TG 2 ❋ soirée népalaise

J'avais fait de l'effet en parlant de mon jet, oui c'est sur que j'étais pas du genre a étalé ma fortune, fin j'en parlais pour aidé les autres. De toute façon ici j'était Beverly simons une americaine landa, en tous cas sur les papiers, je n'étais pas Abby Eléonora d'orange princesse heritière du trône de Hollande. J'avais horreur que les medias me suivent partout surtout quand j'étais en mission carricative. Je venais de tilté que je m'étais pas présenté
"Moi c'est Abby" Bon Abby était déjà un pseudo, je n'aime pas mon prénom et il me rappel trop ma famille. Personne le connaissait ici sauf mon cousin.
"Y a aucun soucis et en revenant on fera un boucle par l'endroit que t'as toujours rever de visité si tu veux" Je tenais a revenir voir les enfants, j'aie les voirs grandire.
"Je leur expedie des colis tous les mois avec divers chose et je leur enverais un contenaire entier de médicament par ans. Si tu voudrais envoyé une lettre ou leur faire parvenir quelque chose t'aura qu'a me dire je mettrais avec" Oui je claque ma fortune, fin quoi que c'est même pas une miette de ma fortune. Je suis juste une des 10 plus grande fortune du monde et la deuxième fortune de l'europe.

Seul dans mon coin pour le moment, je voyais qu'un groupe de fille c'était formé non loin de moi et ça avait l'air de plutôt bien bavarder. Je reconnaissais certaines de la sortie que nous avions fait pour aider des enfants en difficultés. Ne voulant pas rester seul au bord de la piscine, je m'approchais du groupe, préférant être sociable ce soir. Je ne pensais pas le dire mais bizarrement, il s'y trouvait moins de personne que je ne le pensais. La Quincy House vidait-elle comme les Eliots ? Je n'espérais pas. Bonsoir les filles, vous allez bien ? Demandais-je en me sentant bien dans ma peau ce soir. J'avais pris une douche juste avant et l'odeur de la fraîcheur me rendait toujours fou. C'était une sensation agréable.

Abby était décidément généreuse comme fille. Je sirotais mon cocktail alors qu'elle me proposait de faire un stop par ''l'endroit que j'avais toujours rêver de visité''. Je restais silencieuse. J'essayais de garder à l'esprit qu'elle voulait simplement partager, faire plaisir au autre etc... mais au fond j'avoue que je trouvais ses propos à la limite de l'arrogance. Elle parlait de tout ça comme si c'était anodin, comme si c'était évident et que tout le monde avait un jet privé, comme si elle vivait dans une bulle entourée de personne riche et que du coup, proposer ce genre de chose était normal pour elle. J'avoue que ça m’agaçait. De la jalousie ? Pas vraiment, puisque étant gamine je n'avais manqué de rien, j'avais beaucoup voyagé avec mon père et j'avais participé a de nombreuses œuvres caritatives. Ce qui m'agaçait n'était pas que ce monde de luxe dans lequel semblait vivre Abby n'était qu'un lointain souvenir pour moi, non, ce qui m’agaçait était la façon qu'elle avait d'ignorer qu'elle n'était visiblement pas une étudiante lambda, et cette facilité avec laquelle elle pouvait me mettre mal à l'aise en nous proposant tout ça.  « C'est sympas, merci. » Dis-je simplement avant de reprendre une gorgée de mon cocktail. Alors qu'un silence s'installait, le beau brun (Rhys) qui trempait ses pieds dans la piscine se décida à nous rejoindre. Il en avait visiblement marre d'être seul dans son coin. « ça va super ! et toi ? » M'empressais-je de répondre. Bordel, j'avais l'air désespérée ... A croire que j'avais attendu toute la soirée qu'il vienne nous parler. Je me cachais une nouvelle fois dans mon verre, m'enfonçant dans le canapé limite mal à l'aise.

Je ne me rendait même pas compte qu'a ses moments la je pouvais mettre mal a l'aise les gens. Je parlais de mon argent mais pour une seul raison faire le bien, fin aidé les plus démunies, c'est tout se qui comptait a mes yeux. Je portait des fringues qui coutait cher et je roulais pas dans une voiture premier prix mais jamais je m'étais vanté de ma fortune. Je m'en abstenais sur les chose materiel et superficiel. Je sentais bien que j'avais mi un leger froid au niveau de Charlie J'avais pas le temps de m'en rendre compte qu'un jeune homme brun Rhys que j'avais vu la veille se joignait a nous.
Oui et toi?

Etre entouré de jeunes femmes splendides pouvaient être un cauchemars comme un véritable délice, et en ce moment même je ne me plaignais pas. Nous avions tellement donné durant ce voyage pour aider les autres que cette pause entouré seulement de Quincy n'était pas mauvaise. Malheureusement je constatais tout de même que nous n'étions pas nombreux ce soir. Mais où étaient-ils tous passés ? Je n'avais jamais vu cette confrérie aussi vie qu'aujourd'hui, çà croire que tout le monde était occupé à réviser, trop peur de ne pas passer leur année. « Bien, très bien. Je suis désolé de vous demandez ça mais je ne connais pas vos prénoms. Moi c'est Rhys. Depuis que j'ai quitté la maison des Quincy je connais pas vraiment les nouvelles têtes. » J'étais un peu gêné d'avouer ce genre de chose étant donné que j'étais tout de même membre mais que je ne connaissais pourtant presque aucun des membres. Pourtant je ne quitterai cette confrérie pour rien au monde, c'est ma ressource, mon foyer.

Le jeune homme qui venait se joindre a nous nous avouait qu'il e connaissait pas nos prémoms. Je souris, il vivait plus a la quincy, faut dire que je n'y avait jamais vécue non plus. rhys
"Moi c'est Abby, je te rassure je ne vie pas non plus a la Quincy, alors forcement on c'est pas croisé. Si on c'est vue y a deux jour a l'orpholinat, je t'embetais un peu" Oui je l'avais charier sur le faite qu'il soit pas très sur de lui par rapport au enfant mais je reste toujours gentille, je suis une quincy après tout.

Rhys, c'était un prénom original. Il s'excusa de nous demandez nos prénoms, avouant que depuis qu'il avait quitté la Quincy il ne connaissait plus les nouveaux. J'avais bien envie de lui dire qu'il n'avait pas besoin de s'excuser, que mise à part Dorian, Marloes et Palmyr, moi aussi je ne connaissais quasiment personne, mais je préférais éviter de passer pour une associable. Abby s'empressa de se présenter, expliquant qu'elle l'avait vu à l’orphelinat ces deux derniers jours. « Moi c'est Charlie. » Dis-je simplement avant d'ajouter à mi-voix: « Et on c'est jamais croisé avant... » Je me sentais un peu bête. Je ne l'avais jamais vu avant. A vrai dire: je n'avais jamais vu Abby avant non plus, ni même Judith. Je pensais que ce voyage allait être l'occasion de rencontrer d'avantage de Quincy, mais l'on était que quatre à cette superbe soirée...

Les deux jeunes femmes m’apprenaient leur nom, me permettant de les identifier beaucoup plus facilement. Au moins cette soirée bien sympathique m'aura permis de connaître quelques Quincy en plus. Surtout que nous venions pour la même chose, pour une bonne cause. Abby s'empressait alors de me dire que c'était elle qui m'avait un peu chambré ce jour-là alors que je n'étais pas du tout à l'aise. Surtout que les enfants et moi ça faisaient deux, chose que je devais corriger ou alors ma progéniture allait simplement s'évaporer. « Charlie ? C'est amusant pour une fille. » Répondis-je en m'adressant alors à l'autre orange qui ne m'avait jamais vu avant, y'avait pas de mal à ça en même temps. Leurs visages m'étaient familier mais c'est tout. « Je me souviens Abby, ouais c'était sympathique d'être avec des enfants.. » Répondis-je en essayent d'engager une conversation autant profiter du moment et de la petite fête même si nous n'étions pas beaucoup.