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The Discussion -- AXEL

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En l’espace de quelques minutes, on se retrouve dans la chambre, allongé sur mon lit, l’un dans les bras de l’autre, en gros Axel dans le creux de mes bras alors que je l’embrasse comme j’aime le faire depuis notre premier baiser, c’est fou comme un simple baiser peu changer tellement de chose. Je lui demande doucement de me parler de ce qui fait ce qu’il est, ce pourquoi il est là. Il commence a pleurer rien que d’y penser. J’ai mal au cœur de le voir ainsi, je le prends dans mes bras, et je le caline, l’incitant à me parler pour qu’il se libère de ce poids qui semble tant le faire souffrir. Il me dit qu’il aimerait oublié cette période, c’est que la raison pour laquelle ses parents ont décidé de venir ici. Pour l’encourager, je lui parle de ma vie.
« Mon passé j’aimerai l’oublié aussi, ne plus souffrir par tous ses souvenirs si douloureux…En europe j’ai laissé ce qui comptait le plus pour moi, mais aussi les pires années de ma vie…Je revois ce cauchemar dès que je ferme les yeux. »

Je crois qu’il ne doit pas comprendre ce que je dis. Je me décolle de lui pour me redresser, je prends dans mon sac une lingette démaquillante et je mets un coup de lingette au niveau du creux de la clavicule pour retirer la couche de fond de teint qui masque une marque de brûlure, certes légère mais marque quand même et ce n’est qu’une seule parmi d’autres qui couvre mon corps, séquelle de l’incendie qui a couté la vie a mon double, mon frère jumeau. Je lui révèle donc que je masque au fond de teint des traces de brûlures.
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Goran & Axel


Tu lui avoues que tu aimerais oublier cette période de ta vie, il te dit que lui aussi il aimerait oublier son passé. Tu pleures dans ses bras, lui aussi il a un passé difficile apparemment. Il te raconte qu'il a laissé en Europe ce qui comptait le plus pour lui. Tu le regardes, les yeux pleins de larmes. Tu te demandes de quoi il parle, il se lève, tu le suis des yeux. Il attrape une lingette démaquillante, tu te poses de plus en plus de questions, tu te demandes pourquoi il fait ça. Il te montre une blessure cachée sous la couche de fond de teint. Tu le regardes avec de grands yeux, il est blessé. Ton Goran est blessé. Tu t'approches de lui, timidement et tu regardes sa blessure. C'est une brûlure. Tu lui demandes doucement en glissant doucement ton doigt dessus, juste pour l'effleurer, du bout du doigt "tu as mal..?", que tu lui demandes, tu n’espères pas. Puis ensuite, tu rajoutes, "racontes moi, qu’est-ce qui s'est passé..?"

Tu l'écoutes en lui tenant la main, prêt à le câliner et le serrer contre toi, ce que tu fais rapidement. Tu le serres dans tes bras et tu lui embrasse le bout du nez timidement Ensuite, tu lui montres ta cicatrice à toi, celle qui te barre le sourcil, puis celle qui t’abîme le menton, juste sous ta lèvre inférieure. Tu lui avoues, "tu sais, moi non plus je n'ai pas une famille normale, j'ai pas de grande famille non plus, il n'y a que moi et mes parents, on est tout les quatre.", que tu lui dis, s'il est bon en math, il verra bien que normalement, tu aurais du dire trois, si il n'y avait que toi et tes parents. Mais le fait est que toi, tu as trois parents, une mère et deux pères.
AVENGEDINCHAINS
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En quelques secondes, en un coup de lingette, je lui montre au niveau de ma clavicule une brûlure, enfin une cicatrice de brûlure. Ce n’est qu’une parmi d’autre. Je vois tout de suite dans ses yeux une inquiétude, et je sens sa main frôler la brûlure, je ne bouge pas, étant une cicatrice, je suis un peu insensible à ce niveau là. Je secoue lentement la tête en prenant sa main doucement dans la mienne. Puis il me demande de lui raconter, ce qui s’est passé cette nuit là, car oui c’était en pleine nuit.
Je me détache de lui pour ouvrir un tiroir de mon bureau et je lui tend une page de journal. Cette page narrait l’affreux incendie d’un pensionnat croate qui couta la vie à plusieurs enfants qui y résidait. Il ne doit pas comprendre ce que je faisais la-bas.
« J’avais 16ans, j’ai réussi a sortir sans blessure…mais Adam n’avait pas pu me suivre alors j’y suis retourner sans réfléchir, je l’ai sorti de cet enfer de flamme mais … C’était trop tard… »

N’arrivant pas a en dire plus. Je lui montre dans l’article le nom des victimes, le nom d’Adam Kabashi, 16ans, était surligné par mes soins.
« En y retournant…mon corps a été recouvert de brûlures que je masque avec le maquillage pour ne pas qu’on voit mes séquelles…je…j’ai peur des flammes à présent, quand je fume…je n’allume pas avec une flamme mais avec mon allume cigare dans ma voiture…Et sur scène, on me donne les cigarettes déjà allumée. »

Ce n’est qu’une partie de mon passé, mais s’il veut en savoir plus sur moi, sur mon passé, sur avant la Croatie, il devra me le demander, car moi je ne pourrais pas. D’ailleurs, il me parle de ses parents et cela m’intercepte, je le regarde.
« Tous les quatre ? Explique moi… »
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Goran & Axel


Il te montre une cicatrice, une brûlure qu'il a dans la zone du cou, t'es horrifié, tu te demandes ce que s'est, comment il a fait ça. Tu lui demandes de te raconter. Il te parle d'un garçon, Adam, au début tu te dis que c'était son petit ami de l'époque. Quelle horreur de perdre l'homme qu'on aime. Dans ses bras en plus. Pauvre Goran... Il te parle d'un incendie, il te montre une coupure de journal. Adam Kabashi. C’est le même nom de famille. Un petit doute te prend, tu regardes l'âge du garçon qui a périt dans l'incendie, seize ans qu'il avait. Tu regardes la date de l'article. Un rapide calcul t'informe que si ce jeune garçon de seize ans serait encore en vie il aurait l'age de Goran. Tu lèves les yeux vers ton coloc. Tu comprends tout. "Mon Dieu, c'était ton frère... jumeaux..." Il te raconte que maintenant, il a peur des flammes, et son corps était couvert de brûlure. Rien que de l'écouter te parler et raconter ça, tu te mets à pleurer pour lui. Tu passes tes bras autour de son torse et tu le serres contre toi en blottissant ton visage contre sa poitrine. Tu sanglotes. "C'est horrible... Je sais pas quoi te dire... Goran.. C'est monstrueux ce que tu as du vivre..." Tu le serres de toutes tes forces contre toi. Ça te fait de la peine, tellement de peine pour lui. Ça te chavire le cœur. Perdre un frère jumeaux doit être une épreuve tellement, tellement difficile.

Tu restes un long moment silencieux, le serrant juste contre toi, déposant de temps a autre un petit baiser sur sa peau. "Et tes parents..?", que tu lui demandes. Que sont-ils devenus, eux? Perdre un fils doit être aussi extrêmement dur.

Le sujet dévie sur tes parents à toi. Tu n'oses pas te décoller de lui, tu restes blottis en lui répondant doucement, "J'ai deux pères et une mère, c'est elle qui m'a porté pendant neuf mois, dans son ventre. On appelle ça une mère porteuse. Elle l'a fait pour mes pères, mais finalement, une fois que je suis né, elle ne voulait pas me laisser, de toute façon, mes pères ne voulaient pas qu'elle me laisse. Toute ma vie j'ai grandis en connaissant ma mère et mes deux pères... J'étais le plus heureux du monde, à la maison, par contre à l'école c'était différent...", que tu lui dis sans trop de détail sur la fin de ta phrase. Il doit déjà te prendre pour un faible, tu n'as pas envie de passer pour un moins que rien à ses yeux.
AVENGEDINCHAINS
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L’histoire de mon passé est enfin révélé à Axel, c’était dure de tout lui dire, surtout par rapport a Adam mais le pire était de lui dire que j’avais tout perdu cette nuit-là. Et que cela m’a fait un bien fou de révéler cela au jeune homme. C’est dur de parler de son passé quand c’est une partie de soi-même qui affecte plus que tout sa personnalité propre, moi cela a tout chamboulé dans ma vie, dans ma vision de vivre. Il pleure, je ferme les yeux en le serrant tout contre lui, des larmes coulent silencieusement sur mes joues, s’écrasant sur le sommet de son crâne, repenser à cette nuit là est absolument horrible. Par la suite il me demande de parler de mes parents, les êtres qui n’ont jamais été là dans ma vie. Je le serre fort dans mes bras.
« Mes parents… ? J’ai jamais eu de parents…Ma mère était alcoolique, si souvent saoule qu’elle en oubliait qu’elle avait les fils…Et mon père…il bossait tellement qu’il passait une heure à tout cassé à la maison… Il s’est barré quand on avait 7ans, je l’ai jamais revu, tout ce que je sais c’est qu’il s’est remarié vu que ma petite sœur a débarqué il y a quelques mois dans ma vie…Et ma mère…A 14ans les services sociaux nous ont enfin retiré de sa garde…toute ma vie j’ai assumé le rôle de chef de famille, je me battais pour qu’Adam ai une vie décente, j’ignore où elle en est aujourd’hui et j’ai aucune envie de le savoir avec le mal qu’elle nous a fait… »

Je le serre tout contre moi alors qu’il passe au récit de son histoire a lui. J’écoute avec attention, et plus il parle, plus je le serre contre mon cœur et la fin de ses propos me fait mal. Je comprends tout de suite qu’il était le bouc émissaire de son école. Je pose mes lèvres sur son front, je pose mes lèvres sur son nez, puis je dépose un baiser rassurant sur ses lèvres avant de lui murmurer.
« C’est fini à présent, plus personne ne te fera de mal, je m’occupe de toi à présent, et si quelqu’un à le malheur de te faire du mal, je m’occuperai de son cas personnellement, tu es sous ma protection mon petit Axel… »
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Goran & Axel


Il te raconte son passé, tu l'écoutes en le serrant fort contre toi. L'écouter te raconter tous ces malheurs, ça te fait pleurer à chaudes larmes. Il te parle de ses parents aussi. Le pauvre, il n'a pas eu une enfance vraiment très facile. Tout le temps qu'il parle, tu l’écoutes attentivement, tu le laisses parler sans lui couper la parole. Tu lui tiens la main, à la fin de son récit, tu te blottis fort le visage contre son cou, tu pleures pour lui. Ça te fait vraiment de la peine. Lui aussi il pleure, tu sens ses larmes couler. "Je sais pas quoi dire... C'est vraiment horrible..." que tu murmures entre deux sanglots.

Après, c'est à ton tour de lui raconter ton passée, tu lui parles de tes parents, il devine tout seul que tout se passait mal pour toi, à l'école. Tu le sens te serrer de plus en plus fort contre lui. Il te dit que maintenant, tout ça c'est fini. Il embrasse ton front, ton nez puis tes lèvres. Tu l'embrasses tout doucement en laissant couler tes larmes, qui roulent le long de tes joues. Il te dis qu'il est là pour toi, maintenant et qu'il te protégera contre quiconque te fera du mal. Tu lui chuchotes un petit, "merci mon Goran", prés de l'oreille en restant blottit et collé serré contre son torse, la tête enfouit dans son cou.
AVENGEDINCHAINS
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