Je détestais cet animal stupide. Je le détestais pour toujours. Il venait de complètement ruiner mon jean préféré et je l’aurais presque défoncé si je le pouvais. Alors ouais, j’avais balancé sur ses glandes de bouche comme un merdeux, mais au pire il comprend rien, alors que je l’insulte ou pas, ça ne compte pas.
Hooo. C’est tout gluant. Je jetais un regard hypocrite à
Skyler, avec le merveilleux sourire qui va en prime. Comme si je ne savais pas que c’était gluant, j’allais devoir le garder sur moi, sauf si quelqu’un avait une meilleure idée.
À la poubelle le jean ! Merci encore une fois à Skyler pour son tact et son sens de l’humour. «
C’est clair. »
Attend Casey ! Je tourne ma tête vers
Avery, parce qu’il m’a appelé genre, comme si c’était une urgence nucléaire et qu’on allait tous crever sur place. Mais non, à la place je le vois prendre une putain de photo. Je grogne. Ouais, j’ai grogné. """
CE """ était photogénique mais moi… Non, sur le moment je devais ressembler à un déchet humain. «
Merci mec. »
Alors j’espère que t’as de quoi négocier, parce qu’elle risque de se retrouver sur les réseaux sociaux demain. J’ouvrais de grands yeux. Pense Casey, pense pense pense ! Mais bien sûr ! «
Tu sais quoi, j’ai trop chaud pour te répondre en ce moment. » Je lui souriais, je faisais un petit clin d’œil, parce que ouais, il attendait que ça le coquin, que je fasse ma connerie devant lui. J’enlevais mes chaussures, puis mes chaussettes, mes pieds étaient maintenant à la vue de tous. Puis je suivais avec mon jean et là ben mon caleçon calvin klein faisait tout le travail pour mouler mes fesses et mon précieux. Je l’appelle comme ça, OUI. Je continuais et j’enlevais mon haut. «
Un chaleur de fou mec, c’est fou. » Je ramassais mes fringues et je les posais sur un fauteuil inoccupé. Puis je prenais la pose, parce que oui, je le connaissais mon bizuteur favori. «
Vas-y prend ta photo souvenir et bave devant mon corps que tu seras dans ta chambre tout seul à l’université. » Je souriais, je faisais le sourire charmeur, mais je savais qu’une furie allait pas tarder à tomber sur mon dos dans cinq micro secondes.