(charlie) + into the wild.

C'était officiellement ton premier jour en Egypte, et comment dire tu ne tenais tout simplement pas en place. Un sourire enfantin toujours accroché aux lèvres ayant les yeux perpétuellement grands ouverts, et ronds, comme une enfant à qui on montrerait les merveilles du monde, tu t'extasiais devant tout. Tu étais au fond plus que ravi que Charlie ait proposé à toi et pas à une autre de l'accompagner. Puis tu étais d'une très bonne compagnie (aa), et tu t'étais même promis à toi même de ne pas faire de caca nerveux. Oui tu voulais vraiment lui montrer que tu faisais des efforts. Puis tu voulais aussi oublié le petit moment gênant qui c'était déroulé dans l'avion, quand involontairement tu avais attrapé sa main pensant que vous alliez vous scratcher. Pour ta défense, ta peur était plus que fondée et compréhensible vu tous les problèmes d'avions qu'il y avait eu ces derniers temps. Bref, tu avais fait la seule chose que tu faisais toujours, faire comme si rien ne c'était passé. Et dire que la dernier chose que tu aurais vu aurait été sa tronche. Rien que pour ça tu remerciais dieu d'être encore en vie. Après avoir déposé vos affaires dans la chambre, vous aviez décidé de prendre un peu l'air et de se familiariser un peu plus avec cette civilisation. Tu ne connaissais rien du Caire, à part les légendes à la 007 en mode nid d'espions. Tu aimais vraiment cette atmosphère qui se dégageait, même si à ton plus grand désarroi tu ne comprenais strictement rien à ce que les gens autour de toi racontaient. Et pour au moins la quarantième fois en à peine une heure tu t'arrêtais toutes les deux secondes pour prendre des photos du paysage, et oui okay des selfies que tu envoyais à Orlane en mode troooop biiiien. "J'suis trop bête j'ai oublié de prendre mes lunettes de soleil." Ouai tu avais une vie trépidante.

Premier jour d'une longue semaine prévue au Caire et déjà la chaleur plaisante de l'Egypte me donnait la pêche. C'était changeant par rapport à Harvard, même si le soleil revenait peu à peu à Cambridge ainsi que les températures. N'empêche que je me sentais beaucoup mieux ici, on se sentait presque en été. Une fois mes affaires rangé dans ma chambre, celle que je partageais avec Brynn, nous décidions tout deux de faire une marche pour nous détendre après ce long et pénible voyage. Mine de rien, c'était long et bien que ma voisine n'était pas disgracieuse, je supportais mal de voyager avec ce genre de transport. Mine de rien, elle n'était pas pour non plus, elle m'avait tellement serré la main durant atterrissage que j'avais l'impression qu'elle me broyait la main. Prenant les chemins de terre ou plutôt de sable, nous nous aventurions dans la forêt sans vraiment avoir emmené de quoi nous dirigé. Pensant naïvement que le tour serait vite fait, du moins assez pour rentrer manger ce soir. Habillé d'un tee-shirt chiné ainsi qu'un short rouge pétant et qu'un petit sac à dos où de l'eau et quelques autres bricoles s'y trouvait, nous marchions tranquillement. Bien sûr je n'avais pas oublié le plan de Royce, ni le petit con d'Adriel. Je voulais juste que tout se passe bien pour le moment, à voir si ça change ou non. Suite à sa remarque sur ses lunettes, j'haussais un sourcil, elle n'allait pas vraiment en avoir besoin vu la flore présente. Bon dépêche ton cul de Cabot. Répliquais-je en marchant sur une fine branche. Je veux être de retour pour manger, j'ai faim. C'est pas avec la nourriture de l'avion que j'avais pu me rassasier. J'avais tellement faim que c'en était presque incroyable. Et comme Briny voulait sortir et que c'était une attention de sa part si inattendue que je n'avais pu refuser. Elle faisait un effort. Et elle ne s'attendait pas à ma réaction du plan de Royce, je suis un connard, non ?

Vous flâniez dans la ville, profitant de votre première journée ensemble pour visiter. Tu ne disais pas grand chose et lui non plus, vous contentant simplement d'apprécier le moment. Vêtue d'un mini short en jean, et d'un simple t-shirt blanc tu trainais tout de fois un peu la patte, marchant à ton rythme. La marche ce n'était définitivement pas ton truc, et le jeune français l'avait surement déjà compris lors de votre petite escapade au cap vert. Pourtant tu étais là, dehors, à marcher sous un soleil de plomb, transpirant comme un gorille juste pour lui. Franchement qu'est ce que tu ne faisais pas pour ses beaux yeux. Néanmoins, tu admettais que le tout n'était pas trop désagréable, en plus ça te permettait de mater ses fesses parfaites discrètement. Il faut dire que d'où tu étais, tu avais une vue d'enfer. "Wilcox j'peux pas marcher plus vite." Tu roulais les yeux au ciel face à son petit ton autoritaire, accélérant tout de même le pas. Dire qu'en plus tu étais en sandale, même pas des talons et tu n'arrivais pourtant pas à le suivre. Puis de toute façon les règles de base dans la vie étaient les suivantes: on attend toujours une princesse, les princesses ne sont jamais en retard ce sont simplement les autres qui sont trop en avance, tiré tout droit du film Princesse malgré elle avec Anne Hathaway chef d'oeuvre cinématographique. (aa) "Si tu as faim achète toi un truc à manger duh." Bah quoi il était grand, c'était un adulte, il n'avait pas besoin de l'argent de poche de môman pour s'acheter à manger. Sérieux ce mec était une énigme. Surtout que vous n'étiez pas du tout obligé de manger avec les autres. Et après on disait que c'était toi la blonde hein.

Suant devant un soleil de plomb, les arbres haut perchés permettait d'avoir quelques bouffés d'air fraîche pas désagréable. Nous étions pourtant sur un terrain plat, mais c'était loin d'être facile. Brynn, semblait ne pas aimer la marche par contre, et ne suivait pas aussi bien mon rythme, d'où ses mots. Ça veut marcher mais ça ne suit pas ? Demandais-je puisqu'à la base c'était son idée à elle. Et non la mienne. Moi je comptais juste lui faire la misère à ma manière durant ce voyage et non me dépenser, mise à part courir près de la plage très tôt le matin. Sinon c'était une horreur. Arrivant près d'une arbre, je m'arrêtais de marcher en ne sachant quelle voie choisir. Gauche ou droite ? J'étais pas sûr de moi, et puis le temps que ma blonde préférée se ramène, je pouvais m'accorder une petite pause. Ma respiration saccadée, je l'a regardais arriver tout en reprenant mon souffle. Ouais mais j'ai vraiment envie de manger avec les Winthrop. Je ne les voyais plus autant qu'avant, surtout depuis que j'avais quitté la Winthrop House, et que je vivais donc avec mes colocataires. Je me montrais pas forcément très indulgent, ni très amicale, mais ça faisait partie du plan. Je l'a veux, et je suis prêt à tout pour écourter le temps qu'elle comptait me donner. On peut faire une pause si tu le souhaites. Répliquais-je montrant alors que finalement j'avais peut être peur de l'a perdre en chemin. Et puis j'avais besoin d'eau. Enlevant mon sac à dos, j'en sortais une bouteille pour boire goulûment l'intérieur. T'as soif ? Demandais-je en l'a regardant me rejoindre enfin. Elle avait l'ai tellement fatigué par l'effort que je me demandais s'il ne fallait pas faire demi-tour finalement.

Déjà que tu faisais un effort surhumain pour lui faire plaisir, à marcher encore et toujours avec cette chaleur, Charlie osait se plaindre. Namého il ne fallait pas non plus pousser le bouchon hein. À croire qu'il n'était presque pas content de passer ce merveilleux moment en ta compagnie, se la jouant à Grincheux dans Blanche Neige. "Nianiania ." répondis-tu puérilement comme une enfant de deux ans. Tu n'aimais pas vraiment la manière dont il avait dit sa phrase, ayant l'étrange impression que tu étais un peu le boulet qu'il était obligé de se trainer. La prochaine fois tu allais rester dans votre chambre et puis voilà. Passant une main dans tes cheveux, tu attrapas ces derniers pour te faire une queue de cheval, soupirant au passage. D'un coté tu comprenais bien le jeune français qui voulait surement passer plus de temps avec ses frères rouge, et tu ne pouvais décidément pas lui en vouloir pour ça. "De toute façon ce ne sont pas les occasions qui vont manquer non?" Tu te mordillais la lèvre inférieure pensive. Tu ne comptais pas passer touuut le voyage collé à Charlie, oh là que non, déjà que tu devais le supporter dans votre chambre, et lit. Bref tu fus plus que contente lorsque le winthrop te proposa de faire une pause. Tu devais vraiment avoir l'air désespéré comme fille. Si toi tu étais au bord du rouleau, le jeune homme était toujours aussi beau, c'était limite si la marche ne le fatiguait pas. Opinant de la tête tu t'arrêtais net, respirant un grand coup. Si au départ tu avais voulu l'impressionner, tu te rendais bien compte que c'était loin d'être le cas. "Oui s'il te plait, fin j'espère que tu as pas trop bavé dedans."  Petite touche d'humour, qui n'était décidément pas très drôle. Tendant la main pour que monsieur te passe la bouteille, tu demandais. "On va où maintenant? Enfin on fait quoi? Tu veux qu'on fasse demi tour du coup?" Tu fronçais les sourcils partagés par ces deux idées.

Elle ronchonnait. Encore. Pourtant ça me faisait sourire de l'a voir mécontente entrain de marcher jusqu'à moi. J'avais presque envie de l'embêter mais c'était pas le moment. J'avais un autre plan en tête que j'allais mettre tout de suite en place. Je savais que j'allais très certainement l'a perdre mais ça valait le coup. Je veux pas être son pote, ou le mec du coin qu'elle peut embrassé quand bon lui semble, non, ça n'a jamais été mon objectif. « Isabel, elle m'a invité pour votre voyage. Merci pour le numéro. » Le coup de la jalousie, en espérant que ça marche un minimum et puis mine de rien elle ne m'avait pas parlé de son voyage. Pas même invité. Alors que moi je faisais l'effort de le faire, à croire que nous n'avions pas la même définition du mot effort par moment. Sa remarque sur mon envie de retrouver mes frères Winthrop était comme une alarme pour me dire de m'occuper du temps présent. Du moins c'est ainsi que je prenais sa remarque. « C'est vrai. » Finis-je par répondre en tendant ma main avec la bouteille d'eau en sa direction. La forêt dans laquelle nous nous trouvions était bordé par divers arbre et plante créant de l'ombre, ainsi une source de fraîcheur. J'avais chaud, et c'est machinalement que je posais mon sac pour enlever mon tee-shirt pour le fourrer à l'intérieur. Je me sentais beaucoup plus à l'aise comme ça, et puis prendre un peu plus de couleur ne me tuera pas. « Comme si ma bave te dérangeais. » On s'est comme même déjà embrassé, et que je sache elle n'était pas atteint d'herpès comme elle savait si bien le répéter. « Il faut mieux rentrer, si on s'enfonce plus, j'ai peur que nous ne retrouvions pas le chemin. Se serait dommage que tu ne puisse pas retourner à Harvard, surtout pour rejoindre Adriel. » Je fermais mon sac à dos d'une seule traite, ayant prononcé mes mots avec mauvais humeur. Je n'avais pas envie de l'a regarder et encore moins qu'elle lise la déception qui se lisait sur mon visage. Je lâchais ça un peu comme un cheveu dans la soupe mais il était grand temps de mettre cette affaire fâcheuse sur le tapis.

Tu étais vraiment soulagé de prendre cette petite pause, tes jambes ne pouvant pratiquement plus supporter ton poids. Il fallait vraiment te remettre un peu plus au sport, sinon là ça n'allait pas être possible, surtout si tu devais enchainer avec l'Inde. D'ailleurs Charlie, comme s'il avait lu dans tes pensées aborda le sujet de manière très naturel. "Ow oui je sais, elle me l'a dit." Tu lui souris gentiment, tentant de ne pas lui montrer à quel point ça t'énervait qu'il est accepté la proposition. Pas que tu avais spécialement prévu de l'invité, puisque tu avais pensé à Emma ton amie Mather, mais tout de même ça te vexait. Tu ne savais pas qu'Isabel et lui étaient maintenant aussi proche et vivre dans cette ignorance t'énervait. C'était peut-être bête, mais depuis le début tu t'étais mise en tête que tu étais la seule fille qui l'intéressait, la seule cabot, sauf que maintenant tu comprenais que c'était totalement faux. Au final tu avais presque une rivale, et c'était même stupide de la considérer comme tel. Rivale pour quoi d'ailleurs? Toi même tu ne savais pas trop. Mais une pointe de jalousie avait définitivement percé ton petit coeur, et ça aussi ça te contrariait. "Ouai c'est vrai que je l'aime bien ta bave, mais bon pas dans la bouteille." Tu lui lançais un petit regard entendu sur le coté, ne te faisant pas prier pour boire de graaande gorgée d'eau. Gosh que ça faisait du bien, c'était limite le paradis là, tu avais cru mourir sous cette chaleur de ouf. Même que tu faillis tout recracher dans la bouteille, t'étranglant à moitié lorsque tu vis monsieur enlever son t-shirt pour dévoiler sa magnifique musculature. Tu te faisais violence pour ne pas le dévisager, et loucher sur ses abdos de rêve, ouai il fallait être forte. "Ouai tu as raison, surtout que je suis nulle en orientation. Par contre je ne vois pas pourquoi tu me parles de lui." répondis-tu en lui tendant à nouveau la bouteille pour qu'il l'a range. Non franchement tu ne comprenais pas la référence.

Brynn semblait totalement indifférente face à ma petite pique. Elle s'en foutait autant que ça que je sois invité par une autre gonzesse. A croire que je ne l'a touchais pas et ça me rendait fou, c'était insupportable pour moi. J'avais l'impression que je pouvais lui dire que j'avais coucher avec, que ça ne lui ferait ni chaud ni froid. Je soupirai en passant une main sur mon épaule en sentant que ça commençait tout de même à tirer. Mon nez était retroussé puisque j'étais mécontent, et je sentais que la journée allait mal se finir mais il fallait qu'on se dise les choses. C'était important. « Si tu l'aimais autant tu poserais pas tes lèvres sur le goulot de la bouteille mais bien sur mes lèvres. » Répliquais-je en lui envoyant à mon tour un regard entendu. En y repensant je ne l'avais pas embrassé depuis.. Noël, non ? Je ne crois pas qu'au Spring Break un tel contact est pu apparaître, on s'était juste touché. Je me mordillais la lèvre inférieur en sentant la feinte de la jeune femme. Elle ne le connait pas ? Pourtant lui semblait très bien l'a connaître. « T'es sûr ? Parce que lui semblait être très fier d'avoir pu coucher avec toi. Il est venu me le dire, tout heureux de lui. Donc on en revient à un point important, tu te fou pas de ma gueule Brynn ? » Demandais-je en plissant les yeux, prenant la bouteille d'eau rapidement pour la jeter par terre à côté du sac à dos. « Parce que je veux bien t'attendre, mais si c'est pour finalement coucher avec le con du coin, faut me le dire parce que ça m'intéresse plus du tout. » Je n'élevais pas la voix, mais le ton dur que j'employais montrait que je ne rigolais pas. Je voulais bien être cool mais au bout d'un moment, quand on se moque de moi, je ne pouvais juste plus faire semblant. J'avais fait abstraction de ça durant notre rendez vous, et je ne voulais pas le faire aujourd'hui.

Tu ne savais pas du tout ce qu'il venait de se passer dans la tête du rouge, mais son expression avait complètement changé. Il se montrait froid et distant, à croire que tu venais de lui dire quelque chose qui venait de le blesser. Pourtant tu faisais des efforts surhumains pour lui faire plaisir, mais comme d'habitude ce n'étais pas suffisant. Dans un sens tu comprenais bien qu'il veuille plus, mais tu avais vraiment du mal à suivre la liste de ses désirs, bien consciente que tu ne pouvais pas tout lui donner. "Ouai mais je peux pas tu comprends j'ai mes règles de la bouche." répondis-tu aussi méchamment que lui. Etant donné que monsieur croyait que tes petits problèmes étaient toujours une excuse pour tout, tu rejouais cette carte. Oui parfois tu avais envie de l'embrasser, de pouvoir sentir ses lèvres contre les tiennes. Mais bon tu aimais aussi bien pourrir ton bonheur, et tu t'y refusais tout simplement. D'ailleurs, heureusement que tu venais de ranger la bouteille, parce que si tu avais encore eu de l'eau dans la bouche tu aurais tout recraché. Tu étais partagé entre la fureur, surprise et dégout. Comment pouvait-il croire que tu avais osé lui faire une chose pareille? Après touut ce que tu lui avais dit, tout ce que tu étais prête à faire. Cela te donnait envie de vomir. Dire que c'était l'homme à qui tu t'étais le plus livrer, et il remettait tout en question. Surtout avec Adriel, genre ADRIEL quoi. Même drogué, bourré et à demi morte tu ne coucherais jamais avec lui, jaaamais. "Nan mais ça va vraiment pas bien dans ta tête hein. Genre tu crois vraiment que j'ai couché avec ce queutard de première? Tu me débectes. Après tout ce que je t'ai dis, tu crois vraiment que je me fous de ta gueule? Sérieusement? Tu lui lançais un regard noir, vide de sens. Il devait être vraiment naif pour croire le mather, surtout que tu lui avais avoué avec honte que tu n'avais eu qu'une relation sérieuse. C'était limite comme lui dire que tu étais vierge, mais non il en avait rien à faire. "Je vois que tu me fais vachement confiance." À quoi ça servait d'allé plus loin s'il ne te croyait pas? Ne te faisait pas confiance?

"Ouai mais je peux pas tu comprends j'ai mes règles de la bouche." Du très beau, et du très grand Brynn. Je te jure que le jour où ça va changer, et qu'on sera ensemble, elle risquera d'être contente d'avoir ses règles, justement pour faire une pause. J'en pouvais presque plus d'entendre ce mot répété à l'infini pour la disculper du moindre instant. J'étais toujours dans une colère noir, croisant les bras sur ma poitrine tout en attendant ses explications. Oui j'en voulais, j'avais besoin d'en discuter puisque j'avais déjà attendu plus que ce que j'aurai pu en temps normal. Son regard à l'entente de mon annonce était vraiment inattendu, elle semblait surprise et pas du tout contente que je puisse tenir ce genre de discours. « Mais tu peux très bien finalement coucher avec un autre ! Qu'est-ce que je suis censé en savoir moi ? En tout cas ton petit copain est venu me voir et se venter de cet acte. Tu crois vraiment que c'était difficile à comprendre ? Et arrête sil te plaît, tu peux très bien me mentir. » Répliquais-je en secouant la tête légèrement. J'étais un peu de mauvaise foi puisque je couchais avec d'autre femme mais c'était dans l'unique but d'attendre que ma jolie blonde finisse par se lâcher et me tomber dans les bras. L'abstinence ça marche pas vraiment chez moi. « Comment je pourrai Brynn ? Tu me fais déjà toi-même pas confiance. » Répondis-je sur le même ton, elle était pire que moi sur ce coup je vois pas pourquoi je devais appuyer tout ce qu'elle disait.