côté. Cette dernière semblait aussi déconcentrée, surprise que troublée. « Okay je ne fais plus rien alors. N'empêche qu'il te suffît d'un bisou pour que tu deviennes maladroite. Très bien, j'en prends note. » Dit-il en sifflant et en regardant en l'air, faisant mine de rien. Quand soudain, la brunette s'appuie contre lui et surtout son bandage. Il pousse un petit cri qui avait tenté de retenir, mais la douleur avait été plus forte que tout. « De ma faute ?? C'est toi qui as la tête dans les nuages pour je ne sais quelle raison mademoiselle. » Une fois habillé, chaussé. Newt remplie les papiers pour sortir et partent à pied vers une pharmacie de garde afin de prendre le matériel nécessaire et rentre à la Winthrop House en compagnie de Manu. Entrant dans sa chambre d'étudiant, il laisse passer la demoiselle en premier. Ça va, son cocon n'était pas trop en désordre. Fermant la porte derrière lui, l'homme de vingt-trois se dirige vers son armoire pour sortir un tee-shirt noir propre. Comme il le pouvait, Newt enlève sa veste, son haut qui étaient tâchés de sang pour mettre le tout dans la corbeille à linges sales, pour enfiler le haut qui sentait bon la lessive. « Fais comme chez-toi. Tu veux peut-être un vêtement pour te changer, pour dormir, je veux dire. Si tu restes bien sûr. » Et voilà, il commençait à être maladroit dans ses paroles. Un vrai boulet. S'asseyant sur sa chaise de bureau qui roulait et tournait, attendant un signe, une parole de Francescov.
(c) toxic heart.
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