this night in paradise | ft. marc

« Encore plus prévoyante avec moi j'ai l'impression, enfin depuis que t'es déterminé à avoir ton gosse. » Tu hoches vivement la tête de haut en bas, approuvant ce qu'il vient de dire. Déjà, de nature, tu as toujours été prévoyante et attentionnée. Seulement, maintenant, tu te dois de l'être plus. Enfin, c'est ainsi que tu vois ta grossesse. Et peut-être n'est-ce pas une si mal idée que ça que d'agir de la sorte avec tes proches. Comme Marc. "Faut que j'sois sage, maintenant que j'attends un p'tit.", dis-tu en rigolant, bien que ça t'angoisse, parfois, la pensée de savoir que tu vas être mère d'ici six mois et que peut-être tu seras vraiment nulle pour élever ton propre bébé..« Faut toujours sortir couvert tu sais. » Tu secoues la tête en roulant tes yeux, donnant un léger coup de poing sur l'épaule du jeune homme, sous les couvertures. "J'te rappelle que c'est toi qui m'a arraché mes vêtements, hier soir. Et j'sais pas où ils sont!", grommelles-tu. « JEt bien mademoiselle n'as pas le droit de boire, fallait bien que je boive tes verres puis oui je me suis éclater surtout à te voir dandiner tes belles fesses sur la piste, c'était très distrayant. » Encore une fois, tu roules des yeux, puis d'un regard félin, tu plonges tes yeux dans les siens. "Tsss. Y'a bien rien que toi pour me sortir cette excuse-là. Et puis, faut croire que mes fesses, tu les aimes autant sur la piste de danse que dans ton lit, parce que.. tu peux pas t'passer de moi.", dis-tu à la blague, en jouant de tes doigts sur l'une de ses mains, vraiment trop bien dans ce grand lit pour en sortir, finalement.

Je la connaissais prévoyante, attentionnée mais depuis qu'elle veut son gosse, elle l'est encore plus, une impression qui se vérifie ce matin, toute cette attention qu'elle me porte, j'adore. « C'est vrai qu'avant t'étais loin d'être sage. » je souriais rigolant légèrement avant de la revoir me ramener des cachets d'aspirines, oui elle ne veut pas que j'attrape un mal de crâne, encore une attention que j'adore. Je la ramène vers moi, dans mon lit, sous mes draps et je viens la taquiner sur le fait qu'elle est froid, normal après tout, elle est nue et en guise de réponse, je reçois une légère tape sur l'épaule avec son poing, je rigole légèrement « C'est pas faux, d'ailleurs ils doivent être un peu partout dans la chambre. » c'est vrai que je lui ai arraché ses vêtements, j'aurais pu faire preuve de délicatesse mais j'avais bien bu et disons que l'excitation portait plus que l'attention. Je viens ensuite lui sortir que j'ai en effet passer une bonne soirée, à boire oui, je ne me suis pas gêné et surtout sur le fait qu'elle se dandine sur la piste, elle a des fesses parfaites c'est pas de ma faute, sur tout avec le leggings qu'elle portait, voilà quoi, normal. « C'est vrai, je peux pas me passer de toi. » lui sortais-je en rigolant légèrement avant de l'embrasser de nouveau.

« C'est vrai qu'avant t'étais loin d'être sage. » Tu arbores alors une expression se voulant faussement insultée. Puis, tu lui tires une grimace. Pfff. T'es toujours sage, hein. Quoique.. "Enfin.. j'reste tout de même plus sage que toi, mon cher monsieur.", maugrées-tu en retenant un rire. Vous vous connaissez depuis assez longtemps pour rigoler de la sorte ensemble au lit, sans vous prendre la tête. « C'est pas faux, d'ailleurs ils doivent être un peu partout dans la chambre. » Tu t'étires le cou afin de regarder derrière toi. En effet, t'aperçois ton soutif un peu plus loin. Pour la culotte, le legging, le chandail, et les accessoires, c'est autre chose. Tu les chercheras plus tard. "J'regarderai ça un peu plus tard.", dis-tu, le sourire scotché aux lèvres. À bien y penser, ça t'avait plus qu'il te les arrache, ces foutus vêtement qui gâchaient la proximité des corps. Parfois, le manque de tendresse dans une relation charnelle comme celle-là n'était pas moins plaisant que la douceur. Même que c'était un peu plus excitant. « C'est vrai, je peux pas me passer de toi. » Tu te mords la lèvre, qui est vite capturée par celles de l'Eliot. Ta langue vient à la rencontre de la sienne, tu te plais dans ce nouveau jeu. "Hm, hm..", murmures-tu contre ses lèvres. "J'savais.." Ta main, sous la couverture, se pose sur son torse et caresse du bout des doigts les magnifiques abdominaux que tu t'es plu à admirer, hier. T'aime savoir d'un homme qu'il est capable de prendre soin de lui et de prendre soin de la femme qu'il a dans ses bras, même si ce n'est qu'une conquête.

« Oh ça c'est sur, enfin ça dépend pour quoi, moi aussi je sais être un garçon sage tu sais. » lui sortais-je, sourire aux lèvres, puis sa petite remarque me fit légèrement rigoler, c'est vrai que pour ses fringues je n'y suis pas aller de mains mortes, j'ai été assez direct et sauvage, c'est peut-être pour ça qu'il sont étalés je ne sais où dans la chambre mais bon à ce que je peux voir, ça ne lui pose pas problèmes « Excellente réponse. » je préférais largement qu'elle reste scotché à moi sous mes draps. Que j eme passe d'elle ? Honnêtement, après tout ce temps, non je ne peux pas c'est une amie proche à qui je tiens énormément et je vos pas ma vie sans elle alors je lui avoue, je tiens à elle, un sourire s'étire sur ses lèvres, ses lèvres que je capturent pour un baiser presque passionnel, nos langues dansant ensemble pour quelques secondes avant de l'entendre essayer de murmurer quelque chose, je rompt finalement le contact pour savoir ce qu'elle voulait dire et si c'était juste pour me dire qu'elle le savait que je ne pouvais pas me passer d'elle, j’aurais peu--être du continuer à l'embrasser. Mais bon je sentais sa main se poser sur mon torse, ses doigts caressant les parcelles de mon torse, je frissonnais et je souriais effleurant ses lèvres « Alors qu'à envie de faire la futur maman ? » lui demandais-je, posant moi aussi l'une de mes mains sous les draps, sur sa cuisse.