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The Discussion -- AXEL

Anonymous

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Depuis l’épisode dans la chambre avec Axel, j’ai fuis comme la peste notre dortoir, dormant à l’appartement avec ma petite sœur ou bien chez un ami qui acceptait de m’héberger pour la nuit. L’histoire avec Axel, j’en ai parlé avec Baba dans un moment de panique totale. Voila donc une semaine que je n’ai plus revu le doux visage d’Axel, je n’arrive pas a me dire autre chose que le faite que je suis un monstre d’avoir abusé de lui, de sa gentillesse j’ai l’impression d’être aller trop loin avec lui, d’avoir franchit une ligne qu’il ne fallait pas. C’est ainsi que bêtement je fuis, montrant une façade faible de moi qui pourtant est habituellement tellement fort, mais là il s’agit d’Axel, ce mec me rend fou et me fait perdre mon contrôle habituel. Comment vais-je faire ? Je l’ignore.
Assis sur le capot de ma voiture, entrain de tirer la dernière latte de ma au moins sixième cigarette depuis que je suis sorti de la salle de cours. Quand je suis en état de stress, je fume comme un pompier, cela a normalement le don de me détendre mais là j’en ai guère l’impression. J’écrase ma cigarette, je jette mon mégot où il faut et je prends mon sac pour entrer dans le hall. Vêtu d’une tenue assez babacool, étonnant pour moi, si on ne connait pas les traits de mon visage personne ne peut me reconnaitre. A vrai dire, je suis tellement épuisé par toutes ses questions en moi que j’ai l’air d’un zombie.
Je sors mon téléphone pour répondre a un message de ma sœur, marchant droit devant moi sans vraiment faire attention, plongé dans mon message. Bon sang, jamais je n’ai été ainsi, tellement mal au sujet d’un homme, D’habitude je domine les situations mais là, avec Axel, j’ai l’impression de perdre tous mes contrôles.
Depuis une semaine je fuis lâchement, cela me fait mal au cœur car prendre soin de lui me manque, mais les images de nos ébats me reviennent et me rappelle combien j’ai été monstrueux d’abuser de son innocence, il était vierge merde quoi !

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Goran & Axel


Fatigué, fatigué, fatigué. Plusieurs jours que tu dors pas, t'as les yeux défoncés par le manque de sommeil, ils sont pas mal rouges aussi, rouges d'avoir trop pleuré. T'es rentré hier, t'étais repartie à Los Angeles. Revoir cette ville t'as foutu le cafard au plus au point. T'as craqué dans les bras de ta mère. T'as pleuré toutes les larmes de ton corps dans ses bras. Tu aurais bien aimé que Goran soit là, ça fait une semaine que tu l'as pas vu, une semaine que tu essayes de l’appeler, une semaine que tu essayes de le joindre ou de le voir. Rien. Ça te mine le moral, carrément ça. Y' plus rien qui va dans ta vie, tout fou le camp. C'était pourtant tellement bien partit. Quand est-ce que tu auras enfin le droit d’être heureux toi, Axel? Tu t'assoies par terre en soupirant et tu caches ta tête entre tes genoux; Heureusement que tes parents sont là, on peu bien compter que sur eux, finalement. T'as passer le week end dans leurs bras. A dormir dans les bras de ta mère, puis regarder un film dans les bras de tes pères. T'as vingt ans et alors? T'as besoin de câlin et d'attention, les seules qui sont aptes à t'en donné ce sont t'es parents. Tu soupires, le visage entre tes genoux et la tête cacher dans tes bras. Tu repenses à Goran, t'as les yeux qui brûlent, qui menace de pleurer d'une seconde à l'autre. Pourquoi il fait ça? Pourquoi il t'abandonne? Pourquoi il t'évite et tu jettes? T'es donc si naïf à ce point, toi, Axel? Tu donnes ta confiance trop facilement, peut-être. C'était ta première fois... T'étais persuadé que Goran serait la bonne personne. Et voilà, ça y ai, t'as une larme qui coule. Ça fallait s'en douter. Finalement ici, c'est pas mieux qu'ailleurs, c'est même peut être pire. Tu vas réfléchir à demander a tes parents à changer d'école, encore une fois.

Goran te fonce dessus, il te voit pas, toi non plus tu l'as pas vu. Toi, t'étais caché entre tes genoux, puis lui il était concentré sur son téléphone. Ça te fait comme un coup de pied, machinalement tu protèges ta tête en te roulant en boule par terre. Question d'habitude. En général, quand tu reçois un coup, y'en a des centaines qui arrivent ensuite. Mais là, les autres coups n'ont pas l'air d'arriver.
AVENGEDINCHAINS
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Je me hais d’avoir fait ca à ce pauvre garçon, je regrette d’avoir été aussi faible, je regrette d’avoir bafoué sa confiance, je me sens mal, il doit me hair, d’avoir pris sa virginité dans un moment de faiblesse. Je me hais d’avoir été un aussi gros salopard avec lui, moi qui le trouvait si adorable, je craquais littéralement face à lui. Je me suis montrer faible et j’ai du brisé ce lien magique qu’il y avait entre nous. J’aimerai pouvoir le revoir, m’excuser pour ma connerie mais j’ai tellement peur qu’il me mette une gifle en me voyant. Je suis un minable d’avoir couché avec lui alors qu’il me faisait confiance.
Je réponds au message jusqu’à trébucher sur quelqu’un, je mets quelques secondes à m’en rendre compte, surtout je manque de tomber sur la fameuse personne, quand je regarde, je reconnais sur le champ la silhouette, le sweet a capuche aussi. Je suis choqué, j’ai peur de lui avoir fait mal. Tout de suite je me mets a sa hauteur, en me baissant, au diable la haine qu’il doit avoir pour moi. Quitte a me prendre une gifle monumental. Je pose ma main dans son dos et je murmure, d’une voix tremblante.
« Axel…Excuse moi…je…je ne voulais pas…je…je t’ai fais mal…pardon… »

A savoir si je parle de maintenant ou de l’autre jour où nous avons fait l’amour comme jamais, je m’attends a me prendre une gifle, je ferme les yeux en attendant sa gifle, luttant pour ne pas laisser mes larmes coulé tellement je me sens mal d’avoir fait ca, d’avoir privé Axel de son innocence. Mais étrangement, aucune gifle ne semble venir.

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Goran & Axel


Les coups n'arrivent toujours pas, à la place, tu entends une voix très très familière et une main rassurante sur ton dos. Tu lèves la tête, les yeux pleins de larmes, encore plus quand tu vois que c'est Goran. Il s'excuse de t'avoir fait mal, il dit qu'il voulait pas. Une larme coule sur ta joue, pourquoi? Est-ce que c'est le soulagement de revoir son visage? Est-ce que c'est la tristesse? L'émotion? La douleur que tu as au cœur en le revoyant. Toutes les questions te reviennent, pourquoi il t'as délaissé, où était-il? Il s'amusait avec un autre naïf comme toi? Il a eu un problème? un truc grave? Pourquoi il t'as pas prévenu? Pourquoi tellement de truc. Au début, t'as l'impression que t'as eu une hallucination, il est là, juste devant toi, après avoir passé une semaine a essayer de le joindre, de lui parler, de le trouver. Tu le vois fermer les yeux. Oh non, non, c'est si beaux yeux, pourquoi il les cache? "Goran...", que tu sanglotes en te remettant à pleurer. Tu te colles sans hésiter contre son torse en te blottissant, ça te fait tellement du bien, t'as l'impression que tout les poids de tes soucis te quittent. "Pourquoi tu es partit?" Tu enfouies ton visage dans son cou en tu passes tes bars autour de sa nuque. Tu murmures, "serre moi fort, je t'en supplie, ne m'abandonne pas encore...". Toi, en tout cas, tu le serres fort, tu lui fais plein de bisous dans le cou, à moitié triste, à moité rassuré, à moitié soulagé, à moitié heureux.

Tu finis par te détacher de lui doucement mais tu t'agrippes à son blouson, t'as peur, t'as peur qu'il s'en aille à nouveau, t'as peur de le voir disparaître, comme par magie. De disparaître aussi rapidement qu'il est venu. Tu le regardes, tu regardes son visage, que c'est bon. Que c'est tellement bon de le revoir en vrai et de ne pas devoir se contenter du minable dessin de lui que tu as fait.
AVENGEDINCHAINS
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Comment faire pour ne plus me sentir sale d’avoir abuser de lui, car oui j’ai clairement l’impression d’avoir abuser de sa gentillesse, de sa douceur, de sa timidité, j’ai l’impression de l’avoir forcé à couché avec moi et que par timidité il n’a pas osé me repousser, comme il ose jamais rien faire. Je me sens si mal d’avoir pu lui faire cela, moi qui l’apprécie tellement, je pourrais donner ma vie pour le savoir heureux. J’ignore pourquoi c’est ainsi mais voilà. J’ai ainsi fuit pendant une semaine, n’arrivant pas a assumer ce que j’avais pu lui faire, ignorant qu’il ne m’en voulait pas.
Je butte sur lui et les choses se passent très vite, il se retrouve dans mes bras, il se colle à moi et me supplie de le serrer fort. Il ne faut pas me le dire deux fois. J’enroule mes bras autour de son corps et je le serre de toutes mes forces contre moi, échappant des larmes en silence, le serrant tellement fort que son corps pourrait craqué sous la pression de mes bras alors qu’il m’a demandé pourquoi je suis partie. Je ne peux que murmurer.
« Je…j’avais tellement honte de moi…ce que je t’ai fais…j’ai été qu’un gros salopard…j’ai pris ton innocence…Je me sens si sale d’avoir abusé de ta confiance, tu avais si confiance en moi et j’ai pris ce que tu chérissais…j’ai profité de ta timidité pour assouvir mes désirs et j’aurai pas du…Oh je m’en veux tellement d’avoir été si faible…tu dois me hair de t’avoir abuser ainsi…J’avais tellement peur que tu me haisses que j’ai fuit pour ne pas que tu tombes sur moi et que tu me haisse en face…je n’aurai pas eu la force d’assumer ta haine… »

Oui je crois vraiment avoir abusé de lui, si seulement je savais qu’il le voulait autant que moi, et que je n’ai rien précipité du tout, que c’était un rapport concentie des deux cotés. De nouveau je perds le contrôle, je l’attire encore plus contre moi et je fixe droit dans les yeux, me retenant de l’embrasser comme j’en ai tant rêvé depuis que j’ai disparu. Je m’en veux tellement.
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Goran & Axel


Goran te serre tellement fort que ça te coupe la respiration, mais tu t'en fiches. Tout ce qui compte c'est que tu es de nouveau contre lui. Cette fois tu pleures de soulagement, ça t'avait tellement manqué, t'avais tellement peur de ne plus jamais connaitre ça. Son odeur, sa chaleur, sa douceur, sa tendresse, tu aimes tellement tout ça. Tu restes collé à lui, blottis au maximum que tu le peux. Tu le regardes. Quand tu lui demandes pourquoi il a fait ça, il te répond qu'il avait honte, il s'insulte même de salopard, il avait peur que tu le haïsses. Tu le regardes avec de grands yeux ronds, la bouche grande ouverte, choqué et étonné d'entendre ce genre de choses. Tu remues la tête de gauche à droite. C'est pas ça du tout, il a tout faux, il t'as pas forcer, jamais. T'avais peur au début, mais après tout allait bien. "Non, non, non, je te haïrais jamais", que tu lui dis en pleurant, tu continues, "tu m'as pas forcé, j’étais pas timide, je le voulais, je voulais que ça soit toi, ma première fois, personne d'autre."

Tu lâches pas son blouson, tu ressers tes poings autour, tu veux pas qu'il s'échappe une deuxième fois. tu baisses pas les yeux, t'aimerais les baisser sous l'intensité de son regarde, à cause de ta timidité. Mais t'es tellement heureux de pouvoir le regarder à nouveau que tu en profites. Tes yeux lui hurle de t'embrasser t'en meure d'envie. Tu veux qu'il t'embrasse. Allez, Goran, embrasse-moi, que ton regard lui cris. "Tu m'as tellement manqué pendant cette semaine.. Je.. J'avais peur que tu sois parti pour toujours..." Timide, tu caches ton visage dans son cou.
AVENGEDINCHAINS
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Alors que je lui lance tout ce que j’ai sur le cœur, tout ce que j’ai pu ressentir pendant cette semaine de pure torture où je me suis senti tellement mal a cause de ce que je pensais avoir fait. Non je ne le fuyais pas, je fuyais plutôt moi-même et mes conneries. J’avais si peur de l’avoir perdu que je refusais que l’instant où il me balancera tout au visage arrive, en me privant de le voir. Dieu sait combien je tremblais quand son nom s’affichait sur mon téléphone, jamais je n’ai supprimé un de ses message, j’ai même du éteindre mon téléphone pour ne pas céder à la tentation de lui répondre. Il me dit enfin la vérité des choses, je le regarde droit dans les yeux, pleurant de soulagement, il ne me hais point. Ce qu’il me dit me touche tellement. Je le serre de nouveau contre moi alors qu’il me dit combien je lui ai manqué et combien il avait peur. Je le regarde dans les yeux.
« Quand ton nom s’affichait j’avais envie de te repondre, mais j’avais tellement honte de moi, que j’avais peur d’affronter ta voix…ton regard… »

Ses yeux me hurlent de l’embrasser. Je ne peux résister bien longtemps, je prends doucement son visage entre mes doigts du moins son menton et je redresse son visage pour venir l’embrasser. Là, au milieu de ce hall bourré de monde mais je m’en fiche, j’en meurs d’envie de ce baiser, je meurs d’envie de le retrouver et lorsque nos lèvres enfin redeviennent siamoises, je me sens de nouveau bien, moi-même et toutes mes craintes s’envolent, je retrouve même une joie de vivre dans les yeux, l’embrasse encore et encore, ma langue cherchant la sienne pour la caresser comme l’autre soir, les gens nous regardent mais peut importe, j’ai retrouvé ma raison de sourire et de continuer d’avancer. Je le serre de nouveau contre moi.
« Oh Axel, toi aussi tu m’as tellement manqué, je te promets de ne plus jamais t’abandonné, je ne le supporterai pas une nouvelle fois… »
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Ça te fait drôle, de le voir pleurer, ça te fait un pincement au cœur. Goran qui pleure, t'as jamais vu ça. Il t'avoue que quand ton nom s'affichait, il avait envie de répondre, mais il avait peur d'entendre ta voix. tu gardes tes poings serré autour de son blouson, tu t'accroches fort. Tu pleures en même temps que lui, tu le regardes, tu meures d'envie qu'il t'embrasse. Il le fait enfin. C'est tellement bon, de retrouver ses lèvres. Goran à beau être un homme hyper doué en cuisine, il ne pourra jamais cuisiner quelque chose de plus délicieux que ses lèvres. Et pourtant, t'es bien placé pour savoir que ses plats sont un régal. Tu passes tes bras autour de sa nuque pour l'avoir le plus contre toi possible. Vos langues se retrouvent enfin, elle danse lentement, l'une contre l'autre, tu soupires de soulagement, c'est tellement bon, tellement agréables, tellement doux, tellement tendre, tellement délicieux, tellement parfait, tellement Goran, en fait. Deux gars en train de se rouler une pelle en pleurant à chaudes larmes dans le hall, ça doit faire jaser et regarder les gens qui passent. Mais pour une fois, tu t'en fous, du regard des gens, tu t'en rends même pas compte finalement, Axel. Tout ce qui t'importe pour le moment, c'est Goran, lui, rien que lui et personne d'autre.

Il te serre fort contre lui, tu te blottit le plus que tu peux dans ses bras, c'est le meilleur des endroit, à tes yeux, c'est tellement agréable. Il te dit que toi aussi tu l'as manqué, il te promet de ne plus jamais t’abandonner car il ne le supporterait pas une nouvelle fois. Tu sanglotes légèrement et tu caches ton visage dans son cou, c'est ici ta place. C'est dans ses bras que tu veux être pour toujours. Tu lui déposes des millions de petits baisers tout doux dans son cou, puis tu finis par relever la tête vers lui en repensant à ce qu'il t'as dit en te cognant dedans. "Tu ne m'a pas fait mal tu sais, j'ai l'habitude..." T'allais lui dire que t'avais l'habitude des oups, que t'avais l'habitude d’être frapper. C'est vrai qu'avec le temps, tout les coups que ton corps a subit, ton seuil de tolérance à la douleur est devenu assez élevé. Tu finis pas ta phrase, t'as peur de gâcher ce beau moment de retrouvaille. Tu as envie de tout lui confier, de lui montrer à quel point tu as confiance en lui, tu es prêt à tout lui dire, à tout faire avec lui; Axel. Mais tu te retiens, parce que en plus, dans ce couloir plein de monde qui passe, c'est pas le moment. Quand ça sera le moment, tu lui avoueras pourquoi tu es venu à Los Angeles, pourquoi tu as des cicatrices par endroit, à commencer par ton sourcil, puis ton menton etc. Tu lui diras que t’étais pas un gosse comme tout les autres et tu lui dira à quel point t'as pas eu d'enfance ni d'adolescence, tu lui diras que toi non plus t'as pas une famille que les autres pourrait qualifier de "normal". Avec Goran, t'as l'impression que ta vie commence juste, que tu commences à peine à vivre et à t'épanouir vraiment.  

Puis y'a ce truc dans ton ventre qui se tord à chaque fois que tu le vois, ça te remue le ventre quand vos regards se trouvent. Y'a ces trois petits mots là, qui te brûlent les lèvres, ça veut sortir, ça va se faire, ça va se faire tout seul. Tu crèves d'envie de les sortir ces trois petits mots. C'est pourtant pas dur. Mais tu flippes, toi, Axel, t'as peur de dire ça, t'as jamais dit ça à personne, personne. Pas même tes parents. T'a peur des répercussions, t'as tellement peur de faire une connerie qui ferait fuir Goran une deuxième fois, tu veux pas lui faire peur en disant ça. Tu te retiens, la seule chose que tu fais c'est murmurer à l'oreille de Goran. "Rentrons...". Parce que oui, il t'as manqué, puis oui, tu le veux rien que pour toi. Puis là, y'a trop de monde.
AVENGEDINCHAINS
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Nos lèvres se retrouvent enfin avec un immense bonheur. Je le sens autant que moi heureux de ses retrouvailles, quand même, cet homme me rend fou. Il fait vraiment de moi un homme faible, moi qui a tellement subi dans ma vie et qui pleure que par sensibilité, pleure pour un homme, moi, Goran Kabashi, l’un des mecs les plus délurés de la ville. Je l’embrasse jusqu’à plus souffle, je recule mon visage du sien et je pose mon front contre le sien en le regardant droit dans les yeux de mes grands yeux bleus pétillants d’un bonheur sans fin.
Il me rassure sur le faite qu’il n’a pas eu mal tout a l’heure, car il a l’habitude, je sourcille face à cela, l’interrogeant du regard, ne comprenant pas sur le coup, je veux savoir pourquoi il dit cela, je refuse de rester sans réponse la dessus. Je le supplie du regard de me dire, mais il se tait, avant de finalement me glisser à l’oreille de rentrer. C’est une chose à ne pas me dire deux fois. Je me lève, d’une traite, l’embarquant avec moi, le tenant par la main et je l’attire jusqu’aux dortoirs, jamais je n’ai traversé l’université aussi rapidement, j’ouvre la porte de notre chambre, je le laisse entrer et j’entre, avant de le soulever dans mes bras et de nous largué tous les deux sur mon lit, je l’attire dans mes bras dans un langoureux baiser avant de murmurer en caressant sa joue.
« Parle moi mon bel Axel, parle moi…et je te parlerai aussi… »

Je parle bien sur des questions qu’il se pose constamment et sur laquelle je ne donne jamais de réponse, comme mon passé, et ce qui me pousse a être tel que je suis. Je parle bien sur de mon enfance affreuse et du traumatisme de mon frère jumeau. Dont je ne parle jamais il a vu plusieurs fois les tatouages de mes phalanges sans comprendre qui était ses Adam et Adrian, je crois qu’il est temps d’être sincère l’un envers l’autre et de ce dire tout ce qui nous fragilise.
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Goran & Axel


Quand tu lui proposes de rentrer, il se lève direct et t’entraîne jusqu'au dortoirs de Lowell, il ouvre la porte en te laissant passer. Tu entres en souriant et tu l'entends fermer la porte. Tu le sens te soulever, tu t'accroches à lui pour pas tomber et tes pieds décollent du sol pour enfin échouer sur le lit de Goran, avec lui-même. Quand il te tire dans ses bras tu t'y blottit et un autre long et langoureux baiser s'invite. Tu passes doucement tes bras autour de sa nuque. Il te caresse la joue et te demande de lui parler, il rajoute qu'il parlera aussi.Tu baisses les yeux et la tête tout de suite. Tu veux pas parler de ton passer, tu vas encore te mettre à pleurer. C'est une période que t'as envie d'oublier, tu ne veux plus y penser. Tu fermes les yeux en penchant la tête pour coller un peu plus ta joue contre sa main. Trop tard, tu y repenses, il suffit d'en parler, d'y penser et les larmes coulent.

Tu soupires et tu rouvres les yeux en murmurant, "C'est une période de ma vie que j'aimerais oublier..". Tes larmes coulent en y repensant, tu te blottis fort dans ses bras. Tu rajoutes doucement, "c'est pour ça que mes parents on voulu qu'on quitte Los Angeles, je suis mieux ici". Tu caches bien ton visage dans son cou en fermant les yeux et en respirant calmement pour essayer de calmer tes pleurs et arrêter de faire couler tes larmes.

Tu finis par te reprendre légèrement et tu le regardes à nouveau, sans pour autant te décoller de lui. Tu colles ton front contre le sien, en le regardant dans les yeux.
AVENGEDINCHAINS
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