First Meeting. What am I doing here, me? (Goran & Axel)

First Meeting. What am I doing here, me?

Goran & Axel

C'est hyper grand. T'as jamais vu un endroit aussi grand, c'est vraiment énorme Harvard. C'est certain que tu vas te perdre là-dedans plus d'une fois, toi, c'est gigantesque. Un labyrinthe, pour toi. Heureusement que tu as eu le plan à l'entrée et qu'il y a des pancartes indicatrices, sinon tu aurais fait le tour dix fois en tournant en rond. Faut dire aussi que c'est pas le sens de l'orientation qui t'étouffe toi, Axel. Tu pourrais être déjà passé vingt fois dans un endroit que tu t'en rendrais même pas compte. Tu te diriges directement vers les dortoirs de la Lowell House. C'est ta maison, c'est vrai qu'elle te va bien, t'en es content en tout cas. Tu regardes partout autour de toi, tu croises quelques élèves dans les couloirs, machinalement, tu baisses la tête. Mauvais souvenir, d'une seconde à l'autre tu risques de te prendre un coup par derrière la tête. Tu fixes ton plan, comme ça tu gênes personne. Gauche, droite, droite, gauche. Ça y ai, tu y es, il te reste plus qu'à trouver la chambre numéro quatre. Avec un certain Goran Kabashi. Tu vois la porte, tu bloques dessus, tu sais pas trop, tu hésites. T'as honte, t'as peur de déranger ce gars-là. Tu te places devant la porte et tu fermes les yeux en respirant calmement. Tout ce que tu espères c'est que ça ne soit pas une grosse brute violente qui va passer son temps à te taper dessus. Là ça serait un malheur, tu as promis à tes pères que tout se passerait bien et qu'au moindre soucis de cet ordre là, tu les préviendrais et tu demanderais à changer de chambre tout de suite.

Devant la porte, tu arranges ton sac qui est sur ton dos et ta valise dans ta main. Tu frappes à la porte, doucement, timidement. Tu écoutes, en silence si quelqu'un te propose d'entrer. T'entends rien. Merde, t'espères sincèrement que tu réveilles personne. T'as pas envie d'entrer dans une chambre avec un homme de mauvaise humeur parce que tu lui a cassé son cycle de sommeil. T'as plus trop envie de rentrer du coup, tu restes planté comme une nouille sans savoir trop quoi faire. Bon aller tu vas pas t'enraciner là, va falloir que tu rentres à un moment ou à un autre, Axel. Il va pas te bouffer ce Goran, si ça se trouve il est hyper gentil. Peut-être même qu'il il est encore plus timide que toi. Ou alors c'est une sorte de gorille qui frappe sur tout ce qui bouge. Allez arrête de te faire des films, Axel et entre dans cette fichue chambre.

Tu poses ta main sur la poignée et tu la tourne, tout doucement. C'est coincé. Ok. C'est fermé à clé, en fait. Tout ça pour ça, le type n'est même pas là, t'as flippé et t'as attendu pour rien. On t'as donné le double des clés, tu déverrouilles la porte et tu entres doucement dedans. Premier point positif, ça put pas. Tu aurais pu tomber sur un mec négligé, ça pourrait sentir la transpiration, quelle horreur! Ou alors les chaussettes, quelle horreur une deuxième fois! Mais là non, tu as de la chance, ça sent même le parfum et la laque pour cheveux. Tu souris malgré toi, ça te met un peu en confiance malgré tout, tu aimes bien cette odeur. Tu refermes doucement la porte derrière toi et tu t'avances dans la pièce. Deuxième point positif, c'est rangé et c'est pas le bordel là dedans. Tu espères que tes affaires ne vont pas le déranger, tu aimerais bien poser ton chevalet prés de la fenêtre, là-bas. C’est lumineux et bien orienté. Tu visites brièvement la chambre. Il y a un lit avec des vêtements dessus et un lit avec des couvertures pliées au pied, tu supposes facilement que c'est celui-ci le tien. Tu t’assois dessus et tu commences à ranger un peu tes vêtements dans le petit placard qui est accolé à ton lit. En rangeant et en pliant, tu te demandes si ce Goran à été prévenu de ton arrivée ou pas. Si ça se trouve il ne le sait même pas. Tu t’arrêtes dans ton geste, t'étais en train de ranger un jean. Si ça se trouve il veut rester tout seul, t'as pas envie d'imposer ta présence à qui que ce soit. Tu ranges tes affaires c'est bien, mais si ça se trouve, il va falloir que tu les reprennes pour t’installer dans une autre chambre. Tant pis, au moins, ça sera rangé. Voilà, c’est fait, ça aura été rapide.

Tu sais pas trop quelle heure il est, tu sais pas quand est-ce que ce Goran va arriver, ce qu'il fait. Tu ne sais même pas encore qui il est. Toujours est-il que déambuler dans les couloirs et ranger tes affaires rapidement, ça t'as donné chaud, une bonne douche s'impose. Tu vas faire rapidement, avant que ce Goran arrive, en fait. Tu veux vraiment pas déranger, si il ne veut pas de toi ici et que tu utilises sa douche, ça risque de ne pas lui plaire du tout. Tu prends un boxer propre et un jean, ton gel douche et ta serviette de bain et tu prends rapidement une douche en priant pour ne pas que Goran arrive à ce moment-là. Te faire fiche à poil dans le couloir, ça te plairait moyennement, il faut l'avouer.

Faire vite vite, tu y es arrivé, tu enfiles tout aussi vite ton boxer et ton jean. Tu rinces la douche, tu ranges et tu nettoies ce que tu as sali en prenant ta douche. C'est bon, sauvé. Qu'est ce que ça te fais du bien, une bonne douche chaude. Tu te regardes dans le miroir pour arranger tes cheveux. Tu sursautes en le voyant dans le reflet. Y'a un type, tu l'as pas entendu rentrer. Il a des cheveux noirs, il est maquillé, il te regarde. Mais pas méchamment tu penses, du moins tu l’espères de tout cœur, plutôt. Tu rougis direct et tu te retournes vers lui, il est très grand en plus. Tu n'arrives pas à lever les yeux vers lui, t'es trop gêné, t'as peur de le déranger. Il t'a toujours pas foutu de coups de poing en gueulant et en t'insultant, c'est déjà bon signe.

"Salut." Que tu lui dis. Non, tu lui dis pas, tu lui chuchotes presque. Tu souris gentiment, les joues rouges. Ce garçon doit être Goran, il a pas l'air si méchant, déjà, ni trop violent. Et puis il n'a pas l'air de trop vouloir te foutre à la porte. Tu te présentes en osant lever les yeux vers lui. "Je m'appelle Axel Yoan Rockwood. Mais tu peux m’appeler Axel. Enfin, si tu veux, je veux dire. Tu m'appelles comme tu veux." Le fait que tu ne t'ais toujours pas pris de coups te rassures fortement, tu lui souris et tu te diriges vers ton lit en attrapant un débardeur pour l'enfiler, tu lui dis : "Je me suis permis de prendre une petite douche vite fait, ça ne te déranges pas?" Tu essayes de deviner quel âge il pourrait avoir, il a l'air d'être un peu plus vieux que toi quand même.

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Plus tôt dans la semaine, le responsable de la Lowell House m’a apprit qu’un Deuxième année allait se joindre à moi dans la chambre. A vrai dire depuis 10ans, j’étais tout seul dans cette chambre, enfin il y a avait de temps en temps quelqu’un mais ces derniers ne restaient jamais bien longtemps car ils emménageaient en dehors de la maison ou encore car ils cessaient leur études ou d’autres diverses excuses, j’ai fini par ne plus trop m’en soucier, laissant les gens aller et venir dans la chambre, a vrai dire je navigue entre cette chambre et mon appartement où vit ma petite sœur et ses jumeaux.
La journée fut très longue, entre les heures de cours et un moment avec ma professeur de danse pour travailler sur mon prochain show qui doit se faire dans les mois à venir mais l’essentiel c’est qu’on soit vraiment prêt avec mes danseurs. Bref, j’avais trainé plus que prévu avec cette chère Lori ainsi que mes danseurs pour une répétition tous ensemble, finalement tout le monde est retourné chez soi, donc je n’ai pas dérogé à la règle et je retourne dans ma chambre.
Aujourd’hui je n’étais ni provoquant, ni déganté, au contraire, j’étais habillé assez sobre même si ma sobriété est toujours farfelue. J’étais vêtu d’un t-shirt noir, avec une veste en cuir noire, des mitaines en cuirs noirs, un jean en cuir noir avec une ceinture à pic ainsi qu’une paire de bottine noire à talonnette dont le bout était pointu. J’avais mes yeux entourés d’un épais trait noir.
Je passe la porte, je remarque tout de suite le changement dans la chambre, Le petit nouveau est donc arrivé. Je souris et j’entends du mouvement dans la salle de bain. Je m’approche à pas de loup et je me glisse jusqu’à la salle de bain. Et je l’observe quelques secondes. Que dire sur lui ? Il n’est pas bien grand mais autant ne pas se mentir, il est mignon, je remarque tout de suite son tatouage, que je trouve absolument fantastique, je suis un tatoué aussi alors je ne peux qu’apprécier.
Il se retourne, il n’ose même pas me regarder, il a un coté chaton en détresse qui me fait sourire, il me salue, il se présente et essaye de me dire ce qu’il a fait. Il a l’air tout gêné, autant dire que c’est adorable, je ne peux me retenir de sourire. Je m’approche jusqu’à lui et me rend compte qu’en effet il est pas bien grand encore plus de prêt. Je pose ma main naturellement sur son épaule, de l’autre relève d’un geste léger son visage.
« Bienvenue chez toi Axel, et surtout ne te permets rien, fait tout bonnement, c’est chez toi ici, et j’espère que cela le restera longtemps, si tu savais le nombre de coloc que j’ai eu depuis que je suis arrivé ici, je commence à me dire que je dois leur faire peur »

Je ris de bon cœur et lui fait une pitchnette sur le bout du nez de mon index, mais tout léger, avant de m’approcher du miroir pour vérifier le maquillage de mes yeux, passant mon petit doigt pour effacer une bavure avant de me retourner vers lui, souriant.
« Au faite, je m’appelle Goran, mais tu dois déjà le savoir, surtout, si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas, nous sommes coloc à présent. Je suis ravi d’avoir un aussi charmant jeune homme avec moi. »

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Goran & Axel

Gênant et intimidant, ça, ça l'est, c'est certain, lui en revanche, il a l'air à l'aise comparé à toi. Ok, on t'a mit dans la chambre d'un géant, toi t'as l'air d'un nain comparé à lui. Il se met juste face à toi, tu le regardes, les joues encore un peu rouges. Fichue timidité, hein Axel? Toi aussi t'aimerais bien pouvoir être comme lui. Il s'assume, il est bien dans sa peau on dirait, toi aussi t'aimerais être comme ça. Le premier truc que tu remarques, c'est qu'il est vachement tactile, en tout cas. Il pose sa main sur ton épaule et te relève doucement le visage. Ouais tu as tendance à toujours baisser les yeux. Tu regardes ses yeux, à lui, ils sont beaux ses yeux, il en a de la chance, il les a maquillés, il connait ses points forts, on dirait. Il te dit que tu es ici chez toi, qu'il espère que ça le restera longtemps parce que d’après lui, y'a eu pas mal de monde ici. Il dit aussi que peut être il fait peur, que c’est pour ça que personne reste. Tu secoues la tête négativement en souriant tout timidement et tu lui réponds. "Non, tu me fais pas peur à moi." Toi aussi tu appréhendais le fait que ça soit une grosse brute ou ce genre de chose. Tu as de la chance, ce Goran à l'air vraiment gentil en tout cas. Il se met à rire aux éclats et il te fait une pichenette sur le bout du nez. Ça te fait rougir un peu plus, mais c'est pas grave, parce que de toute façon il s'est retourné et éloigné pour aller se regarder dans le miroir. T'en profites pour le regarder de haut en bas, t'aimes bien ses vêtements, en tout cas. C'est un style cool, mais toi tu oserais jamais t’habiller comme ça, les gens doivent tous se retourner sur lui. Tu t’assoies sur ton lit en le regardant faire. Il arrange un peu son maquillage avec ses doigts.

Tu termines de ranger deux ou trois affaires, il se retourne de nouveau vers toi, il te dit qu'il s'appelle Goran, mais que tu dois déjà le savoir. Tu hoches la tête positivement. Tu souris quand il te dit de ne pas hésiter si tu as besoin, que vous êtes maintenant coloc. En revanche, tu ne t'étais pas attendu à ce qu'il te dise que tu es un charmant jeune homme. T'as honte, tu ne te définis pas vraiment comme charmant, toi. Tu sais pas trop si il dit ça pour te taquiner ou si il le pense vraiment. Encore une fois, tu baisses la tête, les joues roses. Tu sais pas trop quoi dire. "Merci." que tu dis tout doucement. Il va penser que t'es franchement ennuyeux et coincé, à force de faire le timide.

Tu te remets debout et tu essayes de vite trouver un truc à dire d'intelligent. Tu te mets à te demander ce qu'il fait comme études. "Tu étudies quoi en fait?", que tu lui demandes. Tu oses lever les yeux vers lui. C'est ta première rencontre ici, et franchement t'en est content, parce que'il te met à l'aise et il a vraiment pas l'air méchant et con, ça c'est génial, si tout le monde pouvait être comme lui ça serait génial, franchement. Il en a de la chance.

Tu regardes ton téléphone, il est encore à l'heure de Los Angeles, mince, faut que tu le mettes à l'heure d'ici. Tu regardes Goran timidement et tu lui demandes, "Est-ce que tu as l'heure, s'il te plait?" Tu sais pas trop à quelle heure tu commences demain. Tout ce que tu sais, c'est que tu commences à fatiguer un peu, mais t'as bien envie de visiter un peu l'établissement avant de te coucher tout de suite. En plus, si ça se trouve, il n'est pas tard du tout, c'est peut-être toi qui est décalé.

AVENGEDINCHAINS

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Je ne suis pas quelqu’un qui se gêne facilement au contraire, il en faut beaucoup pour me faire ressentir une quelconque gêne c’est pour cela que je suis comme je suis, c’est-à-dire une personne haute en couleur qui n’a peur de rien, qui ose tout, qui recule devant aucune difficulté, quand on sait ce que j’ai enduré dans la vie, on comprend que je puisse être un battant mais ne parlons pas de choses qui fâchent. Je lui révèle le secret de la chambre, c’est-à-dire que beaucoup de personne sont passé temporairement dans la chambre sans jamais vraiment rester plus de deux moi maximum. Il faut dire qu’en 10ans j’en ai vu des visages ici. J’ai appris à ne plus me soucier du vide de la chambre mais je suis heureux d’avoir quelqu’un de nouveau, j’avoue que je commençais à me sentir tout seul dans cette grande chambre avec ce lit libre.
Je me mets à rire face à ses propos sur le faite que je fasse peur ou non, me disant que lui il n’a pas peur de moi. Je lui souris à pleine dent, content qu’il me dise ca, je lui dit un merci enjoué avant de m’atteler à vérifier mon maquillage car mon style est une chose auquel je fais pas mal attention, enfin, surtout le maquillage, je suis un peu perfectionniste sur les bords, un peu ? beaucoup oui je crois que la chambre impeccable est une preuve, loin de là l’idée d’être maniaque au contraire. Une fois les retouche faites je me retourne en souriant alors qu’il est assis sur le lit à présent.
Peu importe ce que je dis, il rougit, c’est mignon je trouve, c’est rare les jeunes hommes qui ont cette timidité, j’avoue que je ne l’ai plus depuis longtemps. Je me rapproche de mon lit, le laissant faire ce qu’il a faire et je commence à retirer ma veste car j’avoue avoir un peu chaud tout en levant le regard sur lui.
« Je suis en dernière année de musique et danse, et toi mon petit Axel ? »

Je remets soigneusement ma veste en cuir dans mon armoire, dévoilant en ouvrant la porte une partie de ma garde de robe, assez excentrique et rock, y a de la couleur vive, y a des paillettes, y a des épis en fers, y a des chaines, y a des chaussures à semelle compensé de diverses hauteur de un centimètre à quasiment trente. Ainsi que des talons de femme, et quelques robes et perruques, oui j’ai la mise en plis du parfait mec qui ose tout. J’ai des chapeau enfin vous voyez tout ce qu’on peut trouver dans un dressing d’un déganté comme moi. Bien sur, bien plier dans l’armoire il y a des vêtements un tant sois peu sobre, bien qu’encore assez rock pour le commun des mortel. D’ailleurs je me retourne vers lui quand il me demande l’heure. Je lui souris et naturellement je lui lance mon téléphone pour qu’il voir l’air.
« Tiens, regarde. Dis moi mon beau, tu m’as l’air pas d’ici, je me trompe, d’où viens-tu ? »

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Tu le regardes se remaquiller, il fait ça bien en plus, il doit avoir l'habitude. T'avais essayé toi, un jour, tu t'étais foutu la brosse à mascara dans l’œil, du coup, tu t'étais dit, plus jamais. Il enlève son blouson, intimidé, tu détournes le regard, t'oses pas vraiment le regarder se déshabiller, même s'il enlève que son blouson. Quand tu lui demandes ce qu'il étudie, il te répond qu'il est en dernière année de musique et danse. T'es un peu déçu de savoir qu'il est en dernière année et que l'année prochaine, il ne sera pas là. Tu sais même pas trop pourquoi, parce que tu le connais pas vraiment, en fait, ce Goran. Ça te fait juste un petit pincement au cœur, de savoir que la première personne à qui tu parles et avec qui le courant passe, sera pas là longtemps, finalement. Tu savais bien qu'il était plus âgé que toi. "Moi je suis en deuxième année d'art plastique et design de mode", que tu lui réponds gentiment en rougissant suite à l'adjectif qu'il rajoute devant ton prénom. T'es vachement plus petit que lui, il a raison. T'es bien plus jeune que lui, aussi. Si il fait chant et danse, c'est pas étonnant qu'il ne soit pas timide, il faut être vachement à l'aise pour faire ce genre de choses. Danser et chanter. T'aurais trop honte toi, t'es trop gêné et timide pour faire ça.

Tu le vois ranger son blouson dans son armoire, il a des tonnes de vêtements, ce Goran. Tu regardes rapidement, mais t'as pas envie de passer pour un curieux malpoli. A la place, tu baisses la tête et tu regardes tes mains. Quand tu lui demandes l'heure, il te lance son téléphone, tu le rattrapes au vol. Heureusement que tu as des bons réflexes, manquerait plus que tu rates ton coup et que lui casses son téléphone le premier jour. Tu regardes l'écran du téléphone de Goran et tu mets la même heure sur le tien. Tu rougis de plus belle quand il te dit "mon beau". Toi qui avais commencé à prendre légèrement confiance, ça t'intimide à nouveau. Ah, que ça t’énerve de rougir comme ça pour rien, pour un oui ou pour un non, c’est vraiment pénible. Il te demandes d'où tu viens. C'est vrai, t'es pas d'ici, ça se voit tant que ça? Tu lui réponds en lui tendant son téléphone, "Je viens de Los Angeles. Je suis arrivé ici hier, avec mes parents." Tu dis "mes parents", inutile de rentrer dans les détails pour le moment, pas besoin de s’étaler et de parler de tes pères et de ta mère, les gens le sauront bien assez tôt. Pour une fois que tu te sens bien et accepter dans un établissement, tu vas pas tendre le bâton pour te faire battre. T'as pas honte de tes papas, ça jamais de la vie, ce sont des héros, à tes yeux. Mais t'as pas envie que ça recommence et qu'à cause de ça, ça redevienne comme dans tes anciennes écoles, avec les moqueries et les coups.

Ton téléphone mit à l'heure, tu le poses sur ton oreiller en regardant Goran. Tu sais pas trop ce qu'il va faire. Tu te demandes si il va sortir ce soir ou pas, si tu vas te retrouver seul dans cette chambre? Peut-être qu'il va aller retrouver sa copine, ou son copain. Il y a encore un peu de temps avant de se coucher. Ton ventre se met à grogner légèrement, machinalement tu poses la main sur ton ventre. Mine de rien, avec tout ça, t'as rien mangé depuis que tu es arrivé dans cette ville. T'as aidé tes pères et ta mère a déballer les cartons chez eux, mais t'as rien pu manger sous le stress et l'angoisse d'enter dans une nouvelle école. Maintenant, la faim te rappelle à l'ordre. Tu sais même pas comment ça se passe pour le repas. Tu demandes à Goran, "Tu manges où pendant les repas?"

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Je me maquille depuis que mes 12/13ans alors j’ai développé quelques petites astuces pour un maquillage parfait et assez rapidement car comme beaucoup, je n’aime pas passer trois heures a me pouponner. Je suis un homme d’action alors j’aime quand ces petits détails vont vite. J’attends sa réponse en rangeant donc cette veste dans mon armoire avant qu’il ne me dise ce qu’il fait dans la vie en études. Je souris, je trouve ca chouette comme études. D’ailleurs je ne me retiens pas de le lui dire.
« Ca a l’air génial comme études, j’adore dessiner et coté mode je suis plutôt du genre a faire ma propre mode mais ca a l’air de te plaire c’est bien d’être passionné par ce qu’on fait. »

Je lui souris simplement avant de lui passer le téléphone et s’asseoir sur mon lit, croisant mes jambes et posant mes poignets sur mes genoux, l’écoutant avec attention, j’aime m’intéresser à ce qui m’entoure, c’est le minimum syndical je trouve. Mais je suis quelqu’un, un homme très ouvert aux autres, suffit de voir ma relation avec mes fans, je suis limite ami avec eux tout simplement. Je souris à ses propos.
« Ah, la ville des anges, très belle ville et très belle région, j’y passe lors de certaines de mes tournées. J’imagine que la ville doit te manquer. Moi je viens d’Europe, des Balkans plus précisément. »

Oui ca fait 10ans que je suis ici mais je dois encore avoir un accent de mon pays puisque je parle toujours mes langues natales avec ma petite sœur par exemple, et d’autres personnes. Je repense à ce qu’il a dit, ses parents, il a de la chance d’avoir des parents, je suis sur qu’ils sont une parfaite petite famille, ce que j’aimerai avoir une famille normale, ma seule famille c’est mes neveux et ma petite sœur, mais ne parlons pas de choses tristes. D’ailleurs je récupère mon téléphone alors qu’il me pose une question sur les repas. Question qui a tout son sens quand on a bien entendu la rage de son ventre vis-à-vis de la faim. Bruit qui m’a fait échapper un rire amusé. Je, m’approche de lui pour m’accroupir à ses cotés.
« Ca dépend, parfois je mange à la LH, parfois je rentre à mon appartement en ville pour passer du temps avec ma petite sœur et mes neveux, parfois je mange avec ma troupe au restaurant, c’est assez variable. Aller viens avec moi, je vais nous cuisiner un petit quelque chose, il faut fêter ton arrivée dignement ! Suffit de me dire s’il y a des choses que tu ne peux pas manger ou que tu n’aimes pas »

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Tu lui souris quand tu l'entends dire que c'est génial l'art plastique et le design de mode. Il a raison, c'est un truc qui te branche vachement, ça, toi. Depuis tout petit en plus. "Tu aimes dessiner? Et peindre aussi? Tu fais tes propres vêtements ou pas? Tu sais coudre, alors?", que tu lui demandes, voilà, tu fais ton curieux. Quand un sujet te plait, tu lâches pas le morceau, c'est toujours comme ça. Mais d'habitude tu fais ça avec tes proches, ta famille. Là, ça t'étonne toi-même que tu oses parler autant avec un garçon que tu viens à peine de rencontrer.

Après avoir mis ton téléphone à l'heure, le sujet dévie sur Los Angeles. Tu hausses les épaules à ce qu'il dit, il a raison, mais il a tord en même temps. C'est vrai que c'est une belle ville, mais elle ne te manque pas, bien au contraire, t'es bien heureux de la quitter. "Ça ne me manque pas du tout, pour être honnête, je préfère largement être ici." Il te raconte qu'il va parfois à Los Angeles, en tournée. Il pique ta curiosité, il fait des tournées? T'as envie de lui poser des milliers de questions, mais tu t'abstiens, t'en pose qu'une seule, "Ah, tu fais des tournées?" Dans ta tête, tu te dis qu'il est chanceux, qu'il a dû en voir des pays, tu aimerais beaucoup ça, toi, voyager comme ça. Tu lui souris, il te parle de sa ville à lui. Les Balkans, t'as jamais été là-bas, pour être plus précis, c'est la première fois que tu quittes Los Angeles, en fait, Axel. Il en a de la chance, tu lui demandes, "Tu es grec, alors?"

Ça te fait tout drôle, de pouvoir avoir une conversation "normale" avec quelqu'un, autre que ta famille. Ce Goran doit avoir un don pour mettre les gens à l'aise. C’est peut-être une qualité indispensable pour les études qu'il fait. Le chant et la danse. Tu te rassois sur ton lit, tu rougis quand ton ventre gargouille, en plus ça fait rire Goran, la honte. Tu lui demandes comment ça se passe pour le repas, il te répond que ça change, ça dépend. Il te dit que c’est jamais pareil en fait. Il s'est accroupit à côté de toi pour te répondre, ça te fait rougir, parce que du coup, tu peux pas baisser la tête, ni rien. Du coup tu rougis un peu plus, parce que t'as pas le choix que de le regarder, tout timide. Il te propose de vous faire à manger, tu hoches la tête positivement. "Tu sais cuisiner?" Que tu lui demandes. Toi tu sais pas cuisiner, t'as jamais trop essayé en fait. T'as jamais eu l'occasion de préparer le repas, c'est toujours tes parents qui s'en charge. Faudrait que tu apprennes. "Je peux tout manger.", que tu réponds à Goran quand il te dit que tu n'as qu'à dire si y'a des choses que tu ne peux pas manger. C'est vrai après tout, t'es pas difficile et tu manges de tout.

Tu le regardes, tu vois ses yeux bleus, ils sont beaux ses yeux, t'aimerais bien avoir de beaux yeux comme ça, toi aussi. "Est-ce que je peux t'aider à faire quelque chose?" T'as pas envie de passer pour un profiteur, un nul, un glandeur, ou ce genre de personnes. T'as envie de l'aider, tu veux pas le laisser tout faire, ça te rendrait mal à l'aise. Mais en même temps t'appréhende de faire un truc qu'il ne faut pas et te taper la honte devant Goran parce que tu sais pas faire quoi que ce soit.

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A peine je lui dis que j’aime dessiner et que j’ai un peu ma propre mode, très rock, très provoquant, pour ce qui est costume de scène j’ai une personne qui s’en occupe pour moi mais pour ce qui est vêtements de tous les jours, je bidouille comme je peux pour le rendre encore plus rock. Comme tous les enfants curieux j’ai déjà découpé un jean pour en faire autre chose, mais rien de bien impressionnant, je suis juste du genre a rajouter des accessoires type des pics ou des chaines. Je lui souris en lui répondant calmement et avec amusement.
« J’adore dessiner, peindre j’ai un peu plus de mal. J’ai dessiné tous mes tatouages quasiment, quand aux vêtements, oui et non, je bidouille un peu pour rajouter des choses, mes costumes de scènes sont fait par un professionnel j’y vais assez en freestyle mais j’avoue que j’aimerai bien un jour apprendre à faire mes propres vêtements, ca doit être classe de porter sa production. »

Il attire ma curiosité avec son intérêt, serait-il en mesure lui de m’apprendre tout cela ? Je l’ignore mais je le saurai bien assez tôt. La discussion dérive sur Los Angeles où il m’avoue être content d’y partir, il doit avoir ses raisons, comme moi quitter l’europe était vital pour ma santé mental. Je souris en ne rajoutant rien jusqu’à qu’il me demnde par rapporte aux tournées. Je souris en hochant la tête.
« Oui, de temps en temps en périodes de vacances je pars sur les routes faire des concerts, des shows ailleurs, j’aime partager ma passion, depuis 10ans je vis un vrai bonheur sur scène. »

Mon pays, c’est ma bête noire, mon passé, c’est mes pires cauchemar, je ne souhaite à personne de vivre ce que j’ai vécu, j’en ai encore des séquelles aujourd’hui. Je ris à ce qu’il me dit avant de le corrigé avec malice.
« Non mon beau, mais tu y étais presque. J’ai vécu entre la Serbie et la Croâtie. Et moi aussi je suis bien heureux d’être parti. »

Je n’en dis pas plus et nous passons vite sur le sujet de la bouffe. Je ris a son acceptation et naturellement j’hoche la tête à sa question avant de l’attraper par la main et de le tirer avec moi jusqu’à la cuisine. On entre, elle est vide, personne à l’horizon, chouette, je vais pouvoir cuisiner en paix, je sais que l’odeur va rameuter des gens mais je m’en fiche. Je me tourne vers Axel alors qu’il me demande s’il peut m’aider. Je réfléchis quelques secondes avant de sourire.
« Tu vas mettre une casserole d’eau à chauffer dedans tu mets du sel, une bonne poignée, un peu d’huile et tu mets un couvercle »

Je souris avant de finir de tout sortir et je coupe les oignons et les poivrons aisément avec un grand couteau de cuisine, séparant tout en deux saladiers, on sent dans mes mouvements une habitude de cuisiner, je coupe avec rapidité et aisance, alors que je fini de tout couper je lui demande gentiment de prendre le Wok que j’ai sorti et de faire fondre un bon carré de beurre dedans, a tout petit feu.

(Invité)

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Goran & Axel

Tu l'écoutes en souriant, il a une aisance de dingue pour parler et raconter les choses, c'est fou. Décidément, tu vas finir par être jaloux de lui, toi. T'aimerais bien être comme lui, tu le regardes parler, l'air un peu admiratif. Comment il fait pour être aussi à l'aise, comme ça? Tu te poses la question dans ta tête. Il parle de tatouage, là aussi ça t’intéresse. Il les dessine lui-même, comme toi, en fait. "Tu as quels tatouages?" Que tu lui demande, l'air curieux en regardant ses bras. Si il dessine lui-même et qu'il sait dessiner, ça doit être très joli, y'a pas de doute. Il te raconte aussi que ces vêtements sont fait par un professionnel et qu'il aimerait bien avoir sa propre production. Wahou! Ça s'est classe, par contre, d'avoir quelqu'un qui nous fait nos propres vêtements, au moins, c'est vraiment personnalisé. Tu te dis qu'il doit être riche, si il a un groupe et des professionnels qui travaillent pour lui. Quelle chance il a! Tu le regardes, l'air béat, admiratif, la bouche presque grande ouverte. Tu te rends compte du ridicule de ta réaction et tu refermes la bouche en rougissant. C'est ridicule, faudrait pas qu'il te prenne pour une groupie non plus hein. Il te raconte que pendant les vacances, il part sur les routes pour faire des concerts. Et il dit que ça fait dix ans qu'il fait ça. Tu souffles, l'air impressionner et ébahit. Tu trouves qu'il a une vie intéressante à côté de la tienne. "Tu as de la chance", que tu lui dis en souriant timidement.

Après, il te parle des Balkans, il se met à rire quand tu lui demandes si il est grec. Tu rougis de honte, légèrement, t'aurais mieux fait de te taire si tu connais rien. Il t'appelle encore mon beau, tu baisses légèrement les yeux, intimidé. Il te corrige. Il vient pas de la Grèce mais il vient d'entre la Serbie et la Croatie. "Oh d'accord, je suis pas doué en géo", que tu lui réponds. Quand on connait pas, on se tait. Apparemment, lui aussi il est content d'être partit. Tu t'étales pas trop sur le sujet, tu sais que tu n'aimerais pas qu'on te pose dix mille questions sur ta vie, alors tu ne le fais pas aux autres, tout simplement. Pourtant, c'est pas l'envie qui manque, t'es curieux d'en savoir plus sur ce Goran. Comme on dit, la curiosité est un vilain défaut, alors tu laisses faire.

Quand le sujet nourriture arrive et que tu acceptes sa demande de cuisiner quelque chose, il t’attrape la main et t’emmène jusqu’à la cuisine. Tu te mets à rire en regardant tout autour de toi, y'a personne, juste toi et lui. C'est silencieux, à peine arrivé, Goran se met déjà à commencer à faire à manger. Tu lui as proposé d'aider, alors il te dit ce que tu peux faire. Tu l'écoutes attentivement et tu fais tout ce qu'il te dit de faire. Tu suis ses consignes à la lettre et tu obéis, t'as vraiment pas envie de faire de conneries alors tu fais bien attention de ne pas te ridiculiser. Tu mets une casserole d’eau à chauffer et tu rajoutes dedans, du sel et un peu d'huile. Comme il t'a dit de faire, tu mets un couvercle dessus. Tu laisses l'eau chauffer et tu te met à coté de lui, t'es impressionné, il va vite, très vite à couper les oignons et les poivrons. T'as presque peur pour lui, qu'il se coupe un doigt. Il a dû faire ça souvent. "T'es doué, tu fais ça bien." que tu lui dis en souriant et en le regardant faire. Tu continues de suivre ses ordres et tu mets un morceau de beurre à fondre dans le wok, tu regardes le morceau fondre et devenir liquide petit à petit. Tu te demandes vraiment ce que Goran ne sait pas faire, en fait. Parce que jusqu'à maintenant, il est doué en tout. Toi tu sais pas faire grand chose, à côté de lui, finalement. L'odeur du beurre fondu t'arrive au narines, tu souris en le regardant, "ça sent bon", que tu lui dis. C'est bien la première fois de ta vie que tu aides à la cuisine, toi, Axel.

AVENGEDINCHAINS

Plus je parle de moi, plus il a les yeux qui brillent, on dirait un enfant devant une merveille du monde ce qui me touche. Je trouve ca adorable de le voir ainsi, d’ailleurs on parle de tatouage. Je ris en lui expliquant que j’en ai tellement que tous les lui montrer prendrait du temps. Mais que j’en avais sur les bras, sur les mains, sur les épaules et bien d’autres endroits et que d’ailleurs je compte m’en refaire un bientôt, dont le croquis est en préparation bien caché dans mon calepin. Je parle, je parle je parle et il continue à avoir cet air à croquer, si je ne me retenais pas, j’irai le croquer tout cru. Mais pour l’instant je garde un grand sourire amusé avant de lui dire tout bonnement.
« La scène c’est toute ma vie, alors non, je ne suis pas chanceuse, je me donne juste les moyens d’aller au bout de mes rêves, peut importe le temps que ca doit prendre et l’énergie que je dois donner »

Contrairement a ce qu’on pourrait croire, je ne suis pas blindé, au contraire, j’ai certes une vie aisée mais je ne suis pas immensément riche car l’argent que je gagne je le donne en partie à ma petite sœur et je donne beaucoup autour de moi pour que le monde aille un peu mieux, je réinvestie l’argent dans mes concerts pour toujours donner quelque chose de nouveau, un petit quelque chose de plus. Je donne beaucoup de ma personne aux autres, alors je suis heureux de ce que je fais. Comme moi, il n’insiste pas sur mon passé, il a comprit que pour l’instant, il ne fallait pas aborder le sujet, je sais que j’en parle parfois mais je préfère m’abstenir pour le moment, je ne suis pas prêt a revivre ce que j’ia vécu avec Sienna au moment de mes confessions. Je lui simplement jusqu’à qu’on aille dans la cuisine et chacun fait ce qu’il a faire, sous mes directives, j’apprécie qu’il me fasse confiance. Je le regarde une fois tout coupé en souriant, le couvant presque du regard tellement il a l’air d’un enfant, oui je me répète mais voilà mon ressenti, il est adorable. Je prends les oignons, je prends les poivrons et une tasse d’eau avant de m’approcher du wok.
Je lance les oignons dans le wok et je les laisse cuir, je tourne la tête pour regarder Axel et je lui souris.
« Peux-tu me sortir deux bout de viandes du frigo, ainsi que la crème fraiche. Après tu vas prendre le couteau, les bouts de viande et tu vas en faire des petits morceau, mais pas trop petits pour qu’ils se tiennent à la cuisse et surtout, fait attention, le couteau coupe très bien, va tout doucement. »

Je voulais lui donner un peu de responsabilité. Je lui offre la possibilité de faire ses preuves à lui-même. Je regarde les oignons avant de jeter les poivrons avec puis je mélange avant de laisser cuir, je tourne la tête pour regarder ce qu’il fait et je souris avant de m’approcher, de me placer derrière lui et de prendre doucement ses mains pour lui montrer comment tenir le couteau et j’accompagne ses mouvements pour lui donner la manière de couper.
« Regarde, là tu as plus d’appui pour couper et tu risques beaucoup moins de te couper. Oui très bien, continue ainsi tout seul, tu apprends vite dis moi. Tu sais quoi, je vais te laisser l’honneur de mettre la viande dans le wok une fois que les poivrons seront cuit, tu le sauras car les jaunes seront quasi transparent. »

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