Roylee ღ best birthday gift ever

J'étais con et c'était pas né de la dernière pluie. Les gens m'aiment pour ça, ou me détestaient. J'avais toujours de la folie à dégager et c'est sur que quand j'étais heureux, j'envoyais tout dans tous les sens. Je faisais le clwon depuis tout petit, faut croire que mes parents m'ont fait en riant haha. Je prenais Leevy contre moi et je la regardais de mon plus beau regard. Je fis non de la tête lorsqu'elle me disait que je ne pouvais pas m'empêcher de faire le con. Moi pas être sérieux. Je voulais profiter de mon cadeau maintenant. Il n'y avait que Leevy devant moi et c'était tout ce que je voulais. Maintenant qu'elle était de nouveau mienne, je voulais prendre soin d'elle, l'embrasser jusqu'à ne plus respirer. Je sentais mon coeur battre de plus belle dans ma poitrine et mes joues devinrent chaudes et rouges. Ces bulles allaient me rendre aussi fou que ma copine. Je frissonnais lorsqu'elle colla ses seins contre mon torse et je souriais alors que son bassin rencontra le mien. Oh oui on allait pas rester sage à patauger dans l'eau comme deux imbéciles. Je la regardais assez intimidé lorsqu'elle me répéta qu'elle m'aimait, mais c'était tellement beau tout ça. Je fus ensuite envahis d'une vague de chaleur lorsqu'elle embrassa plusieurs partie de ma peau ce qui m'excitait beaucoup. De toute façon, il m'en fallait peu pour la désirer. Je passais ma main derrière sa tête en empoignant doucement ses cheveux. T'es à moi Leevy... et tu le seras toujours. pour rien au monde je l'échangerais. Elle n'avait pas le droit de m'abandonner. C'était la mienne, c'était ma femme, mon amour et mon oxygène. Celui qui me la vole sera mort sur le champ. Je venais ensuite l'embrasser puis mes lèvres descendirent le long de son cou. Tu crois qu'on a le droit de faire ça ici? lui demandai-je en la défiant alors que je retirais soigneusement les deux ficelles de son dernier tissu de maillot pour la mettre au même niveau que moi. Je reculais pour appuyer mon dos contre le bord pour me servir d'appui alors que Leevy était toujours assise sur mes cuisses. Ma troisième jambe ne tarda pas à lui dire bonjour et je souriais comme un gamin, fière de lui montrer que mon petit soldat fonctionnait toujours aussi bien. Je caressais ses fesses et je frottais mon bassin contre le sien tout en déposant des baisers sur son épaule. J'ai jamais fait l'amour dans un jacuzzi... tu m'apprends? je mordillais le lobe de son oreille puis je décalais mon visage pour coller mon front contre le sien. J'avais terriblement envie de la retrouver, ma Leevy, et cette fois-ci, c'était tout bonnement impossible d'avoir un blocage.

(Invité)