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You look like him.. God damned [Axel]

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You look like him.. God damned


Je tenais son visage entre mes mains, un sourire rassurant aux lèvres. Je voulais juste qu'il me parle, qu'il me dise, qu'il me raconte tout. Le faire craquer, lui faire ressortir toutes ces choses douloureuses afin qu'il se confie, qu'il puisse me faire confiance et croire que j'étais là pour l'aider ; Pauvre petite bête, si douce, si innocente. Ton seul problème était ta ressemblance physique avec Rob, sans ça je t'aurais sans doute laisser tranquille. Dommage.
Quoi qu'il en soit, je ne cessais de le fixer alors qu'il me parlait. Voir une larme couler sur sa joue me rendait intérieurement plus confiant que jamais. Alors je continuais mon cinéma, je continuais de faire mon "gentil monsieur Lewis".

Quelle était cette curieuse marque sur son sourcil ? J'avais déjà pu l'observer, de loin, pensant au simple fait esthétique. Mais non, visiblement c'était bien plus que de la coquetterie ; Une cicatrice ? Intéressant.  Alors qu'il se défaisait de mon emprise, je l'attirais un peu plus vers moi, le serrant dans mes bras doucement, tendrement. Soupirant, un petit sourire aux coins des lèvres alors qu'il me pensait certainement touché par ses pleurs, je répondais..


" Tu n'es plus à Los Angeles Axel... Tu peux me parler de tes craintes, je suis là pour ça, je suis fais pour ça... Je t'ai tout de suite remarqué tu sais ?" Je me reculais un petit peu de sorte à le regarder, puis je repris, essuyant ses quelques larmes avec mon pouce " Je n'aurais jamais remarqué quelqu'un d'inintéressant au passé nul, comme tu dis si bien... Crois-moi ; Tu es différent. Ce sont les autres le problème, pas toi, mh ?"

Je lui frottais le dos, tout en le lâchant et en me relevant. Je fouillais dans ma poche afin d'y sortir un paquet de mouchoir, lui en tendant un. Je me penchais vers lui, m'appuyant sur le rebord de la table. Je jouais au professeur amical, psychologue, de confiance et ça avait l'air de faire son effet. Petit à petit, l'oiseau fait son nid...

" Je ne te force pas, mais il est essentiel de parler, de dire ce que l'on a sur le coeur... Sans ça, notre développement personnel stagne. Tu ne veux pas stagner Axel, si ?" Je me redressais tout en soupirant. Sans lui laisser le temps de répondre, je fini par lui dire, le pointant du doigt " Tu sais quoi ? Ici, ça sonne trop sérieux... Que dirais tu de faire une petite balade avec moi ? Autant que notre matinée nous serve à quelque chose de judicieux.."


© Kaiji
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Gary & Axel


T'as craché le morceau, t'as parlé un peu avec le professeur de théâtre. Repenser à ton passée, te fait pleurer, souvent tu pleures tout seul dans le fond de ton lit. Mais là, tu es devant le professeur. Quand une larme roule sur ta joue, il te prend dans ses bras, doucement. Tu sanglotes légèrement et tu te blottit contre lui. Ça te fait tellement de bien, ça te soulage, t'as vraiment besoin de tendresse toi. Le soulagement te fait lâcher encore quelques larmes, le visage caché contre le torse de Monsieur Lewis. Il te dit que tu n'es plus à Los Angeles, tu le sais bien, mais rien que de repenser à ça, ça te faire pleurer, en plus, t'as peur que ça recommence. Il te rassures, il te consoles en te frottant le dos, il te dis que non, ta vie n'es pas nul ou inintéressante, que tu es différent et que ce n'est pas de ta faute, mais celle des autres. Tu hoches la tête, les joues trempé de larmes, le professeur te regarde et les essuie avec ses pouces, tu fermes les yeux en le laissant faire. Finalement, il se lèves et te donnes un paquet de mouchoir, t'en prends un et tu t'essuies les yeux et les joues avec. Tu sanglotes d'une petite voix tremblotante, "Merci."

Il te dit que c'est essentiel de parler, sinon, le développement stagne. Tu l'écoutes, les yeux rouges, plein de larmes. Il te demandes si tu veux stagner? Tu murmure un petit "non, je veux pas", tout en secouant la tête négativement. Il te propose d'aller te balader un peu, parce que ici, ça fait trop sérieux. Tu acquiesces en hochant la tête, c'est vraie que te promener te fera du bien, ça te changera probablement les idées. Tu t'essuies les yeux et les joues une dernière fois et tu te lèves de la table où tu étais assit. Tu frottes tes yeux avec tes mains et tu demandes au professeur, "on va où?". Tu le suis, il marche pour sortir de la salle, et toi tu le suis, tu le suis à l’extérieur de la salle aussi, tu sais pas trop où il t’emmène, peu importe, de toute façon, tu lui fais confiance. T'as besoin de te changer les idées.

Tu sanglotes une dernière fois en le suivant toujours. T'as même pas regarder où vous alliez, t'es trop plongé dans tes pensées, tu t'es juste contenté de le suivre, machinalement. Est-ce que vous aller aller marcher dehors? Ou alors discuter dans un endroit plus tranquille que le grand théâtre? Tu sais pas, mais une chose est sur, tu as hâte d'arriver à destination, parce que vu que t'as les yeux rouges d'avoir pleurer, les autres te regarde quand tu passes. Vous arrivez enfin à destination, tu regarde Monsieur Lewis et tu lui demandes, "on est où monsieur?"
AVENGEDINCHAINS
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Le voir m'écouter ainsi me gonflait encore plus mon ego ; Cette fois, c'était bon, je le tenais. On ne se confie pas à n'importe qui, et j'imaginais bien que ce petit bonhomme n'avait pas forcément l'habitude de le faire. Du moins pas avec n'importe qui. Intérieurement, je jubilais. Tout en le laissant reprendre ses esprits et sécher ses larmes, je reprenais mes affaires et me dirigeais vers la porte de sortie tout en le faisant passer devant moi. Il me demandait où nous allions, je me contentais de répondre par un sourire malicieux tout en fermant la porte derrière nous.

Nous marchions silencieusement ; Je me permettais de le regarder de temps à autre, celui-ci préférant visiblement regarder ses pieds que droit devant lui. Cette incroyable timidité continuait de m'étonner. Plus j'apprenais à le connaître et plus, finalement, je me rendais compte qu'il n'avait pas forcément quelque chose à voir avec Rob, finalement. Cela dit, c'était déjà trop tard car Axel avait véritablement attiré mon attention. Contrairement aux autres, lorsque je croisais des gens que je considérais "faible", je ne pouvais pas m'empêcher de leur mettre le grappin. Je savais pertinemment que j'arriverais à les manipuler, à les décider, les contrôler... Et il fallait bien avouer que je ressentais le besoin de faire du mal, de détruire le coeur des autres pour tenter de réparer le mien.

Cette sensation de toute puissance me donnait des frissons, comblait cet immense putain de vide qui me rongeait jour et nuit. Soupirant, un grand sourire aux lèvres, nous arrivions enfin face à ma voiture sur le parking du campus. Je sortais mes clés afin d'ouvrir le véhicule et me tournais à présent vers mon petit élève. Me penchant vers lui pour mieux le regarder et être à sa hauteur, je lui répondais tout en lui frôlant le bout du nez avec mon index.


"Devant ma jolie voiture à prix cassé, ha ha !" Me redressant, je repris tout en ouvrant le côté passager "Ne jamais se fier aux apparences, elles sont parfois trompeuses" Je ne croyais pas si bien dire... Faisant premièrement allusion à ma voiture de luxe qui ne l'était, du coup, pas forcément ; Cette phrase avait évidemment un double sens. Jouant avec le feu tout en la disant à voix haute. Je regardais Axel, en lui faisant signe d'entrer dans ma voiture, d'un air toujours aussi rassurant, confiant et protecteur "Allez, monte mon grand. Tu viens d'arriver c'est ça ? Tu ne dois pas forcément connaître les alentours de Cambridge alors.. Et puis, entre-nous, je n'ai aucune envie de rester à Harvard alors que je n'y bosse pas ce matin"

Je faisais le tour afin de rentrer côté conducteur. Plus nous serions loin d'Harvard, mieux ce sera pour moi, pour mon plan, pour mon image. Il était absolument hors de question de me faire repérer ici, que mon comportement paraisse étrange car, évidemment, il l'était. Il l'était toujours. Mais c'était putain de plus fort que moi, je devais agir de la sorte. Comme si le "bon" Gary n'existait plus et laissait place au mauvais, au fourbe, au vicieux.  


© Kaiji
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Gary & Axel


Quand tu es finalement arrivé dehors avec ton professeur de théâtre, tu te sens bien d’être qu'avec lui et ne pas être dévisager par les autres élèves. Sur le parking, tu le suis, il se dirige vers une voiture. Il s’arrête à côté d'une voiture, il te regarde et frôle ton nez en te disant que c'est sa voiture à prix cassée. Tu te mets à rire légèrement en le regardant. Il te dit que faut pas se fier aux apparences. Tu lui réponds, "au moins, elle roule, c'est ce qu'on demande à une voiture". Tu lui souris et tu montes coté passager, là où il a ouvert la porte. Il te dit de monter, il te demande si tu viens d'arriver et il te dis aussi que tu dois pas connaitre les alentours de Cambridge. "Je connais pas du toutt", que tu lui dis, un grand sourire aux lèvres, espérant secrètement qu'il te fasse visiter la ville. Tu le regardes faire le tour de sa voiture et s'installer au volant. Il démarre et se met à rouler. Tu regardes le paysage, tu te demandes où il va t'emmener et ce qu'il va te montrer. Tu aimerais bien visiter cette ville et apprendre à la connaitre, tu te sens bien, ici, beaucoup mieux qu'à Los Angeles.

Tu le regardes en souriant et tu lui demandes, "on va où? Y'a un truc sympa à visiter?". En regardant le paysage qui défile à travers la fenêtre, tu essaies de deviner, mais c'est quasiment impossible. Il doit y avoir tellement de trucs trop géniaux à visiter à Cambridge. Il finit par se garer, tu sais pas trop combien de temps vous avez roulé, tu te détaches de ta ceinture de sécurité avec un grand sourire impatient. Tu as hâte de voir ce qu'il va te montrer. T'as hâte de découvrir cette nouvelle ville. Tu ouvres la portière et tu descends de la voiture en regardant tout autour de toi. "On est où?", tu lui demandes, tu connais pas de tout cet endroit, t'es jamais venu là. Tu regardes Monsieur Lewis d'un air pressé.
AVENGEDINCHAINS
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