this night in paradise | ft. marc

Tu te sens t'extirper du sommeil de la plus agréable des façons. Qu'est-ce que ça fait longtemps que tu n'as pas dormi de la sorte. Repue de toute fatigue, tu n'as pas de mal à ouvrir les yeux. Tes pieds s'étirent jusqu'à la toute pointe des orteils, ce qui te fait, inévitablement, pousser un bâillement. Observant le mur que tu as face à toi, c'est seulement après quelques secondes que tu te rends compte qu'il n'est pas de la même couleur que le tien. Oh. Tu n'es pas dans ta chambre. Sentant finalement un bras autour de toi, tu pivotes la tête complètement à l'opposé, t'étirant le cou pour finalement voir.. Marc. Oh. Tu es chez lui, dans sa chambre. Un mince sourire se dessine sur tes lèvres. Vous vous êtes follement amusé, la veille au soir. Comme souvent, d'ailleurs. Comme depuis longtemps, même. Tu ne veux pas le réveiller, il semble dormir paisiblement. Même qu'il ronfle un peu, ce qui étire tes lèvres en un sourire encore plus flagrant. Ta respiration est le seul son qui parvient à tes oreilles. La sienne aussi. Et ses ronflements. Aucune parole, seulement le calme. Qu'est-ce que c'est... paisible. Ça te fait étrangement du bien. Tu te perds dans tes rêveries, dans ton petit paradis de silence, ne voulant pas bouger de là, de peur que Marc ne se réveille. Tant pis, tu resteras au chaud, confortablement prise dans ses bras et sous les couvertures. Ce n'est pas comme si ça te dérangeait, non plus. Il affiche 7h du matin sur le cadran qui se trouve juste tout près du lit. Au moins, il n'y a pas d'alarme. Ah.. le bonheur des week-ends..

J'étais bien là, je me sentais au chaud, je rêvais de je ne sais quoi, ah si, de mon père qui au final me dit qu'il n'a pas besoin que je reprenne sa firme international qui lui rapporte des milliards de dollars, un rêve, un simple merveilleux rêve, je comprend mieux alors cette expression "c'est beau de rêver". Au final je ne sais plus comment se termine mon rêvé, je suis réveillé parce que je sens mon bras engourdi sous le poids de quelque chose, j'ai du mal à ouvrir les yeux, comme toute personne normale tirer d'un profond sommeil et je me rend compte après quelques instants que mon bras se trouve sous le dos de quelqu'un, une fille plus précisément, Siren et j'avais un petit sourire qui s'étirait le long de mes lèvres quand mes yeux se portaient sur son visage à peine réveillé. « Bonjour. » lui répondis-je d'une voix presque cassé, je retirais mon bras de sous son dos lorsqu'elle bougea légèrement, j'en profitais pour bailler un coup et m'étirer en apercevant une fois après avoir levé les draps légèrement que j'étais nu tout comme Siren, ma mémoire me revenait sur une soirée au Republik bien arrosée et une nuit ici pour le moins torride, d'où nos corps nus, évidemment. « T'es réveillée depuis longtemps ? » lui demandais-je me tournant sur le coté vers elle tirant les draps un peu plus sur moi pour rester au chaud presque collé à elle.

Son odeur, doux parfum viril, te parvient jusqu'aux narines. C'est qu'il sent bon, au petit matin. Tu ne t'en es jamais vraiment aperçue. Ou peut-être n'y as-tu jamais vraiment porté attention. Ça aussi, ça t'apaise drôlement. « Bonjour. » Sa voix rauque et matinale te parvient jusqu'aux oreilles. Il retire son bras de sous ton dos, qui doit être parcouru de milliers de papiers inconfortables. Vous savez, cette sensation qu'on a lorsqu'un de nos membres est engourdi. Tu te retournes enfin vers lui pour lui faire face. "Bon matin." Toujours, tu as ce sourire rayonnant accroché au visage. Encore plus lorsque tu te rappelles, sans trop de difficultés, la veillée d'hier. Toi, tu ne peux pas boire. Un verre, sans plus. Et même encore, très rarement. À cause du bébé... Le bébé t'empêche de faire bien des trucs, mais.. ça en vaut la peine. Parce que tu le veux, ce bébé. Et que tu comptes en prendre soin. « T'es réveillée depuis longtemps ? » Secouant la tête, tu positionnes tes deux mains sur l'oreiller, ta tête s'y posant délicatement dessus, le regardant dans les yeux. "Cinq minutes, peut-être? Bien dormi?", demandes-tu d'une voix délicate. Ça va être tellement dur de sortir de ces couvertures. Pourquoi en avez-vous besoin la nuit, aussi, des couvertures? C'est tellement cruel, comme invention humaine. Puisque la nuit, bien au chaud, vous vous endormez dans les bras de Morphées - ou d'un amant. Et le matin, vous devez vous en extirper, rageusement, pour rencontrer le froid glacial de la pièce. "T'as le bras engourdi?"

Je ne savais plus où j'étais, je venais juste de quitter un rêve que j'espérais tellement réalité pour me retrouver dans un brouillard qui s'éclaircissait peu à peu. J'étais dans ma chambre, je reconnaissais ce plafond, je sentais aussi mon bras engourdi sous le poids d'une magnifique créature, du moins son dos et lorsque mes yeux se posaient sur son visage à peine réveillé, je souriais, me remémorant la soirée et la nuit qu'on a passés ensemble, ce fut très agréable et encore là, ce matin, ça l'était. J'ouvrais mes lèvres pour entamer la conversation, d'une voix rauque et peu matinale mais elle sourit se prenant de politesse pour me dire également bonjour, elle bougea légèrement en sentant que je voulais retirer mon bras de sous son dos, une fois libéré, je le sentais parcourut de fourmi, impossible de le sentir, ça arrive souvent et c'est assez chiant mais je comble ce petit problème en étant près d'elle, au chaud sous mes draps. Je me tourne sur le côté pour lui faire face alors qu'elle vient faire de même et elle 'avoue d'être réveillée depuis très peu de temps c« Ah bah ça va. Un peu mal au reins mais bien dormi. » lui dis-je en rigolant légèrement, disons que cette nuit fut particulièrement agitée et je suis sur que je ne suis pas le seul à éprouvé quelques douleurs musculaires, enfin bref. « Oui, je déteste quand ça arrive. » dis-je sentant peu à peu mon bras revenir, je me rapprochais un peu plus d'elle, mon visage pratiquement collé au sien « T'as passée une bonne soirée hier soir ? » devrais-je lui demander aussi si la nuit fut à son gout ? Je crois que la réponse se lit sur son sourire.

« Ah bah ça va. Un peu mal au reins mais bien dormi. » Avec tout ce qu'il avait pu prendre la veille, normal qu'il ait mal aux reins. Sûrement qu'il avait mal au crâne, aussi. Tu n'avais certes pas ce problème, et pourtant, tout ton corps était tendu, tes muscles douloureux, du fait que tu avais pleinement dansé la veille, autant en compagnie de Marc que de d'autres personnes. "C'est l'important.", souffles-tu, le laissant s'approcher un peu plus de toi, alors que déjà, un très étroit espèce vous sépare. « Oui, je déteste quand ça arrive. » Ta main cherche son bras, et le trouve facilement en tâtant sous les couvertures. Tes doigts se posent sur son bras, près du poignet, massant légèrement afin de faire fuir les vilains papillons qui s'y trouvaient. "Ça devrait aller." Ce genre de truc arrive souvent, mais passe bien rapidement, aussi. « T'as passée une bonne soirée hier soir ? » Clairement, ton sourire en coin répond par lui-même à sa question. "Évidemment." À certains moments, surtout le matin, tu n'es pas très expressive. Tu sens son souffle contre ton visage. "Ta voix rauque te rend très sexy..", glisses-tu en riant alors. "T'as mal à la tête? Tu veux que j'aille te chercher des aspirines?", demandes-tu, le sourire toujours en coin, un sourire malicieux. Après une soirée comme celle-là, pas étonnant s'il avait mal au crâne. Ce qui serait surprenait, c'est qu'il n'ait pas la migraine du hangover.

Honnêtement j'ai super bien dormi mais je sens ce petit mal de crâne se pointer à l'horizon en plus de toutes ces petites douleurs musculaires mais bon je suis pas non plus au bout de ma vie. Je souriais lorsqu'elle me répondait que c'était l'important que j'ai bien dormi, je me rapprochais doucement d'elle pour que nos visages ne soient que plus proches et là je sentais cette attention émaner d'elle, sentant à peine sa main se poser sur mon bras endolori, sentant à peine ses doigts le caresser mais j'aimais ça, ça me faisait sourire « Oh je ne m'inquiète pas. » lui dis-je avant de lui demander si la soirée d'hier soir fut à son goût et je me demandais presque pourquoi je lui avais posé cette question « C'est l'important. » lui répondis-je exactement comme elle avait pu me dire. Sa petite remarque eu le don de me faire légèrement rigoler « Je te remercie. » j'étais bien là, je n'aurais pas penser rcevoir autant d'attention de sa part dès le réveil mais fallait croire qu'en attentant d'avoir son bébé, j'étais le sien « Oh je veux bien. » lui dis-je rapprochant mes lèvres contre les siennes pour un baiser des plus langoureux et sensuel.

« Oh je ne m'inquiète pas. » Il est vrai que tu as toujours un peu agit en gentille protectrice, un peu comme là, quoi. C'est le bon instinct d'une jeune femme qui, déjà petite, n'avait rien d'autre à faire que de se préoccuper des autres, alors que ces "autres" personnes ne se souciaient même pas de toi. Pas même une seconde. « C'est l'important. » Il te répond exactement comme toi, ce qui t'arrache un rictus. L'important, ouais.. Comment tu avais pu danser. Ah, il avait apprécié la vue, le Marc. De voir ton corps bouger contre celui des autres sur la piste l'avait peut-être un peu chauffé à l'avance. Ça n'avait été qu'encore plus bénéfique pour vous plus tard. « Oh je veux bien. » Tu n'as pas le temps de te lever qu'il vient capturer tes lèvres pour un long et langoureux baiser. Ta main glissant sur son épaule, tu te projettes vers lui pour te retrouver à califourchon sur lui. "Ça devrait guérir le mal de crâne, ça.. Mais je préfère tout de même te chercher des aspirines.", souffles-tu en rompant le contact sensuel de vos bouches ensemble. Tu lui fais un clin d'oeil, t'éloignant, pour sortir du lit. Tu en profites pour te dandiner un peu, lui affichant entièrement, avec un plaisir malsain, tes fesses bien rondes et fermes. Tu es déjà complètement nue, ce n'est pas bien difficile, alors. Tu t'éloignes, trouvant la petite pharmacie qu'il garde, tu en sors deux aspirines, cherche un verre d'eau, que tu lui apportes tout deux au lit, un sourire en coin. "Tiens, avale ça." Les lui tendant, tu l'observes, un regard légèrement encore un peu endormi, ce matin.

J'adorais cette attention qu'elle avait avec moi, disons qu'à la base j'ai été choqué et surpris qu'elle me parle de son bébé, oui elle est enceinte et avant même qu'elle m'explique, je voulais défoncer le père mais c'était plus compliqué que ça, enfin bref, au final je m'y suis fais et je dois avouer que sa détermination à avoir ce bébé, l'a fait devenir encore plus câline et attentionné avec moi, je ne vais pas me plaindre, pas du tout. Alors qu'elle me demande si je veux une aspirine, je ne suis pas contre, j'ai dormi certes, bien, mais j'ai quand même ce mal de crâne qui commence à se manifester et avant qu'elle puisse se lever du lit je viens l'embrasser langoureusement, elle ne profite pour bouger et venir se mettre sur moi à califourchon sans quitter mes lèvres. « Mademoiselle es prévoyante, j'adore. » lui dis-je alors que nos lèvres s'étaient quittées, elle se levait de sur moi, quittait les draps et je ne manquais pas une seule seconde la vue nue de ses fesses fermes et rebondie quand elle bougeait jusqu'à la salle de bain. Elle revenait au lit avec un verre d'eau et deux cachets, je souriais « Deux ? Un seul aurait suffit tu sais mais merci. » lui dis-je prenant le verre et les deux cachets pour les mettre dans ma bouche et les accompagner en buvant le verre d'eau. Je repose le verre sur la table de nuit et je prend sa main pour la tirer vers moi et lever les draps pour qu'elle se glisse dessous « JJ'ai pas envie qu'on se lèvent, je veux rester là avec toi au chaud. » lui dis-je souriant, entrelaçant mes doigts aux siens alors que nous étions collés l'un à l'autre, toujours autant nus.

« Mademoiselle es prévoyante, j'adore. » Tu rigoles face à la remarque. Il n'a pas tord. "Toujours, mon chou!", souffles-tu, juste comme tu sors des draps pour aller lui chercher le nécessaire. Vaut mieux prévenir que guérir, comme ta mère disait. Alors avec deux aspirines, ça devrait fait l'affaire. « Deux ? Un seul aurait suffit tu sais mais merci. » Tu penches la tête sur le côté, haussant les épaules, comme il les attrape et les avale d'un trait. Ça lui fera du bien, après tout. D'ici une heure à peine, il ne ressentira plus rien de cette vilaine douleur au crâne. T'aurais pu rester là debout, mais tu étais frigorifiée. Normal, tu es toute nue, le corps entier à l'air libre. Marc le comprend et te tire doucement par la main pour te retrouver sous les draps. Tu ne te feras pas prier longtemps, puisque tu pousses un soupir d'aise en sentant de nouveau cette agréable chaleur te couvrir entièrement. En plus, avec le corps du Eliot contre le tien, rien de mieux pour être au chaud. « JJ'ai pas envie qu'on se lèvent, je veux rester là avec toi au chaud. » Tu souris, reposant ton regard dans le sien. "Bonne idée. J'ai pas envie qu'on s'lève non plus.", dis-tu, en grelottant un peu. Être au chaud, puis sortir du lit, et y retourner.. Le froid avait pris rapidement possession de ton corps. "J'ai tellement froid.", dis-tu en riant, approchant toujours un peu plus ton corps du sien, jusqu'à le sentir complètement contre toi. Enfin, la chaleur corporelle ferait son effet d'ici peu. "J'me souvenais pas t'avoir vu boire comme ça, avant hier, dis donc! Tu t'es éclaté ! "

« Encore plus prévoyante avec moi j'ai l'impression, enfin depuis que t'es déterminé à avoir ton gosse. » lui dis-je sourire aux lèvres avant qu'elle se lève nue, je ne manquais pas le petit dandinement qu'elle m'offrait, je ne manquais rien de tout ça jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans la salle de bain. J'en profitais pour m'étirer de tout mon long avant de la voir revenir avec un verre d'eau et deux cachets d'aspirines, autant d'attention me surprenait de sa part, elle l'était beaucoup plus qu'avant, attentionnée, et j'aimais ça, qui n'aime pas ça hein ? Je prend le verre et les cachets, les avalant d'une traite pour ensuite reposer le verre vide sur la table de nuit et je la récupère à mes côtés sous les draps, au chaud contre moi, pas qu'il faisait froid dans ma chambre mais passer autant de temps collé l'un à l'autre et sous les draps, c'est sur que d'en sortir, peu donner cette impression, une impression qu'elle ressent et je fais en sorte qu'elle disparaisse en me collant contre elle. « Parfait alors. » lui dis-je, ravis de voir qu'elle était de mon avis, je l'entendais ensuite rire en me disant qu'elle avait froid et je me collais alors un peu plus contre elle « Faut toujours sortir couvert tu sais. » à mon tour de lâcher un petit rire, c'est vrai qu'on étaient nues mais ça avait été voulu, disons que c'est plsu pratique pour faire ce qu'on a fait pendant quelques heures cette nuit. « JEt bien mademoiselle n'as pas le droit de boire, fallait bien que je boive tes verres puis oui je me suis éclater surtout à te voir dandiner tes belles fesses sur la piste, c'était très distrayant. » je souriais.