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(charlie) + into the wild.

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Tu l'observais d'un air furibond, ne comprenant pas pourquoi dans toute cette histoire c'était lui qui était le plus énervé alors qu'il venait d'ouvertement insinuer que tu étais une femme facile et menteuse. Toi tu avais largement le droit de péter ton câble, mais pas lui. Aussi têtu qu'une mule le français refusait de concevoir ne serait ce l'idée que tu avais raison. Autant parler à un mur, et encore ce dernier savait écouter. Et rien que pour ça tu avais très envie de lui foutre une claque. Pas qu'à lui d'ailleurs mais aussi à ce con d'Adriel pour avoir osé raconter de telles conneries. Ton visage était devenu tout rouge, pas seulement à cause de cette chaleur de folie. "Primo ce n'est PAS mon petit copain. Deuxio, il doit prendre ses rêves pour la réalité, parce que la seule raison que j'aurais pour approcher mes lèvres des siennes se seraient pour lui sauver la vie, et là encore je préfèrais limite le laisser crever. Et si je l'avais fait avec lui, gosh je me serais jeté par la fenêtre, parce que sérieux j'aurais perdu toute estime de moi-même. Après ouai je peux très bien te mentir, mais je ne vois pas l'utilité. Donc tout ce que je peux dire c'est que la confiance ça se mérite." Tu avais dit tout cela dans un souffle, parlant vite, surement trop vite. C'était tout simplement une rivière de sentiment qui était en train de reprendre le dessus. Tu avais envie d'ancrer chacun de tes mots dans sa cervelle pour qu'il ne les oublis jamais. "Et si tu veux tout savoir j'ai pas couché avec un mec depuis deux ans, alors tu vois de ce coté là c'est un peu le sahara. " Tu croisais à ton tour tes bras contre ta poitrine, surprise par ta propre révélation. Sérieux ça en était gênant quand même. Et puisque de toute façon il semblait te prendre pour une puta de service, tu décidais de jouer le jeu jusqu'au bout. Ni de une, ni de deux, tu enlèvas ta robe, dévoilant ainsi aux yeux de tous ta petite lingerie: string et soutien-gorge. Tu jetais cette dernière violemment sur le sac, imitant le winthrop avec la bouteille d'eau. Il ne te manquait plus qu'à trouver une pancarte en mode free sex et ça serait parfait. Qu'il aille se faire foutre.
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J'étais dégoutté. Toutes les mauvaises pensées étaient remontées à la surface, faisant comme un ras de marré, emportant tout sur son passage. Je n'étais pas forcément très sympathique mais c'était le but, de comprendre enfin la vérité. C'est donc avec son air mécontente et presque convaincante qu'elle m'expliquait que le mather m'avait tout bonnement mentit. C'était concevable. Mais en ayant tellement ruminé sur le sujet j'avais bien du mal à finalement tout laisser tomber. Non, j'en avais ras le bol de sentir que j'étais à la traîne, que je doutais toujours de ce qu'elle pouvait ressentir pour moi, tellement que j'en devenais paranoïaque. Elle avait eu de relation sexuelle depuis deux ans, mais ça ne voulait pas dire que.. QUOI ? Légèrement sidéré, j'avais ouvert grand les yeux en comprenant qu'elle n'avait exactement rien fait avec un homme de puis l'autre vieux con d'Eliot.. Elle n'avait connu que lui dans sa minuscule vie et bizarrement, je trouvais ça presque mignon. Rien, même pas un petit "touche-touche pipi" ? Pas vu l'anatomie d'un homme depuis tout ce temps ? Elle n'avait vu qu'Alejandro nu ? Pas étonnement qu'elle veuille pas couché avec quelqu'un d'autre après un abruti pareil, ça donne pas envie d'y retourner. Je m'étais tu pendant un long moment en réfléchissant à sa révélation. C'était peut être l'une des raisons pour laquelle elle me rejetait à chaque fois que je voulais aller plus loin, qu'elle avait tellement besoin de temps ? Le problème c'est que le temps m'échappais des mains et je n'étais pas aussi patient que j'aurai voulu l'être. Elle ne cédais pas même grâce à mon physique et encore moins face à ma personnalité. Je pouvais plus rien faire pour elle, et je m'étais fixé une dernière tentative avant le SC. Soit je me prenais un vent mais j'allais pouvoir profiter durant tout le Summer Camp, soit ça marchait et j'allais tout de même profiter mais du autre manière et d'une façon expulsive. Je réfléchissais à tout ça, me morfondant sur mes plans, quand la jeune Cabot sans vraiment comprendre la raison se mit en sous vêtement. Une fois encore, j'en avais perdu ma langue. A croire qu'elle voulait absolument que les animaux en profiter puisque pour le moment j'en étais le seul bénéficiaire. Mon dieu que cette femme est canon, pourquoi elle veut pas partager, sans rire ? J'aime la vue, très bien même, ça me faisait un peu trop d'effet d'ailleurs. J'avais un peu plus chaud, du moins jusqu’à ce que je me reprenne soudainement. Depuis quand elle se fou à poil comme ça ? Même si c'est pour montrer son cul tout à fait parfait, elle n'en avait pas le droit. Ça m'était réservé. Uniquement à moi. Brynn Glücksbourg, tu te rhabille maintenant sinon je te jure que si c'est moi qui le fais, ça va pas être drôle. M'écriais-je sur un ton sévère, me montrant autoritaire et qui plus est, très en colère de son acte. Dans une chambre si elle veut, mais pas en pleine nature ou seulement si une envie sexuelle lui vient et j'étais prêt à parier que ce n'était pas ça.
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Tu fulminais tellement que tu en tremblais presque. Ton corps se arquant, prenant une position défensive.  C'était un mélange de rage et de tristesse. Tu avais l'impression d'être l'une de ses filles qui se laissaient bercer par l'illusion de jolies paroles. Une idiote, qui avait oser y croire. Tout était sans doute trop parfait. Tout était sans doute trop beau. Mais comme d'habitude votre situation ne lui allait pas, toujours à te pousser dans tes retranchements. Mais pour qui il se prenait pour te juger ainsi? Brusquement tu mettais en doute la sincérité de cet homme, et de tout ce que vous aviez vécu jusqu'à présent.  Tu étais figée et étourdie, tu cherchais une issue, pour la première fois de ta vie, tu avais envie de partir le plus loin possible pour éviter une telle confrontation. De lui. Mais la fuite n'était jamais une solution, et malheureusement ne vous apporterait jamais rien de bon.Tu avais donc pris une nouvelle inspiration, fermant les yeux quelques secondes le temps de trouver suffisamment de courage pour lui dire ce que tu avais sur le cœur. Et voilà que tous ces mots étaient sorti de ta bouche, formant des phrases dont le sens t'échappait presque. Nouveau Silence. Gênant. Tu n'aurais peut-être pas du lui avouer que tu n'avais pas été en tenue de Eve devant un homme depuis si longtemps. De toute façon il n'allait jamais te croire, après tout il ne te faisait pas confiance non? Et comme pour le défier, le pousser à son tour à bout tu t'étais déshabiller devant lui. Ta réponse était claire, précise. "Non."  Tu étais puérile comme toujours, soutenant son regard noir. "J'ai chaud. Je suis énervé." Tu détachais chaque syllabe pour que le beau français comprenne bien ton état d'esprit. Tu attrapais ton sac, que tu remettais sur ton dos presque nu comme pour lui dire que tu étais prête à repartir, direction le refuge des winthrops. Oui tu n'allais pas céder.
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Les esprits s'échauffaient rapidement et aucun de nous deux ne voulait lâcher le morceau. Moi pour cette histoire avec Adriel et sa tenue plutôt provocante et elle pour son envie soudaine de liberté. Je comprenais pas du tout pourquoi elle réagissait de la sorte, à se mettre de but en blanc en sous vêtement devant moi. Définitivement, cette femme était un mystère. Mais je n'allais pas pour autant lâcher mon avis et encore moins l'a laisser se balader dans cette tenue. Elle ne devait pas savoir comment je m'appelle, surtout pour me dire non aussi facilement. Brynn reprenait son sac à dos, prête à retourner où nous étions toujours en sous vêtement. En string, les fesses à l'air. Je ne crois pas non. Et sa seule excuse ? La colère et la chaleur. Je me fou pas à poil parce que j'ai chaud et dieu sait que j'en étais capable. Fronçant les sourcils, je m'approchais d'elle et lui attrapait le bras afin de l'a retenir. Je commençais vraiment à sentir que la journée tournait mal, je ne jouais plus du tout. La réalité avait dépassé la fiction. Serrant son bras afin qu'elle ne bouge pas, je ne lui laissais pas le choix, l'obligeant sous la contrainte. J'attrapais de mon autre main mon tee-shirt pour lui enfiler sans lui laisser un instant de répit. Mon vêtement était beaucoup plus grand que le sien, ce qui lui ferait guise de robe, cachant ainsi sa nudité. Je tirais même sur le bas du tee-shirt afin que ses jolies fesses ne soient vues par personne d'autre. « Franchement Brynn t'es vraiment mais sacrément chiante, putain. » Répondis-je dans ma langue maternelle. Je ne m'en rendais pas vraiment compte puisque l'énervement avait atteint une limite encore affranchit jusqu'ici et j'avais ce besoin qu'elle m'obéisse.
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Après ton petit numéro tu te sentais forte, capable de tout faire. Un peu comme Queen B quand elle fait ses discours féministes, tu te sentais pour une fois au pouvoir. Alors que tu lui tenais tête avec bravoure, pensant avoir gagné la bataille le jeune homme riposta à ton plus grand désespoir. Sans que tu puisses comprendre ce qu'il se passait, le jeune français t'attrapa le bras avec violence. Il te serrait tellement fort qu'une petite grimace se dessina sur tes lèvres. Tu tentais de bouger, mais rien, tu n'arrivais pas à effectuer ne serait ce qu'un mouvement.  Ce Charlie là tu ne le connaissais pas encore, ou du moins tu l'avais déjà entrevu une fois lorsque vous étiez tous les deux sur la plage. Pourquoi ressentait-il toujours se besoin de tout contrôler? Pourquoi fallait-il que tu t'adaptes toujours à ses désirs et pas le contraire? Comme toujours il te déboussolait, et comme toujours tu appréhendais le moindre de ses gestes. Attrapant son t-shirt il te l'enfila sans vraiment te demander ton avis. Tu tentais de montrer ton désaccord comme tu le pouvais, mais tu te retrouvas bien vite, trop vite dans ses vêtements. Le t-shirt sentait son odeur, et malgré le fait que d'habitude ça te suffisait à reprendre ton calme, là ça t'énervait encore plus. Tu avais le droit de faire ce que tu voulais, tu étais une femme libre de son corps. "Purée mais il pu en plus ton truc. J'le veux pas. Toi qui est jamais content car je ne sais jamais ce que je veux, j'te l'dis j'le veux pas de ton t-shirt." répondis-tu les sourcils froncés, toujours aussi énervé. Tu ignorais ses paroles, que tu ne comprenais pas de toute façon. Mais bon à son ton ça n'avait pas non plus l'air très sympa. Te dégageant tu reculas de quelques pas avant de lui rebalancer son t-shirt à la figure. Wesh tu en voulais pas. Ton regard alla trouver le sien, le défiant.
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Elle refusait mon aide. Balançant mon tee-shirt dans ma direction et me montrant clairement qu'elle se rebellait de son mètre cinquante. Mon sang ne fit qu'un tour. Elle ne voulait pas de ce que je lui apportais, très bien qu'elle se démerde. J'en avais marre de tout ça, de mes efforts pas récompensé, de son soutient absent et de sa connerie humaine. Lui lançant un regard froid, je ramassais mon sac à dos, y balançant la bouteille d'eau pour refermer à l'aide du zip. J'étais arrivé à un point de saturation et parfois je me demandais si je ne m'étais juste pas trompé. Parfois, ça ne marche pas avec une femme et je devais juste l'admettre. Moi j'abandonne, si jamais elle se fait violet ou accoster par les looseurs du coin, très bien, j'en avais juste rien à foutre. « Très bien. Je me casse. » Répliquais-je sur un ton dédaigneux, tout en posant mon sac à dos sur mon épaule. Et c'est sans un regard de plus que je rebroussais chemin, l'a laissant planté là dans sa tenue légère. Si c'était son souhait, pas de soucis, je le respecte mais qu'elle ne s'attende pas à ce que je revienne vers elle. J'ai assez donné, merci.
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Peut-être qu'au fond tes craintes étaient bien fondées, vous étiez tous les deux beaucoup trop différents. Et il fallait venir à l'évidence jamais ça ne marcherait. Charlie était beaucoup trop impulsif et toi, toujours trop tenace à toujours vouloir lui tenir tête. Vous vous tourniez autour depuis suffisamment longtemps maintenant et pourtant tu venais juste de le comprendre. Jamais tu ne pourrais vivre avec quelqu'un de si colérique, ressentant ce besoin de devoir tout contrôler. Tu voulais te sentir libre, sentir que le français te faisait confiance mais ce n'était pas le cas. Et comme d'habitude tu trouvais un moyen de te rebeller, à ta façon. Tout ça n'était qu'une boucle, un éternel recommencement. Lui gueulant, vous vous disputez et toi dans tous tes états. Toujours et encore la même chose. Déjà en Thailande sur la plage, puis à Noël dans ta chambre, sur le bateau et maintenant. Tu observais le winthrop tristement commençant à perdre espoir. En lui. En toi. En vous. Ton coeur se serrait dans ta poitrine, ne sachant pas comment tu devais réagir. Au fond tu l'aimais, mais vous trouviez toujours une façon de vous faire souffrir. Il fallait juste te faire à l'idée. Tu soupiras, comprenant qu'il n'allait pas changer d'avis. "Okay casse toi. Va draguer des putas, ou faire j'sais pas quoi." Tu hurles. Tu pleures. Tu as envie de lui crier pauvre con; mais même ces mots là ne sortent pas de ta bouche. Tu n'avais pas besoin de lui, tu étais une grande fille. Qu'il aille se faire foutre, et ce soir il allait dormir sur le sol mais clairement pas dans votre lit.
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