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J'arrêtais de faire ce que j'étais en train de faire, autrement dit, tenir mon portable dans ma main, il retomba sur mes draps de mon lit et je me précipitait devant mon dressing pour choisir ce que je pouvais me mettre pour aller la voir. Je passais bien deux minutes à ne plus bouger, mes bras croisés contre ma poitrine avec ma main légèrement surélevé pour laisser un de mes doigts jouer avec mes lèvres en guise de réflexion, je lâchais un petit sourire, j'avais une bien meilleure idée que celle de me prendre la tête avec quoi mettre. J'enlevais le débardeur que j'avais pour le laisser tomber au pied de mon lit, je laissais également tomber au sol le jogging, ni soutien-gorge, ni string, à quoi bon ? J'en met que quand c'est vraiment utile de toute façon et vu où je me rend, j'en aurais pas besoin, je suis nue oui, entièrement nu et c'est le but, la surprendre, je me couvre tout de même pour empêcher les regards pervers quand je serai dehors, un long manteau beige, qui recouvre mon corps jusqu'au quart de mes jambes, surélevées par une paires de louboutins noirs que je viens de mettre, je me regarde dans la glace et je souris, je vais vraiment la surprendre comme ça, je passe en vitesse dans la salle de bain pour me maquiller finement, juste mettre mes lèvres pulpeuses en valeur avec un rouge à lèvres et faire ressortir mes yeux avec du mascara, rien de plus rien de moins, mes cheveux blonds sont libérés de toute coiffure, me voilà prête à sortir de mon appart pour rejoindre la chambre d'Alix sur le campus. J'arrive en pas moins de quinze minutes devant la porte de sa chambre chez la résidence des Dunsters, je toque à sa porte d'une main, l'autre étant prise par mon sac à main, j'ai hâte qu'elle m'ouvre, c'est qu'elle m'a manquée.
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Tu perçois la vie différemment en étant ici. Avant tu voyageais souvent, tout le temps. Trop souvent. T’avais pas un cul pour t’asseoir et d’un côté, tu songes sérieusement au fait que ca doit être à cause de ça que t’as un super cul. Depuis t’es à Harvard, cet à dire depuis septembre. T’es posée, enfin putain. Une vie idéal, dans une des plus grandes universités du monde, avec des gens, pleins de gens que tu ne connais pas. En somme tout ca te plait, t’adores ça. Mais il y ‘a aussi les gens que tu connaissais déjà, d’avant. A part tes frères. A croire que le monde les a tous réunis ici. C’était ton comité d’arrivée. VIP l’affaire. Et d’ailleurs dans toutes ces personnes y’en a bien quelqu’un qui sortent du ot. Tabitha, par exemple. Le gros lot cette fille. Oh putain, ca dégaine de fille qui vient de loin alors que pas du tout. Son caractère renforcée en chiantise. Mais putain, qu’est ce que tu la trouves bonne. Ses courbes idéales, ses yeux aussi foncés que profonds. Tu peux pas résister à tout ça. Pourtant t’essayes. Elle est trop.. Elle te déconcentre, tout le temps quand il faut pas. T’es une dunster merde, tu peux pas t’accorder d’être attirée par tout et tout le monde. En parlant du loup.. T’as pas su résister à al tentation de lui envoyer un sms plutôt explicite dans son genre.. Au quel elle a répondu ce que tu voulais absolument pas qu’elle te réponde. T’aurais juste dû te retenir, ne rien envoyer. Rester le nez dans ton cahier. Elle me promet un truc que j’pourrais adorer.. Encore plus que les cupcake à la carotte ? Même le cul de David Beckham est pas aussi cool qu’un cupcake à la carotte. T’attends sur ton lit, le dos contre le mur, t’es lunettes sur ton nez. Tu soupires en entendant le bruit de la porte. Le bruit de quelqu’un qui semblerait bien être l’ennemi derrière celle ci. Tu tes levée, tes jambes dénudées, ton short en jean qui retombe légèrement sur les formes de tes cuisses. Postée en face de la porte, tu respires un bon coup avant de tourner la poignet pour l’ouvrir, laissant un gros sourire s’afficher sur ton visage. Bonsoir. La p’tite voix chaude et sexy. J’te jure, y’a que toi qui la fait aussi bien. Qu’est ce qui est mieux que des cupcake à la carotte pour entrer ?
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Elle m'avait surpris je dois dire avec son petit message qu'elle m'a envoyée un peu plus tôt, surprise dans le bon sens parce que moi aussi j'avais envie d'elle, en fait je n'avais pas eu envie d'elle avant qu'elle ne m'envoie ce message, j'allais direct à l'essentiel, lui disant clairement que j'allais venir et je suis cette femme qui n'a qu'une parole alors j'ai lâchée mon portable pour me rendre à mon dressing et bloquer pendant cinq minutes pour savoir quoi me mettre. Au final j'ai une idée qui me sort de la tête et qui vient guider mes doigts pour retirer tout ce que je portais sur moi, je me retrouve à poil oui, c'est le but, je me recouvre juste d'un long manteau et je me surélève de quelques centimètres avec des louboutins. Un passage obligé par la salle de bain pour me mette du rouge à lèvres et les mettre en valeur, tout comme mes yeux avec du mascara, une petit dose de parfum et j'étais prête à aller la retrouver chez elle. Fin prête je quittais mon appartement en n'oubliant pas d'emporter mon sac à main puis sur le trajet notre petit discussion par messages continue et elle sera surprise de voir que je peux lui offrir plus que ses cupcakes aux carottes, ça me fait même légèrement rigoler alors que j'arrive à la Dunster House. Devant sa porte, je toque quelques fois avant qu'elle vienne m'ouvrir quelques secondes après et une fois la porte ouverte, je la vois, tellement sexy avec ses lunettes sur le ne, ses jambes quasi dénudées et recouvertes de haut par son petit short en jean « Bonsoir. » ui répondais-je de cette même voix sexy qu'elle avait prise. Sa petite question me fit arquer un sourcil et un sourire ravageur sur les lèvres « Moi. » lui dis-je avant de me rapprocher d'elle en posant mes lèvres sur les siennes, presque un effleurage, passant à côté d'elle pour poser mon sac à main dans l'entrée et de me retourner vers elle « Tu veux savoir quoi exactement chez moi ? » lui demandais-je de cette voix coquine et sensuelle.
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Bonsoir. Elle ta fait cette voix, que tu aimes bien. Cette fois qui te fait à peine frissonner. Tu as à peine souris, t’es lèvres on formé un petit arc de cercle. Autant ne pas trop lui donner d’importance encore non ? Il faut faire frire le poisson, lui montrer que j’ai envie d’elle à p’tite dose pour chauffer. Elle s’est approchée dangereusement de toi, ses lèvres contre les tiennes, tu t’es laissée faire, plutôt contente de ce qu’il vient de se passer. Tu pourrais dire n’importe quoi.. Elle est délicieuse cette nana. Tu vois l’genre. Ses lèvres.. C’est juste une perfection sans nom. La porte refermée derrière elle, tu t’es appuyée contre le porte pour le contempler de bas en haut. Tu veux savoir quoi exactement chez moi ? Qu’est ce qu’elle veut dire par là ? Ton dos côtoie toujours la fermeté de la porte tandis que t’es jambes si douce continue de se frotter entres elles. Tout ce que je sais sur toi me suffit amplement tu sais. Tu regardes ses chaussures. Marque que tu reconnaitrais entre milles. Qu’est ce que tu fais avec des louboutins ? Tu sors après ? Tu comptais me trainer dehors avec toi ? Tu t’es approchée d’elle en évitant au maximum son regard. T’as sortie le grand jeu pour moi ?
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Je sens que je vais adorer ce qui va suivre, non sincèrement, qu'elle m'envoie ce petit sms m'a motivée pour le reste de la journée. Juste pour elle, je me suis mis à poil sous le manteau long que je porte jusqu'à la moitié de mes cuisses, légèrement surélevée par mes louboutins et mise en valeur par le maquillage que je porte, c'est une sorte de trente-et-un rien que pour elle, d'une façon particulière, c'est vrai. Dès qu'elle m'ouvre la porte, je frissonne lorsqu'elle ouvre ses lèvres, sa voix bien à elle,sexy et chaude, graouh quoi non mais merde, cette fille c'est une bombe, ça m'énerve d'être autant accro à elle alors qu'entre nous ça devrait pas être ça. Je m'impose en entrant sans sa permission, elle referme la porte derrière moi et elle se colle à celle-ci, me fixant et je la fixe moi aussi, jouant du regard avec elle en lui demandant ce qu'elle voulait savoir sur moi, je souriais à sa réponse « Oh je sais. » je pense ne pas avoir été bien clair dans mes propos, mais bref passons. « J'ai aucunement l'intention de sortir. » lui répondais-je simplement, elle finissait par se décoller de la porte pour se rapprocher de moi, évitant mon regard mais je fais en sorte de capter son intention en posant mon index sous son menton pour le relever et que ses yeux se plantent dans les miens « Bien sur que j'ai sortis le grand jeu pour toi. » je lâchais un petit sourire avant de poser ma main sur sa joue « Enlève mon manteau. » lui demandais-je presque avec domination, je suis sur qu'elle allait adorer cette petite surprise que je lui avais faite, presque autant parfaite que les cupcakes aux carottes.
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Tu t’approches d’elle, un peu trop dangereusement.. C’est toujours risqué de s’approcher d’elle, trop prêt, toujours trop prêt.. Mais sa peau t’appelle, son corps te crie dessus. Ses courbes t’insultes pour que tu te ramènes à elle. Elle remonte ton visage vers le sien. T’es yeux clairs dans ses prunelles marron foncée. Bien sur que j'ai sortis le grand jeu pour toi. Ca deviendrait presque une habitude avec cette fille de sortir le grand jeu. C’est du Tabitha tout cracher non ? Du m’as-tu-vu, par excellence. Ca ne te déplait pas, bien que tu ne sois pas vraiment comme ça toi même. Les opposés s’attirent n’est ce pas ? Enlève mon manteau. Tu restes quelques instants bloquée à essayer de comprendre ce qu’elle vient de te dire. Puis un sourire se dessine sur tes lèvres.. Tu aurais presque une idée de ce qui ce cache la dessous. Tu lui lance un regard dès plus explicit, un truc de meuf. T’es mains glissent le long de sa poitrine pour commencer à déboutonner les boutons, plus tu descends plus sa peau se fait remarquer sous le tissu assez épais. Et plus tu descends plus tu sais que t’avais vu juste. Arrivée enfin tout en bas tu t’es mise à ricaner gentiment. T’es pas croyable, tu le sais ça ? Elle te pousse dans tes tentations cette nana là.. c’est trop mauvais selon toi. Tu n’avais plus de sous vêtements et tu viens m’en chercher ? Tu garde ton regard vers son visage même si la vue d’en bas, n’est pas si mauvaise. Il faut que t’arrêtes de t’introduire dans ma vie en étant à poil sous ton manteau comme ça. T’as ricané une nouvelle en pensant encore à ce que t’as devant toi.
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Je la voyais se rapprocher de moi, exactement ce que je désirais, qu'elle soit proche de moi, qu'elle me colle, je veux sentir les doses de parfum sur sa nuque, je veux sentir le souffle de ses lèvres, elle me rend dingue, elle n'est clairement plus la meilleure amie que j'ai pu avoir, ça non, elle est beaucoup plus à présent. Alors qu'elle s'était rapprochée, alors qu'elle essayait d'éviter mon regard, mon index se posait sous son menton pour relever son visage et que ses yeux bleus percent mes yeux marrons, qu'elle se perde dans mon regard alors que je lui dis que je sors le grand jeu pour elle, tout le temps je le fais, j'ai beau aimé le sexe masculin comme féminin, elle, c'est ma perle, ma cerise sur le gâteau. Ma main quitte son menton pour remonter sur sa joue et je lui dis d'enlever mon manteau, je la sens perplexe, perdue dans ce que je viens de dire, c'est le but, qu'elle tilte, pendant quelques secondes, elle reste là, immobile, essayant de chercher puis finalement elle semble avoir compris ce que j'ai réellement voulu dire, ses doigts glisse sur ma poitrine où je les sens défaire un par un les boutons de mon manteau et peu à peu ma peau se révèle, elle l'a sa surprise, une femme qui la désire, nue devant elle, n'est-ce pas mieux que de simples cupcakes ? Je crois bien que si. « Oui je le sais. » je souriais faiblement sans quitter son regard, d'ailleurs un regard qui semblait se bisser par moment, la vue le permettait c'est clair et c'était le bu, je voulais qu'elle soit tenter, qu'elle en raffole, je sais que ça l'énervait mais alors sa plus grande erreur fut de m'envoyer ce sms où elle m'a clairement avouer qu'elle avait envie de moi. « Non pas du tout, mes sous-vêtements sont au chaud dans mon dressing, c'était fait exprès de venir comme ça te voir. » provocatrice, tentatrice, séductrice, j'adorais jouer de tout ça, mon physique le permettait et je n'allais pas m'en priver, surtout pas avec elle. « Pourquoi donc, t'aimes pas ? » lui sortais-je, posant mes doigts sur les cotés de mon manteau pour le retirer et le laisser tomber au sol, nue devant elle, avec juste ces escarpins à mes pieds qui me rendait légèrement plus grande qu'elle, je souriais, passant mon index sur ses lèvres pulpeuses, les effleurant « Si ça te déstabilise tant, tu n'auras pas du m'envoyer que t'avais envie de moi, je t'ai pris au mot. » c'était le cas de le dire, j'avais tout faire pour qu'elle est envie de moi.
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Cette fille elle est.. Tout ce que tu voudrais pas être finalement. Non c’est pas méchant.. Non. C’est réaliste. Et ca c’est la bonne excuse. Tu ne voudrais pas devenir comme ça, dans le sens ou tu voudrais pas te pointer chez quelqu’une en manteau à moitié à poil, à poil même. Tu voudrais pas collection les mecs comme elle. Dans un sens tu ne pourrais presque pas du tout l’apprécier maintenant à ce stade de ta vie. Mais.. Tu sais aussi que t’es trop attirée par elle. T’es plus tournée vers les mecs d’ailleurs, ca c’est clair, mais les filles aussi, c’est différent, c’est passionnant. Et elle, elle t’en a fait découvrir des choses. Déjà le fait que peut être autant attirée par quelqu’un. Non pas du tout, mes sous-vêtements sont au chaud dans mon dressing, c'était fait exprès de venir comme ça te voir. T’as soupiré en maintenant mon regard dans le sien. Pourquoi donc, t'aimes pas ? Si elle savait a quelle point elle est entrain de te faire souffrir là. Tu veux pas lui tomber dans les bras comme tu le fais tout le temps avec elle. C’est trop une faiblesse pour toi. Elle a laissé tombé son manteau sur le sol, tu la regardé tombé, délicatement, le bruit de sa chute, résonne dans ta tête. Son doigt effleure tes lèvres. T’as un mouvement de recule assez spontané que t’as pas vraiment commandé. Si ça te déstabilise tant, tu n'auras pas du m'envoyer que t'avais envie de moi, je t'ai pris au mot. Ta main s’est glissée assez rapidement dans le creux de ses hanches, ton bras autour de sa taille, l’autre bras de libre se pli vers son visage, la paume de ta main qui caresse sa joue. Vos visages à quelques centimètres, de nouveau. Ecoutes, on a fait une erreur une fois. On n’aurait pas dû. J’aurais pas dû.. Maintenant tu monopolises trop mes pensées. Et putain, merde, t’adores ca en fin de compte. Ton emprise sur elle se resserre d’un geste vif, tes lèvres rejoins les siennes pour au baisé assez sauvage. Puis tu t’es reculée en ramassant son manteau pour lui tendre. Maintenant rhabille toi et oublis…
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A la toute base, Alix c'était cette fille que j'ai rencontré au bar tabac, un simple hasard, j'étais là pour acheter mes clopes, elle était juste derrière moi et le feeling est venu direct, on a parlés, on a encore parlés, on a traînés ensemble jusqu'au final coucher ensemble. Ce fut le déclic pour moi, elle était venu à New-York pour un échange scolaire et sincèrement en elle, j'ai trouvée une meilleure amie pendant toute sa scolarité à New-York enfin pour quelques mois après elle est parti puis elle est revenu et on a encore coucher ensemble et une putain d'attirance de malade est survenue, c'est putain de compliqué avec elle, je suis calée autant sur les mecs que sur les filles et elle est ma perle rare sur les vagins, vraiment. Je suis venu parce qu'elle m'a envoyée ce sms où ses intentions étaient plus que claires, j'ai jouée le jeu, la prenant au mot, lui faire tourner la tete en me ramenant à poil sous mon long manteau, vu l'attirance qu'on a, vu la faiblesse qu'on a l'une pour l'autre, c'était le parfait moyen de répondre à son sms. Je la provoquais, je la séduisais, je la charmais, je la voyais complètement troublée, elle déteste quand une situation survient comme celle-là, d'habitude elle craque à chaque fois, elle me fait prendre mon pied et voilà c'est le kiff quoi mais là, c'est différent, plus distante et j'aime pas ça. Je venais de laisser tomber mon manteau par terre, gardant mon sourire provoquant et coquin, je me suis rapprochée d'elle, effleurant ses lèvres de mon index mais elle recule presque aussitôt et je lui fais comprendre que si elle était autant déstabilisée, elle avait fait une erreur en m'envoyant le sms qu'elle m'a envoyée, ça a peut-être fait tilt parce qu'elle s'est rapprochée, son bras entoure ma taille, l'autre se plie pour laisser sa main caresser ma joue, nos visages sont à quelques centimètres, je frissonne, puis quand elle me dit que coucher ensemble la première fois fut une erreur, j'ai du mal à comprendre, j'arque un sourcil voulant ouvrir les lèvres mais elle les capturait avant, m'embrassant à pleine bouche, sauvagement, je savourais ce baiser, perdant presque même mon souffle. Elle se détache de mes lèvres, s'éloigne et ramasse mon manteau pour me le tendre en me disant de me rhabiller et d'oublier « T'as pas l'air de comprendre. Ça marche pas comme ça. » lui répondais-je presque choquée par ses paroles, je prenais quand même mon manteau pour l'enfiler de nouveau et l'attacher « Qu'est-ce qui t'arrives putain ? » demandais-je intriguée par sa réaction frustrante.
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Tu peux, tu ne veux pas. Tu juges ca top compliqué, c’est pas possible pour toi. T’as trop souffert de pas des sentiments que t’avais, envers une fille ne plus de ça. T’as voulus t’attacher, une seule fois.. Et puis quoi ? Tu t’es fais jeter, comme une vielle merde. Tu peux pas lui en vouloir à cette gonzesse c’était pas réciproque mais la paradoxalement c’est bien le côté trop attaché à toi qui t’effraies chez Tabitha. Tu t’approches d’elle, ta peau contre la sienne, celle dénudée que tu as en face de toi. Tes lèvres ont même été poussées par une sorte de spontanéité soudaine. Prise de court sur toi même, t t’es finalement vite reculée pour lui rendre son seul fringue en lui demandant de tout oublier. Le message, tout ça.. T'as pas l'air de comprendre. Ça marche pas comme ça. T’as soupiré en lui tournant le dos pour arriver à la fenêtre de ta chambre. Ton doigt à tes lèvres, ton autre bras sous ta poitrine. Tu veux qu’elle parte, vraiment. Qu'est-ce qui t'arrives putain ? Tu ne te retourne même pas pour la regarder, lui répondre. Tu veux pas la voir, la tout de suite. Tu veux juste réfléchir. Ok, Tabitha. Enchantée, moi c’est Alix. Finalement tu t’es retournée pour montrer d’un geste de bras toute ta chambre. Une chambre à la dunster house. T’as pris la pile de cours sur ton lit en les faisant voler en l’air à côté de vous. Une dunster qui a de grands projets pour sa vie, qui travaille hyper dur pour réussir. Alix qui sort pas en boite, qui fume pas comme les autres peuvent fumer. T’as baissé les bras pour qu’il retombe contre toi en soupirant. Ecoutes. J’suis pas comme toi, j’ai pas la même vie que toi. Et j’veux pas changer ma vie pour j’sais pas qui. T’as ricané nerveusement en reprenant ton sérieux. Je sais pas ce que tu veux de moi. J’veux pas juste coucher avec toi une fois par semaine ou sous sms. C’pas moi ca tu vois. Tu restes loin d’elle à la regarder, figé. Qu’est ce que tu m’veux ?
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