GABYDIE ✰ I'm slave for you

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Je culpabilise un peu à l’idée d’envoyer Gabriel chercher mes moindres désires en pleine nuit mais si il le fait c’est parce qu’il en a envie non ? Ou bien plutôt qu’il est obligé mais ce n’est pas grave après tout c’est à cause de lui si je suis enceinte c’est de sa faute et il doit assumer les conséquences de ses actes (a) . J’ai bien conscience de ne pas être au top de ma forme en ce moment et de lui en faire voir d’un peu toutes les couleurs mais je compte bien me faire pardonner. Je ne sais pas bien comment, surement pas en l’envoyant chercher des trucs impossibles en pleine nuit mais ça c’est le carburant qui va me donner une idée. En ce moment je passe le plus clair de mon temps avec Alex. On discute pas mal mais on ne fait pas que ça non plus, sauf que plus je passe du temps avec Alex plus j’ai l’impression de replonger dans le passé, un passé qui ne me convient plus vraiment je crois. Je suis attachée à Alex et je n’aime pas le voir comme ça mais j’ai l’impression qu’il m’utilise pour un objet, pour oublier sa peine de cœur. Mais est-ce que je peux lui reprocher quelque chose sachant que je fais pareil ? Je me jette dans ses bras pour oublier l’homme à qui je pense trop souvent. Mais ça serait beaucoup mieux si ça pouvait au moins marcher. M’enfin bref réalisant à quel point j’ai l’air dégueulasse je me lève filant à toute à allure dans la sale de bain me changer, au  lieu de mon vieux jogging et de mon haut de pyjama rose j’enfile une ravissante nuisette qui par le plus grand des hasard me va encore.  Une fois les cheveux coiffés je me recouche dans mon lit attendant Gabriel, mais plus les minutes passent plus je me demande si vraiment il va venir.  J’en ai tellement marre de l’attendre que je m’endors même comme une larve dans mon lit, enfin comme une ravissante larve on va dire  

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Il était maintenant 4h du matin et Teddy m'avait chargé de lui trouver des fraises enrobés de chocolat au lait, du fromage à raclette au fromage entier et du jus de poire. J'avais tout noté sur un petit post-it. Bas de pyjama et pull, j'avais encore la tête dans le cul, le cul dans le brouillard  quand je prenais la voiture. J'avais tellement envie de retourner dans mon lit et reprendre ma nuit mais je pouvais pas la laisser comme ça. Je me suis engagé à l'aider, à être là pour elle, alors je le ferais.  Je tournais dans la ville pour trouver un magasin ouvert, heureusement qu'il m'était arrivé de partir à la pêche le samedi soir vers ces horaires là pour vendre du poisson le dimanche matin. Une fois dans le magasin, j'espérais trouver ce qu'elle voulait... Des fraises, mais pas de fraises déjà enrobées, alors je prenais une plaquette de chocolat au lait. Du jus de poire, se fut facile à trouver mais du fromage à raclette au lait entier.... Excusez moi, vous avez du fromage à raclette au lait entier ? demandais-je un peu hésitant, avant de regarder mon post it. Je me suis pas trompé. Le caissier me regardait étrangement avec un air blasé  Vous êtes de plus en plus bizarre avec vous manies vous les jeunes Peut être ouai, vous en avez ou pas ? Sinon j'me casse en vous laissant tout ça je tente le tout pour le tout, c'est la nuit, je suis assez énervé, faut pas croire, c'est pas facile pour moi non plus. Le vieux vendeur m'indiquait le rayon et c'est une fois après avoir toutes les vivres en main, que je payais pour partir rejoindre ma baleine qui met des pantalons taille 40 dorénavant.  La porte est ouverte, comme elle me l'indique, le sac sur le plan de travail, le regard sur le salon Teddy ? c'est une blague ? Elle est où ?  C'est en tournant la tête que je vis la lumière de sa lampe de chevet, éclairer un pan du mur et je décide d'aller la rejoindre et elle est là endormie comme la belle aux dormant ... C'est censé être mignon n'est ce pas ? BORDEL elle m'a appelé à 3h40 du matin, je me suis démerdé à chercher un magasin ouvert, je me suis pris le chou pour son fromage à raclette et quand j'arrive elle dort ? Calm down, la vision de son ventre me calme un peu ... c'est que ça doit la fatiguer tout ça. Peuchère.  Du coup, je me décide à éteindre la petite lumière, à virer mes chaussures et à m'allonger à côté d'elle en la prenant contre moi pour tenter de reprendre ma nuit, mais je sens qu'elle se réveille, peut être que je l'ai trop bougé. merde, je voulais pas te réveiller ... chuchotais-je, d'ailleurs, pourquoi je chuchote ? Elle est déjà réveillée ...  

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Je n’entends absolument pas Gabriel arriver dans la chambre car je dors comme une princesse heureusement que je ne ronfle pas sinon bonjour le glamour :sifle: pourtant au bout d’un moment quelque chose me réveille, une odeur non ce ne sont pas les pieds de Gabriel mais son parfum qui me réveille et la chaleur que me gagne peu à peu. Sauf qu’au début moi je ne sais pas que c’est lui je n’ai pas ouvert les yeux je sens une présence dans mon lit « AAAAAH AU VIOL À L’AIDE » Sauf que quand j’ouvre les yeux je m retrouve bien maline devant Gabriel et son air complétement au bout du rouleau « Oh c’est toi tu m’as fais peur » Dis-je en reposant ma tête sur l’oreiller à bout de souffle et la main sur le cœur, je me penche pour allumer la lumière je me souviens pas l’avoir éteinte. « Tu es là depuis longtemps ? » Peut être que ça fait trois heures qu’il est là et que je ne me suis pas rendu compte, je me lève du lit en lissant ma chemise de nuit pour ne pas qu’elle soit trop courte mais elle remonte un peu avec mon ventre « Tu as vu regarde.. regarde comme je suis énorme c’est la seule chose qui me va encore » Non non je ne fais pas exprès (a) ce n’est absolument pas de ma faute si la seule chose qu’il me reste encore c’est un truc hyper sexy « Quand j’aurai accouché la première chose que je fais c’est la salle de sport et je crois que je n’aurai pas d’autre enfant après celui là tu as tellement de la chance d’être un homme » Dis-je en soupirant un bon coup avant de reprendre « Dis moi que tu as mon fromage et mes fraises et mon jus de poire » Dis-je les yeux brillants d’excitation j’ai hâte de voir si il ma ramené mes trucs  

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C'est épris d'une fatigue générale que je me laissais tomber sur le lit de Teddy. Au bout du rouleau totalement. J'avais envie de dormir, je n'en pouvais plus. Cependant, alors que j'étais en train de somnoler, Teddy se mit à crier au viol. What ? Rapidement, je me relevais pour regarder autour, pour tenter de voir cet éventuel violeur et l'étriper mais non ... elle parlait de moi. Je soupirais en levant les yeux au ciel, maintenant j'ai l'air d'un violeur. GREAT. La tête tournait vers Teddy, je me met à bailler sans pouvoir me contrôler, passant une main sur mon visage pour me frotter les yeux. Désolé, je me suis assoupi dis-je d'une voix endormie. Je suppose enfin une bonnes dizaines de minutes Me frottant à nouveau le visage, je me relève un peu pour poser mon dos contre la tête de lit, regardant Teddy faire son spectacle. Mes yeux quant à eux étaient attirés vers sa nuisette, son corps. Elle était divine, enceinte ou pas. D'ailleurs, la grossesse lui allait bien. C'est problématique ça, j'ai pas forcément envie que tu te promènes dans cette nuisette devant tous le monde oui parce qu'elle est bien trop sexy. Franchement, j'en ai l'impression ouai, j'aimerais pas une femme, vos trucs chaque mois, les bébés, les problèmes de filles .... vous êtes compliquées dis-je en riant doucement avant de me relever. Un peu à l'ouest. J'ai réussi à tout à avoir, j'ai dû aller à l'autre bout de la ville pour ton fromage à raclette au lait entier et les fraises, ils n'en vendaient pas directement enrobé, du coup j'ai pris du chocolat au lait et je vais te le faire A son niveau, je déposais un baiser sur son front avant d'aller dans la cuisine. ça t'arrives souvent de faire des insomnies comme ça ?

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Je fais mon cinéma, mon numéro de femme enceinte ronchon est parfaitement rodé et Gabriel semble enclin à tomber dans mon piège de sirène provocatrice, je le vois bien me regarder et ça tombe bien c’est exactement ce que je voulais « Oh c’est vrai ? Moi je la trouve mignonne ma nuisette mais si tu peux je peux l’enlever pas de souci » Lui dis-je en accompagnant mes propos d’un clin d’œil provocateur. What depuis quand je dis ce genre de choses à Gabriel moi ? Aucune idée et ça ne me plait pas beaucoup. Je crois que revoir Alex a une mauvaise influence sur moi et sur mon comportement. Il m’entraine dans une voix obscure. Alex me traite comme un objet et je me laisse faire mais comment arrêter une relation aussi destructrice que nécessaire. Je crois que je me réfugie dans le peu que me donne Alex pour ne pas penser à ce que ne me donne pas Gabriel m’enfin bref il a raison de ne pas vouloir être une fille « C’est vrai qu’on est compliquée mais vous les mecs vous êtes pas mieux vous ne savez jamais ce que vous voulez » Dis-je en levant les yeux au ciel j’ai envie de dire prends sa dans ta face mon vieux. « Tu es le meilleur merci » Dis-je en le suivant jusqu'à la cuisine sortant deux vers et deux assiettes et mon appareil à raclette. « Oui depuis mon retour d’Australie dors assez mal » Il y’a pas mal de choses qui me rongent des angoisses incessantes. « Je voudrais qu’on reparle de mon déménagement plus calmement cette fois » Dis-je en allumant mon appareil pour faire chauffer le fromage « Au final je suis pas certaine que ce soit une bonne idée » Je pense pas pouvoir le supporter vois un balais incessant de fille l’avoir près de moi tout le temps je ne pourra pas « Mais ça serait plus pratique effectivement » surtout si il veut voir son bébé souvent

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Je fus un peu surpris de ce que Teddy était en train de me dire, j'arquais un sourcil en la contemplant, elle n'avait jamais été si entreprenante. Non gardes là, tu risque de prendre froid après, puis c'est vrai qu'elle est belle, bien qu'un peu courte, je veux juste pas qu'on te reluque comme un morceau de viande parce que ça me ferait chier à vrai dire. Alors que nous allions dans la cuisine, nous parlions de la différence entre les femmes et les hommes. Oh parce que tu crois que vous êtes pas pareil ? Tu parles, vous rejetez juste la faute sur nous point oui, je l'avais pris pour moi, je sais bien que je sais pas ce que je veux, du moins, je sais juste que je veux pas trop m'investir parce que j'ai peur de souffrir et à chaque fois que je le fais, la personne que j'aime souffre à son tour. L'amour, c'est juste pas pour moi. Comment ça se fait ? Tu veux qu'on demande au médecin si tu peux pas prendre quelque chose qui pourrait te faire aller mieux ? J'en veux pas terminais-je par dire en la voyant sortir deux assiettes, dude, il est plus de 4 heures du matin , je vais pas m'faire une raclette à cette heure ci. Teddy voulait parler du déménagement, je me lavais les mains pour prendre la tablette de chocolat, la couper et la mettre dans un bol afin de faire un bain mari et le fondre pour enrober les fraises de la miss. Je suis pas certain de comprendre, tu veux prendre un appartement non loin du mien, après qu'on se soit pris la tête et qu'on est convenu que c'était mieux tu me dis que c'est pas une bonne idée mais que oui, c'est pratique... je te comprend pas je lavais les fraises rapidement pour commencer la phase enrobage. Je vois pas trop ou tu veux en venir Teddy mais si tu penses que c'est pas une bonne idée, le fait pas, je t'ai déjà dis, je veux pas que tu fasses quelque chose que tu ne veux pas juste parce que c'est pratique. Je me débrouillerais pour le bébé

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C’est ce qui s’appelle se prendre un vent ou plutôt on peut dire que c’est un bide total. Quand je lui ai dis cette petite réflexion je me suis sentie pousser des ails je ne sais pas mais ça n’a fait aucun effet à Gabriel qui resta de marbre. Je m’attendais à quoi en même temps à ce qu’il se jette sur moi suite à ma réflexion ? Je me sens stupide un peu vexée mais surtout très mal à l’aise. Je croise les bras atour de moi pour me couvrir un peu ne répondant rien à sa remarque ni même à la suivante. Je viens de prendre une douche froide et j’aimerai sincèrement arrêter de passer du rire aux larmes à cause de cet homme. Les hommes sont compliqués les femmes aussi certes mais Gabriel reste quand même la personne la plus compliquée au monde pour moi. « C’est rien t’en fais pas façon j’ai bientôt une échographie de prévu » Comme ça je pourrai poser des questions à Jude et tout ça. Je range la seconde assiette vu que Gabriel n’en veut pas avant de faire chauffer mon fromage pour ensuite le déguster «  J’ai pas mal réfléchi ces dernier temps et je ne compte pas faire une année supplémentaire ici je vais arrêter mes études à la fin de l’année donc je vais quitter la ville » Dis-je le plus naturellement possible « Mais comme je peux pas repartir en Australie à cause du bébé je vais surement m’installer à New York c’est pas très loin d’ici donc tu pourras voir le bébé quand tu voudras » C’est mieux que l’Australie pour lui et c’est une grande ville pour moi donc au final tout le monde y trouve son compte « En attendant je vais rester ici et je vais commencer les recherche d’ici peu de temps »  Le ton de ma voix et sans équivoque je suis bien décidée à faire ce que je veux, je veux partir de Cambridge, partir loin de mon passé pour enfin me construire un avenir

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C'est vrai ? Tu .. Je pourrais venir ? En fait, j'avais envie de voir notre bébé, de voir à quoi il ressemblait. Certes on ne verrait certainement rien, mais c'était important non ? Cependant la suite me laisse sur le cul pour dire les choses telles qu'elles sont. Je regarde Teddy sans vraiment comprendre au départ. C'est pas la première fois qu'elle me fait le coup. C'est pas la première fois qu'elle me dit qu'elle veut partir de Cambridge. Je baissais la tête sans rien dire, je ne pouvais pas lui demander encore une fois de vivre sa vie en fonction de la mienne, d'ailleurs, je sais même pas où je serais à la rentrée. Je m'occupe des fraises, peu bavard. Les trempant dans le chocolat chaud maintenant. Egoïstement, j'aimerais qu'elle me suive qu'importe où j'irais, j'aime passer du temps avec elle et je veux voir mon enfant grandir chaque jour, mais qui suis-je pour lui demander ça après tout ?! Personne, puis elle m'a bien fait comprendre qu'elle s'amusait de son côté, depuis le Spring Break De toute manière, j'ai rien à dire, fais comme tu veux dis-je en haussant les épaules. Je posais les fraises sur une plaque que je mettais au frais ensuite, histoire qu'elle se casse le nez quand elle les mangera. Tu peux venir vivre chez moi en attendant, ça sert à rien que t'ai des frais supplémentaire alors que tu comptes partir puis ça sera plus simple pour tes fringales nocturne je suppose

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« Ba oui bien sûr que tu pourra venir on pourra même connaître le sexe de l’enfant » C’est un truc qui me fait carrément flipper une fois que je saurai le sexe du bébé je sais pas ça deviendra encore plus réel que ça ne l’est déjà et moi ça me fait quand même peur mais j’ai hâte de savoir si je vais avoir une petite princesse ou un beau prince. Bon l’ambiance entre nous est vraiment glaciale j’en ai un peu marre de cette situation mais en même temps c’est Gabriel donc je dois me contenter de ce que j’ai c’est à dire pas grand chose. Pourtant il est quand même là en pleine nuit chez moi à me faire des fraises au chocolat c’est que je dois compter un peu pour lui non ? Si seulement les choses étaient plus simples et qu’en un claquement de doigt il pourrai réaliser que je suis la femme de sa vie :sifle: mais ce n’est pas le cas et pour le moment il semble plus faire la gueule qu’autre chose. C’est peut être mon déménagement qui ne lui plait pas mais en même temps pour le compte je lui demande pas son avis, et puis c’est pas comme si je partais super loin non NY c’est la porte à côté. « Vivre chez toi ? Je suis pas certaine que ta coloc soit ravie d’avoir une femme enceinte hystérique chez elle » Lui dis-je avec un demi sourire sur les lèvres mais en même temps vivre avec Gabriel.. l’avoir avec moi ça serait génial mais supporter de le voir avec d’autres filles ça je pourrai pas donc je ne suis pas certaine que ça soit une bonne idée « Très sincèrement je n’avais pas plus faim que ça j’avais juste envie de te voir » Dis-je en terminant mon dernier bout de fromage au moins je suis honnête je lui dire clairement ce que je veux « Mais la nourriture est un petit bonus effectivement » Un bon gros bonus oui « Désolée de t’avoir dérangé Gab je ne le ferai plus je vais faire des réserver à partir de maintenant » Comme ça il n’aura plus à se déplacer

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A cette nouvelle, je ressentais une immense joie. On allait enfin connaître le sexe de l'enfant Je viendrais avec toi dis-je avec un grand sourire, le regard légèrement pétillant. J'étais heureux, vraiment, quand bien même une certaine boule naissait au fond de mon estomac. Tu te rends comptes ... ça devient réel ... dis-je plus pour moi même que pour Teddy parce qu'elle, devait se rendre compte que c'était réel. Ma colloc est partie, alors ça ne dérange personne et promis, je ferais attention de ne pas laisser mes affaires trainer partout oui, ces derniers temps, je me laissais aller complètement niveau rangement. Décidément il faudrait que j'engage quelqu'un. Tandis que je terminais de lui faire ses fraises que je mettais ensuite au frigidaire pour que le chocolat prenne sur la fraise, Teddy m'avouait ne pas avoir faim. C'est une blague ? Sauf que la suite me fit tourner le regard vers elle. Elle voulait juste me voir. Intérieurement, c'était le chaos. Je n'avais juste pas envie de me prendre la tête. Je ne lui répondais pas, je m'avançais juste vers elle, attrapant sa main pour la faire tourner sur elle même avant de l'entrainer vers le canapé. Je m'asseyais dedans, allongeant mes jambes sur la table basse pour ensuite, la faire venir contre moi, en l'allongeant sur le canapé et en laissant sa tête reposer sur mes jambes. J'attrapais le plaid pour le mettre sur elle et automatiquement ma main allait caresser ses cheveux. C'est pas grave Teddy, je t'ai dis que je serais là qu'importe ce qu'il se passe je levais sa main pour déposer un baisser dessus pour finalement laisser tomber ma tête en arrière. ça me fait plaisir de te voir aussi, t'as l'air bien et la grossesse te va merveilleusement bien en gros, t'es magnifique comme ça Teddy. est-ce que .. est-ce-que je te fais du mal ? ouep, cette question sur mon formspring m'avait bien plus tourmenté que je ne l'avais laissé paraître